158.664 signatures (255.862 au 24/7)
A M. Le Président de l’ARCOM et les membres du collège
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le pluralisme et la qualité de l’information ne sont pas respectés ... 34 interventions ont été recensées en deux ans pour signaler des faits de désinformation, de racisme, de sexisme, d’incitation à la haine, de non-respect du pluralisme, d’un manque « d'honnêteté dans l’information » ou encore en raison de la prépondérance du temps de parole accordé à l’extrême droite en période électorale.
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Depuis 2015 et le rachat d’iTélé (ancêtre de CNews) par Vincent Bolloré, le nombre de journalistes employés par la chaîne a baissé de 17,5 %. En réduisant drastiquement et délibérément le temps d’antenne consacré à l’information, et en faisant la part belle à l’expression d’une opinion, sans aucun respect du pluralisme, CNews est devenue une chaîne d’opinion et ne peut plus être considérée comme une chaîne d’information comme l’indique sa convention avec l’Arcom.
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Cette pétition a également été publiée sur le site du journal l'Humanité sous la forme d'une lettre ouverte de Latifa Oukhouir, ex-journaliste et directrice du mouvement et Sophie Taillé-Polian, députée Générations du Val-de-Marne, vice-présidente du groupe Écologiste-Nupes.
Connu / TG le 12/03/23 à 19:43
Connu / https://mastodon.top/@redfrog@mamot.fr/109864337269094577
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15 h redfrog@mamot.fr redfrog @redfrog@mamot.fr
Plus de 6 mois d'enquête et une trentaine de médias mobilisés dans le monde, dont la cellule investigation de Radio France.
Le projet #StoryKillers coordonné par @FbdnStories lève le voile sur l’industrie de la désinformation, aujourd’hui en plein essor.
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Par le groupe Santé Pesticides Monsieur le député MESNIER, sur Facebook (1), s’attribue la mé ...
Connu / TG le 02/02/23 à 17:38
Actualités, Travail, Entreprise et Industrie
Comme souvent en période électorale et dans le contexte d’annonce de nouveaux investissements dans le nucléaire civil, le débat se relance sur la sécurité des centrales, en France et dans le monde, et l’exigence de sûreté pour les populations. Pour nous éclairer sur ces sujets complexes, Progressistes est allé à la rencontre de Tristan Kamin, ingénieur en sûreté nucléaire et habitué de la vulgarisation scientifique autour des enjeux de l’électronucléaire et de l’écologie.
Entretien accordé par Tristan Kamin, ingénieur en sûreté nucléaire, et réalisé par Thomas Liechti, membre du comité de rédaction de Progressistes.
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la transparence est bénéfique à la culture de sûreté (transmission de l’information, retour d’expérience, obligation d’être aussi clean que raisonnablement possible…), mais nuisible à la sécurité, car révéler des vulnérabilités structurelles ou organisationnelles servirait évidemment la cause d’une personne ou d’un groupe malveillant.
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la défense en profondeur consiste à tout faire pour prévenir les accidents, tout en postulant qu’ils peuvent se produire quand même, et savoir en limiter les conséquences.
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Ce sont notamment les conférences de Jean-Marc Jancovici qui, pendant mes études, m’ont fait ouvrir les yeux sur les sujets du climat (dont il serait une litote de dire qu’il m’intéressait très peu jusqu’alors) et des risques liés à l’approvisionnement en énergie. On peut être en désaccord avec lui sur bien des sujets, mais pour ce qui est d’expliquer le réchauffement climatique, ses risques et le lien avec l’énergie, il est excellent.
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désinformation entretenue par des organisations réputées écologistes sur le sujet (politiques, ONG…)
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toute une culture visant à répandre la peur pour susciter un rejet en bloc
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Cela fait quarante ans que l’on débat sur le nucléaire, et que c’est quasi systématiquement une querelle de chapelles
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aujourd’hui, les alternatives promises par les opposants au nucléaire ne sont toujours pas au rendez-vous
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deux contraintes colossales : l’enjeu climatique ... et le fait que le parc nucléaire commence à avoir de l’âge, de sorte que son remplacement à l’horizon de dix ou vingt ans doit impérativement se décider maintenant. Donc, certes, ça fait trente ans qu’on débat… Mais sans trouver de meilleure proposition, il faut en déduire qu’un renouvellement au moins partiel du parc est incontournable – et c’est le consensus qui s’établit à l’échelle mondiale.
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biais mémoriel avec l’existence d’organisations qui, par intérêt au moins idéologique, travaillent à entretenir la peur du nucléaire et de la radioactivité
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la question des déchets nucléaires ne devrait, à mes yeux, avoir qu’une place négligeable dans le débat. Entendons-nous bien, le sujet n’est pas anodin, mais les déchets, aujourd’hui, on les gère très bien
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Les risques d’accident nucléaire ont une place plus que légitime ... risque à très faible probabilité d’occurrence, aux conséquences potentielles graves mais somme toute localisées dans un rayon de quelques dizaines de kilomètres autour de son épicentre, et que l’on commence à bien savoir maîtriser. En face, le réchauffement climatique : une probabilité de 100 % si l’on ne fait rien, aux conséquences dramatiques et qui concernent le monde entier.
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Ndlr : - comme JMJ, il disqualifie sans arguments les ENR.
- Il minimise les risques et les conséquences d'un accident nucléaire
- il est prétentieux (voire il ment) sur les déchets sous contrôle, en tout cas il minimise le risque qu'ils génèrent, notamment en éludant les questions de santé à long terme
- il reconnaît la perte de savoir-faire ayant abouti au fiasco de l'EPR Flamanville, mais il ne dit pas un mot des risques liés à la sous-traitance généralisée.
- Conclusion, opposer le risque nucléaire avec le risque climat n'a aucun sens. Personne ne prétend qu'il faut prendre en compte l'un ou l'autre, mais bien LES DEUX. La MAUVAISE FOI EST DONC PATENTE. Et il procède de la manière qu'il dénonce chez les soi-disant adversaires qu'il disqualifie d'emblée sans accepter le dialogue pour aboutir à une synthèse. Enfin, il ment sur l'importance mondiale prétendue ACT
(synonymes : tromperie, perfidie, déloyauté) S'il ne faisait pas système, on pourrait imaginer de la naïveté, mais là, non.
a généré https://twitter.com/TristanKamin/status/1462523380175974404 "Citez vos arguments svp" => rép ACT
Cemil Hebdo
Cette semaine, revenant sur la manifestation de samedi 14 à Paris, il se penche sur le sens de l'action dans la rue, ses limites, ses pièges et surtout la stratégie d'un Etat violent pour broyer la contestation.
1:29 Tous traumatisés
4:13 Tous invisibilisés
6:38 Où est la violence ?
10:06 Légalité contre démocratie
10:53 Etat, Google et tracking
12:46 Loi Séparatisme
15:00 Institut Montaigne
15:47 Afghanistan, exilés et Police
Connu / https://twitter.com/LeMediaTV/status/1428407160392671235
"3 - 58 - 72"
20 minutes
L’enquête des journalistes Stéphane Foucart et Stéphane Horel analyse les nouvelles stratégies de lobbying pour peser dans le débat scientifique et médiatique.
Libération parle ce matin « d’un cyclone de réactions », avant même que ce livre ne paraisse. L’ouvrage est intitulé « Les gardiens de la raison, enquête sur la désinformation scientifique », il est publié chez La Découverte. Je le précise car les auteurs criblent tous les canaux, toutes les voies et les voix qu’empruntent les lobbys de l’industrie pour battre en brèche le principe de précaution et disqualifier les combats pour la santé ou l’environnement. Et ce, au nom de la science. Au nom de la « bonne » science, celle qui n’entraverait en rien le progrès. Traduire : qui n’entraverait en rien la loi du marché. Quels sont ces canaux ? Des maisons d’édition, des journaux, des radios, des chaines de télé et une myriade de blogs, comptes Twitter ou chaînes Youtube. Ainsi que des agences de relations publiques qui fabriquent des arguments scientifiques tout prêts pour journalistes paresseux ou simplement ignorants. Ce livre est dense, précis, fouillé, très polémique, édifiant et passionnant.
L'équipe Sonia Devillers Productrice Anne-Cécile Perrin Réalisatrice Redwane Telha Rédacteur en chef Marion Philippe Attachée de production
Credit: Greg Webb / AIEA
Un an seulement après la catastrophe de Fukushima, Jean-Marc Jancovici déclarait qu’« il n’y a plus de raison sanitaire d’empêcher le retour des populations évacuées à Fukushima, qui, au final, n’aura fait aucun mort par irradiation. » Depuis, chez les partisans de l’énergie atomique, la fausse information d’un accident nucléaire aux conséquences sanitaires quasi-nulles a gagné du terrain, notamment sur Youtube.
La chaîne Youtube Le Réveilleur diffuse des informations sur le nombre de victimes de la catastrophe de Fukushima. Dans deux vidéos, le vulgarisateur scientifique dresse un bilan sanitaire prématuré de l’accident nucléaire de 2011 sur la base d’éléments contestables. En mai 2019, Rodolphe Meyer – alias Le Réveilleur – publie en effet sur sa chaine Youtube deux vidéos[1] en partie consacrées à l’impact sanitaire de l’accident de Fukushima au Japon.
En 8 minutes chrono, le youtubeur science entend dresser un bilan des travaux disponibles sur un sujet controversé. Pourtant, bien que le vidéaste qualifie son propre travail de « sourcé, s’appuyant sur l’analyse d’éléments scientifiques disponibles »[2], s’agissant du nombre de victimes consécutif à une exposition aux rayonnements ionisants après l’accident nucléaire de 2011, aucune étude épidémiologique de long terme n’est à ce jour disponible, et pour cause.
Bilan sanitaire définitif 8 ans après l’accident : un non-sens scientifique ?
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Fukushima et le mythe du « zéro mort »
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Les leçons de Tchernobyl
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Au Japon, la radioactivité qui dure
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Le Réveilleur : youtubeur vulgarisation ou influenceur ?
TAGS Fukushima Jancovici Le réveilleur nucléaire transition énergétique
Connu / https://wegreen.fr/group/nucleaire-renouvelables/publication/infonuke-23-septembre-2020
Sujets relatifs : Matériaux & Chimie, Hydrogène, Electrolyse
L'électrolyseur de 2 mégawatts au cœur de l'usine de production d'hydrogène décarboné inaugurée le 12 juin par Apex Energy en Allemagne ne représente qu'une étape pour McPhy. Le français mise sur la maturité de l'électrolyse alcaline pour faire passer cette technologie à l'échelle industrielle et réduire le coût de production de l'hydrogène vert.
Produire de l’hydrogène zéro-carbone à grande échelle pour aider à décarboner l’industrie, voilà le défi que s'est donné McPhy. Son électrolyseur de 2 mégawatts (MW) au cœur de l'usine de production d'hydrogène zéro-carbone inaugurée par Apex Energy le 12 juin à Laage, en Allemagne, ne représente qu'une étape.
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l’électrolyse alcaline est certes moins innovante que sa concurrente, l’électrolyse à membrane échangeuse de protons (Proton Exchange Membrane, ou PEM) qui utilise un électrolyte solide et est réputée pour avoir un meilleur rendement. ... Mais « le PEM n’est pas arrivé à une maturité suffisante pour inspirer confiance aux industriels
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Au final, McPhy revendique presque égaler pour ses installations le niveau d'empreinte au sol de la technologie PEM, a priori plus compacte : « Le PEM utilise environ 40 m²/MW, et nous, nous sommes aux alentours de 45 m²/MW grâce aux opérations de pressurisation. » ... deux autres atouts du procédé alcalin : efficacité énergétique et durabilité. « Avec notre procédé, nous consommons environ 55 kWh/kg d’hydrogène produit, avec le PEM, nous serions aux alentours de 58 à 60 kWh/kg, ce qui est extrêmement dommageable. » Quant à la durée de vie des stacks, elle atteint 80 000 heures pour l’alcalin contre 40 000 heures pour le PEM, selon Laurent Carme, qui résume : « Avec l’alcalin, l’exploitant devra changer le stack une fois tous les vingt ans. » Un argument de poids pour se lancer dans la production du gaz léger.
Connu / https://twitter.com/IndustrieTechno/status/1280817862177890304
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McPhy a retweeté Industrie & Technologies @IndustrieTechno · 8 juil. @McPhyEnergy
mise sur la maturité de l'électrolyse alcaline pour faire passer cette technologie à l'échelle industrielle et réduire le coût de production de l'hydrogène vert.
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Ndlr : hydrogène décarboné ? IMPOSSIBLE vu que l'électricité, même produite par ENR nécessite des matériaux produits en utilisant des énergies fossiles :-(
Le directeur de recherche en sociologie Laurent Mucchielli a publié sur son blog un texte dénonçant la médiocrité médiatique et les intérêts pharmaceutiques se cachant selon lui « derrière la polémique Raoult ». Ce texte ayant participé à la désinformation et au complotisme délétères provoqués par les déclarations de Didier Raoult, pâtissant d’un fort biais de confirmation et d’une absence de vérification des informations, m’a d’autant moins laissée indifférente que j’y suis citée. Ma réponse à cette mise en cause me donne l’occasion d’exposer les faits qui sont au cœur de ce qu’il convient plutôt d’appeler l’affaire Raoult.
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L’invention de l’effet certain de la combinaison hydroxychloroquine/azithromycine
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Violation de protocole lié à l’expérimentation humaine
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Communication trompeuse scandaleuse
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Irrespect de la déontologie médicale
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La procureure de Marseille va-t-elle se saisir des éléments susceptibles de constituer des infractions au droit pénal, ou bien Didier Raoult va-t-il s’en sortir sans dommage avec l’appui de son solide réseau politique ?
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si le coup de poker de ce mandarin autoritaire et bouffi de confiance en soi[24] s’avérait être gagnant – ce que rien n’indique à ce jour –, se serait à mes yeux désastreux : les millions d’adeptes de la théorie du complot y verront la confirmation de celle-ci, toutes les personnes ayant critiqué Didier Raoult ou ses études seront discréditées, ce sera un encouragement à retourner à la bonne vieille eminence-based medicine d’antan et pire encore, au développement d’un véritable populisme médical, pour reprendre les mots de deux médecins indignés par les agissements de Didier Raoult et ayant été confrontés à leurs effets délétères concrets au sein des équipes en charge des patients Covid-19, et de manière plus générale la défiance vis-à-vis des institutions montera encore d’un cran, avec des conséquences qui pourraient à terme largement dépasser celles de cette maladie.
J’espère bien qu’au contraire, cette histoire servira de leçon, et pas qu’à Didier Raoult.
Thot - Cursus @thot · 20 min
Forces et faiblesses de l’intelligence artificielle dans la lutte contre la désinformation par @lafropolitain
http://ow.ly/TYQ230qb91c - #IA #infox #désinformation
Forces et faiblesses de l’intelligence artificielle dans la lutte contre la désinformation
cursus.edu
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Les 24 et 25 avril derniers, le Fil d'Actu était invité à la Commission européenne pour un "voyage d'étude pour influenceurs", destiné à "défaire nos idées reçues sur l'UE". Nous y avons vu des choses effrayantes. Et comme on avait nos caméras, aujourd'hui, on vous montre tout. Bienvenue au cœur de la machine...
Catégorie Divertissement 1 993 commentaires
ndlr : orwelien, 1984 !
3 minutes
Un rapport du Congrès américain met en cause les réseaux sociaux dans la désinformation russe pendant la campagne présidentielle de 2016. Facebook et les autres réseaux sont face à leurs responsabilités.
Le fondateur de Facebook, Mark Zuckerberg, lors d’une audition au Congrès américain en avril 2018, sur l’utilisation de son réseau social pour de la désinformation pendant la présidentielle de 2016. © AFP / SAUL LOEB / AFP
Deux ans après l’élection de Donald Trump, l’Amérique cherche toujours à comprendre l’ampleur et les moyens employés par la Russie pour influencer le vote en 2016. Un rapport du Sénat américain, basé sur l’analyse de millions de contenus postés sur les réseaux sociaux, conclue sans équivoque qu’il y a bien eu une vaste opération d’influence, et l’attribue à Moscou.
Ce rapport affirme qu’un Centre de recherche derrière lequel il y a bien, selon l’enquête, le Kremlin, a utilisé toutes les plateformes sociales existantes pour diffuser à grande échelle de la désinformation et de la division sociale, au profit de Donald Trump.
Ainsi, des publicités ciblées sur Facebook à l’égard des électeurs noirs, payées par des prête-noms, ont dénigré Hillary Clinton en faisant croire qu’elle recevait des donations du Klu Klux Klan.
Le rapport accuse également Facebook, Google et Twitter d’avoir menti au Congrès depuis deux ans. Un Sénateur a qualifié hier ce rapport de « signal d’alarme brutal », et a appelé à légiférer contre les plateformes numériques.
Un second rapport résume bien le défi : « Les médias sociaux, dit-il, étaient le cadre naturel du partage de revendications collectives et de la coordination d’actions civiques ; ils sont devenus des instruments de contrôle social, manipulés par des consultants politiques rusés, au service aussi bien des hommes politiques des démocraties qu’à ceux des dictatures ».
Tout est dit, et résume la transformation des dernières années, qui a installé les réseaux sociaux au cœur de nos vie politiques et sociales.
Souvenez-vous, il y a huit ans, un graffiti sur un mur de Tunis en pleine révolution, avait des allures de cri du cœur : « Merci le peuple, merci Facebook », avait tagué un jeune Tunisien, capturant la nouveauté d’un soulèvement né dans la rue, mais facilité par le réseau social.
Aujourd’hui, Facebook compte deux milliards d’utilisateurs, auxquels il faut ajouter le milliard de comptes Instagram racheté en 2012. Et son rôle est devenu central : il suffit de voir l’usage qu’en font les gilets jaunes en France pour s’organiser, mobiliser, et s’informer en dehors des médias traditionnels.
Le problème est que Facebook et les autres réseaux sociaux sont devenus les vecteurs du meilleur comme du pire, de la convivialité et de la haine, d’une information de qualité comme de la pire désinformation ou du complotisme.
Les plateformes ont perdu toute crédibilité, et il serait dangereux de les laisser pratiquer l’autorégulation.
Les États tentent de réagir, mais en ordre dispersé, la France et l’Allemagne ont légiféré, mais pas dans le même sens, et aucune des deux législations n’est satisfaisante. Des initiatives sont en cours dans la société civile internationale pour proposer des pistes de solutions.
Mais c’est aussi aux citoyens de prendre conscience de l’enjeu. Facebook est devenu la place de marché de l’information et de la vie civique, sans en avoir ni les responsabilités, ni l’éthique : c’est un enjeu démocratique majeur.
L'équipe
Pierre HaskiChroniqueur
Mots-clés :
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Selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), les groupes industriels agroalimentaires pratiqueraient de la désinformation vis à vis de l’allaitement. L’organisation internationale dénonce notamment des campagnes de communication destinées à rendre méfiante les mères qui choisiraient la méthode naturelle pour nourrir leurs enfants.