Chlorothalonil. Élus et syndicat de l'eau partent en croisade contre les produits phytosanitaires et fustigent "l'inaction de l'État" / France 3 Nouvelle-Aquitaine
Cette semaine, le syndicat Eau 17 et le département de la Charente-Maritime signent deux ...
Connu / TG le 14/12/23 à 13:33
Ecole et Handicap : un site animé par Pierre Baligand
Le site « Ecole et handicap » est réalisé en relation avec le site « Intégration scolaire et Partenariat ».
Son objet est le même : donner des informations sur la scolarisation des élèves en situation de handicap, en étant à l’écoute des questions des familles et des enseignants.
Mais des amis, constatant qu’« Intégration scolaire et Partenariat » était devenu difficile d’accès et même parfois indigeste, ont proposé de lui adjoindre « Ecole et handicap », de présentation plus moderne, plus accessible et destiné à faciliter la recherche. Qu’ils en soient remerciés.
Pierre Baligand (Crédit photo : Alain Sacrez)
« Ecole et handicap » propose donc, pour chacun des chapitres abordés, une présentation simplifiée qui va à l’essentiel tout en donnant aussi le lien vers la page plus technique d’« Intégration Scolaire et Partenariat ».
Pierre Baligand – 15 mai 2018
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Editeur du site : Association Intégration Scolaire & Partenariat
Siège : 9 rue des Eglantiers – 17 000 La Rochelle
Mail : scol.partenariat@free.fr
Directeur de la publication : Pierre Baligand
Administrateur du site : Thomas Baligand
Hébergeur du site : OVH
La maison du vice-président de Nature Environnement 17 , à la Laigne, à la limite des Deux-Sèvres ...
Connu / TG le 23/03/23 à 14:55
La Cour administrative d'appel de Bordeaux a confirmé l'annulation de l'autorisation de création
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Connu / TG le 24/02/23 à 13:03
Lecture 2 min - Accueil Sud Ouest Éco Agriculture
Thierry Boucard, président de l’Association syndicale autorisée d’irrigation (ASAI) des Roches, devant la réserve de Laigne. © Crédit photo : Archives Jean-Christophe Sounalet/ « SUD OUEST »
Le Conseil d’État confirme l’interdiction de remplir les cinq réserves à usage agricole construites par l’ASAI des Roches à La Grève-sur-Mignon, La Laigne et Cramchaban
« On s’y attendait. C’est désolant… » Thierry Boucard ne cache pas son dépit alors que le Conseil d’État a rejeté, vendredi 3 février, le pourvoi de l’Association syndicale autorisée d’irrigation (ASAI) des Roches, qu’il préside, confirmant l’arrêt de la cour administrative d’appel de Bordeaux du 17 mai 2022.
Pour ne résumer que le dernier épisode du long feuilleton juridique entre les irrigants du nord de la Charente-Maritime et l’association Nature environnement 17, les premiers se voient à nouveau interdire de remplir les cinq réserves d’eau à usage agricole construites en 2009 et 2010 à Cramchaban, La Grève-sur-Mignon et La Laigne. Leur détermination, pour autant, n’est pas entamée.
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Alors que ce week-end voit un rassemblement XXL contre la bassine de Sainte-Soline, ces réserves d’eau destinées à un usage agricole fracturent depuis des années le monde paysan. Une lutte qui se radicalise et qui témoigne de l’extrême difficulté de la filière à adapter ses pratiques au réchauffement climatique
« On va refaire une demande d’autorisation, encore une fois », annonce Thierry Boucard, qui n’a « aucunement l’obligation de reboucher les réserves ». « C’est leur utilisation qui a été déclarée illégale, pas leur construction, et on fera tout pour pouvoir les utiliser. Les irrigants ne sont pas entendus dans cette affaire, seuls les opposants sont écoutés. On veut juste pouvoir travailler pour nourrir les gens. » Francis Pineaud, membre de l’ASAI, précise que l’interdiction prononcée concerne l’arrêté préfectoral de 2015. « Le nouvel arrêté de 2018 rend légal le remplissage en été », assure-t-il.
Courrier au préfet
Le son de cloche n’est évidemment pas le même du côté de Nature environnement 17, pour qui la décision du Conseil d’État n’est pas non plus une surprise. « Il considère que la cour administrative d’appel est souveraine », relève Patrick Picaud, membre de l’association, justifiant cette décision par le fait que « le règlement du Sage [Schéma d’aménagement et de gestion de l’eau de la Sèvre Niortaise Marais poitevin, NDLR] est toujours en vigueur ».
Nature environnement 17 s’attend aussi à ce que l’ASAI des Roches persiste. « La première fois, ils ont mis quatre ans à déposer un nouveau dossier, souligne Patrick Picaud. Cette fois, dès que la décision du Conseil d’État nous sera parvenue par courrier, nous écrirons au préfet de la Charente-Maritime pour que l’État prenne enfin ses responsabilités. »
Plainte contre l’ASAI des Roches
L’association a également l’intention de porter plainte contre l’ASAI des Roches après avoir constaté que les réserves ont été utilisées l’été dernier, malgré l’interdiction. Patrick Picaud fait même le lien avec les projets de la Coop de l’eau 79, dans les Deux-Sèvres, la Vienne et la Charente-Maritime, sur lesquels le tribunal administratif de Poitiers se prononcera mardi 7 février.
« Dans l’arrêté préfectoral qui autorise la réserve de La Grève-sur-Mignon, l’une des 16 de la Coop de l’eau 79, l’État accorde les mêmes conditions de remplissage que les réserves de l’ASAI des Roches. Vu ce que le Conseil d’État vient de décider, je vois mal comment il pourrait maintenir cette autorisation. »
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La Rochelle : deux militants jugés pour la destruction d’une bassine
Ils comparaissaient pour des actes de dégradation commis en 2021 à Cramchaban, à l’issue d’une manifestation
Le 5 janvier, le parquet de la Rochelle a requis de la prison avec sursis à l’encontre de deux militants anti-bassines, jugés pour avoir dégradé la réserve de Cramchaban à l’issue d’une manifestation dans la commune voisine de Mauzé-sur-le-Mignon (Deux-Sèvres), le 6 novembre 2021. Le tribunal a mis son jugement en délibéré au 2 mars.
Les sujets associés
Agriculture La Grève-sur-Mignon La Laigne Cramchaban Economie Charente-Maritime Environnement La Rochelle
Connu / TG le 03/02/23 à 22:25
Agriculture - Pêche - Cramchaban
Après 14 ans de combat judiciaire, la cour administrative d'appel de Bordeaux a confirmé mardi l'annulation de l'autorisation pour cinq réserves de substitution à Cram-Chaban, La Laigne et La Grève-sur-Mignon (Charente-Maritime). Les irrigants devront sans doute reprendre le dossier de zéro.
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L'une des cinq bassines du secteur de Cram-Chaban. Si les agriculteurs peuvent les remplir, c'est uniquement comme réserve "tampon", car leurs systèmes d'irrigation partent de là. En revanche, pas le droit de "stocker" l'eau l'hiver. © Radio France - Julien Fleury
Clap de fin pour 14 ans de bataille judiciaire à Cram-Chaban (Charente-Maritime), aux confins du Marais poitevin et de la plaine d'Aunis. Mardi 17 mai, la cour administrative de Bordeaux a confirmé l'annulation de l'autorisation d'exploiter cinq bassines accordée par la préfecture sur les communes de Cram-Chaban, La Laigne et La Grève sur Mignon. Des réserves de substitution dont l'étude d'impact sur les milieux est toujours jugée défaillante, malgré les compléments apportés l'an dernier à l'occasion d'une nouvelle enquête publique.
L'an dernier, deux de ces cinq ouvrages avaient par ailleurs fait l'objet de dégradations dans le cadre de la mobilisation citoyenne contre d'autres projets de bassines dans le Marais poitevin. Si la justice confirme que ces bassines sont bien illégales, les irrigants eux soulignent que leur construction s'est déroulée dans les clous, avec un permis d'aménager délivré en 2009 par le préfet malgré une première décision négative de la justice pour leur exploitation.
Pendant ce temps, la sécheresse fait des ravages
"On perd sur des détails !", fulmine Thierry Boucard, l'agriculteur de La Laigne qui porte ce projet depuis une vingtaine d'années, et qui hésite encore à porter l'affaire devant le Conseil d'État.
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Pour Nature Environnement 17 qui a porté le combat contre ces bassines durant plus d'une décennie, c'est surtout le résultat d'un modèle agricole inadapté à l'eau disponible dans notre région. "Nous étions en cellule sécheresse lundi, et on a découvert que les agriculteurs ont encore planté énormément de maïs", soupire Patrick Picaud de NE17, habitant lui aussi le secteur, et pourfendeur impitoyable de ce projet démesuré selon lui. Patrick Picaud qui ne se fait pourtant pas trop d'illusions pour la suite : "l'Etat a renouvelé son soutien aux bassines en général, la réglementation est en train de changer pour les faciliter". Et même si ce projet de Cram-Chaban repart de zéro et que la procédure prend des années, ces géants de terre qui barrent l'entrée du Marais poitevin finiront sans doute un jour par entrer en fonction.
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Les Soulèvements de la Terre a aimé
BassinesNonMerci - Mauz'ZAD info @MauzZAD_info · 8h
Communiqué de la @ConfPaysanne, @lessoulevements et Bassines-Non-Merci, suite aux arrestation d'activistes du mouvement anti-bassines qui ont eu lieu hier.
Une date importante à noter : la méga-manif contre les méga-bassines du 6 novembre à Mauzé (entre Niort et La Rochelle)
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Un parisien insoumis immigré en Charente-Maritime Saintes, France A rejoint Twitter en décembre 2016
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Proposition d'action / vanessa valade
Public dans le groupe Nouvelle-Aquitaine : événements & actus
Tags - géographiques France - thématiques Pesticides
... vis à Chaniers en Charente-maritime (17). 1er département utilisateur de glyphosate en France grâce à la VITICULTURE INTENSIVE INDUSTRIELLE notamment ! ... plusieurs parents viennent d'être informé que la plage créée par le maire dans notre commune ne fait l'objet d'aucune recherche de pesticides malgré l'état de pollution élevé du fleuve! c'est un scandale de faire prendre des bouillons de pesticides à nos enfants en toute impunité en plus d'hypothétiquement les laisser boire la tasse en jouant! Je viens d'envoyer un mail à l'ARS qui pratique les relevés pour les mettre en demeure de pratiquer les analyses des pesticides dans le cas contraire nous entamerons une démarche contre l'ARS censée nous PROTEGER des Risques Sanitaires ainsi que contre le maire à l'initiative du projet qui s'affiche aux élections avec des viticulteurs et qui a créé cette plage en tout état de cause, ... l'Etat français lui aussi a sa part de responsabilité avec ses lobbys en n'incluant pas la recherche systématique de pesticides. ... Je recherche l'appui d'associations connaissant nos droits et pouvant nous épauler car je suis seule à entamer la démarche. Merci ... "Texte envoyé à Greenpeace qui m'a orienté vers vous et d'autres structures locales." Je suis à la recherche de l'action Forte de communication, mais toujours dans un sincère objectif de protection et prise de conscience dans toute la France que ce soit un effet domino pour une plus grande sévérité envers les agriculteurs pollueurs de tous les fleuves de France.
Ndlr : Chaniers est à l'est de Saintes
17 avril #stopreintox – ⭐déjà + DE 20 MOBILISATIONS aux 4 coins du pays pour la 3e VAGUE D’ACTIONS ... une large constellation de syndicalistes, paysan.nes, zads, associations, territoires en luttes, espaces autogérés, coopératives vont passer une nouvelle fois simultanément à l’action pour faire barrage au nihilisme marchand ainsi qu’aux dirigeants politiques qui continuent de s’y soumettre envers et contre tout et précipitent le monde vers l’abîme..
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Lanvéoc. La journée citoyenne revient le 17 avril 2021 - Publié le 29/03/2021 à 08h00 / Ouest France
À Lanvéoc, 6e édition de la journée citoyenne (29160, Finistère)
Entretien avec Christine Lastennet, maire.
But : créer du lien social et que les citoyens s’approprient l’espace public. Notre devise est « faire ensemble pour mieux vivre ensemble ».
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C’est la lecture d’un article sur Fabien Jourdan qui est à l’origine de cette initiative. Il est le maire d’une petite commune. Pendant mes fonctions de première adjointe, avec une autre élue, nous avions assisté à un colloque sur la journée citoyenne, au Sénat. ... de 127 participants en 2016, nous sommes passés plus de 200 en 2019 ... Nous prenons encore les idées d’ateliers.
Contact : tél. 02 98 27 50 21 (mairie) ; journeecitoyennelanveoc@gmail.com
amis conf17 a partagé un post dans le groupe Agriculture, Élevage & Alimentation
En résume les coopératives ont suivi la tendance de fond qu'a été la mondialisation capitaliste.
https://www.terre-net.fr/actualite-agricole/politique-syndicalisme/article/les-cooperatives-agricoles-ont-elles-perdu-leur-raison-d-etre-205-173529.html i à https://my.framasoft.org/u/mediationpourtous/?bMrH7A
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Organisé par Les Ami-e-s de la Confédération Paysanne de Charente maritimes
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Seront présents Benoit Biteau, (Député européen), Mathieu Courgeau (Président de « Pour une autre PAAC », Jérôme Orvain (Elu Régional Nouvelle Aquitaine & Paysan), Stéphane Trifileti (Elu régional Nouvelle Aquitaine), Pauline Rattez (LPO), Eric Perrin ( spécialiste sur l’eau), Thomas Salles (Trésorier des Ami.e.s de la Conf’17 pour l’association).
à travers cet événement mettre en avant le projet agricole de la Confédération Paysanne qui défend des fermes à taille humaine et intégrées dans leur environnement, ainsi que la nécessité d'une production alimentaire locale résiliente aux bénéfices des paysans, des consommateurs et des citoyens.
Qui sommes-nous ?
né à la faveur de la crise des Gilets jaunes qui lui a donné son nom, non comme un héritage à faire perdurer, mais comme le symbole d’une insurrection populaire salutaire et nécessaire. aventure d’amis, de frères et de sœurs de luttes antérieures à celles menées depuis le 17 novembre mais qui ont trouvé en cet événement l’occasion et la nécessité de se réunir et d’agir collectivement.
Les Gilets jaunes ne sont pas pour nous une classe sociale, un électorat ou un pré-carré à conserver et à préserver de toute critique. Les Gilets jaunes constituent un sursaut historique puissant et inattendu. A partir de cet instant, tout ce qui était enfoui surgit ; tout est légitime et aucun aspect de la vie humaine et sociale ne saurait être évacué ou oublié.
Ce pourquoi le M17 porte sa critique sur notre société bien au-delà de la question des Gilets jaunes qui n’en sont qu’un superbe témoignage. Rien ne saurait être épargné car l’existence est une totalité complexe où chaque élément doit être appréhendé dans sa relation avec l’ensemble.
Ainsi, notre cible prioritaire ne peut se cantonner à un homme, à un gouvernement, ou à un parti ; nous pointons le système qui a rendu l’existence de cet homme, de ce gouvernement, ou de ce parti possible. Notre ennemi ne se prénomme donc pas Emmanuel Macron, Christophe Castaner ou LREM, mais Capitalisme, Néolibéralisme, Marchandisation du monde et des êtres vivants, pour lesquels ces personnes ne sont que des employés.
Parce que notre combat est total, notre engagement doit être sans faille, digne et honnête. Nous appelons de nos vœux la mort de l’ancien monde et de ses idoles : le profit, le marché, l’individualisme, et l’érection d’un monde nouveau où l’utilité, le partage des richesses et la solidarité seraient les maîtres-mots.
“Il y a crise quand l’ancien monde ne veut pas mourir et que le nouveau monde ne veut pas naître.” Antonio Gramsci
Nous écrire: contact@m17-11.fr
Presse: presse@m17-11.fr
Le mouvement des gilets jaunes contre la hausse des carburants prend de l’ampleur sur les réseaux sociaux. Plus de 700 blocages, opérations escargot et rassemblements sont annoncés le 17 novembre. Si les initiateurs assurent n’être affiliés à aucun parti politique, l’extrême-droite tente de récupérer le mouvement. Face à ce risque d’instrumentalisation, des syndicats et associations environnementales appellent aussi à se mobiliser, en défendant une transition écologique et sociale, avec des mesures de justice fiscale et sociale immédiate ainsi que des propositions sur le long terme. Tour d’horizon des appels et propositions.
Tout est parti d’une pétition réclamant « une baisse des prix du carburant à la pompe ». Créée le 29 mai par Priscilla Ludosky, une automobiliste en colère, la pétition a depuis recueilli plus de 835 000 signatures. Priscilla Ludosky dresse plusieurs pistes comme la mise en place d’un « système permettant aux employés de travailler depuis leur domicile afin de limiter la circulation des travailleurs » ou l’allocation d’aides aux entreprises afin qu’elles s’installent en banlieue et en province, ce qui permettrait de désengorger les grandes villes et limiter les longs déplacements en voitures.
En parallèle à cette pétition, deux chauffeurs routiers trentenaires originaires de Seine-et-Marne, Eric Drouet et Bruno Lefevre, ont lancé un appel à bloquer les routes de France le 17 novembre (voir l’événement facebook) [1]. « Nous ne somme pas anti-écolo », précise Eric Drouet dans une vidéo. « Ce mouvement est un mouvement contre la taxation abusive à tout point. » Ces dernières semaines, de nombreux collectifs et événements se sont créés dans toute la France. Le site www.blocage17novembre.com dresse une carte de l’ensemble des blocages prévus (voir en bas d’article)
Droite et d’extrême-droite tentent de surfer sur le « racket des automobilistes »
Candidat de la France insoumise aux élections européennes et co-responsable de son école de formation politique, je soutiens et j’approuve la mobilisation du 17 novembre contre l’augmentation des taxes sur la consommation de carburant.
A cela, plusieurs raisons.
Pour des millions de Français, le volume de carburant qu’ils consomment n’est pas un choix. C’est une dépense contrainte.
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Derrière son imposture pseudo-écologique, en réalité Emmanuel Macron fait simplement du racket fiscal des classes moyennes et populaires
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Puisque par définition, les gens ne peuvent pas baisser leurs dépenses contraintes de carburant, augmenter les taxes sur celles-ci c’est du racket.
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C’est contre cette injustice fiscale systématique imposée par Emmanuel Macron qu’il faut se mobiliser.
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La bonne réponse, c’est une politique massive d’investissement public ayant pour but la sortie rapide et totale du pétrole
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Les forces de gauche doivent s’investir massivement dans cette colère populaire et en déloger les nouveaux poujadistes
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lus profondément, voici une raison majeure de soutenir et d’approuver la mobilisation populaire du 17 novembre : elle a le potentiel de provoquer la défaite d’Emmanuel Macron et de son monde. La lecture de la magistrale Histoire populaire de la France de Gérard Noiriel (éd. Agone) nous rappelle en effet que, dès l’ère médiévale et jusqu’à nos jours, la quasi-totalité des soulèvements populaires eurent pour déclencheur le racket fiscal des masses, la dégradation brutale de leurs conditions d’existence, ou l’addition des deux. Nous sommes dans cette situation aujourd’hui : d’une part, la majorité de la population subit le racket croissant de l’injustice fiscale d’Emmanuel Macron ; d’autre part, cette même majorité en colère a basculé dans ce que le sociologue Guy Standing appelle le « précariat » - c’est-à-dire, en clair, la France des débuts de mois difficiles. Or, si la mobilisation du 17 novembre provoque le blocage des raffineries du pays et d’un nombre significatif de stations essence, alors, l’économie du pays sera paralysée au bout d’une poignée de jours parce qu’elle sera littéralement tombée en panne d’essence. Les oligarques multimilliardaires, les dirigeants des grandes firmes, et ceux des grandes banques et compagnies d’assurance, exigeront alors eux-mêmes d’Emmanuel Macron qu’il capitule, pour que le fonctionnement normal de l’économie reprenne.
Pour toutes ces raisons, être de gauche, c'est épouser les colères légitimes populaires ; et non pas se pincer le nez envers celles-ci.
Site édité par : La Maison du Tourisme de l'Ile d'Oléron et du Bassin de Marennes
22 rue Dubois Meynardie - 17320 Marennes
Tél : +33 (0)5 46 85 65 23
Directeur de la publication : Lionel Pacaud
S'estimant victime d'une campagne d'intimidation depuis le recours contre le projet de transformation du Grand Large, la Société de protection des paysages de l'île d'Oléron a porté plainte. La maison de sa présidente, régulièrement insultée par téléphone, a été vandalisée. L'association a tenu, le 10 août, son assemblée générale, dans une ambiance pesante, et en présence d'une poignée de détracteurs.
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Sa présidente, Monique Vidalenc,... Près de 230 personnes avaient fait le déplacement pour ce compte rendu annuel des activités de l’association qui compte, à ce jour, pas moins de 420 adhérents. Dans son rapport moral, la présidente est revenue sur l’année écoulée et plus particulièrement sur «les mois qui ont certainement été les plus lourds que nous ayons connus. Les projets que nous devons combattre sont de plus en plus monstrueux : le centre aquatique et le casino de Saint-Trojan ont été les premiers exemples de la démesure qui caractérise maintenant les projets qui naissent sur Oléron, élus et promoteurs semblent ignorer que ce territoire reste une île.»
Et la présidente de revenir avec plus de précisions sur les menaces qui depuis plusieurs mois pèsent sur elle, notamment depuis que l’association a déposé un recours contre la transformation de l’hôtel du Grand Large en résidence de prestige.
Lors des enquêtes publiques et des réunions de la Commission départementale de la nature des paysages et des sites (CDNPS), le délégué de la SPPEF n’a pu que déplorer la prolifération des parcs éoliens au détriment des riverains et des beaux paysages de plaine, les campagnes de la Charente-Maritime étant sacrifiées à l’industrie éolienne...
Marc Fardet, délégué de la SPPEF pour la Charente-Maritime
Rochefort, juillet 2016.
marc.fardet@gmail.com
Ndlr : SPPEF ?
wikipédia -> Société pour la protection des paysages et de l'esthétique de la France, dont le nom d'usage est Sites & Monuments, est la plus ancienne association nationale de défense du patrimoine. Fondée en 1901
Les adhérents ont élu, mardi, les dix membres qui constituent le bureau de l’association. Photo E. D.
L’assemblée générale de la Société de protection des paysages de l’île d’Oléron (SPPIO) s’est tenue mardi soir à la mairie du Château..
Ils étaient plus d’une cinquantaine à être venus assister à la 42e assemblée générale de la SPPIO mardi dans la salle des mariages de la mairie du Château.
À l’ordre du jour : un bilan des actions menées durant l’année par l’association et le vote des adhérents pour l’élection du bureau.
Pas de grande surprise, le conseil d’administration présidé par Monique Vidalenc a été élu à l’unanimité, et il n’y a pas eu d’oppositions faites contre les actions engagées.
La liste de ces dernières est d’ailleurs plutôt conséquente.
Halte aux mobil-home
La réunion s’est ouverte en évoquant le souhait de l’association que l’écotaxe soit adoptée dans l’île. La présidente a tenu à lister les projets environnementaux qui ont pu être réalisés grâce à cette taxe sur la voisine, Ré. La SPPIO est également revenue sur la volonté de l’association des propriétaires de terrains de loisirs d’Oléron (APTLO) de créer des hameaux sur les lieux où les terrains à camper sont déjà présents ou sur de nouveaux sites (voir « Sud Ouest » du vendredi 18 juillet). Monique Vidalenc a précisé que l’association « tentera d’empêcher de miter le terrain oléronais pour implanter des mobil-home partout ».
La présidente a cependant tenu à féliciter des journalistes du « Point » pour un article peu élogieux sur le rond-point de la vigne à Saint-Pierre. Elle a également confié « avoir eu une petite satisfaction en voyant que la Poste sur ses planches de timbres sur les îles avait choisi deux paysages oléronais contre un sur l’île de Ré ».
La soirée s’est conclue par un pot entre le bureau, les adhérents insulaires ou habitants secondaires.