Le Planning familial de Gironde annonce un rassemblement devant l’Agence régionale de santé de Nouvelle-Aquitaine ce vendredi. Et pour cause : l’ARS vient de leur supprimer près de la moitié de leurs subventions. Une coupe sévère, synonyme d’une diminution de leur équipe salariée, de leurs interventions en milieu scolaire et de leur présence zone rurale, à l’heure où la montée des idées réactionnaires et l’ampleur des violences sexuelles exigerait, à l’inverse, un déploiement plus fort des associations féministes.
Connu / TG 10/07/24 à 11:25
Clés : Environnement Eau
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C’est une année noire qui se termine pour l’Association de protection, d’information et d’études de l’eau et de son environnement (Apieee) à Niort. Déjà plombée par la perte de plusieurs subventions, elle pourrait être privée de son agrément pour son soutien aux anti-bassines.
Ici aux côtés de militants anti-bassines, Joëlle Lallemand dénonce « une répression » à l’égard de son association et de l’action militante. | ARCHIVES CO
Déclarée d’intérêt général et agréée depuis 1995 au titre de la protection de l’environnement, l’Association de protection, d’information et d’études de l’eau et de son environnement (Apieee) va-t-elle perdre sa précieuse habilitation ? Renouvelée tous les cinq ans sur demande préalable, celle-ci arrive à échéance au 31 décembre 2023, soit dans moins de dix jours. Et pour l’heure, aucun signe de la préfecture des Deux-Sèvres (voir par ailleurs). " D’habitude, nous avons toujours un retour positif par écrit bien avant la date limite, généralement en novembre. Là, c’est le flou total et c’est très inconfortable pour ne pas dire inquiétant ", indique Joëlle Lallemand, la présidente d’une association créée en 1990 et connue pour son club nature pour enfants, ses animations pédagogiques dans les écoles, ses journées grand public comme la « Faites du bio », ses sorties, ses conférences ou encore ses projections. Elle fédère aujourd’hui 180 adhérents et compte un salarié.
« On veut nous invisibiliser et nous écraser »
Outre une reconnaissance par l’État, la délivrance de l’agrément ouvre...
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Connu / TG le 22/12/23 à 14:32
Faits divers - Justice
Le tribunal administratif de Poitiers a estimé ce jeudi que la ville de Poitiers et la communauté d'agglomération Grand Poitiers "étaient en droit de maintenir les subventions attribuées à l’association Alternatiba Poitiers", ce que contestait le préfet de la Vienne Jean-Marie Girier.
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Pour Lafarge, qui a mené des tests avec son partenaire allemand Salata sur l'un de ses sites, le bilan global du processus sur les plans de l'énergie et du CO2 n'est pas satisfaisant et au moins dix années de recherche seront encore nécessaires pour améliorer ce bilan. « C'est le procesus qui doit évoluer, car nous ne travaillons qu'avec des algues présentes à l'état naturel à proximité de nos sites, précise le directeur R&D groupe, Pascal Casanova. Pas question de contaminer l'environnement avec une espèce importée. » À cette condition, il se dit prêt à examiner des solutions clés en main qui seraient satisfaisantes sur les plans économique et énergétique.
Sophy Caulier avec Dominique Pialot
28 Commentaires
- Michael à écrit le 28/06/2020 à 7:25
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BFS c'est révélé être une fraude pour capter des fonds européens (cf. wikipédia notamment) Je vous invite à retirer ou modifier cet article
Connu / TG le 19/03/23 à 20:12
Se passer du maïs, plante très gourmande en eau en été et qui sert largement pour l'exportation :
A l'heure où la France connait déjà des restrictions d'eau à cause de la sècheresse, basta! s'est penché sur le maïs, une céréale ...
Le préfet de région Pascal Mailhos et le président du conseil régional Auvergne Rhône-Alpes Laurent Wauquiez ont présenté ce vendredi les grandes lignes du prochain contrat de plan Etat-Région 2021-2027. 320 projets ont été sélectionnés.
Suite à la demande du préfet de la Vienne de retirer la subvention accordée à Alternatiba, ...
Catégorie : Société
On a rarement autant parlé de désobéissance civile en France ! La confrontation entre le préfet et les élus de Poitiers et Grand Poitiers sur les subventions accordées à Alternatiba relance le débat sur l’impact de la loi pour
« le respect des principes républicains ».
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« Les « ateliers de désobéissance civile » (…) sont manifestement incompatibles avec le contrat d’engagement républicain présumé souscrit par l’association, considérant qu’ils inciteraient à un refus assumé et public de respecter les lois et règlements »,
a justifié Jean-Marie Girier dans un courrier adressé à Léonore Moncond’huy et Florence Jardin, maire de Poitiers et présidente de Grand Poitiers.
« Pas que le vote
pour s’exprimer »
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Dans les textes, la notion de désobéissance civile s’entend comme le fait de « transgresser délibérément, ouvertement, et de façon non violente, une loi en vigueur que les désobéissants jugent injuste, rappelle
Me Marie Dosé. Le dessein de cette transgression est de contraindre l’appareil politico-juridique à modifier ou abroger ladite norme. La désobéissance civile se différencie donc d’une infraction pénale dans son élément intentionnel. » L’avocate de Greenpeace France précise également que « la Cour européenne des droits de l’Homme la reconnaît comme faisant partie des libertés d’association et d’expression ».
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contrat d’engagement républicain et plus largement de la loi sur « le respect des principes républicains »,
dite contre les séparatismes.
« La rédaction floue de cette loi fait qu’elle est effectivement dangereuse pour la liberté des associations qui peuvent se voir retirer des subventions ou des agréments par l’Etat sur des motifs politiques et arbitraires »,
poursuit Me Dosé. En mars, Greenpeace, XR et une vingtaine d’autres associations ou ONG ont formé un recours en annulation devant le Conseil d’Etat contre son décret d’application. Il est toujours en cours d’instruction.
Connu / TG 1/10/22 À 14:20
Par Maïa Courtois
21 septembre 2022 à 17h23 Mis à jour le 22 septembre 2022 à 11h03
Durée de lecture : 5 minutes
Libertés Luttes Alternatiba
Libertés
Un préfet macroniste s’attaque à Alternatiba
Un atelier de formation à la désobéissance civile d’Alternatiba Poitiers a déplu au préfet macroniste de la Vienne. Il exige, au nom de la loi Séparatisme, que lui soient retirées certaines subventions. M. Darmanin le soutient.
Des tables rondes, des expos, une disco-soupe, des jeux et des spectacles... Pour sa deuxième édition, à Poitiers, le Village des alternatives organisé par le mouvement pour le climat et la justice sociale Alternatiba s’est installé dans le parc du Triangle d’Or le week-end du 17 et 18 septembre. A priori, rien de menaçant dans cet événement que les organisateurs voulaient « festif et familial ». Las, celui-ci est, depuis le 15 septembre, dans le viseur du préfet de la Vienne, Jean-Marie Girier.
Dans des courriers adressés à la mairie de Poitiers et à la communauté urbaine du Grand Poitiers, le représentant de l’État a demandé l’arrêt des subventions à cet événement — 15 000 euros selon France 3. En cause : des ateliers de désobéissance civile, jugés incompatibles avec le contrat d’engagement républicain signé entre l’association et les collectivités. Ces ateliers « inciteraient à un refus assumé et public de respecter les lois et règlements », écrit le préfet. La mairie et la communauté urbaine refusent de se plier à cette injonction.
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Ces contrats d’engagement républicain ont été introduits par la loi « confortant le respect des principes de la République », dite loi Séparatisme, adoptée le 24 août 2021. Le décret d’application définissant le cadre de ces contrats est entré en vigueur au 1er janvier 2022. Il impose aux associations sollicitant des subventions de n’« inciter à aucune action manifestement contraire à la loi, violente ou susceptible d’entraîner des troubles graves à l’ordre public ». La désobéissance civile « ne date ni de cette loi ni de ce gouvernement, elle a au moins 200 ans », soupire Christiane Queyreix, l’une des coordinatrices du Village des alternatives au sein d’Alternatiba Poitiers, jointe par Reporterre. « La Cour européenne des droits de l’Homme a affirmé plusieurs fois que la désobéissance civile était l’un des aspects les plus importants de la liberté d’expression. »
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L’affaire de Poitiers est remontée jusqu’au ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, qui a exprimé son soutien au préfet
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La responsable associative parle elle d’« une dérive assez extrême » permise par la loi Séparatisme. Et souligne « l’imprécision » du décret ... De quoi laisser « l’arbitraire des préfets » s’engouffrer dans cette brèche. « Monsieur le préfet devrait plutôt louer l’action des citoyens pour agir. L’État a été condamné pour inaction climatique, il ne respecte pas les Accords de Paris », souligne-t-elle. « On aimerait bien que l’État donne l’exemple sur ce que doivent être les “valeurs de la République” ! »
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Avant la loi Séparatisme, il existait une charte des engagements réciproques entre les associations et les collectivités. Ces dernières, maîtresses de leurs attributions budgétaires, disposaient de cette charte pour poser de grands principes et des leviers judiciaires afin de sanctionner les associations en cas d’injures publiques, de diffamation... La création des contrats d’engagement républicain « ajoute en fait une couche de contrôle de l’État sur les collectivités », explique Nathalie Tehio, avocate, membre du bureau national de la Ligue des droits de l’Homme. « C’est une mainmise de l’État sur la distribution des subventions, donc sur la politique de la ville défendue à travers les choix de soutien à certaines associations. »
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Vingt-cinq associations écologistes avaient saisi, en mars, le Conseil d’État https://reporterre.net/Les-associations-se-sentent-menacees-par-le-Contrat-d-engagement-republicain
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« ça a fait une publicité d’enfer pour notre formation à la désobéissance civile », sourit Christiane Queyreix. « Au moins vingt-cinq personnes sont venues ! Dont trois RG [agents des renseignements généraux], qui sont toujours faciles à repérer… »
Un atelier de "formation à la désobéissance civile". C'est ce qui a déclenché ...
pourtant à l'origine destinée ...
Énergies Parti pris
Face à l’envolée des prix de l’énergie, les gouvernements anglais, espagnol et italien ont décidé d’imposer une taxe exceptionnelle sur les superprofits des groupes d’énergie. Le gouvernement français exclut de le faire. Pis : son bouclier tarifaire revient à subventionner TotalEnergies et Engie.
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Après avoir bataillé pendant des mois contre la mesure jugée « contreproductive et menaçant l’innovation », le ministre britannique des finances Rishi Sunak s’est brutalement ravisé le 26 mai : le gouvernement britannique a décidé de taxer à hauteur de 25 % les profits exceptionnels https://www.ft.com/content/05e49e39-a569-4346-88b9-4543ec9efbe1
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avant qu’EDF avoue son accident industriel d’une ampleur sans précédent https://www.lemonde.fr/economie/article/2022/04/21/edf-de-plus-en-plus-inquiet-pour-son-parc-nucleaire-en-raison-de-problemes-de-corrosion_6123074_3234.html : un réacteur nucléaire sur deux est aujourd’hui à l’arrêt, soit pour des raisons de maintenance, soit pour des visites décennales, soit en raison de préoccupants problèmes de corrosion. Fin avril, 30 GW étaient seulement disponibles, contre 40 à 45 GW en temps normal à cette période. Pour combler la différence, le groupe public est obligé d’acheter sur le marché au prix fort l’électricité pour répondre à ses propres besoins. Alors que tous les moyens financiers du groupe devraient être alloués pour lui permettre d’assurer sa production et ses missions de service, le groupe se retrouve à devoir en distraire une partie pour financer ses concurrents.
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Connu / tg 2/6/22 9:15
Arno Demarle, [12/01/2022 12:28]
Comment le gouvernement Allemand va capter les subventions Européennes pour financer la transition énergétique.
Ndlr : il était temps !
19 signatures (1 515 au 24/2/21)
Destinataire(s) : Présidents de la Métropole de Tours, du Département d'Indre-et-Loire, de la Région Centre-Val de Loire et Préfète d'Indre-et-Loire
Campagne lancée par Gardons les pieds sur Terre Réduisons le trafic aérien !
Pour avoir une chance de rester sous la barre des +1,5°C de réchauffement climatique, nous demandons :
- La fin des subventions et autres avantages en faveur de l’aéroport Tours
- L'abandon du projet de développement de l’aéroport de Tours
- La fin des vols Tours-Marseille et Tours-Londres au profit des alternatives en train
- L'investissement prioritaire dans les alternatives comme le train
- L'accompagnement à la reconversion des salariés des secteurs qui seront impactés localement
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Soutenir cette campagne locale, c'est demander plus de transparence sur l'utilisation des financements publics, c’est aussi demander des solutions de transport d'avenir, moins carbonées et accessibles à tou.te.s, pour une société soutenable et juste. Nous ne manquerons pas de vous proposer des moyens d’action concrets dans les semaines à venir !
ANV COP21-Tours - Extinction Rebellion-Tours - Grands Parents pour le Climat Touraine - Greenpeace Tours - Les Désobéissants-Tours - Résistance Climatique
Categories Climat ; Énergies Fossiles & Industries ; Justice Sociale & Environnementale ; #Transports & Urbanisme
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Mesure immédiate : arrêter de subventionner le pétrole
Les maires de Prague (Zdenek Hrib), Budapest (Gergely Karacsony), Bratislava (Matus Vallo) et Varsovie (Rafal Trzaskowski) lors de la signature du «Pacte des villes libres» à Budapest, en décembre 2019. Photo Tamas Kaszas. Reuters
Les maires de Budapest, Bratislava, Prague et Varsovie se sont rendus mercredi à Bruxelles pour demander à la Commission un accès direct aux fonds communautaires au nom de la transparence et de la transition environnementale.
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groupe de Visegrad (Hongrie, Slovaquie, Tchéquie et Pologne)
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Pour Gergely Karácsony, le maire de la ville récemment élu face au candidat du pouvoir, l’UE fait face à «trois options : deux mauvaises et une bonne». «Une mauvaise option serait de ne pas punir [les gouvernements du groupe de Visegrad] pour leurs violations de l’Etat de droit et leur corruption. Une autre serait de ne pas punir les gouvernements mais les pays eux-mêmes [en coupant le robinet des fonds européens], ce qui nourrirait le populisme. La troisième reviendrait à contourner la bureaucratie nationale, où les fonds sont souvent mal utilisés, et à subventionner directement les villes», a-t-il expliqué à EU Observer. Avant de préciser que les villes ne veulent «pas plus d’argent» mais décider par elles-mêmes «comment utiliser ces fonds en suivant les priorités européennes».
Par cette action commune, les quatre maires poursuivent leur alliance, scellée en décembre par le «Pacte des villes libres». Dans ce texte, signé en grande pompe à Budapest, ils s’engagent «à protéger et à promouvoir les valeurs communes de liberté, de dignité humaine, de démocratie, d’égalité, d’Etat de droit, de justice sociale, de tolérance et de diversité culturelle».
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A lire aussi Aides de l’UE : la mafia slovaque récolte le blé des paysans https://www.liberation.fr/planete/2019/02/24/aides-de-l-ue-la-mafia-slovaque-recolte-le-ble-des-paysans_1711385
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Durée de lecture : 5 minutes
Obtenir l’interdiction des pesticides de synthèse dans l’Union européenne d’ici quinze ans est-il possible ? C’est l’objectif que se sont fixé 90 organisations européennes, qui ont lancé une initiative citoyenne européenne, pour récolter un million de signatures à déposer sur le bureau de la Commission européenne.
... Demandée depuis plus d’un an en France par l’Appel des coquelicots, elle est maintenant promue à l’échelle européenne. Plus de quatre-vingt-dix organisations de dix-sept pays de l’Union européenne (UE) ont lancé lundi 25 novembre une Initiative citoyenne européenne (ICE). Intitulée « Sauvons les abeilles et les agriculteurs », elle demande à l’UE d’en finir avec les pesticides de synthèse d’ici quinze ans. ... Les porteurs de cette ICE ont dix mois, jusqu’au 30 septembre 2020, pour recueillir les signatures. Le nombre de signatures par pays est proportionnel au nombre d’habitants, il faudra donc en France qu’au moins 55.500 personnes signent cette ICE. ... L’association coordinatrice dans l’hexagone est Générations futures, rejointe par le réseau France nature environnement (FNE), l’Union nationale des apiculteurs français (Unaf), Justice pesticides, Greenpeace et les Amis de la Terre. ... Alain Chabrolle, vice-président de FNE ... La PAC, de par les subventions qu’elle octroie aux agriculteurs, pourrait permettre d’accompagner une reconversion de l’agriculture européenne vers l’agroécologie, espèrent les organisations écolos. ... « le récent rapport sur l’état de l’environnement en France a indiqué que 65 % des ressources d’eau profonde ne présentent plus des critères de potabilisation suffisants à cause de la présence de pesticides. » ... François Veillerette, directeur de Générations futures mais aussi président de l’ONG européenne Pesticide Action Network, reconnaît que la France « est l’un des pays les plus mobilisés sur le sujet des pesticides. ... deux étapes. La première serait une première réduction de 80 % d’ici 2030, en commençant par les produits les plus dangereux. Puis une deuxième étape en 2035 marquerait la fin des pesticides de synthèse sur le territoire de l’UE. Elle formule également deux autres demandes : « restaurer les écosystèmes naturels dans les zones agricoles », et « réformer l’agriculture en accordant la priorité à une agriculture diversifiée et durable à petite échelle » en accompagnant les agriculteurs dans cette transition. « Une suppression des pesticides de synthèse d’ici 2035 implique un rythme de conversion à l’agriculture bio de 6 % des surfaces agricoles par an, a calculé François Veillerette. En France, nous n’en sommes qu’à 1 % par an. »
Voulant se démarquer des accusations « d’agribashing », les porteurs de l’ICE entendent promouvoir « une vision positive de l’agriculture, vue comme un moyen de rétablir la biodiversité »,
Lire aussi : L’Union européenne sous-estime la dangerosité des pesticides https://reporterre.net/L-Union-europeenne-sous-estime-la-dangerosite-des-pesticides
Ndlr : avis de la confédération paysanne ? ACT
... ne pas répondre à des sollicitations suite à un démarchage téléphonique pour des travaux de rénovation énergétique. Si cela est le cas, ne signez rien sans avoir soumis l’offre commerciale qui vous a été faite à votre conseiller INFO-ÉNERGIE
...
Le dispositif d’isolation des combles à 1 € s’appuie sur le programme des Certificats d’Économies d’Énergie (CEE), nommé le plus souvent « les primes des fournisseurs d’énergie ».
...
aide bonifiée cumulable pour :
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changer sa chaudière fuel/gaz ancienne et la remplacer par :
– une chaudière biomasse ;
– une pompe à chaleur air/eau ou eau/eau ;
– une pompe à chaleur hybride ;
– un système solaire thermique combiné ;
– le raccordement à un réseau de chaleur alimenté majoritairement par des énergies renouvelables ou de récupération. -
isoler son plancher de combles perdus ou ses rampants de toitures (combles aménagés ou aménageables).
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isoler son plancher bas (donnant sur un vide-sanitaire, un garage etc)
... vous risquez de passer à côté d’aides financières plus intéressantes que l’isolation des combles à 1 €, et plus généralement que les aides associées aux primes des fournisseurs d’énergie. Votre projet doit être envisagé d’un point de vue global.
ÉNERGIE
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À l’origine de la révolte, on trouve un décret du Président Lenin Moreno. Celui-ci a accepté de supprimer les subventions aux carburants en échange d’un prêt du Fonds monétaire international (FMI) de 4,2 milliards de dollars. Cela a entraîné une augmentation des coûts de 123 %, qui n’a pas été supportée par la partie la population la plus pauvre, en particulier les Indiens, représentant un quart de la population équatorienne.
En Équateur, la partie de la population la plus fragile, en particulier les Indiens, a mis la rue en feu après un décret présidentiel qui a supprimé les subventions aux carburants, faisant doubler les prix. Cette condition était imposée par le FMI en échange d’un prêt de plusieurs milliards de dollars.
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