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05/09/2023 Janco Thinkerview • Sobriété, déconsommateurs : cache-misère
01/12/2022 Janco Agefi • Jean-Marc Jancovici : «Il n’y a pas d...
27/09/2022 Parrique • #78 - Croissance verte : un mythe dan...
Musique • improvisation no23
00:21 Progrès et amélioration énergétique
02:02 Captation du CO2
06:21 Hydrogène
Réponses au quiz de fin :
/!\ Description à ne pas lire avant d'avoir vu la vidéo entièrement
/!\
Quels sont les deux processus de captation du carbone ?
Direct air capture, capture aux évacuations des usines.
Combien de temps faut-il pour que l'effet rebond compense les gains énergétiques en France ?
24 mois.
Pourquoi utiliser l'hydrogène pour les transports est une mauvaise idée ?
Mauvais rendement par rapport à l'utilisation qu'on peut en avoir pour les hauts fourneaux.
#bardella #jancovici #parrique #écologie #décroissance #solution #hydrogène #captation #directaircapture #thinkerview #greenletterclub #interview #extrait #ilnousfautunplan #ethiqueettac
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Pour réussir sa transition énergétique, l’Allemagne a désormais un plan. Elle comptera sur plusieurs gigawatts de centrales électriques au gaz « hydrogen ready », malgré la controverse.
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Le chancelier Olaf Scholz ... sorte de frénésie hydrogène ...
À lire aussi L’hydrogène pour sauver le climat : une fausse bonne idée selon certains scientifiques
...
dans de « brefs délais », un appel d’offres sera lancé pour de nouvelles capacités allant jusqu’à 4 fois 2,5 GW de centrales électriques au gaz. Celles-ci pourront, dans un premier temps, fonctionner au gaz fossile. Toutefois, entre 2035 et 2040, elles devront impérativement avoir été converties à un hydrogène « de toutes les couleurs, mais autant que possible vert ». En parallèle, le gouvernement soutient également la recherche et le développement sur les technologies de capture et de stockage du carbone
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Informations
Alors que le secteur aérien et les gouvernements annoncent une nouvelle ère de carburants d’aviation « durables » (CAD, ou SAF en anglais), on sait que cela confisquera des ressources indispensables à d’autres secteurs et prendra plusieurs dizaines d’années, si toutefois on y arrive. Il existe pourtant un moyen efficace de réduire rapidement et significativement les effets hors CO2 de l’aviation, et par là son empreinte climatique totale : traiter les carburants conventionnels avec des quantités limitées d’hydrogène.
...
L’Union européenne est sur le point d’approuver le règlement ReFuelEU ... programme Fit for 55 ... feuille de route pour l’introduction progressive des CAD, qu’il s’agisse de biocarburants ou d’e-carburants. Le plan vise un taux de mélange de 6 % en 2030, de 34 % en 2040 et de 70 % en 2050, dont la moitié d’e-carburants en 2050. Cela signifie que d’ici 2040 les avions devraient encore utiliser du kérosène fossile pour plus des deux tiers de leur consommation.
Les CAD ont pour objet de réduire les émissions de CO2, mais il y a d’autres bénéfices. Comme ils sont exempts d’aromatiques, de naphtalène et de soufre (ANS) (1), ils produisent moins de suie lors de leur combustion, réduisant ainsi l’impact climatique des cirrus induits par les traînées de condensation, et améliorant également la qualité de l’air dans les aéroports. On pourrait toutefois bénéficier beaucoup plus rapidement de ces avantages en réduisant la quantité d’ANS dans le kérosène fossile actuel.
C’est pourquoi certains membres du Parlement européen ont déposé des amendements visant à rendre obligatoire le suivi de la teneur en ANS des carburants d’aviation et chargeant la Commission européenne de rédiger un rapport et de préparer une proposition réglementaire. Ces amendements ont été adoptés, mais la dernière disposition ne sera pas suivie d’effets avant la prochaine révision du règlement en 2026-2027. Il y a néanmoins de solides raisons d’agir dès que possible
...
Hydrotraiter le kérosène fossile : le meilleur usage des quantités limitées d’hydrogène vert disponibles pour l’aviation
Des essais en vol avec des carburants contenant des CAD ont confirmé que réduire la teneur en aromatiques du carburant réduit de manière significative les cirrus induits par les traînées de condensation, car ils produisent moins de suies en brûlant (2). Le même résultat pourrait être obtenu avec des carburants fossiles s’ils étaient traités pour retirer les composés aromatiques. Cela peut se faire par hydrotraitement (réaction avec de l’hydrogène), un processus couramment utilisé dans les raffineries pour d’autres combustibles. La réduction des aromatiques dans les carburants aviation est de fait l’une des mesures préconisées par l’AESA à la CE en 2020 pour réduire les traînées de condensation (3). La pénalité en CO2 d’environ 2 % associée à la production d’hydrogène gris dans les raffineries peut être évitée en utilisant de l’hydrogène vert, comme cela devra être le cas pour la fabrication d’e-carburants.
...
implique l’hydrodésulfuration – ce qui fait que non seulement la suie, mais aussi les particules de sulfates seraient considérablement réduites ... l’approvisionnement en hydrogène vert restera faible pendant des dizaines d’années ... les avions plus anciens ont encore besoin d’aromatiques pour protéger les joints en élastomères ... adapter les processus de raffinage pour permettre une hydrogénation plus poussée (5)
...
Un rapport coûts-avantages très favorable
... analyse socio-économique ... projet Jetscreen de l’UE a été bouclée en 2020 mais n’a été publiée que le 5 décembre 2022 (7) après une série de mésaventures (8). Elle conclut à un bénéfice de 8 milliards d’euros au niveau mondial pour une désulfuration complète et une réduction de 60 % des aromatiques (de 17 à 7 %). Le montant réel est sans doute plus élévé car, entre autres, les bénéfices pour la santé de l’amélioration de la qualité de l’air dans les aéroports semblent avoir été fortement sous-estimés.
Le secteur aérien refuse toujours de prendre en compte les effets autres que le CO2
... ferait plus que doubler l’impact climatique du secteur, de sorte qu’il ne lui serait plus possible d’affirmer n’être responsable que de 2,5% des émissions mondiales
une étape efficace mais pas suffisante
...
Même avec un hydrotraitement à 100%, la réduction de CO2 atteindrait à peine 2%. Cela fait que le trafic aérien va quand même devoir être réduit au cours des 10 à 30 prochaines années afin d’aligner le secteur sur le rythme d’efforts requis de l’ensemble des secteurs pour atteindre les objectifs climatiques (voir la fiche greenwashing #6 Neutralité carbone – Zéro émissions nettes).
Voir aussi :
► Le transport aérien peut très vite arrêter d’accroître son impact climatique sans attendre un hypothétique avion “vert”
► Besoins en hydrogène pour produire des caburants aviation sans aromatiques (Carburants fossile hydrotraité, biocarburants, e-carburants)
Notes
(1) Les aromatiques sont une classe d’hydrocarbures présents dans les carburants aviation qui génèrent plus de suie que les autres lors de leur combustion. Le naphtalène est la molécule aromatique qui produit le plus de suie. Les carburants aviation contiennent également du soufre en faibles quantités (moins de 0,1 %) qui produisent du SO2 et des particules de sulfates lors de la combustion.
(2) C. Voigt et al. (2021) : Cleaner burning aviation fuels can reduce contrail cloudiness
(3) EASA (2020) : Updated analysis of the non-CO2 effects of aviation, p. 89
(4) L’objectif de l’UE est de remplacer 0,7 % des carburants aviation fossiles par des e-carburants d’ici à 2030.
(5) Alain Quignard (2022) : Non-CO2 effects from aviation decreasing sulfur and aromatic content in jet fuel
(6) Sources pour les données du tableau :
- Besoins en hydrogène pour un combustible hydrotraité à 50 % : 4,6 kg H2/tonne de carburant (calcul basé sur la stœchiométrie)
- Besoins en hydrogène pour fabriquer des e-carburants : 560-685 kg H2 / tonne d’e-carburant. CONCAWE (2019) : A look into the role of e-fuels in the transport system in Europe (2030–2050) (literature review)
- Réduction du CO2 pour un combustible hydrotraité à 50 % : calcul basé sur la stœchiométrie
- Réduction des émissions de CO2 pour un mélange de 1 % d’e-carburant : 1 %, si l’e-fuel est 100 % décarboné
- Réduction du nombre de particules de glace : dérivé de la Fig. 3c de C. Voigt et al. (2021) (Voir ref #2). Un carburant hydrotraité à 50 % contient environ 14,2 % d’H. Un carburant hydrotraité à 100%, environ 14,6%.
- Réduction du forçage radiatif des traînées de condensation : dérivé de U. Burkhardt et al. (2018) : Mitigating the contrail cirrus climate impact by reducing aircraft soot number emissions
(7) Jetscreen (2022) : Socio-Economic Benefits of Reducing Sulphur & Aromatics (Note : un correctif au rapport original a été publié afin de rectifier plusieurs erreurs de calcul (voir note suivante)
(8) L’analyse coûts/avantages a été achevée en 2020, mais n’a pas été rendue publique par Airbus et la Commission. Elle serait restée inédite si un membre de Stay Grounded n’avait pas publiquement mis Airbus au défi de la publier. Elle a finalement été mise à disposition quelques jours seulement avant le vote de RefuelEU Aviation en plénière du Parlement européen. Trop tard, d’autant que la Commission (DG Move) avait plaidé contre l’amendement proposé auprès du plus grand groupe parlementaire – le PPE. De toute façon, l’analyse concluait à l’absence de bénéfice net. Contestant ce résultat inattendu, un autre membre de SG a examiné le rapport encore non publié et est arrivé à la conclusion que des erreurs importantes avaient été commises et en a fait part à CE Delft en octobre. Après discussion, une grande partie de ses remarques ont été acceptées et le rapport a été publié sur leur site Web le 5 décembre 2022 avec un rectificatif. Il convient de noter que les coûts-bénéfices de l’utilisation d’hydrogène vert pour l’hydrotraitement n’ont pas été évalués.
Renouvelables
Qui sommes-nous ? / Eric Leser 10 mai 2019 - 7 min (durée de lecture)
Notre ambition, notre conviction et notre vocation
Comment Transitions & Energies entend contribuer, modestement, à construire des stratégies efficaces et réalistes de transitions énergétiques.
La nécessité de se passer progressivement des énergies fossiles et de leur substituer des sources d’énergie non carbonées sans mettre en péril nos sociétés et notre civilisation est le défi de notre temps. La question de la transition énergétique est d’ailleurs trop essentielle pour être laissée aux seuls lobbys, idéologues, lanceurs d’anathèmes, romantiques, anticapitalistes recyclés et à des institutions manquant souvent de réalisme et de courage.
Nous sommes entrés malheureusement dans l’ère de la panique énergétique. L’émotion, les postures et le simplisme règnent et nous égarent. Nous ne ferons pas face en nous couvrant la tête de cendres et en suivant les prophètes d’un nouvel apocalypse. Les solutions et les stratégies technologiques comme économiques existent. Pour les élaborer et les mettre en œuvre, il faut une vision méthodique des enjeux et des problèmes et faire appel à la connaissance, la raison et la science.
... apporter à un débat nécessaire et légitime des fondements scientifiques, des raisonnements construits sur les faits, des points de vue argumentés sur les avantages et les inconvénients des choix techniques, financiers et politiques qui se présentent à nous. Nous entendons, modestement, permettre ainsi de construire des stratégies publiques et privées convaincantes et acceptées par l’opinion.
Au cours des vingt-cinq prochaines années, le monde doit transformer son système d’approvisionnement en énergie et réduire significativement son empreinte carbone. Pour y parvenir, la croissance de la consommation d’énergie doit ralentir et le bouquet énergétique (le cocktail de sources d’énergie) changer radicalement. L’humanité n’a jamais accompli une telle transition, encore moins à une telle échelle.
Les technologies qui permettent de mener cette transition sont aujourd’hui loin d’être toutes arrivées à maturité. Les stratégies à mettre en place sont complexes. Cela ne nous empêche pas d’être confiants. Avec de la méthode, de la volonté et en pariant sur l’ingéniosité et la créativité, l’humanité peut surmonter l’un des plus grands défis de son histoire. C’est notre conviction à Transitions & Énergies.
Mais il faut expliquer et convaincre. Telle est notre vocation. Apporter des éléments de compréhension, éclairer les choix et participer ainsi à construire le consensus indispensable pour réussir les transitions énergétiques.
Nous aborderons sans tabous et sans a priori tous les aspects de cette question et toutes les problématiques : celles des énergies renouvelables, du nucléaire, de l’hydrogène, des énergies fossiles ou celles des mobilités et des transports, du géo-engineering, des technologies en devenir et en gestation.
Nous entendons promouvoir l’innovation, y compris, par exemple, dans l’utilisation de l’hydrogène ou la capture et le stockage du carbone. Il s’agit d’une nécessité à la fois pour atteindre nos objectifs de réduction de l’empreinte carbone et pour assurer notre prospérité et notre indépendance. L’innovation est vitale dans la production, l’utilisation et la distribution d’énergies plus propres et plus durables mais aussi via le numérique avec les véhicules autonomes, les réseaux électriques automatisés, décentralisés et intelligents ou l’utilisation du big data pour rendre plus efficaces les circuits logistiques.
Faire de la France et de l’Europe un leader dans l’innovation ouvrira de nouveaux marchés, créera de nouvelles industries et permettra à l’ensemble de la société d’avoir accès à une énergie plus propre et la moins coûteuse possible.
Pour donner une idée du défi auquel nous sommes confrontés, les transitions énergétiques ont un coût estimé entre 50 000 et 90 000 milliards de dollars lors des 15 prochaines années. En comparaison, le PIB annuel mondial s’élève à près de 80 000 milliards de dollars. Une transition mal maitrisée vers une économie décarbonée pourrait mettre en péril la stabilité financière et mener à une récession massive si elle n’est pas accompagnée de financements publics et privés pertinents et de soutiens aux industries. La difficulté tient à ce que l’on connaît la situation de départ mais sans savoir très précisément vers quoi l’on se dirige et plus encore comment.
Selon les prévisions de l’Agence internationale de l’énergie. La demande mondiale d’énergie devrait seulement croître de 0,1 % entre 2016 et 2040 contre 2 % entre 2000 et 2015. Et dans le même temps, toujours entre 2016 et 2040, les énergies fossiles (charbon, pétrole, gaz) devraient passer de 81 % à moins de 61 % des sources d’énergie primaires.
L’histoire de l’énergie et celle des civilisations sont intimement liées. Dans sa lutte pour survivre, pour domestiquer son environnement, pour échapper à la misère, pour se donner les moyens de maitriser son développement économique, social, intellectuel, l’humanité n’a cessé de diversifier ses sources d’énergie. C’est l’intensification du recours à l’énergie qui a permis la révolution agricole et industrielle.
Nous sommes ainsi passés successivement de l’énergie animale et celle du bois, du vent et de l’eau à celle du charbon (quand le bois a commencé à manquer en Europe), du pétrole, de l’hydroélectrique, puis du gaz naturel, de la fission nucléaire et aujourd’hui à une échelle industrielle des renouvelables avec notamment l’éolien et le solaire. Jusqu’au xixe siècle, 95 % de l’énergie consommée par l’humanité provenait du bois. Avec la révolution industrielle, le couple charbon-vapeur a permis de fournir davantage d’énergie. Et ce n’est qu’au xxe siècle que le gaz, le pétrole et l’électricité ont permis de considérablement changer le mode de vie des pays riches qui sont entrés après 1945 dans la société de consommation et des loisirs.
Les caractéristiques de toutes ces évolutions ont été de passer à des sources d’énergie de plus en plus concentrées et de le faire parce qu’il s’agissait d’un progrès évident. Nous l’avons oublié, ces transitions énergétiques ont toujours été positives pour les hommes et même dans une certaine mesure pour la nature.
Quand nous avons cessé d’utiliser le bois et l’avons remplacé par des carburants fossiles, nous avons permis à nouveau aux forêts de grandir. Quand nous avons arrêté de brûler du bois dans nos cheminées, nous n’avons plus respiré de fumées toxiques. Il est évident aujourd’hui que ces fumées avaient considérablement réduit l’espérance de vie de nos ancêtres. Quand nous avons remplacé, pour produire de l’électricité, les carburants fossiles par de l’uranium, nous avons réduit la pollution atmosphérique et les émissions de CO2.
Nous devons continuer impérativement dans une logique de progrès. Les transitions énergétiques ne seront acceptées dans les démocraties que si elles sont comprises comme une façon de sauvegarder l’environnement, mais aussi d’améliorer les conditions de vie du plus grand nombre. La régression, la décroissance sont des voies sans issue socialement comme politiquement.
C’est pourquoi les idéologues de la peur n’apportent pas de solutions. Ils tétanisent. Ils attirent l’attention en permanence sur de nouveaux risques et détournent des vrais enjeux. Ils ont tellement effrayé les opinions et les gouvernements que ces derniers semblent aujourd’hui presque incapables de construire des stratégies réalistes de transitions énergétiques à long terme et plus encore de les expliquer et de les justifier. Transitions & Énergies entend contribuer à sortir de cette impasse.
Nous le faisons dans ce premier numéro en consacrant un grand dossier à la voiture électrique à batteries. L’adoption massive d’un tel véhicule, puissamment encouragée par les pouvoirs publics en Europe et dans le reste du monde, présente des avantages en réduisant les émissions polluantes et de CO2… et de sérieux problèmes. Ce moyen de transport ne peut pas être une solution miracle à nos problèmes de mobilité dans les villes et encore moins dans les zones dites périphériques. Il a encore aujourd’hui des limites technologiques trop pénalisantes. Il nécessite la construction d’infrastructures massives. Son attrait pour le consommateur reste relativement faible même avec des subventions importantes à l’achat. Il représente un enjeu industriel majeur pour les constructeurs automobiles, condamnés à jouer leur avenir sur un pari risqué. Enfin, la fabrication et le recyclage des batteries sont une menace pour l’environnement.
L’adoption à grande échelle du véhicule électrique à batteries n’a de sens que s’il s’agit d’un élément parmi d’autres d’une stratégie d’ensemble de transition énergétique. Une stratégie indispensable dont la mise en œuvre sera le fil conducteur de Transitions & Énergies.
manifeste
Mentions légales
Transitions et Énergies, trimestriel, est édité par la société Green Axxe Communication, au capital de 20 000€.
Siège social : 32 rue du Faubourg Poissonnière, 75010 Paris, France
Numéro de commission paritaire : 0624 T 93955
Dépôt légal à parution. ISSN : 2800-4930
Directeur de la publication : Gil Mihaely
Rédacteur en chef : Éric Leser
Direction artistique : Aymeric Ferry
Contact : contact@transitionsenergies.com
Connu / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?Rk6J1w
Ndlr : progrès, innovation, impératif du marché et de la croissance... Néolibéralisme, technologisme, sont-elles ses idéologies ? Vérifier. SINON, est dans le mythe du remplacement des énergies par le nucléaire, alors qu'elles n'ont fait que s'empiler, sauf pour la production française d'électricité... DÉNONCER ACT
&
en complément :
"
un peu de recherches sur ce site Transition Énergies (qui semble n'avoir qu'un dirigeant et pas de salariés) :
https://www.transitionsenergies.com/qui-sommes-nous/
Puis de voir leurs mentions légales :
https://www.transitionsenergies.com/mentions-legales/
Puis une petite recherche sur Green truc :
https://annuaire-entreprises.data.gouv.fr/entreprise/green-axxe-communication-851151258
Cliquer sur dirigeant, on arrive là :
https://annuaire-entreprises.data.gouv.fr/dirigeants/851151258
Cliquer encore sur dirigeant de Cantio, on arrive là :
https://annuaire-entreprises.data.gouv.fr/dirigeants/850686114
Cliquer sur les entreprises du dirigeant GIL MIHAELY et on arrive là :
Et on voit entre autres sur une de ses entreprises :
https://www.causeur.fr/a-propos
Miam-miam 😋 : on trouve Élisabeth Levy et Alain Finkelkraut... de fans de LFI et son programme....
"
🏭 L’hydrogène est un vecteur énergétique pertinent dans une logique de décarbonation et de réduction de nos émissions de gaz à effet de serre. Dans un récent rapport, l’Association négaWatt et Solagro ont étudié plus spécifiquement le rôle que pourrait jouer l’hydrogène dans l’industrie d’ici 2050 et les mesures politiques qu’il conviendrait de prendre pour enclencher une transition du secteur.
Le webinaire permettra de présenter les éléments saillants de l’étude en apportant une vision du développement possible de l’hydrogène dans le secteur industriel. Les intervenants reviendront également sur la place possible de ce vecteur dans une trajectoire globale de transition énergétique.
Webinaire coorganisé par Solagro & l’Association négaWatt.
Intervenants :
- Simon Métivier, chargé de projet Bioénergies à Solagro,
- Stéphane Signoret, membre de la Compagnie des négaWatts.
🔄 Il sera enregistré et disponible en replay.
INFORMATIONS PRATIQUES
Organisé par : Association négaWatt et Solagro
Contact : contact@negawatt.org
Lieu exact : En visioconférence, sur zoom.
Le lien d’accès vous sera envoyé par mail à la suite de votre inscription.
Réservation : Ouvert à toutes et tous, sur inscription via le lien suivant :
https://dub.sh/nW-h2-industrie
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1 min. de lecture
Un disque pour stocker l’hydrogène de manière stable et sécurisée
© Office Européen des brevets
Finaliste, dans la catégorie Recherche, du Prix de l’inventeur européen 2023, remis en juillet à Valence en Espagne, un groupe de chercheurs du CNRS a développé une méthode pour conserver de manière stable et sécurisée l’hydrogène, sous forme... de disque solide.
[...]
Connu / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?j_qjdw
... est à l'origine le nom du premier navire hydrogène autonome et zéro émissions, à la fois plaidoyer et laboratoire de la transition écologique. Devenu aujourd'hui un organisme qui réunit à la fois expéditions et innovations, Energy Observer explore et développe les solutions qui prouvent qu'un autre avenir énergétique est possible, un avenir optimiste, plus respectueux de la planète et des êtres qui y vivent.
...
Le projet Energy Observer est né en 2013 de l'engagement de Victorien Erussard, marin au long cours. Il réunit autour de lui une équipe complémentaire de skippers, marins professionnels, ingénieurs et reporters, afin de créer le premier navire autonome capable de puiser son énergie dans la nature tout en la préservant.
Développé à partir d’un catamaran de légende maintes fois récompensé, Energy Observer est un laboratoire de la transition écologique conçu pour repousser les limites des technologies zéro émissions. Hydrogène, solaire, éolien, hydrolien, toutes les solutions y sont expérimentées, testées et optimisées pour faire des énergies propres une réalité concrète et accessible à tous.
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Les scientifiques ont averti que l’hydrogène pourrait contribuer « indirectement » à l’effet de serre lorsqu’il y a fuite et ...
Connu / TG le 03/08/23 à 11:41
Clés : Made in France Energie Hydrogène Start up - 3 min. de lecture
La start-up française Hopium, dédiée à l’hydrogène, a annoncé vendredi 21 juillet l’ouverture d’une procédure de redressement judiciaire. Après une lune de miel boursière, les difficultés financières se sont accumulées au cours des derniers mois.
Réservé aux abonnés
Acculée financièrement, la start-up Hopium placée en redressement judiciaire
© Simon Chodorge
Présente sur le salon du Mondial de l'Automobile en octobre 2022, Hopium y présentait le prototype de sa berline à hydrogène, la Machina.
Ce n’était qu’une question de temps, railleront les Cassandre. Au lendemain de sa demande de suspension de cotation à la Bourse de Paris, l’entreprise Hopium a annoncé vendredi 21 juillet par communiqué l’ouverture d’une procédure de redressement judiciaire. Le tribunal de commerce de Paris a acté cette décision mercredi 19 juillet. S’ouvre désormais une période d’observation initiale de six mois (jusqu’au 19 janvier 2024), éventuellement renouvelable pour six mois de plus.
L'action ne vaut quasiment plus rien
[...]
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Texte-clef du plan climat de l'UE, la loi sur les énergies renouvelables prévoira une exemption permettant à la France de tenir compte de son hydrogène produit à partir de l'énergie nucléaire, selon le compromis des Vingt-Sept publié lundi.
Cette loi, qui impose 42,5% d'énergies renouvelables dans la consommation européenne d'ici 2030, avait fait l'objet d'un accord fin mars entre les eurodéputés et la présidence suédoise de l'UE, qui négociait au nom de États membres. Mais l'incertitude régnait dans l'attente du feu vert formel des États et du Parlement européen.
Paris subordonnait son approbation à des ajustements pour pouvoir tenir compte de son hydrogène produit à partir d'électricité nucléaire, mais se heurtait aux vives réticences de l'Allemagne et de ses autres partenaires rétifs à l'atome. La France a finalement obtenu gain de cause dans un compromis trouvé tard vendredi entre les ambassadeurs des Vingt-Sept, qui assouplit les conditions requises pour prendre en compte cette production.
...
Le secrétaire d'État allemand Sven Giegold (Verts) a pointé du doigt un accord "pas très joli, mais supportable", tandis que pour la ministre belge Tinne Van der Straeten, cet "accord global" permet de valider "des objectifs très ambitieux"
Connu / TG le 20/06/23 à 19:51
La science et les technologies se mobilisent pour contribuer à la décarbonation des activités humaines. Parmi les solutions au rayon de l’énergie, l’hydrogène a le vent en poupe. Tiendra-t-il ses promesses ?
Dans ce deuxième numéro du 3,14, nous vous proposons une sélection d’articles et d'infographies qui permettront d’éclairer les enjeux de l’hydrogène, avec un coup de projecteur particulier sur les transports, à travers la parole de chercheurs et d’experts internationaux.
Au sommaire de ce numéro :
Cadrage
L'hydrogène est à la mode, mais pourquoi ?
(Dé)Carboné ?
Est-il la solution
pour la transition énergétique ?
Carburant?
Hydrogène et transports : où en sommes-nous ?
Connu / https://mailchi.mp/polytechnique-insights/hydrogene/ connu / https://twitter.com/Poly_InsightsFR/status/1628329247625580544 / TG 4/06/23 à 9:07
dont
"’l'hydrogène ne doit pas être utilisé comme un prétexte pour cacher l’urgence de la sobriété dans les transports afin de réduire rapidement ses émissions... un argument abondamment utilisé par exemple par le secteur aérien avec l’avion à hydrogène, afin de faire diversion à la nécessaire modération de son trafic.
Sans ces précautions, l’hydrogène pourrait faire plus de mal que de bien à la transition énergétique des transports...
Aurélien Bigo"
Photo Pilotine Station de Pilotage Maritime de Sète - ©Ewan Lebourdais
H2YAM a développé un processus de conversion des moteurs qui est semblable en complexité à une intervention d'entretien classique grâce à un brevet français. Il suffit de modifier ou de remplacer un nombre limité de pièces pour le rendre compatible avec la combustion du gaz hydrogène.
Passer de combustibles fossiles à la combustion H2, le fondateur de la société H2YAM, Alexandre Marc, présente son procédé dans les Chroniques Littorales. Le moteur essence ou diesel brûle un combustible qui produit de l'énergie thermique, qui est transformée en énergie mécanique. H2 fait exactement la même chose avec le gaz hydrogène qui est aussi un combustible. H2YAM a développé un processus de conversion des moteurs qui est semblable en complexité à une intervention d'entretien classique grâce à un brevet français. Il suffit de modifier ou de remplacer un nombre limité de pièces pour le rendre compatible avec la combustion du gaz hydrogène.
Selon le mode de stockage, H2YAM s'attaque dans un premier temps aux moteurs
Mais aussi à des solutions de stockage de l’hydrogène plus facilement intégrées pour des navires. Si H2YAM a travaillé sur la conversion d’un moteur hors-bord en test, mais son premier démonstrateur est une barge conchylicole, parce que H2YAM cible les professionnels artisans en premier. Prochainement, H2YAM deviendra EcoNautik !...
Clés : Économie Entreprises – Marchés
L'équipe Jose Manuel Lamarque
678 abonnés - 45+ - 2 781 vues
Ouverture des JNI avec le colloque national IESF
Différents intervenants de renom du gouvernement et de l’industrie y apporteront leurs éclairages et témoignages.
Une sélection sera reprise le jour même par la Fédération Mondiale des Organisations d’Ingénieurs dans le cadre du World Engineering Day (WED) sous l’égide de l’UNESCO. Une occasion unique de rendre visible des ingénieurs français à l’international.
Tr. : Sponsors : SYNTEC INGÉNIERIE - itii - DGA - GIM 'LA FABRIQUE DE L'AVENIR' - GIFAS
Accueil par Marc Rumeau, président de l'IESF
débute par le nucléaire de retour
- avec l'intervention de Joël Barre, délégué interministériel au Nouveau nucléaire (DINN)
- suivie de Valérie Faudon, déléguée générale de la SFEN à 8:16 avec 4 grands programmes :
. le parc actuel - adaptation, renouvellement
. construire des EPR2 (Loi de programmation énergie climat en 2035) (les avant-projets détaillés débutent ?)
. SMR REP plus petits, modulaires, produire électricité, chaleur, hydrogène
. AAP sels fondus, sodium, etc, le nouveau nucléaire - suivie de Bernard Accoyer, président de PNC-France (Patrimoine Nucléaire et Climat), ancien pdt de l'assemblée nationale
(éoliennes un jour sur 5 !...se réindustrialiser)
HYDROGÈNE - Peter Crispeels, PartnerMcKinsey, responsable du segment H2 et décarbonation. à 25:10 (... la France, être leader du monde avec la transition écologique)
- Matthieu Jehl, CEO d'Arcelor Mittal France
ÉLECTROLYSEURS - Florence Lambert, CEO de Mega Factory GENVIA, attelage unique public-privé.Technologie d'électrolyse à haute température.Aussi pdte de la commission industrielle du syndicat des énergies renouvelables
- Emmanuelle Taffarel, directrice Développement - Transition énergétique chez AIR PRODUCTS
- Erwan Bruneau, responsable Produit H2fM Europe (AIR PRODUCT)
- Docteur Christophe Poinssot, Directeur général Délégué du BRGM
- Aurélien, en cabinet de conseil (où ?)
- Mme Tamara, coordinatrice environnement dans une entreprise qui travaille dans l'énergie (pétrole et gaz), ambassadrice de la fresque du climat et de la fresque de la biodiversité?
- Philippe Dépincé, président de la commission formation et société à la CDEFI : éviter, réduire, compenser ; via ANIMA et la fresque du climat (avec jmj ! et the shift project ), accompagnement
- Laurent Champaney, président de la conférence des grandes écoles CGE, directeur général des Arts et Métiers ;
- Roland Lescure, ministre délégué, chargé de l'industrie,conclue: l'industrie, c'est 20% du problème, mais 100% des solutions. ... marché, innovation ... révolution industrielle ...
21 commentaires
- POINT ROUGE il y a 5 heures 👏🚀
- Peste Mojo il y a 3 semaines Pour les Ingénieur de IESF
Ressources, approche systémique avec Olivier Vidal (ClimatSup INSA) https://youtu.be/x4GDszYsKVA
Ruée minière au XXIè siècle : jusqu'où les limites seront-elles repoussées ? - Aurore Stephant à USI https://youtu.be/i8RMX8ODWQs
Bon courage les gas . - joseph jo il y a 1 mois Médecin de la planète ?! Carrément ? Quelle belle propagande !
L'humain n'a pas a être un médecin de la planète qui l'a lui-même ruiné ! Mais rentrer dans les limites!! Et les limites sont à l'opposé de ce que vous proposez la! Stupéfiant !
1 - joseph jo il y a 1 mois Votre jeune ingénieur ?! C'est un vrai militant écolo ?! Fait-il partie, au moins, du shift project ? A minima.
- joseph jo il y a 1 mois J'imagine que la plupart d'entre vous n'écoutent pas Aurore Stephant et bien d'autres ! Comme Adrien couzinier par exemple. Vous voulez comprendre ce que veut dire vis techno solutionnisme en matière d'industrie minière ?! Bah voilà des gens à lire et écouter ! Ou Emmanuel hache. Olivier Vidal. Gaël Giraud aussi en parle bien!
1 - joseph jo il y a 1 mois 1h07! Vous nous demandez de retourner à la mine! Fallait oser cette formule ! Qui est dans la mine?! Les français ? Non!
- joseph jo il y a 1 mois Le problème du recrutement ! Bah oui! Les jeunes voient ce qui arrive avec le changement climatique (ce qui n'a pas l'air de vous inquiéter au vu de votre plan...).
Et non! La France n'est pas et ne sera pas souveraine. De moins en moins justement a cause du changement climatique. Vous devez quand même savoir que l'Europe de l'ouest est l'une des pires zones géographiques face au changement climatique ?!?!
Rassurez nous!! Regardez les cartes sur les projections ! Du giec notamment !!
Ce n'est pas possible de ne pas voir tout cela!! Vous faites tout à l'envers. Pour votre foutu pib!! Pour votre foutu classement ! Nos enfants vont vous maudire ! - joseph jo il y a 1 mois N'oubliez pas de préciser encore et toujours que le gaz naturel est surtout une source fossile!! A faire totalement disparaitre très très rapidement !!
1 - joseph jo il y a 1 mois Comment foutre du nucléaire absolument partout...
- joseph jo il y a 1 mois Les majors des hydrocarbures vous remercient pour les smr ! Colle l'éolien et le solaire ! Demandez à pouyanné ! Ils se frottent tous les mains et vous aussi.
Toujours plus de moyens pour extraire toujours d'hydrocarbures ! Ça serait bien de mettre tout cela en avant messieurs dames !!
1 - joseph jo il y a 1 mois Prévisions à 2050... Nous seront déjà proche des +3°...bye bye l'hydroélectricité en France. Et tout ce que cela implique. Les prévisions vous disent aussi plus de glaces des les Pyrénées dici une vingtaine d'années. Et beaucoup beaucoup moins dans les Alpes d'ici la fin du siècle. Vous allez faire la danse de la pluie?! Non. Sûrement l'industrie dégueulasse, Catastrophique de désalement d'eau de mer.
- justinvideoman il y a 1 mois merci petit commentaire, ça aurait été bien de chapitrer la vidéo par intervenant
- Charles DURAND il y a 1 mois Eh, ben ! J'ai entendu quelques propos pleins de bon sens comme la reprise du nucléaire civil mais aussi beaucoup de conneries en ce qui concerne le CO2. Des études récentes démontrent que l'activité humaine et par conséquent les émissions de gaz carbonique ne sont absolument pas responsables de l'évolution du climat qui a toujours changé à toutes les époques. Quand j'étais jeune adolescent, on accusait les explosions nucléaires du changement climatique. Vivant sur la Côte d'Azur, on accusait aussi la construction de l'autoroute A8 qui était censé avoir changé le régime des vents. Maintenant, on accuse le CO2 et toute cette brochette de prétendues experts ne se posent bien sûr la question de savoir si l'hypothèse de base est la bonne et, surtout, si cette hypothèse tient la route. Tous ces "experts" que j'ai vu défiler dans cette vidéo ne se posent aucune question sur les petits malins qui sont derrière la diabolisation du CO2, sur ceux qui nous vendent les crédits carbone, sur ceux qui vivent des transactions basées sur le carbone, sur les banques qui ne font plus de bénéfices dans les industries traditionnelles, sur la racaille qui vit de subventions indirectes provenant des poches des contribuables et des simples utilisateurs d'électricité ou de carburants fossiles. Bref, tout ce beau monde obéit sans avoir le bon sens de réflechir ! Quelle déception !
- Jacques Puyuelo il y a 1 mois
La transition énergétique est une tache complexe mais la maîtrise de la complexité c'est le travail des bons ingénieurs. Évitons les fausses bonnes idées comme l ' utilisation de l ' hydrogène qui reste un gaz explosif et requiert beaucoup d'énergie pour être produit et stocké. Logiquement la solution technique viendra de la very high tech et pas de la low tech. Comme le dit M Jancovici, il faut que notre société ,essentiellement contrôlée par des polytechniciens ,énarques, énaciens et autres puisse concrétiser les bons projets. Qu 'est ce qui freine la transition ?- l' ignorance en sciences dures des décideurs (math, physique quantique, chimie quantique, biologie, génie des matériaux, génie génétique etc..)
- les fonctionnaires de catégorie D qui bloquent les projets innovants et découragent les inventeurs avec de la paperasserie inutile (ADEME)
- le cercle vicieux entre l 'administration et les politiques dirigeants (gouvernement-conseil d'Etat-ADEME)doit être rompu !
M Macron taxé par le conseil d' État pour lenteur sur la transition verse une compensation à une association comprenant l ' ADEME qui elle même a bloqué les projets innovants. - la corruption au niveau de l 'U.E. qui ne finance aucun projet pertinent sur la transition énergétique pour une politique spatiale sérieuse.
Seul M. Breton propose de subventionner la politique spatiale et tente de développer l ' ordinateur quantique. Que proposer pour relancer la transition ? IL faut une méthodologie pour répartir équitablement le travail entre les inventeurs ,les industriels de la fabrication additive et ceux qui transportent et produisent les matières premières. Toute les étapes doivent être contrôlées par un Préfet de Région et garantir une qualité et une fiabilité élevées.
Il faut produire des solutions de propulsion électrique puissantes,fiables et respectueuses de l ' environnement: la S.M.E.S quantique est la véritable solution qui finira par s'imposer ....
https://www.linkedin.com/pulse/il-faut-construire-des-smes-quantiques-jacques-puyuelo?originalSubdomain=fr
1
- Association des ESME Alumni il y a 1 mois Bravo pour ces interventions passionnantes
3 - Rene LAROCHE il y a 1 mois Excellent, toutes mes felicitations, présentations tres riches et variées permettant de couvrir le maximum de sujet.
3
Ndlr :
- les acteurs composant le "bras armé" du plan Macron sur le nucléaire... Des informations utiles tout de même comme le fait que les avants-projets détaillés pour EPR2 seraient commencés
- bien que pas toujours pertinente, un peu de contradiction dans les commentaires fait du bien... J'ajoute que pas un mot sur le vivant, le biomimétisme, l'harmonie avec la nature, le questionnement sur nos besoins humains et de la société, ingéniérie sinon RIEN!
- Commentaire convaiquant concernant "S.M.E.S quantique" : il y a un début de fiche wikipédia avec une partie non vérifiée, donc prudence https://fr.wikipedia.org/wiki/SMES approfondir ACT
Au 6/10/24 : Évaluation de l’article « SMES »Avancement Bon début Importance Faible pour le projet Énergie
La principale source vient de Mr Jacques Puyuelo : vidéo non crédible, son profin linkedin peu convanquant :-(
Son hypothèse que la VERY HIGHTECH sera plus convaincante que la LOWTECH reste à vérifier... ACT
Que penser de son appel du pied à l'industrie aéronautique fr ? https://fr.linkedin.com/pulse/comment-garder-la-nature-intacte-en-ne-d%C3%A9passant-pas-15-puyuelo?trk=article-ssr-frontend-pulse_more-articles_related-content-card
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Pierre MACCIONI, INSA Rennes Génie Physique 1987 et Docteur en Physique des matériaux (1990), expert en développement stratégique des énergies décarbonées nous parle de l'Hydrogène et de toutes ses applications prometteuses.
Tr.: ...
3 filière H2 : industrie, Energie, Mobilité
Production par Vaporeformage, électrolyse, Thermolyse
Stockage : gaz, liquide cryogénique & organique, solide Hydrures métalliques
Transport & distribution : pipeline, traillers & cadres, conteneurs
Conversion : combustion, pile à combustible, méthanation, injection
Usages & applications : Power to X (P2X) avec X= Molécule, Power, Gas, Fuel
...
Vecteur énergétique capable de valoriser les surplus d'énergie (lissage) et leurs intermittences (stockage).
Terminer >26:17
Nucléaire Rubriques Territoire de Belfort Start up EDF
Fondé à l’automne 2022, Neext Engineering ambitionne de décarboner l’industrie en se positionnant sur les petits réacteurs nucléaires modulaires, les fameux SMR. L'entreprise s'associe avec Westinghouse, General Electric et le CNRS pour mener à bien son projet Sparta et le soumettre à l’appel à projets France 2030 sur les réacteurs nucléaires innovants.
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Photo © EDF/Philippe Eranian
La solution de Neext Engineering permettra aux réacteurs de produire, en plus de l'électricité, de l'hydrogène ou de l'énergie à partir d'autres combustibles.
Après avoir affiché en septembre 2022 son ambition de «proposer de nouveaux designs disruptifs de SMR de quatrième génération», la jeune pousse Neext Engineering passe à l'action. Cette start-up, née de l’association de plusieurs experts de l’énergie du Territoire de Belfort, a annoncé mardi 14 mars qu'elle s’associait à Westinghouse Electric Company, General Electric et au laboratoire réactions et génie des procédés du CNRS pour mener à bien son projet Sparta, dont l’objectif est de contribuer à la décarbonation de l’industrie. Concrètement, il s’agit pour la société et ses nouveaux partenaires de proposer «une solution énergétique intégrée disruptive construite autour d’un petit réacteur modulaire basé sur une technologie nucléaire polyvalente et durable Cette solution sera soumise à l’appel à projets France 2030 sur les réacteurs nucléaires innovants.
Dans le détail, le quatuor indique que leur proposition permettra aux SMR de produire, en plus de l'électricité, de l’hydrogène ou de l'énergie à partir d'autres combustibles tels que l’ammoniac, et de dessaler l'eau pour les «réseaux décentralisés» et les «grands clients industriels». Les quatre entreprises expliquent que la technologie de réacteurs à neutrons rapides refroidis au plomb de quatrième génération, autour de laquelle ils travailleront, offre des capacités nouvelles et améliorées.
Le numérique pour configurer la centrale à la demande
En 2021, Nicolas Thiollière, spécialiste de la modélisation de réacteurs et de parcs nucléaires, et enseignant-chercheur à l’IMT Atlantique et au laboratoire Subatech, listait auprès de L’Usine Nouvelle les avantages de cette génération de réacteurs nucléaires. Selon lui, ils améliorent «la durabilité pour économiser les ressources naturelles et minimiser les déchets, la compétitivité économique, la sûreté et la non-prolifération». Mais entre les contraintes techniques et les difficultés réglementaires, cette nouvelle génération ne devrait être déployée à l’échelle industrielle que bien après 2050, jugeait le même expert…
La technologie de réacteur à neutrons rapides vise à réutiliser et à valoriser dans les réacteurs les combustibles usés radioactifs (dont le plutonium et l’uranium appauvris) que produisent les centrales classiques. Un moyen de limiter le volume de déchets radioactifs. Neext Engineering justifie l’emploi du plomb liquide pour refroidir les réacteurs autour desquels elle innovera. Grâce à son point d’ébullition très élevé et sa haute conductivité thermique, ce métal offrirait une évacuation plus efficace de la chaleur produite par le cœur du réacteur. De plus, le plomb représente une barrière naturelle contre les radiations.
Aux côtés de Westinghouse Electric Company, spécialisé dans la production des réacteurs à neutrons rapides refroidis au plomb, de la branche nucléaire de General Electric, en passe d’être rachetée par EDF, et du CNRS, Neext Engineering compte également développer des outils numériques innovants permettant de «configurer la centrale à la demande, rationaliser la préfabrication, optimiser la livraison et enfin faire fonctionner le système». Objectif ultime, selon Jean Maillard, président et cofondateur de la start-up: «Mieux répondre aux besoins nouveaux et émergents de l'industrie et des sociétés».
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Structural basis for bacterial energy extraction from atmospheric hydrogen
Abstract
Diverse aerobic bacteria use atmospheric H2 as an energy source for growth and survival1. This globally significant process regulates the composition of the atmosphere, enhances soil biodiversity and drives primary production in extreme environments2,3. Atmospheric H2 oxidation is attributed to uncharacterized members of the [NiFe] hydrogenase superfamily4,5. However, it remains unresolved how these enzymes overcome the extraordinary catalytic challenge of oxidizing picomolar levels of H2 amid ambient levels of the catalytic poison O2 and how the derived electrons are transferred to the respiratory chain1. Here we determined the cryo-electron microscopy structure of the Mycobacterium smegmatis hydrogenase Huc and investigated its mechanism. Huc is a highly efficient oxygen-insensitive enzyme that couples oxidation of atmospheric H2 to the hydrogenation of the respiratory electron carrier menaquinone. Huc uses narrow hydrophobic gas channels to selectively bind atmospheric H2 at the expense of O2, and 3 [3Fe–4S] clusters modulate the properties of the enzyme so that atmospheric H2 oxidation is energetically feasible. The Huc catalytic subunits form an octameric 833 kDa complex around a membrane-associated stalk, which transports and reduces menaquinone 94 Å from the membrane. These findings provide a mechanistic basis for the biogeochemically and ecologically important process of atmospheric H2 oxidation, uncover a mode of energy coupling dependent on long-range quinone transport, and pave the way for the development of catalysts that oxidize H2 in ambient air.
Connu / TG le 13/03/23 à 11:35
"
LA REVOLUTION ECOLO-ENERGETIQUE EST EN MARCHE.
Le risque principal est la monétisation de l'air. On a déjà prévenu depuis longtemps.
En tout cas, ça justifie l'arrêt du nucléaire puisqu'une technologie lui est supérieure en terme d'indépendance de production locale. Reste le problème des brevets, qui évidemment va nous le mettre de toutes façon bien profond.
la conversion de l'hydrogene par l bactérie est une réction-doxydo-réduction donc d'un échange d'életrons donc de profustion d'élicricité
production
d'autre part, tu peu produire n'importe où et consommer sur place en héorie
"
Ndlr : En clair, les bactéries génèrent des électrons, donc un courant électrique, par une réaction d'oxydo-réduction de l'hydrogène en aérobie, c'est-à-dire n'importe où en présence d'air ? Vérifier ACT
Recherche fondamentale ou appliquée ? Si oui, applications effectives à quelle échéance ? Et quel rendement ? Questionner ACT
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Schedule
10:00 a.m. Welcoming Remarks
10:05 a.m. Trends in Technologies for the Hydrogen Economy
10:30 a.m. Q&A/Break
10:45 a.m. Green Hydrogen Systems: Accelerating the Global Energy Transition with Green Hydrogen
11:05 a.m. Q&A/Break
11:15 a.m. Water Electrolyzers for Hydrogen Production
11:45 a.m. Q&A
12:00 p.m. Tech Lunch
1:10 p.m. Welcome Back: Some Useful Resources
1:15 p.m. Hydrogen Fuel Cells for Stationary and Automotive Applications
1:45 p.m. Q&A/Break
2:00 p.m. Simulating Electrochemical–Mechanical Interactions to Predict Hydrogen Uptake Within Metals
2:20 p.m. Q&A/Break
2:30 p.m. Reaction Engineering in Hydrogen Technologies
3:00 p.m. Q&A/Break
3:15 p.m. Keynote Speaker
3:35 p.m. Q&A/Break
3:45 p.m. CFD and Multiphase Flow in Fuel Cells and Electrolyzers
4:15 p.m. Q&A/Break
4:30 p.m. Concluding Remarks
COMSOL Speakers
- Jean-Marc Petit, Business Development Manager
- Eric Favre, Managing Director, France
- Loic Renversade, Applications Engineer
- Sebastien Kawka, Applications Manager
- Caroline Dubois, Applications Engineer
- Lina Norberg Samuelsson, Developer
- Rustam Shekhar, Applications Engineer II
Traduction : modèles haute fidélité de piles à combustible et d'électrolyseurs, et tiennent compte du transport de matériaux, du transport de charge, du transfert de chaleur, de l'écoulement multiphasique et des réactions électrochimiques
Ndlr : questionné à https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?DILfrQ
Pablo Gallegos 🇮🇪 @PabloGallegos1 · 11 mai
En réponse à @86Greenpeace
Et si l'hydrogène naturel était le "game changer" de la transition énergétique ?
Alors que l''hydrogène décarboné peut être produit grâce à des électrolyseurs, il peut l'être aussi par... la terre, dans le sous-sol, comme le démontrent de nombreux travaux scientifiques. Cet..
0 - 0 - 1
Ndlr : vérifier ACT
Comme d’autres constructeurs (Mercedes, BMW, Volvo), le géant allemand va intégrer de l’acier bas carbone pour réduire l’empreinte CO2 de ses voitures. Et c’est prévu pour fin 2025.
...
annoncé du bout des lèvres ... grâce à l’hydrogène et aux énergies renouvelables. Le constructeur allemand a décidé de se tourner vers son compatriote, Salzgitter, qui prévoit de lancer une ligne de production en ce sens d’ici trois ans. Le producteur d’acier, qui veut réduire ses émissions de CO2 de plus de 95 % d’ici 2033, va installer des électrolyseurs et des fours électriques.
Pour l’anecdote, cet acier « vert » va servir notamment au véhicule du projet Trinity. Il s’agit d’une berline électrique de 700 km d’autonomie censée détrôner les Tesla. « L’utilisation d’acier à faible teneur en CO2 représente ici une étape importante, tout comme le recyclage des résidus d’acier », se justifie Volkswagen, qui utilise le moins possible le mot « hydrogène ». Lol !