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BassinesNonMerci ⏚ @BassinesNon
BONNE NOUVELLE !
👉Retrouvez le CP complet ci-joint ou sur le site de Bassines Non Merci : 🧶👇
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Écrit par Lucie Cecconi , Mathieu Maillet et Luc Barré
Publié le 20/10/2024 à 12h11
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deux principes :
- L’échange ou la substitution de ressources ;
- La mutualisation de moyens et de services.
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En France, les premières démarches d’Écologie Industrielle et Territoriale se sont structurées dans les années 1990, mais aujourd’hui, on en compte 186 dans toute la France.
Dans le Poitou-Charentes, on en compte dix : quatre en Charente-Maritime et dans les Deux-Sèvres et deux dans la Vienne. Aucun projet pour l'heure en Charente ...
Connu / TG le 20/10/24 à 18:55
Connu / https://mamot.fr/@urbanbikecom@mastodon.social/109408712828332362
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IJIBA a partagé 2 j urbanbikecom@mastodon.social
ijiba@mastodon.top urbanbike @urbanbikecom@mastodon.social
[…]
• La sobriété d’usage : par exemple moins se déplacer, surtout en auto ou en avion.
• La sobriété de substitution : se déplacer à vélo, à pied, en train ou en bus au lieu de prendre l’auto ou l’avion.
• La sobriété de dimension : rouler dans une petite voiture plutôt qu’un SUV.
• La sobriété de collaboration : partager autant que possible la voiture plutôt que rouler seul.
[…]
urbanbike : « […]• La sobriété d’usage : par exemple moins se … » - Mastodon
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Rubriques : environnement ; agriculture ; économie
C'est un nouvel épisode dans la guerre qui oppose les pro et les anti-bassines sur le bassin de la Sèvre Niortaise.
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les associations d'opposants estiment que l'impact écologique n'est pas suffisament pris en compte. Elles dénoncent également des prélèvements "supérieurs aux consommations passées, pérennisant des pratiques globalement néfastes à l'environnement."
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le collectif "Bassines non merci" avait prévenu : "Nous continuerons d’activer tous les leviers pour empêcher, par tous les moyens légaux et la désobéissance civile, la construction de ces bassines, symbole de l’accaparement de l’eau bien commun, par et pour les intérêts privés."
Connu / https://twitter.com/F3PoitouChtes/status/1418109834679967745
INSA Lyon a aimé
Univ Saint-Etienne @Univ_St_Etienne · 10 sept.
[#UJMStEtiennefière] Félicitations aux 3 co-fondateurs de cette start-up dont Yvan Chalamet, enseignant-chercheur à l'UJM et membre du laboratoire IMP (Ingénierie des Matériaux Polymères).
Citer le Tweet
PULSALYS @Pulsalys · 10 sept. #UneStartupEstNée Étoile scintillante
La tannerie végétale développe un substitut au cuir à base de matières 100% végétales
Symbole universel de recyclage
Un matériau recyclable souple, éco-conçu, sans animal ni eau ni produits chimiques construits en collaboration avec le laboratoire #IMP + d'infos
Flèche vers la droite
https://bit.ly/32fakLM
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=> vérifier ACT
Sciences & Prospectives - Chronique
A l'approche des élections municipales, les candidats font assaut de propositions sur le climat. Leurs prérogatives, notamment dans l'urbanisme et l'aménagement du territoire, ont jusqu'à présent plutôt desservi la cause climatique, écrit Jean-Marc Janvovici.
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le temps des promesses d'un monde meilleur, et, contexte aidant, une partie des engagements des candidats portera nécessairement sur la question du climat.
Que peuvent les maires dans ce difficile combat que nous n'avons toujours pas vraiment commencé à mener, si l'on en juge par l'évolution des émissions nationales et importées ?
Depuis la décentralisation de 1983, le premier domaine dans lequel les élus locaux ont un large pouvoir de décision est celui de l'urbanisme. L'aménagement du territoire, le nombre de constructions et le mode constructif sont désormais largement de leur responsabilité.
Etalement urbain
Or, ces décisions ont un impact majeur sur les émissions. D'abord, la localisation et le nombre des logements, des commerces et des activités pilotent le besoin en transport. Ces dernières années, force est de reconnaître que les élus locaux ont plutôt poussé du mauvais côté, en favorisant l'étalement urbain et la spécialisation géographique (les logements ici, les emplois là, et des routes entre les deux), dont l'exemple le plus emblématique est la multiplication des commerces de périphérie accessibles essentiellement en voiture.
Sur la mobilité du quotidien, les élus locaux ont aussi du pouvoir : ils peuvent décider de la plus ou moins grande place de la voirie accordée aux modes « doux » ( zones piétonnes , pistes cyclables), aux transports collectifs et au stationnement. Et là où passent voitures et camions, les limitations de vitesse - et donc la consommation de carburant - sont aussi de leur ressort.
Compter correctement le carbone
Le maire peut aussi oeuvrer pour le bas carbone en discriminant via ce critère tous les achats de la collectivité, de la cantine scolaire au chauffage de la piscine. Mais encore faut-il qu'il soit doté d'une compétence pour comprendre le problème à traiter et correctement compter le carbone, et, d'expérience, rien n'est moins sûr !
En matière d'énergie, ce sont les ENR permettant de substituer pétrole et gaz qui sont pertinentes (pompe à chaleur, bois de chauffage, biogaz pour transports). L'éolien et le solaire, très souvent invoqués pour revendiquer une « autonomie énergétique » qui est en fait illusoire, sont sans effet pour éviter des émissions : grâce au nucléaire, nos électrons sont déjà bas carbone.
L'urgence : la planète
Proposition de loi visant à limiter le trafic aérien substituable en train - Il y a 1 semaine
Un Commentaire
En France, le trafic intérieur a cru de 4 %. Faut-il se réjouir de cette croissance ?, et de son coût écologique ? Nous proposons de mettre fin aux vols courts lorsqu’il existe une substitution possible, évidente, par le train.
Conférence de presse le 3 juin à 15h François Ruffin présentera cette proposition de loi en salle de conférence de presse de l'Assemblée nationale de 15h à 16h. Rejoignez-la en direct sur sa page Facebook !
Proposition de loi présentée par Monsieur Francois Ruffin (LFI) et co-signée par Dominique Potier (SOC), Delphine Batho (NI), Sébastien Nadot (LREM), Sébastien Jumel (GDR), Muriel Ressiguier, Caroline Fiat, Bastien Lachaud, Sabine Rubin, Mathilde Panot, Alexis Corbière, Danièle Obono, Jean-Hugues Ratenon, Bénédicte Taurine et Loïc Prud’homme (LFI).
« Nous avons franchi pour la première fois le cap des 200 millions de voyages ». Le président de l’Union de l’Aviation Française, Thomas Juin, présentait ainsi, ravi, le bilan 2018 du trafic aérien français. Et le trafic intérieur, notamment, a cru de 4 %, dopé par les trajets transversaux ne passant pas par Paris. [1]
Faut-il s’en réjouir, pourtant ?
Faut-il se réjouir de cette croissance ?
Faut-il se réjouir, également, de son coût écologique ?
C’est pourquoi, dans une optique de justice climatique, nous proposons de mettre fin aux vols courts – notamment lorsqu’existe une substitution possible, évidente, par le train.
- injustice climatique
- Injustice sociale
- Injustice fiscale
- Injustice territoriale
- Une mesure forte à la hauteur des enjeux
- Explication du dispositif
- La proposition de loi
- Liste indicative (non-exhaustive) de trajets aériens courts et impact de la proposition de loi
Selon l’éco-calculateur de la direction de l’aviation civile, un aller-retour Paris-Marseille en avion émet 195 kg de C0² par passager[2]. Ce même aller-retour effectué en TGV en émet 4,14[3], soit près de 50 fois moins. Ces chiffres ne prennent même pas en compte les autres substances émises par l’aviation, qui augmentent substantiellement son forçage radiatif, c’est-à-dire son impact sur le changement climatique[4]. Samedi 6 avril, quatorze avions ont ainsi décollé de l’aéroport Marseille-Provence pour rallier les tarmacs parisiens, et pour gagner au mieux deux heures, tout au plus. Deux heures qui coûtent donc cinquante fois plus de CO².Plus de 20 % du trafic aérien en France est exclusivement métropolitain[5], et concerne majoritairement des villes bien reliées au réseau ferroviaire : les dix aéroports français les plus fréquentés sont situés dans des agglomérations desservies par des trains à grande vitesse.
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A quelques jours d’une décision préfectorale cruciale sur le projet de 19 retenues de substitution, le collectif Bassines, non merci ! maintient la pression : ils étaient 1.200 hier après-midi à Niort.
Reportage : Eric Vallet, Pierre Lahaye.
Intervenants : Julien Le Guet, collectif Bassines non merci; Jean- paul Gobin , Confédération paysanne 79; Delphine Batho,députée des Deux Sèvres.
Catégorie Actualités et politique - 0 commentaire