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Il a réalisé une étude prémonitoire au sein de “mondes qui se parlent encore trop peu” (défense, agriculture, sécurité, alimentation, risques, société civile, collectivités locales, monde associatif, consommateurs).
Il a analysé un impensé, formulé des pistes de réponses à la question relative au « plus vieux sujet du monde » qui est le lien essentiel, mais désormais oublié, entre l’alimentation et la sécurité.Il s’attache en particulier à articuler, depuis plusieurs années, les thèmes des ressources, du continuum sécurité-défense, de la gouvernance et des adaptations, sous le prisme des priorités d’engagement et de la saturation des infrastructures de sécurités.
Il a ainsi publié en juin 2019 un livre-enquête issu d’un mémoire de recherche de Mastère spécialisé en gestion des risques sur les territoires, intitulé « Résilience alimentaire et sécurité nationale » https://www.thebookedition.com/fr/resilience-alimentaire-et-securite-nationale-p-367243.html, lauréat du prix « Information préventive et résilience des territoires » au Forum national sur les Risques Majeurs et a directement inspiré au Sénat.
Concepteur de la première formation de Mastères Spécialisés de France « Risques d’effondrements et adaptations », inspirateur et consultant sur l’intégration du risque de rupture d’approvisionnement alimentaire dans les Plans Communaux de Sauvegarde, il pointe la nécessité de préparer les populations et d’enrichir et d’élargir la Loi de Modernisation de la Sécurité Civile, afin de contribuer à ce que tous les acteurs, citoyens et consommateurs compris, soient co-producteurs de sécurité collective. Il considère que la double contrainte carbone (climat et énergie) nécessite une préparation active des populations et les sensibilise, à partir de la nourriture, aux grands défis de l’Anthropocène.
Exploitation
L’unité n°2 de la centrale de Civaux a été mise à l’arrêt vendredi 19 novembre 2021 afin de réaliser des contrôles sur des tronçons de tuyauterie du système d’injection de sécurité (RIS), à sa jonction avec le circuit primaire. Ce système contribue notamment à assurer le refroidissement du réacteur en cas d’accident avec perte d’eau du circuit primaire.
Cet arrêt programmé, qui durera plusieurs semaines, permettra de réaliser à titre préventif des contrôles par ultrasons sur certaines tuyauteries.
Il a pour origine la détection d’"indications [anomalies détectées lors d’examens par procédés ultrasons ou radiographiques, qui requièrent de plus amples investigations afin de les caractériser] de l’ordre du dixième de millimètre à l’intérieur des mêmes tronçons de tuyauteries de l’unité n°1 lors des contrôles réalisés ces dernières semaines dans le cadre de sa visite décennale.
Les études et analyses techniques excluent tout risque de rupture de tuyauteries en fonctionnement normal et ne mettent pas en cause la capacité de l’unité de production à fonctionner en toute sûreté.
Pour autant, en tant qu’industriel responsable et par mesure de précaution, EDF a pris la décision de réaliser préventivement sur l’unité n°2 les mêmes contrôles que sur l’unité n°1, sans attendre son arrêt de maintenance programmé à l’été 2022 (visite décennale).
Ces contrôles seront réalisés en étroite collaboration avec l’Autorité de sûreté nucléaire.
Sur les centrales nucléaires, le programme de maintenance préventive prévoit à chaque visite décennale des contrôles sur un certain nombre d’éléments du circuit primaire principal, qui se composent notamment d’examens systématiques sur les tuyauteries ainsi que sur leurs soudures de connexion.
Ces contrôles, réalisés en préalable de l’épreuve hydraulique du circuit primaire, ont pour objectif d’évaluer l’état des zones identifiées dans le cadre des études de conception comme potentiellement affectées par des sollicitations thermiques dues à l’exploitation normale de l’installation, en vérifiant notamment l’absence de d’amorce de défaut.
Sur l’unité de production n°1, les contrôles réalisés par ultrasons sur le circuit primaire dans le cadre de la visite décennale en cours ont mis en évidence des "indications" (de l’ordre du dixième de millimètre) représentatives d’amorces de défauts ou d’artefacts.
Ceux-ci sont localisés sur les soudures des quatre coudes du système d’injection de sécurité (circuit RIS), à sa jonction (quadruple, pour quatre boucles distinctes) avec le circuit primaire.
Connu / https://twitter.com/86Greenpeace/status/1462174189947961353
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Greenpeace Poitiers @86Greenpeace La Vienne sort du nucléaire !
Le retour à la bougie est programmé au minimum jusqu'à la fin de l'année.
#Viennne #Civaux #ÉnergieNucléaire #ÉnergieIntermittente #Pannes #Maintenance
Explications ...
10:41 PM · 20 nov. 2021·- 2 Retweets 1 J'aime
La visite décennale de la tranche 1 dure 6 mois environ : normal pour une énergie intermittente qui marche sans vent, jour et nuit. Les tuyaux du primaire de la tranche 2 doivent être vérifiés: ...
... plus de nuage de vapeur au-dessus des tours de la Centrale jusqu'à la fin de l'année.
ET
Au passage la beauté d'une centrale nucléaire dans le paysage par rapport à des éoliennes...
#Civaux #CentraleNucléaireDeCivaux #Vienne #ÉnergieIntermittente #ÉnergieNucléaire #Nucléaire
... normal, ils sont en exclusion de rupture, donc, ne pas faire d'impasse et reprendre les soudures si nécessaire. Mais on n'a pas encore de détails sur les faiblesses éventuelles.
Bilan : Civaux à l'arrêt total pour 6 semaines au moins. ...
... Le CNPE nous informe que le réacteur 2 va être mis en arrêt en fin de semaine pour un contrôle préventif sur certains tronçons de la tuyauterie du circuit PRIMAIRE. Cet arrêt durera au moins jusqu'à la fin de l'année. ...
... Comme le réacteur 1 est à l'arrêt pour visite décennale et qu'il ne sera reconnecté vraisemblablement qu'au début du mois de mars prochain, le CNPE ne fournira plus d'énergie électrique au moins jusqu'à la fin de l'année.
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Marie Green @greenmama64 · 2h Visage souriant avec des yeux rieurs
Nicolas Ladonne @NLadonne · 2h ...
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52 minutes
retour sur une pratique multimillénaire, codifié par Patanjali deux siècles avant notre ère qui rassemble des centaines de millions d’adeptes à travers le monde. Yoga, Tai-chi, qi gong... du hata yoga au Bikram. Le yoga, un moyen de faire circuler la vie en nous
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avec :
- Sébastien Bohler : Rédacteur en chef de Cerveau&Psycho. Magazine de juillet-août 2021 : « YOGA tai-chi, qi gong… Comment ces pratiques renforcent notre cerveau »
- Lionel Coudron : Médecin, directeur de l'Institut de YogaThérapie et professeur de yoga. Livres : « Yoga-thérapie : traiter les troubles respiratoires », éditions Odile Jacob « Yoga-thérapie : soigner la dépression », éditions Odile Jacob « Yoga-thérapie : soigner les chocs émotionnels et les peurs », éditions Odile Jacob
- Florent Dulong : Infirmier psychiatrique. Il anime des groupes de méditation à l’hôpital Sainte-Anne à Paris.
- La chronique choses vues de Christophe André.
- Marie-Laure Zonszain de Femme Actuelle
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-> http://rf.proxycast.org/89c5e0e0-9fd6-4984-b6c3-2f411e20f397/16173-29.06.2021-ITEMA_22714757-2021F26104S0180.
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écouter / capter les détails ACT
Connue / https://framasphere.org/posts/11900034
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Emmanuel Florac - il y a environ 11 heures #politique #environnement #climat 1 J'aime
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Partie 2 à https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju/?SVHI1A
A la fameuse qualité de vie au travail, Yves Clot, professeur émérite au Conservatoire national des arts et métiers (Cnam) préfère… la qualité du travail. Son dernier ouvrage, Le prix du travail bien fait (La Découverte, 2021), devrait inspirer les préventeurs dans la lutte contre les risques psychosociaux.
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On se base sur une clinique, qui est notre marque de fabrique depuis longtemps, selon laquelle la performance réelle n’est pas vouée à détruire la santé. La performance n’est pas seulement le chiffre comptable mais aussi bien l’efficacité du geste, la qualité du produit ou la possibilité individuelle et collective de se reconnaître dans ce qu’on fait.
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trois expérimentations que nous avons conduites dans un établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes, un Ehpad, en Normandie, à l’usine automobile Renault de Flins et avec les éboueurs de la ville de Lille.
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mes coauteurs Jean-Yves Bonnefond, Antoine Bonnemain et Mylène Zittoun
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l’intelligence collective ... Le collectif inter-hôpitaux a questionné le pouvoir de décision sur l’organisation des soins. Les soignants ont pu prendre des libertés avec leurs habitudes de travail, ils ont relevé la tête : développer son pouvoir d’agir procure un vrai plaisir éthique.
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Quand, dans le cadre de la méthode dialogique que nous utilisons, on demande à chacun d’évaluer les critères de qualité de son propre travail, au sein du collectif ou avec la hiérarchie, ceux-ci deviennent discutables par les autres (voir l’encadré). Le destin de ce conflit n’est pas écrit, et on n’a aucune certitude de trouver une solution en bout de course.
Le prix à payer, c’est donc d’abord la remise en cause de ses propres manières de faire. C’est ainsi qu’un collectif peut acquérir le crédit nécessaire pour faire autorité auprès des directions. La reconquête du pouvoir d’agir sur les choses fait reculer le pouvoir sur autrui dont abusent trop de directions. Sans cela, il n’y a pas de vraie transformation du travail.
Le terme de conflit effraie en entreprise. Pourquoi est-il selon vous essentiel ?
Y. C. : S’il y a trop de conflits « effrayants », c’est qu’il n’y a pas assez de conflits de critères autour du travail bien fait. Lorsque ces derniers sont refoulés, ils empoisonnent les rapports entre directions, encadrement, salariés, clients ou usagers.
Notre clinique permet justement d’organiser le dialogue sur ces conflits de critères. Il conduit à des arbitrages, qui sont le produit de cette confrontation. Arbitrages qui, soumis à l’épreuve de l’expérience, sont réversibles s’ils ne font pas leurs preuves sur le terrain. C’est cette coopération conflictuelle sur le travail bien fait que nous défendons, plus propice à l’action collective, loin des compromis factices du « dialogue social ».
Vous dressez un inventaire critique de tout ce qui se fait depuis des années sur les risques psychosociaux. Pourquoi rien ne marche-t-il réellement ?
...
Notre intervention consiste à « casser » cette division dans l’activité de direction. Nous mettons plutôt sur la table la manière d’organiser la performance. Trop souvent, les acteurs de prévention acceptent que les directions opérationnelles conservent le privilège de définir l’efficacité, plaçant donc cette question hors d’atteinte dans la discussion. Mais si on n’institue pas le conflit de critères au cœur des décisions qui engagent le travail concret, on ne fait que du palliatif.
Votre méthode mise beaucoup sur les « référents métiers », ces salariés élus pour représenter leurs pairs dans les échanges avec le management. Pourquoi ?
Y. C. : Quand le collectif a fait ses preuves dans l’examen des situations, son analyse – qui force souvent le respect mais peut aussi appeler l’objection – mérite d’être rediscutée avec les dirigeants. L’expérience nous a appris que cette discussion est possible « en direct » avec des interlocuteurs désignés dans les collectifs. Ces « référents métiers » instruisent les dossiers du travail réel. Ils doivent apprendre, et les hiérarchies aussi, à tenir le choc du dialogue, un peu comme les intervenants que nous sommes. Notre livre explique comment cette fonction de référent a vu le jour dans l’action, jusqu’à l’élection par les pairs pour assurer leur légitimité.
Les référents ne font-ils pas concurrence aux élus du personnel ?
Y. C. : Il ne s’agit pas de créer un canal bis de représentation des salariés. Il y a un risque mais les référents représentent le travail. L’originalité des expérimentations conduites est qu’elles se font en présence des organisations syndicales ; ces dernières jouent un rôle de tiers entre le management et les référents pour éviter le face-à-face. C’est un préalable pour nous.
...
Votre ouvrage se termine sur une vision plus politique, celle d’une écologie du travail ... nous cherchons à faire du travail quelque chose de civilisateur.
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Les auteurs du livre se sont d’abord immergés dans le quotidien ... l’« auto-confrontation simple » ... l’« auto-confrontation croisée » ... « débats d’écoles » ... l’aptitude des salariés à changer de point de vue dans le dialogue. Montrées aux dirigeants, elles poussent ces derniers à manifester une capacité réciproque de changement. En tout cas, une prise de conscience s’opère : les travailleurs faisant preuve de créativité, le sommet de l’organisation doit attester de la même capacité d’initiative. Voilà qui ouvre la voie aux transformations possibles. Sentinelles de la qualité du travail, les référents métiers, élus par leurs pairs, listent les problèmes, instruisent les solutions collectives et les valident auprès de leurs collègues.
Une synergie d'expertises
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Clés : Coronavirus ; Écologie ; Santé
La Covid19 annonce une ère de pandémies. Certains scientifiques parlent même d'épidémie de pandémies, conséquence de l'effondrement de la biodiversité. Marie-Monique Robin, auteure de La Fabrique des pandémies nous explique sur le plateau du Média.
Depuis le début du siècle, de nombreux scientifiques sur les cinq continents alertent. Nous sommes entrés dans l'ère des pandémies. Une époque durant laquelle la destruction de la biodiversité entraîne l'émergence de nouveaux virus. C'est le début d'une "épidémie de pandémies" selon Serge Morand, chercheur au CNRS et au CIRAD. La Covid19 en est l'un des résultats. La déforestation, l'urbanisation, l'agriculture industrielle et la mondialisation économique entraîne l'espèce humaine dans une catastrophe écologique, sociale et sanitaire. Des maladies, transmises par des animaux aux humains (Ebola, VIH, H1N1, Zika, Covid19...) se multiplient depuis le XXème siècle, et en particulier ces cinquante dernières années.
Pour comprendre cette pandémie, il faut placer l'écologie au centre. Pourtant, l'origine écologique de la zoonose est peu racontée, ce qui pointe la responsabilité du système et des politiques, incapables de prévenir les prochaines pandémies, inévitables. 1,7 millions de virus inconnus menacent l'humanité, estiment les scientifiques de la Plateforme Intergouvernementale Scientifique et Politique sur la Biodiversité et les Services écosystémiques (IPBES), l'équivalent du GIEC pour la biodiversité. Même la pandémie de Covid19 était attendue. L'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) se préparait à la prochaine pandémie, la dénommée "Maladie X" pouvant causer un "danger international". 2020 et le coronavirus auront signé l'échec et l'insuffisance des politiques de prévention écologique et sanitaire. Dès le 28 janvier 2020, un article du New-York Times (We made the coronavirus epidemic) conclut "qu'après ces événements, il faudra se rappeler que le Covid19 résulte des choix que nous les humains faisons".
Pour permettre une compréhension globale des mécanismes scientifiques qui expliquent ces phénomènes, la journaliste Marie-Monique Robin a interviewé plus de soixante chercheurs. Avec son livre, La Fabrique des pandémies, préserver la biodiversité, un impératif pour la santé planétaire, préfacé par l'écologue de la santé Serge Morand, l'auteure cherche à "dissiper le grand aveuglement collectif qui empêchait d'agir". Sur le plateau du Média, elle revient longuement sur l'importance de préserver la biodiversité afin de préserver la santé humaine et la planète.
mission d’information commune sur la réglementation et l’impact des différents usages du cannabis lance le 13 janvier 2021 (Fin le 28/2/21) ... composée de 33 députés, créée en janvier 2020, est présidée par Robin Reda et Jean-Baptiste Moreau. Après avoir consacré ses travaux sur le cannabis thérapeutique, elle a entamé un cycle d’auditions sur le cannabis « récréatif » – entendu comme l’ensemble des usages actuellement illégaux du cannabis en France. Ces travaux sont conduits par la rapporteure thématique, Caroline Janvier.
...
dresser le bilan des politiques publiques menées en matière de prévention et de répression des trafics et usages du cannabis, de proposer un panorama des expériences étrangères de légalisation ou de dépénalisation, et de contribuer à une réflexion sur l’éventuelle évolution du cadre réglementaire français relatif à cette substance.
... ne peut être envisagée sans une écoute attentive des attentes des citoyens. A l’instar de certaines municipalités, comme Villeurbanne, la mission a donc souhaité proposer une consultation citoyenne destinée à mieux comprendre la perception du cannabis qui est aujourd’hui celle des Français et leur vision de l’avenir des politiques publiques en la matière.
Les résultats de cette consultation permettront ainsi d’éclairer la mission d’information et seront pris en compte pour déterminer les propositions qu’elle portera dans le cadre de son rapport.
Connu / https://twitter.com/Ugobernalicis/status/1364223214562381829
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Tweet de Députés France Insoumise Ugo Bernalicis φ @Ugobernalicis · 23 févr. Trèfle
Plus que 5 jours pour donner votre avis et orienter le législateur sur le sujet.
NB : la consultation manque de témoignages féminins pour être représentative, partagez-là !
Image - 40 - 336 - 351
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Tr.: ... randy Marsh ...
Dépliant 11/2020
Accès au texte intégral du document (PDF 564,22 Ko)
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Ce dépliant présente les pictogrammes mis en place par la réglementation CLP. Il présente chaque pictogramme et sa signification de manière synthétique. À l'aide de ce document, les pictogrammes peuvent être facilement et rapidement mémorisés par tous.
Document original Dépliant 6 volets, format 10 x 21 Prix 1,00€ net
Connu / https://twitter.com/INRSfrance/status/1331232945709985794
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Ineris a retweeté INRS @INRSfrance ·24 nov. - 1 - 8 - 13
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Ils ne veulent pas seulement votre bien, mais aussi le "plaisir" de vos enfants...
65 commentaires
Connu / mel de PDR du 19 Oct 2020 09:00:38 -0400 selon lui, Ariane Bilheran, psychologue et écrivain française, est une spécialiste du harcèlement, de la manipulation et de la psychologie du pouvoir. Elle nous parle ici, pour ne pas dire nous alerte, sur la terrible dérive éducative qui, dans un emballage séducteur comme on sait les faire aujourd’hui, menace gravement l'équilibre psychologique de nos enfants et donc de la société à venir, si nous nous laissons emporter dans ses filets.
Transcription : Livre "L'imposture des droits sexuels. Ou la loi du pédophile au service du totalitarisme mondial" ... édité à compte d'auteur pour être indépendante. Ce qui n'est pas le cas chez les éditeurs. Avoir maîtrise pleine et entière de ses écrits. Et une diffusion internationale.
... OMS ... on ne peut pas s'appuyer sur Freud car si enfant initié à la sexualité il deviendrait inéducable. Donc on se réfère à Kinsey ??, nazi notoire. ... confusion avec l'homosexualité ... érotisation du corps de l'enfant. définition de la discrimination "on discrimine si en empèche la jouissance. ... influence des lobbies ... besoins en prévention de nos enfants ... effraction traumatique de l'enfant ... livres tendancieux qui se retrouvent dans les écoles ex /MGEN ... le planning familial rentre dans les écoles, il ne reconnaît pas d'âge ... /éducation au consentement : c'est une hérésie puis que l'enfant n'a pas la capacité au consentement éclairé pour établir son autonomie. Nous ramène à ??? ... /genre à 4 ans ça n'a aucun sens, concept tendencieux par john money apprenait la pédophilie ... patrick doucey ,?? livre la vie sexuelle des enfants, ... discours pervers puisqu'on n'arrive pas à protéger nos enfants face aux images pornographiques, nous allons les éduquer à la pornographie. Les enfants vont s'agresser entre eux, sans parler des changements de sexe ...
Ndlr : amélioration ? vérifier auprès de psys ACT
Biais introduit par la religion catholique ? vérifier ACT
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Le 14 septembre 2020, la France insoumise organisait un colloque sur la sécurité (https://youtu.be/Yiv5Oi3vKNs). Jean-Luc Mélenchon concluait cette journée de travaux.
Le président du groupe « La France insoumise » à l'Assemblée nationale a dénoncé l'inflation de lois sécuritaire dont l'efficacité n'est jamais évaluée. Il a ainsi rappelé qu'il y avait eu au cours des 30 dernières années 16 lois sur le terrorisme, 21 sur l'immigration et 32 sur la délinquance sans que jamais le bilan en soit donné. Il a expliqué que ces lois diminuaient les libertés publiques sans améliorer la sécurité.
Face à l'ambiance politico-médiatique qui place l'insécurité au centre de l'actualité, Jean-Luc Mélenchon a réfuté l'utilisation du mot « ensauvagement » et a rappelé son origine. Il a aussi expliqué que les statistiques pouvaient être manipulées pour leur faire dire une chose ou une autre. Il a appelé à traiter enfin les questions de sécurité par la raison, en analysant ce qui fonctionnait et ce qui ne fonctionnait pas. Il a ainsi parlé longuement de l'inefficacité de la politique répressive en matière de lutte contre la consommation de cannabis et a expliqué qu'il fallait réfléchir à sa légalisation pour d'une part libérer des forces de police pour lutter contre le trafic et le crime organisé et d'autre part lutter plus efficacement contre la consommation ou la consommation excessive de cette drogue.
Le porte-parole des insoumis a également déployé ses propositions pour la sécurité autour du triptyque « prévention, répression, réparation ». Dénonçant le bilan ridicule de Darmanin incapable d'arrêter une bande de Tchétchènes armées ou poursuivant un groupe de rap à Grenoble, Jean-Luc Mélenchon a quant à lui appelé à refonder la police. Il a ainsi proposé de reconstruire le lien entre la police et la population via l'utilisation d'une garde nationale, à redévelopper la formation des policiers, à dissoudre l'IGPN, à refondre le code de déontologie. Il a, enfin, expliqué qu'en République, l'ordre public n'était pas possible sans ordre social.
1 255 commentaires
Auteur(s) : François Rousseau , Magali Audes, Marie-Pierre Grange, Raphaël Daufresne
Des solutions concrètes pour faire cesser ou prévenir les maltraitances envers les personnes vulnérables
Cette troisième édition de l’ouvrage a été profondément remaniée et comprend de nombreux compléments et actualisations : législatives, avec notamment les apports de la loi ASV, théoriques, au regard de l’avancée de nos connaissances gérontologiques et sociologiques sur le vieillissement et de la meilleure compréhension que nous avons des facteurs de risque, prospectifs.
La prévention de la maltraitance en direction des aînés et son éradication nécessitent une action qui s’inscrit dans la durée. Elle suppose des approches systémiques permettant d’anticiper les impacts possibles des mutations démographiques, technologiques, sociétales, institutionnelles sur son évolution….comme d’apporter des réponses permettant d’agir à différentes échelles (le territoire, le milieu familial, l’institution d’accueil…), et en premier lieu dans nos interactions quotidiennes avec les aînés.
Extrait du sommaire
Préface du Professeur Robert MOULIAS, Comité scientifique de la Fédération 3977 contre la maltraitance
1- État des lieux de la maltraitance
2-Les caractéristiques de la maltraitance en institution et à domicile
3-Les politiques et les mesures gouvernementales
La lutte gouvernementale contre la maltraitance
Les obligations réglementaires
Les nouvelles orientations législatives gouvernementales
4-Les nouveaux enjeux de la prévention de la maltraitance en direction des personnes âgées vulnérables
Mieux comprendre le vieillissement pour prévenir la maltraitance
Mieux cerner les enjeux à long terme de la prévention de la maltraitance
Appréhender la maltraitance comme un construit social en vue de mieux la prévenir
5-Les solutions, les outils et les procédures en matière de signalement et de gestion de situations de crise
Le signalement : une démarche d’écoute et de déontologie
Le signalement d’une situation de maltraitance, les obligations et la procédure
Les ESSMS : obligations et rôle de la direction en matière de signalement
Les formes de soutien à apporter aux acteurs
Libérer la parole
6-Les solutions pour promouvoir une politique de bientraitance institutionnelle
Définir et faire vivre un projet d’établissement
Veiller à la qualité d’accueil et d’accompagnement dès l’admission
Garantir la liberté d’aller et venir
Favoriser la reconnaissance, les formes de soutien et de formation des personnels travaillant auprès des personnes âgées
Mettre en place un dispositif de veille et d’évaluation partagée des risques de maltraitance
Renouveler l’approche de l’évaluation
Accompagner le projet de fin de vie
Magali AUDES est titulaire d’un DESS de psychologie gérontologique spécialisée en neuropsychologie. Elle a mené toute sa carrière auprès d’un public présentant des troubles cognitifs : du diagnostic, en participant à la création d’une consultation mémoire, à la vie à domicile, en créant des ateliers de stimulation cognitive. Elle exerce actuellement en EHPAD au Havre.
Raphaël DAUFRESNE est chargé de projet et coordinateur de formation à l’Institut de formation d’éducateurs de Normandie. Il mène des actions de conseil et de formation auprès des établissements sociaux, médico-sociaux et de collectivités locales et territoriales. Docteur en sociologie du travail et des organisations, il participe à des actions de recherche à l’IFEN. En partenariat avec l’Université du Havre-Normandie, il coordonne un master sur « l’innovation et le développement dans le champ de l’ESS ».
François ROUSSEAU est prospectiviste et expert en innovation sociale territoriale. Il accompagne des institutions nationales et régionales, des collectivités, des structures de l’économie sociale et solidaire, des organismes de sécurité sociale et de prévoyance, des comités d’entreprise, des collectifs d’habitants, dans la définition et la mise en œuvre de leur projet et dans la conduite du changement. Intervenant tant en France qu’à l’étranger, il est directeur du cabinet FR Consultants et membre fondateur et administrateur de la Société française de prospective.
Marie-Pierre GRANGE, assistante de service social de formation initiale, est titulaire d'un master 2 AGIS (action gérontologique et ingénierie sociale). Elle travaille au conseil départemental du Rhône.
Les plus de l'ouvrage : Interroger et améliorer ses pratiques pour lutter contre la maltraitance
Connaître les repères et outils nécessaires pour offrir des environnements sécurisants
Mettre en œuvre des actions et développer une véritable éthique de l'accompagnement
Pour qui ? : S’adressant aux professionnels du soin, aux intervenants des structures spécialisées, aux aidants, cet ouvrage s’adresse plus largement à l’ensemble des acteurs des politiques mises en œuvre en direction des aînés : élus, responsables de CCAS, organismes de sécurité sociale, bénévoles, acteurs de l’Économie sociale et solidaire, citoyens….
Ndlr : est-il question de la maltraitance par manque de moyens ? Vérifier ACT
Paul Poulain @PaulPoulain11 · 14 juil.
Après #Lubrizol, encore un incendie de grande ampleur qui aurait pu être évité chez #Suez. Voici un thread qui explique la sinistralité dans le secteur de la gestion des déchets et des pistes pour mieux maîtriser ce type de risque industriel
Un entrepôt de 5.000m² totalement embrasé près de Toulouse
Près de Toulouse, à Plaisance du Touch, un incendie s'est déclaré dans un entrepôt de 5.000m² ce lundi soir. Le bâtiment est entièrement touché, une centaine de pompiers est sur place depuis 22h. francebleu.fr
&
Il y a 40 ans, le domaine du #déchet n’était pas structuré. Leur traitement consistait à les brûler et les enterrer. Petit à petit, des filières locales se sont créées pour être ensuite revendues à différents acteurs.
& Ils peuvent être de gros acteurs nationaux (Veolia, Suez Environnement, …), régionaux (Pizzorno, Nicollin, …) comme étrangers (Urbaser, …).
& Depuis 20 ans, avec une prise de conscience écologique, les déchets ont été triés. D’abord par des personnes, puis par l’automatisation.
& Aujourd’hui, un centre de tri de collecte sélective (les sacs jaunes) coûte en moyenne 25 millions d’euros (beaucoup plus dans les grands centres urbains), dont 20 uniquement pour la chaîne de tri.
& Et pour cause, l’unité est devenue technologique : tri optique, tri balistique, trommels, presse à balle, séparateur à courant de Foucault, etc.
& En plus du risque d’incendie lié au process même, la matière première, n’est pas très bien qualifiée. On trouve par exemple dans la collecte des batteries de téléphone ou d’ordinateur.
& Entre les risques d’échauffements liés au process et les matières combustibles en présence, les départs d’incendie sont inévitables. Et comme il est très difficile d’isoler le process des stocks amont et aval, le risque d’un sinistre majeur est réel.
& Risque = Gravité x Fréquence
Pour limiter le risque on doit jouer sur la fréquence et sur la gravité.
& Par exemple en améliorant la qualité du tri ou en limitant les points chauds dans le process puis en compartimentant le bâtiment avec des murs coupe-feu ou en installant des systèmes d’extinction automatique comme le sprinkler.
& Difficile dans le secteur des déchets de diminuer la fréquence et la gravité grâce au compartimentage à cause de tous les tapis et les gaines en présence. Reste le sprinkler.
& Les mentalités évoluent malheureusement moins vite que la technologie : les producteurs de déchets n’ont pas conscience des conséquences de leur mauvais tri.
& Les exploitants n’ont pas toujours adapté leur système de management du risque à leurs nouveaux outils industriels.
Enfin, le volet « sécurité incendie » des programmes de marchés publics est généralement insuffisamment exigeant.
& Cependant, la sinistralité est telle que les rares sociétés apéritrices qui acceptent encore d’assurer ce type de risques ont depuis quelques années relevé leur niveau d’exigence.
& C’est pour cela qu’aujourd’hui, en plus des moyens de détection d’incendie, les centres de tri sont de plus en plus équipés de systèmes d’extinction automatique de type sprinkleur. #incendie #sécuritéincendie
& Il faut cependant une réelle volonté politique pour imposer des installation de sécurité qui peuvent représenter jusqu’à 5 ou 6% du coût d’un programme…
Cette volonté politique découle de la prise de conscience de l'opinion publique qui pourra mettre la pression sur les élus.
& Informons le plus grand nombre puis agissons pour réclamer plus de moyens afin de maîtriser nos risques industriels et protéger l'environnement
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@annielahmer @JGleizes @ZeroWasteParis @lvckdjr @albanforlot @LPLdirect @GuillaumePannet @alex_le_bars @ToulouseFM @Hlna31 @JesoutiensMGSU @romainvillesud @cfecgccud31 @lefevreg @FrGuinle @ecolopopsociale @EELVToulouse @mjfderaedt1 @AntoineMAURICE @archipelTMPaul
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@archipelElus @NadiaPellefigue @UNEToulouse @cmoreldarleux @Laure_Bonn @HeliosGinius @alternatiba @ndutent @irogoyenWilliam @FranoisTh1 @Alternative_IDF @AmandineBriand @odile31 @EliseLowy @LauraSlimani @Marius_Rx @gduval_altereco
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Arnaud Schwartz Globe terrestre Asie-Australie @Arnaud_Schwartz · 14 juil. En réponse à @PaulPoulain11 Merci pour le thread !
Un site assurément bien connu @FNEmidipyrenees... Cc @margaragram
& Cc @ginette_vastel
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victoirine @victoirine · 15 juil. En réponse à @PaulPoulain11
stock de polystyrène mais aussi d'huile usagée : leur combustion entraîne l'émanation de composés organiques volatils qui ont des effets très néfastes sur la santé ! :
La prévention des risques professionnels des Composés Organiques Volatils (COV)
Les composés organiques volatils (COV) sont des substances qui se caractérisent par leur grande volatilité, c'est-à-dire qu'ils émettent des vapeurs même à pression et température ordinaire de... officiel-prevention.com
=>
Les documentaires
Engagés, impressionnistes, sensibles, subjectifs… les documentaires diffusés par Le Média donnent à voir la vie comme elle va et comme elle ne va pas. Des documentaires que nous voudrions diffuser en plus grand nombre, et que nous avons aussi vocation à co-produire.
Clés : Déconfinement : urgence pour les femmes victimes de violences
Le coronavirus a rendu visible ce que nous ne voulions plus voir, les violences notamment, et elles sont nombreuses.
Les violences symboliques, les violences économiques, les violences policières, mais il y a aussi celles qui ont lieu au sein même de nos foyers.
Les violences faites aux femmes, ces violences qui laissent des traces, visibles puis indélébiles. Il y a les bleus sur les corps, mais aussi les bleus à l’âme et au coeur.
Des coups, des mots qui entrent dans les organismes comme un virus, pour ne jamais repartir. Contre ce virus là, pas de gestes barrières, pas d’immunité collective ni de masques de protection.
Si le confinement a permis d’enrayer la propagation du coronavirus, il a aussi accentué la progression de cette autre maladie, bien plus profonde, de notre société. Avec les mesures de confinement, les cas de violence, de menaces et de harcèlement dans les familles et les couples derrière les portes closes ont augmenté de 32 %. 44 % d’interventions en plus pour différends familiaux par rapport à la même période l’année dernière.
Avec le déconfinement, toutes les structures qui viennent en aide aux femmes victimes de violences se sont retrouvées submergées par les demandes. La Maison des femmes de Saint Denis en fait partie.
Depuis le déconfinement, elle gère une situation d'urgence tous les 2 jours nécessitant une mise à l'abri, parfois avec enfants et fourniture de colis alimentaires, contre 2 par mois en temps normal, c’est pourquoi elle appelle aujourd’hui aux dons : 90 000€ pour recruter deux postes supplémentaire de psychologue et assistant.e sociale.
=> https://www.helloasso.com/associations/la-maison-des-femmes/collectes/les-violences-s-intensifient-les-besoins-aussi
La Maison des Femmes de Saint Denis est un lieu unique en France.
Créée par la gynécologue et obstétricienne Ghada Hatem, cette maison accueille les femmes victimes de violences (viols, excisions, violences conjugales...).
Un refuge qui leur offre un chemin pour se reconstruire, une écoute et des soins adaptés. Psychologues, chirurgiens, conseillères conjugales, assistant.es sociales, policier.es, sexologues, sage femmes, ostéopathes….
Tou.te.s travaillent ensemble dans un seul but : aider ces femmes à reprendre vie.
Ce reportage, réalisé par Paloma Moritz et produit par Spicee, a été fait il y a deux ans, pour faire connaitre cette initiative mais aussi convaincre chacun et chacune de la soutenir pour appréhender différemment ce problème de société.
Nous avons tenu à le diffuser à nouveau alors que La Maison des femmes est en situation d’urgence. Il vous raconte une histoire d’héroïnes, pas de roman, ni de film, ni de BD… des héroïnes du quotidien.
Des femmes qui bravent leurs peurs pour pousser la porte de cette maison. La Maison des Femmes a besoin de vous pour continuer à exister et se développer et démultiplier son impact.
Soutenez-les, partagez cette information et soyez des héros ·ïnes ! Même avec 5€, vous pouvez aider à changer la vie des femmes victimes de violences…
Un grand merci au média Spicee de nous avoir cédé gracieusement le documentaire sur la maison des femmes.
Spicee est un média français, indépendant sur abonnement qui produit et diffuse des docs engagés sur des thématiques telles que Le monde de demain, la place des femmes, la lutte contre la désinformation et le complotisme et des parcours inspirants qui montrent que l’on peut réaliser ses rêves et faire bouger les lignes en agissant.
Et pour l'occasion et pour fêter ses 5 ans, Spicee vous propose une promo Anniversaire. L’abonnement est à -40% soit 30 euros l’année avec le code promo : 5ANS sur ce lien https://bit.ly/2AQmOOR
Pour aller plus loin :
- https://www.lefigaro.fr/economie/le-scan-eco/2017/11/24/29001-20171124ARTFIG00108-les-violences-conjugales-couteraient-36-milliards-d-euros-par-an.php
- https://www.gouvernement.fr/sites/default/files/document/document/2019/11/dossier_de_presse_-_cloture_du_grenelle_contre_les_violences_conjugales_-_25.11.2019.pdf
Connu / https://twitter.com/LeMediaTV/status/1274401630730010625
"
Le Média @LeMediaTV · 7h
Avec le déconfinement, toutes les structures qui viennent en aide aux #femmes victimes de #violences se sont retrouvées submergées par les demandes. - 0 - 17 - 21
"
Transcription : ... à 14mn le sexologue ACT
personne ne veille à ce que la MdF soit DUPLIQUÉE PARTOUT ACT
... besoin d'accompagnement humain nous aider à soigner ACT
... ya actuellement 4 projets que moi je connais qui sont suffisament lancés pour que je sois sûre qu'ils vont aboutir à Paris, Strasbourg, à Plaisir, à Brive. On les a accompagnés donc on est très heureux. Et ce qui nous fait plus plaisir c'est que des jeunes médecins demandent à passer 6 mois avec nous dans leur parcours, afin de reproduire notre modèle. Notre lobbying auprès du gouv / mission d'intérêt général / 1 structure par région à minima : 3è pj accueil 24/24 pour les violences sexuelles car on est très conscients du fait qu'une femme victime d'un viol va avoir tendance à aller aux urgences gynécologiques, qu'elles viennent chez nous qu'on fasse les prélèvements et que la police se déplace pour prendre les plaintes ACT++
/DISpense du secret médical à double tranchant. Si risque de mise en danger oui. Débattre en équipe pour peser le risque serait mieux + éthique.
Q: le levier la parentalité, l'avortement, accompagner, pédagogie éducation non-violente à l'égalité, au respect à la sexualité, traquer le sexisme, mieux répartir la charge mentale,
=> informer sur fin particip + valoriser le pj +++ ACT
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Mercredi 17 juin, Ugo Bernalicis intervenait lors de la discussion générale de la commission des Lois sur les nouvelles mesures de suretés à l'encontre des auteurs d'infractions terroristes à l'issue de leur peine.
Alors qu'en matière pénale, la création de dispositifs préventifs a permis d'incarcérer des individus n'ayant commis aucune infraction et que des moyens importants ont été octroyés aux services de renseignement dans le cadre de la lutte anti-terroriste, le gouvernement vise à confondre davantage la notion de peine et celle de prévention. Cette nouvelle restriction des libertés n'a qu'un seul objet : répondre à l'agenda politique imposé en la matière par la droite extrême et l'extrême droite.
Accélérer la transition juste pour renforcer notre résilience aux risques sanitaires et climatiques
La réponse du Gouvernement à la crise sanitaire du COVID-19 doit soutenir la transition bas-carbone juste pour renforcer notre résilience aux risques sanitaires et climatiques. C’est le constat du rapport spécial, « Climat, santé : mieux prévenir, mieux guérir – Accélérer la transition juste pour renforcer notre résilience aux risques sanitaires et climatiques » consacré aux enseignements à tirer de la crise du COVID-19 pour le climat, et aux suites à donner vers la neutralité carbone.
La baisse radicale des émissions de gaz à effet de serre constatée en France pendant la crise sanitaire reste marginale face aux enjeux climatiques et ne répond pas aux attentes de la transition juste. Elle n’est ni durable, ni souhaitable, car elle n’est pas le résultat d’un changement structurel organisé.
La crise du COVID-19 souligne de façon brutale le besoin urgent de réduire les risques de catastrophes sanitaires et climatiques, notamment par le renforcement des systèmes d’alerte précoce. Les vulnérabilités de nos sociétés, aggravées par les inégalités, doivent être réduites pour renforcer la résilience de l’ensemble de la population et ses capacités d’adaptation.
Il est essentiel de placer les enjeux climatiques au cœur des plans post crise du COVID-19. La reconstruction économique et sociale devra notamment réduire nos vulnérabilités, privilégier la décarbonation et transformer plutôt que de sauvegarder à tout prix. Les mesures budgétaires et fiscales devront être subordonnées à des perspectives compatibles avec la transition bas-carbone, s’éloigner des énergies fossiles et favoriser des approches innovantes des déficits et dettes publiques, et privilégier les secteurs structurants et porteurs d’emplois en lien avec une transition bas-carbone juste.
Dans son rapport, le Haut conseil pour le climat suggère dix-huit recommandations qui peuvent soutenir une sortie de crise qui nous reconstruira plus résilients face à l’avenir.
Télécharger le communiqué de presse https://www.hautconseilclimat.fr/wp-content/uploads/2020/04/communiqu-de-presse_haut-conseil-pour-le-climat.pdf
Lire le rapport du Haut conseil pour le climat https://www.hautconseilclimat.fr/wp-content/uploads/2020/04/rapport_haut-conseil-pour-le-climat.pdf
Qui sommes-nous ?
BANLIEUES SANTE est une association à but non lucratif 1901 qui crée et co-crée des innovations sociales et médicales. Étymologiquement Banlieues signifie « lieux bannis », le nom de notre association s’entend donc comme les « lieux desquels la santé est bannie »
À ce titre nos différentes missions ont pour objectif l’inclusion sociale et médicale des personnes habitant des QPV et des zones rurales en France.
Nous « agglomérons » les expériences de nos adhérents et nous œuvrons à leur modélisation, leur portage et leur qualification.
Nos actions ont pour perspective d’aller au plus près de publics difficiles d’accès ou en repli pour leur permettre de tendre vers le meilleur état de bien-être physique et psychologique malgré les freins sociaux, économiques ou encore l’incompréhension du système de santé (littératie en santé).
Approcher, s’ancrer, se niveler et innover pour rendre intelligible la santé.
« Banlieues Santé c’est avant tout le terrain, le terrain des possibles »
La santé ! Une évidence et une priorité pour certains, très compliquée et souvent reléguée en second plan face aux autres problèmes pour d’autres ! La santé c’est précieux et le système de santé l’est aussi, c’est un puissant facteur de cohésion sociale et il nous faut y veiller.
La médecine n’a jamais été aussi poussée et croît en performance mais aussi en inégalités : déserts médicaux, écart d’espérance de vie et chances face à la maladie corrélé à la CSP, préventions et messages de santé publique qui ne passent plus.
Pour un certain nombre de personnes, il est toujours compliqué d’adopter les comportements favorables à leur santé ou de trouver ne serait-ce qu’un médecin généraliste.
Pour beaucoup, le recours aux soins est trop tardif, trop loin ou trop coûteux.
« La nation garantie la santé à tous les citoyens » Préambule constitutionnel.
Rendre accessible et intelligible la santé, c’est l’engagement que s’engage à tenir l’association Banlieues Santé.
...
Vidéo Pas2quartier@france24.com @Pas2quartierF24 : Surville, Montereau-Fault-Yonne (Seine et Marne) ; Yassine Ennomany, coordinateur national ; ... 50 bénévoles de la Fondation Essilor ... son père a connu l'amiante, la silicose en mine ... triptique : professionnels, patients, institutions ... amener la santé en bas des bâtiments ... culturellement cette population n'a pas la culture de la prévention santé ... Abdelaali el badaoui, infirmier, président ...
Rejoignez-nous
Envie de contribuer à des actions de santé préventives et des projets d’envergures technologiques ?
Envie de propulser Banlieues Santé, d’en faire le hub d’inclusion sociale et médicale à l’échelle nationale ? N’hésitez plus, en un clic, rejoignez notre équipe !
Vous avez un projet ? Une idée en tête ? Vous pressentez qu’elle peut apporter une vraie avancée pour l’égalité en santé ?
C’est super ! Si vous croyez en votre projet, contactez-nous ! On aura un regard critique mais bienveillant, on vous conseillera et on parlera autour d’un excellent thé !
+33 6 51 87 74 27 - contact@banlieues-sante.org
Connue / https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?VEOrNg
.#Demain la Ville #Qualité de vie | Lecture 6 minutes
D’un marché de Wuhan à une usine en Bavière, puis au monde entier… Encouragées par le monde moderne, ses villes et ses réseaux, les épidémies ne semblent plus avoir d’obstacles. L’urbanisme était pourtant né avec elles, pour freiner le choléra et la tuberculose. L’aménagement urbain est-il encore capable de nous maintenir en bonne santé ?
“Wuhan en Bavière”
Si l’origine exacte du Covid-19 est encore discutée, elle semble partir d’un marché de fruits de mer fréquenté et populaire à Wuhan en Chine, dans les derniers jours de décembre 2019. Puis le virus s’est propagé par la gare de Hankou, la troisième plus grande de la ville, à quelques enjambées de là. Il aurait ensuite fait ses premiers pas hors de Chine par la Bavière, où une chinoise contaminée était venue assister à une formation professionnelle de son entreprise, l’équipementier automobile Webasto. Pour beaucoup d’experts il s’agit d’une zoonose, c’est à dire une maladie infectieuse d’origine animale : 60% des virus infectieux décrits chez l’homme ont un animal réservoir. On parle d’une chauve-souris, d’un pangolin, voire les deux ?
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Dans le cas de maladies vectorielles, transmises par le moustique ou la tique, il y a souvent une problématique de dégradation des écosystèmes naturels. Si il y a une prolifération c’est que quelque part l’environnement n’est plus en capacité de réguler. On a cassé un équilibre, ce qui provoque un déséquilibre et un emballement des choses.
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La thèse est confirmée par Sonia Shah dans le Monde Diplomatique, « notre vulnérabilité croissante face aux pandémies a une cause plus profonde : la destruction accélérée des habitats ». Énumérant les grandes épidémies de ces dernières années (Ebola, Lyme, E. Coli, SRAS, grippe aviaire…), la journaliste dénonce ainsi l’urbanisation, la déforestation et l’industrialisation, non pas comme des facteurs d’apparition de virus – le phénomène est naturel – mais comme des facteurs de propagation. Pour elle, la protection des habitats naturels, et de manière plus générale la compréhension des mécanismes écologiques, pourra réduire l’émergence d’épidémies.
L’urbanisme a aussi un rôle à jouer. ... l’aménagement a su par le passé endiguer des vagues d’épidémies infectieuses meurtrières. C’est ce que rappelle l’architecte urbaniste Albert Lévy dans son ouvrage Ville, urbanisme et santé – Les trois révolutions (2012) : « La question de la santé est un déterminant majeur dans la naissance de l’urbanisme ». ... choléra en 1832 ... ancien chercheur au CNRS, membre du Réseau Environnement Santé, raconte comment le courant hygiéniste a structuré le développement des villes au XIXème siècle ... « Chaque fois que la médecine n’était pas capable de juguler des crises sanitaires on a fait appel à l’espace et à l’environnement pour les résoudre à titre préventif. » Pour Haussmann par exemple, Paris est jugé « malsain » et doit être assaini ... La Charte d’Athènes rédigée en 1933 pousse la logique plus loin : la ville est divisée en quatre fonctions (logement, travail, loisir et infrastructures de circulation). L’espace public réduit au maximum, au profit des voitures. Avec les avancées de la médecine et de la pharmacologie, le tout curatif vient remplacer progressivement le préventif, entraînant dans la deuxième moitié du XXème siècle, le divorce entre urbanisme et santé.
...
Aujourd’hui, Albert Lévy comme Anne Roué-Le-Gall encouragent un retour de l’approche sanitaire préventive dans l’aménagement urbain. « Nous vivons actuellement une véritable transition épidémiologique, marquée par une explosion des maladies chroniques » explique l’architecte. Ce sont les cancers, maladies cardio-vasculaires, maladies respiratoires, asthme, allergies, obésité, diabète… mais aussi les souffrances mentales, l’autisme ou la baisse de la fertilité masculine. Non transmissibles, ces maladies sont directement liées à nos modes de vie, notre alimentation et notre environnement : « On parle d’épidémie parce que ça touche énormément de personnes, et de plus en plus » résume Anne Roué-Le-Gall.
Typiquement urbaines, ces nouvelles maladies sont dues à la sédentarité, la précarité, l’isolement ou aux différents types de pollutio (air, eau, bruit, perturbateurs endocriniens…). Les dérèglements climatiques contribuent à cette crise sanitaire, en cas de stress hydrique ou de canicule par exemple. ... double épidémie : en fragilisant le système immunitaire, notamment des personnes âgées, les maladies chroniques rendent plus vulnérables aux maladies infectieuses
Santé planétaire [image] L'aménagement favorable à la santé - EHESP
Co-autrice de plusieurs guides méthodologiques à destination des décideurs et professionnels de l’aménagement urbain, Anne Roué-Le-Gall ne désespère pas. Dans la lignée des définitions de l’OMS et de la vision dite de « planetary health », elle défend une approche de santé dite globale et positive. « On a une culture française très axée sur la réduction des facteurs de risque. Il y a absolument besoin de faire évoluer cette culture pour ne plus seulement réduire les risques, mais promouvoir ce qui marche, ce qui fait santé. »
En rupture avec l’aménagement hygiéniste, cette approche de la santé publique se veut socio-écologique.
... éviter un aménagement dogmatique et standardisé, qui pourrait avoir des conséquences indésirables. Le guide insiste sur l’importance d’anticiper les antagonismes et les synergies entre les aménagements de santé et ceux pour l’environnement. ... guide ISADORA est financé non plus seulement par le ministère de la santé, mais également celui de la transition écologique. La chercheuse y voit le signe plutôt encourageant d’une évolution des mentalités.
aussi à https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?13rONg
LES MACRONISTES PÈTENT LES PLOMBS | CORONAVIRUS : DES FAILLES DANS LA PRÉVENTION
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Channel avatarAccount avatar Par lemediatv
Les esclandres de la majorité en séance et les hésitations de Matignon sur le recours à l’article 49.3, l’inconséquence du gouvernement dans la prévention de l’épidémie de Coronavirus. C’est le sommaire du numéro 65 du P’tit coup de Bourbon. #Bourbon #Retraites #Coronavirus
Confidentialité Publique
Publié originellement 27 février 2020
Catégorie : Actualité & Politique
LicenceInconnu - LangueInconnu
Étiquettes : grève ; macron ; marcheurs ; réforme retraites
Durée13 min 19 sec
1 IRIS - Institut de Recherche Interdisciplinaire sur les enjeux Sociaux - sciences sociales, politique, santé
Résumé :Les mal-nommés risques psychosociaux au travail traduisent l’expression du mépris de la norme fondamentale absolue et matrice des droits de l’Homme : la dignité de l’être humain. Figure de la souffrance au travail, les conditions et les organisations du travail indécentes (au sens de l’ONU) conduisent à la réification du genre humain considéré comme un moyen de production au détriment de ses droits fondamentaux, tels que le droit à la santé au travail. Menaces à la santé publique s’affranchissant des règles de droit fondant l’ordre social, les risques psychosociaux au travail, dont les conséquences des atteintes à la santé physique et mentale des travailleurs se répercutent sur la société tout entière, brisent le contrat social liant les individus à l’État. Les obligations juridiques posées par les textes internationaux, européens et français, imposent à l’État et aux entreprises d’exercer une prévention active et pas seulement réactive. L’État, garant et protecteur du respect de la dignité et des droits humains, peut utiliser ses prérogatives de puissance publique pour mieux protéger la santé des travailleurs. La sociovigilance s’impose alors comme une nouvelle vigilance issue de la sécurité sanitaire du travail. Conjuguée à la création d’une autorité indépendante en charge des questions de santé au travail, la sociovigilance s’accompagne d’une nouvelle proposition d’organisation de la prévention des risques professionnels en France.
Mots-clés : risques psychosociaux au travail, stress, harcèlement moral, harcèlement sexuel, violences, discrimination, droits fondamentaux, dignité, conditions de travail, santé mentale, santé publique, vigilance sanitaire, sécurité sanitaire, autorité indépendante, droit de la santé et de la sécurité au travail, sociovigilance, prévention
Type de document : Thèse
Domaine : Sciences de l'Homme et Société / Droit
Liste complète des métadonnées
Littérature citée [1386 références]
https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-02063105
Contributeur : Nina Tarhouny nina.tarhouny@gmail.com
Soumis le : dimanche 10 mars 2019 - 18:48:21 - Dernière modification le : samedi 15 février 2020 - 01:47:56 - Archivage à long terme le : mardi 11 juin 2019 - 13:55:25
Pour citer :
Nina Tarhouny. Les risques psychosociaux au travail : droit et prévention d’une problématique de
santé publique. Droit. Université paris 13, 2018. Français. tel-02063105
->
https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-02063105/document
Connue / https://twitter.com/istnf/status/1230148002955825153
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Jean-Marc Le Hunsec a retweeté ISTNF Santé-Travail @istnf · 2h
👏 👏 👏 Nina.Tarhouny @NinaRPS · 1h
Ma thèse publiée chez l'Harmattan :D https://editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=65232
Au plaisir de vous retrouver à la séance de présentation le 25 mars ! 2 rt
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