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748 k abonnés - 21k+ - 374 481 vues - 2 381 commentaires #Darmanin #Intérieur #ExtrêmeDroite
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Entre son débat avec Marine Le Pen, son rapprochement avec les syndicats de police ou ses remarques jugées antisémites, qui est le ministre de l'Intérieur ? Portrait signé Salomé Saqué.
Journaliste : Salomé Saqué
Montage : Camille Chastrusse Images : Arthur Frainet Son : Baptiste Veilhan Graphisme : Adrien Colrat Réseaux Sociaux : Maxime Hector Production : Thomas Bornot Direction des programmes : Mathias Enthoven
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Bertrand P a partagé 1 h *
jbouchez@mstdn.social InsoumisCbv@mamot.fr JBouchez @jbouchez@mstdn.social
Gérald #Darmanin, ministre de l'Intérieur français, accusé de viol, catho intégriste-nationaliste et d'extrême-droite. Et après on se demande pourquoi la flicaille est de plus en plus violente en France...
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Eva Illouz, sociologue, directrice d’études à l’EHESS, auteure de “Les émotions contre la démocratie” (Premier Parallèle) - James Startt
Un peu partout dans le monde, les démocraties sont attaquées par le populisme nationaliste. Point commun de toutes ces situations : des émotions travaillent la vie politique. Décryptage avec la sociologue Eva Illouz, auteure de "Les émotions contre la démocratie" (Premier Parallèle).
Avec Eva Illouz Sociologue
*Clés : Info Politique Partis politiques Eva Illouz
L'équipe Ali Baddou ; Natacha Polony ; Gilles Finchelstein ; Mathilde Khlat ; Marie Merier
Tr.: ... la peur ... le dégout, émotion du racisme ... le ressentiment ... l'amour de la patrie, cette émotion affirmative synthétise les trois précédentes négatives... distingue patriotisme inclusif (Reagan) au patriotisme exclusif (un seul groupe) ... l'amour de dieu ... Israël beau cas d'étude du nationalisme religieux, forme qui a pour obsession le corps des femmes et l'homosexualité, exclure les étrangers, introduire une dimension cosmique à la politique, sacraliser l'élu, transforme l'opinion politique en identité, ex USA, blancs, chrétiens, rend moins négociable les différentes opinions. ...Houellebecq/Onfray ... Une émotion submerge notre conscience, notre intérêt ... on se sent lié à des symboles, un groupe de gens, un leader ... Mélenchon devenu populiste pour recruter un électorat ... Nous pouvons alors voter contre notre propre intérêt ... Vote selon identité plus que selon classe sociale ...
Marine Le Pen prône des thèses nationalistes et xénophobes, elle cherche à séduire les classes populaires et moyennes en faisant croire que nos difficultés seraient causées par les réfugiés et les personnes de confession musulmane. Lorsque l’on se penche sur son programme économique, il est troublant, pour ne pas dire confondant, de voir la similarité des propositions avec celui d'Emmanuel Macron.
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Toutes les deux semaines, Fabrice alias le Stagirite porte un regard décalé sur l'actualité et les stratégies de communication des puissants. L'ironie n'empêchant pas l'analyse rigoureuse.
*Clés : Extrême droite ; Néolibéralisme ; Présidentielles 2022
La campagne d’Éric Zemmour semble pouvoir être décrite comme une bulle médiatique. Une proposition politico-médiatique qui ne correspondrait à aucune demande sociale. Mais on peut aussi penser qu'au-delà de la personne Zemmour, il y a peut-être bien un mouvement de fond.
D'une part, on voit dans les enquêtes électorales que son électorat provisoire est l'un des plus déterminés. 2/3 des personnes ayant l'intention de voter Zemmour disent être sûres de leur choix. Et son électorat a la particularité de s'intéresser beaucoup à la politique, donc il ne choisit pas par hasard. Il y a bien un socle zemmourien. Il est à droite, masculin, plus diplômé et plus aisé que l'électorat du RN.
D'autre part, si on fait des comparaisons internationales, on s'aperçoit que les équivalents étrangers de Zemmour ont le vent en poupe. Dans le reste du monde et en Europe, on a vu des leaders nationalistes ou populistes bousculer la droite installée puis prendre le pouvoir : Trump aux Etats-unis, Bolsonaro au Brésil, Orbán en Hongrie, Boris Johnson au Royaume-Uni.
Zemmour s'appuie sur un double constat : la naissance d’un nouveau clivage politique mondial depuis la crise de 2008 et l’état présent du paysage politique français.
Zemmour pense que l’avenir est au clivage entre les pro-mondialisation et les nationalistes. Il y a bien selon lui en France le pôle de la mondialisation néolibérale (Emmanuel Macron). Mais pour lui, en face, il manque quelque chose
Il y a bien le Rassemblement national, mais selon Zemmour, ce parti et sa candidate ne sont pas en mesure d'incarner efficacement le pôle identitaire-nationaliste : Marine le Pen est trop ambigüe sur le libéralisme. En effet toutes les forces nationalistes qui ont percé dans différents pays dans la dernière décennie combinent un conservatisme fort avec un libéralisme économique assumé. Zemmour, lui, n'a pas peur d'afficher son libéralisme pour rallier les classes supérieures : baisse des impôts sur les sociétés, baisse des cotisations sociales, attaques contre le droit du travail, recul de l’âge de la retraite, réduction de la dette publique.
Zemmour en déduit qu’il y a de la place pour sa candidature : il pense pouvoir unifier une demande qui sans lui se résignerait à voter autrement
Si on en croit les sondages, Zemmour ne parvient pas à s’installer sérieusement chez les classes populaires. Mais par son libéralisme il capte les couches supérieures du lepénisme et cherche à les arrimer à la droite classique. Zemmour comprend qu'il peut être le point de convergence de l'extrême droite et d'une droite extrêmisée. Ce serait une sorte d'union des droites dans un grand pôle conservateur identitaire.
Son but est donc de repérer et de saisir ce qui lui permettrait d'installer en France, face au pôle macronien, un pôle nationaliste et libéral. Cette opposition est décrite dans l'espace public de différentes manières : progressistes contre populistes, mondialistes contre patriotes, néolibéraux contre souverainistes, ouverture contre fermeture, cosmopolitisme contre nationalisme.
Les commentateurs et analystes politiques colportent l’idée d’une opposition en tous points entre les tenants de la mondialisation néolibérale et les nouveaux populistes arrivés au pouvoir après la crise de 2008. Il est courant de rappeler que ces leaders populistes se sont appuyés sur les laissés-pour-compte de la mondialisation et du néolibéralisme : c’est le fameux ouvrier blanc électeur de Trump, c’est l’habitant de la “France périphérique” électeur du RN.
Zemmour, comme Trump, comme Johnson, mais aussi comme Le Pen, leur dit : “la source de vos maux c'est la mondialisation. Or la mondialisation est la perte de la souveraineté de l’Etat-nation. La solution est donc de redonner le pouvoir à l’Etat pour sortir du néolibéralisme et de la mondialisation.”
Analyse
Le ralentissement des activités humaines et la baisse de certaines pollutions donnent lieu à quelques sympathiques images - ici des dauphins en liberté dans des eaux portuaires, là l’Himalaya visible à plus de 200 kilomètres, ailleurs le chant des oiseaux redevenu audible... Et si le coronavirus était une bonne nouvelle pour l’écologie ? Faux, martèle François Gemenne, spécialiste en géopolitique de l’environnement. Ce serait même tout l’inverse. Explications.
Alors que le Royaume-Uni cherche en quittant l’Union Européenne à maximiser ses intérêts nationaux au détriment de ceux de l’ensemble des Européens, et que chaque État négocie pour faire le moins d’effort possible dans les engagements sur le climat, ou pour favoriser ses industries, même les plus polluantes, il apparaît que le nationalisme atteint ses limites dans le contexte de l’Anthropocène.
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mots-clés Accord de Paris Anthropocène brexit Cop21 environnement ESB Europe nationalisme Nations Unies ONU pollution REACH réchauffement climatique Royaume-Uni vache folle
David Djaiz est haut-fonctionnaire. Il vient de publier Slow Démocratie, un essai dans lequel il essaie de réhabiliter le cadre national comme cadre essentiel de la démocratie et levier fondamental pour maîtriser la mondialisation. Il y décrit avec minutie les effets de la mondialisation sur la cohésion territoriale, l’urgence climatique et les processus démocratiques. Entretien par Lenny Benbara. Retranscription par Brigitte Ago et Dany Meyniel.
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première phase débute dès les années 70 ... mondialisation réglementaire ... seconde phase de la mondialisation quelque part autour de 1989 ... chute du mur de Berlin ... révolution technologique avec le développement des technologies de l’information et de la communication. Conjuguée à la révolution de la conteneurisation dans le transport maritime ... baisse des coûts ... Des chaînes de valeur globalisées se mettent en place ex. iPhone ... Tim Cook, l’actuel PDG d’Apple, est un logisticien ; ce n’est pas un hasard ... La mondialisation fragilise le travail intermédiaire, et donc la classe moyenne dans les pays industrialisés, mais en même temps elle offre des machines peu chères qui permettent aux industriels de remplacer les travailleurs par des machines.
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troisième phase aggravation des fractures territoriales ... L’économie de la connaissance, les manipulateurs de symboles, les centres de conception se concentrent dans les grandes métropoles, profitant au maximum des effets de rente d’agglomération. Ex. Renault ... la crise des finances publiques de 2010, qui arrive après la crise de 2008, a mis à mal cette solidarité invisible : les ressources publiques étant désormais sous contrainte, la solidarité naguère invisible devient de plus en plus visible et de moins en moins acceptée.
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effet positif dans l’absolu, au sens où elle a fait sortir de la pauvreté absolue des centaines de millions voire des milliards de personnes et qu’elle a réduit les inégalités entre nations.
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gouvernement mondial ou fédération européenne, projets à l’arrêt ... 90 % des sondés dans soixante pays du monde environ se disent attachés à l’idée nationale ... La vraie surprise ... plus attachés à leur identité nationale qu’à leur identité locale ... incapacité à voir que le sentiment national est une socialisation qui se construit sur plusieurs siècles, fondée sur un substrat structurel : une langue, une culture, des valeurs partagées. Ce n’est qu’ensuite qu’il se donne un projet politique – en l’espèce le projet républicain. ... à l’arrivée une montée sans précédent du nationalisme autoritaire ... montée des inégalités, des fractures dans les sociétés, bref des politiques néolibérales qui ont généré contre elles du ressentiment
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urgent de construire un discours beaucoup plus raisonnable qui ne serait pas basé sur l’antagonisme entre la mondialisation et la démocratie, qui accepterait le fait national mais inventerait une nouvelle phase de la mondialisation ... Les États deviendraient les écluses capables de décider démocratiquement dans quelles circonstances une intégration économique plus approfondie est bonne ou pas ... mettre des barrières au commerce international sous la forme d’un ajustement carbone aux frontières par exemple, ou en renégociant assez durement les traités de libre-échange ... les défis territoriaux et immobiliers rendent nécessaire une instance qui fasse prévaloir un intérêt général au-dessus des situations locales, qui soit capable de redistribuer des richesses entre des territoires qui ont tendance à les concentrer et des territoires plus en difficulté. Cette instance, c’est l’Etat-nation ... redistribution à la fois entre les individus et entre les territoires
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En revanche donner davantage d’autonomie aux autorités locales / des dépenses d’allocation / projets locaux d’aménagement / proximité avec les problèmes des habitants ... l’économie sédentaire ... agriculteurs aliments frais + services environnementaux ... artisanat / rénovation thermique ... emplois non délocalisables
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re-politiser l’Europe, mieux connecter toutes ces institutions européennes à la vie démocratique ... Aux États-Unis, l’anti-trust a été capturé par des lobbys et des intérêts industriels divers, qui ont petit à petit affaibli toutes ses défenses immunitaires et ont mené à la constitution de gigantesques oligopoles ... d’accord avec Thomas Philippon : la politique anti-concentration européenne ne mérite pas l’excès d’indignité qu’on lui oppose parfois, en revanche je n’arrive pas à me satisfaire d’un système où le citoyen n’a pas son mot à dire ... une Europe-puissance, une Europe des biens publics, etc. car il est nécessaire de passer à l’échelle dans un certain nombre de domaines. Il faut simplement qu’elle soit mieux connectée au fait national.
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décélération sélective ... si démondialiser ça veut dire re-nationaliser intégralement les économies, nous sommes face à une impossibilité, qui découle de l’incompatibilité de cette proposition avec une économie de la connaissance hyper-liquide, hyper-fluide, et en même temps hyper-industrielle ... on se dirige en réalité vers une régionalisation des chaînes de valeur, parce que les coûts de l’énergie et donc les coûts de transport vont fatalement augmenter / conscience écologique ... être moins naïves aussi dans les relations avec leurs partenaires économiques que sont la Chine et les États-Unis ... passer des accords de réciprocité / une partie de la valeur ajoutée locale
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Le populisme est assimilé dans l’ouvrage à un courant de droite radicale, alors que ce phénomène peut prendre différents aspects. Il traduit justement ce désajustement entre les lieux de la prise de décision et les lieux d’élaboration démocratique avec cette volonté de Take back control. Est-ce-que la solution ne résiderait justement pas dans une forme de populisme républicain ?
DD – C’est une excellente question : le populisme n’est pas une idéologie, c’est un style caractérisé par la valorisation du bon peuple face à des élites corrompues, un recours assumé à la violence verbale, une exaltation de la force physique, une méfiance vis-à-vis de toutes les médiations comme les partis politiques, une désintermédiation entre le leader « hyperincarné » et la masse, etc.
« La logique de la nation démocratique est une logique affinitaire davantage qu’identitaire. »
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à la question « certains éléments du populisme sont-ils parfois positifs pour re-dynamiser un peuple politique ou re-politiser une action ? », je réponds pourquoi pas. Mais encore faut-il être très prudent
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l’essentiel de la dynamique républicaine : sa capacité à convertir la dynamique des conflits sociaux en une énergie positive qui prend chair dans des lois, dans des institutions. ... On a besoin de puissance publique, on a besoin de biens communs, en conséquence de quoi on a besoin de débats publics ... Le bien commun est le résultat d’une délibération, mais qu’elle puisse se faire sereinement exclut un style politique empreint d’une trop grande violence.
Lenny Benbara est analyste politique et spécialiste de l'Espagne et de l'Italie, ainsi que de la politique européenne. Il est diplômé de l'ENS de Lyon et est économiste de formation. Il a par ailleurs fondé Le Vent Se Lève où il officie en tant que responsable du développement.
TAGS Capitalisme cohésion territoriale david djaiz Europe nation néolibéralisme Populisme République Territoires
Ndlr : si j'ai bien compris, il ne prône pas du tout une démondialisation (mais une décélération sélective) ni la fin du néolibéralisme, mais une économie duale (chaînes de valeur globalisées / économie sédentaire). Il termine en laissant la porte ouverte à un populisme éthique (bien qu'il manque la notion d'oligarchie tout en citant les oligopoles, comme s'il n'allait pas au bout du raisonnement, restant centré sur la notion d'élites) et fait l'éloge du débat pour régler les conflits. CONCLUSION : texte qui ouvre des ponts vers une société vivante et éthique ? À SUIVRE !
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Aujourd'hui, Le Média recevait Charles Roederer, 88 ans, Président de la ligue des droits de l'homme de Lorraine et Président d'un centre de recherche sur la sidérurgie.
Au lendemain des européennes, face à la montées des nationalistes en France et en Europe, ce vieux militant anti-raciste nous fait part de son pessimisme, mais aussi de ses espoirs.
Nous revisitons avec lui 60 ans d'une histoire de France qui va du CNR au FN qui gagne les dernières élections.
Catégorie Actualités et politique 273 commentaires
Les élections européennes ont vu une nouvelle fois l’extrême-droite tirer son épingle du jeu. Dans de nombreux pays en Europe – Belgique flamande, Italie, Royaume-Uni, Pologne, France, etc. – celle-ci engrange des réussites électorales avec une stabilité qui force le respect. Certes, on en oublierait que le principal vainqueur de ces élections est, comme à l’accoutumée, l’abstention – avec uniquement 50,7% de participation. Les cris d’orfraie provoqués par cette percée masqueraient presque l’impuissance colossale du Parlement européen, exclu du droit d’initiative législative et enserré dans le complexe réseau d’acteurs de la gouvernance européenne. C’est donc à une élection aux enjeux "dérisoires" https://www.marianne.net/debattons/entretiens/david-cayla-les-regles-europeennes-determinent-strictement-le-cadre-economique que le peuple français était convié.
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Pour Jean-Claude Michéa, il ne s’agit ni plus ni moins d’une "trahison des classes populaires par la nouvelle gauche "progressiste"", et ce recentrement sur les questions dites sociétales "a permis de dégager peu à peu un boulevard pour le Rassemblement National en lui offrant la possibilité - au prix de quelques indispensables révolutions de palais - de diffuser dans l’électorat populaire ses propres "vérités alternatives".
extrême(s)_droite(s)
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- http://www.adoxa.info/?s=nucl%C3%A9aire élude l'énergie nucléaire (centrales nucléaires électriques)
- jusqu'où va leur conservatisme ? risques de dérapage (racisme, xénophobie, etc) ? => approfondir, questionner ACT
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Dans l'Entretien Libre ce soir, le photographe et documentariste Vincent Jarousseau, co-auteur de « l’Illusion nationale », roman-photo qui nous entraînait début 2017 à la rencontre des électeurs de l'ex-Front National, nouveau Rassemblement National, et de leurs opposants. Avec l’historienne Valérie Igounet, il avait su trouver la distance idéale vis-à-vis de ses interlocuteurs: ni complaisance qui exonèrerait ceux-ci de voter pour un parti xénophobe, ni dégoût surplombant face à des monstres incompréhensibles. Depuis, Vincent Jarousseau est parti vers d’autres terrains d’explorations, dans la région de Valenciennes, pour un nouveau projet photographique, le "Denain Project", toujours à la recherche des classes populaires. C'est dans ce cadre qu'il a suivi sur place le mouvement des gilets jaunes. Il nous livre ses premières réflexions à ce sujet.
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Actualités et politique
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