29 août 2024
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la mobilisation du 7 septembre, dans toutes les villes-préfectures, sera le premier temps populaire de l’action. Le dépôt des motions de destitution et de censure ouvrira le débouché politique de ces actions de terrain. Elles en seront le prolongement naturel. Telle est notre conception de la vie politique en démocratie, où la scène déborde les institutions quand celles-ci se montrent inaptes à régler un défi de cet ordre fondamental. C’est le chemin concret vers la 6e République, qui reste le cœur de notre projet démocratique. La crise qui monte le place à l’ordre du jour du futur proche. Parce que la solution est toujours inscrite dans le problème.
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Connu / TG le 29/08/24 à 14:41
https://infos-ouvrieres.fr/2023/10/19/un-directeur-du-departement-detat-americain-demissionne/
Dénonçant « la poursuite de la fourniture d'armes létales à Israël », le directeur des Affaires politico-militaires au Département d'Etat américain, Josh Paul, explique sur son compte Linkedin, le 18 octobre, les raisons de sa démission. Voici sa lettre.
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Connu / TG le 19/10/23 à 12:54
Il était conseiller délégué aux travaux, à la sécurité et à l’environnement. Élu en 2020 sur la liste
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Connu / TG le 12/10/23 à 16:49
Accueil » Emploi » Les démissions pour raisons éthiques se mul…
Mis à jour le 21 avril 2023
Agence de Presse
Après le “quiet quitting” et le “quick quitting”, voici le “conscious quitting”. Encore un anglicisme pour désigner une raison qui pousse les salariés à se séparer de l’entreprise pour laquelle ils travaillent. Dans ce cas précis, le facteur qui les incite à quitter le navire est directement lié aux valeurs qu’ils défendent. De plus en plus de salariés disent adieu à une boîte lorsqu’ils estiment que celle-ci n’est pas assez engagée sur le plan écologique ou sociétal.
Photo : LanaStock / Getty Images
Quitter son travail parce que l’entreprise dans laquelle on l’exerce ne s’engage pas (assez) en faveur de l’égalité salariale ou qu’elle ne prend aucune disposition pour réduire son empreinte carbone. Pour certains employés, et notamment les jeunes, ces exigences n’ont rien d’un caprice. Elles deviennent d’ailleurs de plus en plus concrètes. Dans un récent sondage réalisé auprès de 4 000 salariés britanniques et américains par le cabinet Opinium, un tiers des salariés disent avoir quitté leur entreprise en raison de valeurs trop éloignées des leurs et près de la moitié envisagerait de le faire. Une preuve que le phénomène commence à prendre de l’ampleur ? Un terme lui a été attribué : on parle désormais de “conscious quitting”. Ou, en français, de “démission consciente”.
Concrètement, le conscious quitting désigne le fait de vouloir démissionner ou se séparer d’une entreprise dont les activités et les pratiques vont à l’encontre des valeurs que l’on défend, qu’elles soient écologiques, politiques ou humanistes. Décrit pour la première fois par l’ex-PDG d’Unilever Paul Polman (à l’origine de l’enquête citée plus haut), ce phénomène confirme l’ampleur croissante de la volonté des salariés de s’engager à travers leur métier. “Tout PDG qui pense gagner la guerre des talents en offrant un peu plus d’argent, un peu plus de télétravail et un abonnement à la salle de sport sera déçu. L’ère de la démission consciente est en marche”, souligne Paul Polman dans un communiqué.
La fin des bullshit jobs ?
... quête de sens au travail ... “rage applying“, qui consiste à postuler de plus belle lorsque l’on a vécu une expérience professionnelle décevante. L’idée ? Trouver un poste ou une entreprise qui nous mérite ! On assiste également au “quick quitting“, c’est-à-dire le fait de ne jamais rester trop longtemps dans une entreprise, sous peine de succomber au bore-out. L’objectif ? Se sentir utile, être motivé et surtout, surtout, ne jamais s’ennuyer !
Connu / https://wegreen.fr/post/197067
Durée de lecture : 1 minute- Luttes Quotidien Économie - Enquête — Luttes
- © Juliette de Montvallon/Reporterre
Tout fuit de toute part. Des étudiants appellent à déserter les jobs destructeurs de la planète tandis que des millions de personnes décident de quitter leur travail. Un mouvement massif est à l’œuvre, qui pourrait fragiliser le capitalisme.
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Durée de lecture : 9 minutes Clés : Économie Quotidien
Dans le monde occidental, des millions de personnes quittent leur travail. L’offensive néolibérale, la catastrophe écologique et la pandémie ont attisé cette fugue massive. Enquête [1/3]
Vous lisez le premier volet de notre enquête « La grande démission ». Le second volet se trouve ici et le troisième sera publié demain.
L’appel à déserter lancé le 10 mai par les étudiants d’AgroParisTech a agi comme un détonateur. Visionnée plus de 12 millions de fois, leur vidéo a libéré la parole et révélé un mouvement de fond qui remet en cause frontalement les modèles de la réussite sociale
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Aux États-Unis, des sociologues ont baptisé ce phénomène « Great Resignation » ou « Big Quit » : « la grande démission ». En 2021, plus de 38 millions d’étasuniens ont quitté leur emploi. 40 % n’ont toujours pas repris de travail. Un tsunami qui touche tous les âges, tous les métiers. Et qui renverse le rapport de force entre salariés et entreprises.
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En Angleterre, les seniors démissionnent en masse. 300 000 travailleurs âgés de 50 à 65 ans ont rejoint la catégorie des « économiquement inactifs ». Leur désir principal, selon le résultat d’une vaste étude ? Prendre leur retraite et s’échapper définitivement du monde professionnel.
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D’après un récent sondage, publié en mai, plus d’un tiers des sondés (35 %) affirme n’avoir jamais eu autant envie de démissionner. Une proportion qui monte à 42 % chez les moins de 35 ans. Les observateurs parlent de « révolution sociétale », et de « menace pour l’économie française ».
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En suspendant, un temps, le fonctionnement dont nous étions tous les otages, le virus a révélé l’aberration de la « normalité » ... lutter contre ce que David Graeber appelait « les bullshit jobs » ... en quête de sens ... forme de maltraitance sociale
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L’An 01, ce film de Jacques Doillon, emblématique de la contestation libertaire des années 1970, au slogan éloquent : « On arrête tout, on réfléchit et ce n’est pas triste. » ... sociologue Geneviève Pruvost. ... Arthur Gosset, l’ex étudiant de centrale Nantes qui a réalisé le film Rupture(s) — dans lequel il évoque la bifurcation de ses camarades déserteurs — estime qu’ils représentent environ 30 % des promotions ... Romain Boucher. Cet ancien data scientist diplômé de l’École des mines a quitté son métier en 2018 ... l’association Vous n’êtes pas seul https://vous-netes-pas-seuls.org/ pour inciter ses ex-collègues à démissionner ... L’écrivaine Corinne Morel Darleux y voit même « une forme de sabotage symbolique » ...
Ndlr : idem que "refus de parvenir" ? ACT
Pour une démocratie du peuple par le peuple
La démocratie française est menacée.
L’abstention massive constatée aux élections régionales et départementales de dimanche constitue le dernier point d’alerte de l’affaissement de notre système politique.
Notre pays traverse une crise sans précédent alors que trois Français sur quatre estiment que la démocratie fonctionne mal et que les hommes et les femmes politiques agissent principalement pour leurs intérêts personnels.
Parmi les explications avancées de cette désaffection civique inédite, il manque selon nous la principale : le manque de représentativité de nos représentants. À l’Assemblée nationale, près de 80% des députés sont des cadres alors que 80 % des Français ne le sont pas. Parmi les députés, seuls 5% sont des employés et deux seulement sont ouvriers.
La crise de représentativité nourrit déconnexion, défiance et déclin démocratique.
La crise des gilets jaunes a révélé au grand jour l’incapacité d’une grande partie de nos gouvernants à comprendre la vie quotidienne d’une majorité de Français.
La défiance est la conséquence logique de cette déconnexion. Pour y répondre, il ne suffira pas de promettre le renouvellement, en remplaçant les cadres des partis politiques « de l’Ancien monde » par des cadres du secteur privé.
La déconnexion et la défiance conduisent à un déclin démocratique, quand une partie toujours croissante de nos concitoyens se réfugie dans l’abstention. Quand un nombre croissant de Français ont le sentiment de ne plus être représentés, que leur voix ne compte plus et qu’aucune alternative au déclin de leur pays n’est possible.
Aux dernières élections législatives de 2017, l’abstention enregistrée était exactement deux fois supérieure à la moyenne des élections depuis 1958 : 56% contre 28%. Plus grave encore cette démission démocratique exclut d’abord les catégories populaires : près de 7 sur 10 se sont abstenus, avec le risque que notre démocratie devienne de facto une oligarchie fonctionnant au suffrage censitaire.
La France peut sortir par le haut de cette crise, si les partis s’engagent dès maintenant pour la parité populaire.
Nous appelons tous les mouvements politiques de notre pays à s’engager à présenter aux élections législatives de 2022 au moins 25% de candidats issus des classes populaires (ouvriers, employés, chômeurs). Puisqu’elles représentent plus d’un électeur sur trois, cette proposition constitue une mesure raisonnable et de bon sens, qui contribuera à renforcer la représentativité de l’Assemblée nationale et sa capacité à être en prise avec le quotidien des Françaises et Français. Mettre en place la parité populaire, c’est aussi promouvoir la place des femmes, « premières de corvées » occupant les emplois les plus pénibles.
Cet engagement pour la parité populaire, pris devant les Français, permettra d’obtenir des résultats tangibles et rapides, à la hauteur du péril démocratique qui nous guette ici et maintenant. Pourquoi toujours reculer devant l’obstacle alors que les partis peuvent agir concrètement pour faire face à la crise de représentativité populaire ?
Nous voulons une Assemblée ouverte aux caissières, aux infirmières, aux coursiers, aux ouvriers intérimaires, aux garagistes, aux agriculteurs, à tous ceux qui, par leur travail en première et seconde ligne, font vivre la France. Ils constituent la richesse et la diversité de notre pays. Ils peuvent et ils doivent porter la voix de celles et ceux qui n’en ont pas. Nous en sortirons grandis et nous sauverons la démocratie.
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Nicolas Voisin a aimé
lundimatin @lundimat1 · 16h
:::: Ingénieurs en fuite ::::
Reconversion individuelle ou lutte collective ?
De nombreux ingénieur·es démissionnent suite à la perte de sens dans leur travail. Et si, plus qu’à un nouveau métier, ces ingénieur·es aspiraient à la lutte collective ?
Ingénieurs en fuite - Reconversion individuelle ou lutte collective ?
DÉMISSIONS EN CHAÎNE Il y a deux semaines, Romain Boucher expliquait dans la presse les raisons de sa démission d'un poste de « data-scientist ». Il fait partie de celles et ceux qui quittent leur...
lundi.am
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les membres de l’Inatsisartut — le Parlement local — ont infligé un vote de défiance au Premier ministre Kim Kielsen mardi 16 février 2021. À la tête du gouvernement depuis 2014, cet ancien leader du parti social démocrate se voyait reprocher une mauvaise gestion des affaires et une pratique verticale du pouvoir.
La controverse est montée récemment autour d’un projet minier dans le sud de l’île. Outre des terres rares, le gisement contient aussi de l’uranium. L’extraction inquiète les riverains et les organisations écologiques. La polémique a gagné le gouvernement et divisé les partis politiques. Des membres du parti social démocrate ont plaidé pour le report des consultations publiques du fait de la pandémie et pour permettre aux experts internationaux de participer au débat. À l’origine, les sociaux démocrates étaient partisans du projet mais les lignes commencent à bouger. Cette décision a entraîné la démission de plusieurs ministres, issus de la droite et membres de la coalition gouvernementale.
« L’extraction de l’uranium pourrait avoir des conséquences désastreuses sur l’environnement »
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Le vote de défiance accordé au Premier ministre arrive une semaine après que le gouvernement du Groenland a attribué à l’entreprise française Orano — ex Areva — deux permis d’exploration minière pour des gisements d’uranium.
Connu / https://twitter.com/sdnfr/status/1362683271281311744
21069 signatures
Pétition demandant la démission de la ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche, Frédérique Vidal, publiée le 20 février 2021 sur Le Monde https://www.lemonde.fr/idees/article/2021/02/20/islamo-gauchisme-nous-universitaires-et-chercheurs-demandons-avec-force-la-demission-de-frederique-vidal_6070663_3232.html. Liste des premier-es signataires sur Université Ouverte https://universiteouverte.org/2021/02/19/demission_vidal/.
Merci d'indiquer votre discipline et votre établissement en commentaire.
Chercheur·es au CNRS, enseignant·es chercheur·es titulaires ou précaires, personnels d’appui et de soutien à la recherche (ITA, BIATSS), docteur·es et doctorant·es des universités, nous ne pouvons que déplorer l’indigence de Frédérique Vidal, ânonnant le répertoire de l’extrêmedroite sur un « islamo-gauchisme » imaginaire, déjà invoqué en octobre 2020 par le ministre de l’Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer. Mais, plus encore, nous nous insurgeons contre l’indignité de ce qu’il faut bien qualifier de chasse aux sorcières. La violence du projet redouble la lâcheté d’une ministre restée silencieuse sur la détresse des étudiant·es pendant la pandémie comme elle avait été sourde à nos interpellations sur une LPR massivement rejetée par tout·es celles et ceux qui font la recherche, y contribuent à un titre ou un autre.
La crise économique et sociale la plus grave depuis 1945
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Ce qui entrave notre travail, c’est l’insincérité de la LPR, c’est le sous-financement chronique de nos universités, le manque de recrutements pérennes, la pauvreté endémique de nos laboratoires, le mépris des gouvernements successifs pour nos activités d’enseignement, de recherche et d’appui et de soutien à la recherche, leur déconsidération pour des étudiant·es ; c’est l’irresponsabilité de notre ministre. Les conséquences de cet abandon devraient lui faire honte : signe parmi d’autres, mais particulièrement blessant, en janvier dernier, l’Institut Pasteur a dû abandonner son principal projet de vaccin.
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Elle veut diligenter une enquête, menace de nous diviser et de nous punir, veut faire régner le soupçon et la peur, et bafouer nos libertés académiques. Nous estimons une telle ministre indigne de nous représenter et nous demandons, avec force, sa démission.
Publié il y a 4 jours • 83 vues Avatar de la chaîneAvatar du compte Le Média Par lemediatv
"J’ai décidé de quitter la police nationale. Une institution que j’avais choisie par vocation pour pouvoir aider, protéger, servir. Faire appliquer la loi au plus juste, secourir les victimes, également pourchasser, punir les méchants. Aujourd'hui, je ne me reconnais plus dans les missions qui sont les nôtres. Je crois que je ne suis pas le seul puisqu’aujourd’hui il ne se passe pas une journée, à l’ère du 2.0, à l’ère des médias, des chaînes d’info en continu, sans que les activités de la police ne fassent polémique."
Le constat est terrible pour Noam Anouar, après plus de 10 ans passés dans la police, il décide d'en claquer la porte. Déjà suspendu il y a quelques mois, sa position de lanceur d'alerte et de représentant syndical dénonçant les abus, sa position n'était plus tenable au sein de l'institution policière. Il a décidé de venir au Média annoncer son départ et mettre en garde contre "l'incapacité de la police à affronter ses démons" et le fossé qui en découle avec la population, qui ne laisse rien présager de bon. #Police #Violence #Vigi
Vie privéePublique Publié originellement02 décembre 2020
CatégorieActualité & Politique
LicenceInconnu LangueFrançais
Étiquettes : Actualité ; France ; Justice ; Police ; Violence
Durée6 min 22 sec
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Mardi 1er décembre, le député Ugo Bernalicis était l'invité de "Ça vous regarde" sur #LCP pour débattre de la loi de #SécuritéGlobale face à Xavier Bellamy (LR), Agnès Firmin le Bodo (Agir) et François Bersani (Unité SGP-Police).
Le mea culpa du ministre de l'Intérieur devant la représentation nationale ne suffit pas. Si Gérald Darmanin pense vraiment qu'il a fait n'importe quoi depuis quatre mois, dans la continuité de ses prédécesseurs, qu'il s'en aille ! Il n'est pas vraiment le candidat le plus appropriée pour faire le contraire de tout ce qu'il a fait jusqu'à présent." #CVR #StopLoiSécuritéGlobale
125 commentaires
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En direct, Alexandre Langlois, secrétaire général du syndicat Vigi Police, nous explique les raisons de sa démission, vendredi 27 novembre, de la Police nationale. A partager largement !
Retrouvez aussi tous nos articles sur les violences policières ici : https://www.humanite.fr/mot-cle/violences-policieres
et sur la loi de sécurité globale : https://www.humanite.fr/etiquettes/loi-securite-globale
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Après l'affaire Théo, après l'affaire Chouviat, après les gilets jaunes, qu'elle est la réponse du gouvernement ? La Loi de la Sécurité globale, ne plus filmer les policiers, casser le thermomètre. Alors qu'hier soir la police s'en est encore pris à des journalistes, des militants, des migrants, je demande la démission du préfet Lallement.
737 commentaires
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Une dissolution, Macron ne le fera pas, et on sait pourquoi: il se prendrait une déculottée.
Alors, je lance un défi aux 298 marcheurs: qu'un seul démissionne, remette son mandat en jeu, et je le suivrai. On verra qui en sort légitimé.
Catégorie Actualités et politique 963 commentaires
Tr :
... ouvrir un chemin d'espérances entre Le Pen et Macron ...
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Mardi 19 novembre, Ugo Bernalicis a adressé une question au ministre de l'Intérieur sur la violente répression policière qui a frappé les manifestants venus défiler pour le premier anniversaire du mouvement des Gilets jaunes.
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Le député insoumis Alexis Corbière était ce matin l'invité d'Apolline de Malherbe sur BFMTV pour parler des suites de l'affaire Steve Caniço.
Catégorie Actualités et politique 286 commentaires
Jérémy Désir est un « quant », un mot utilisé dans le milieu de la finance pour désigner un analyste quantitatif.
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document important qu’il avait précédemment remis à sa hiérarchie, sans effet. L’employé a donc décidé de rendre ce rapport disponible en téléchargement libre https://www.fichier-pdf.fr/2019/07/29/meschersamis/. On y trouve « un condensé de faits et d’analyses indiscutables sur l’urgence de notre nécessité d’agir drastiquement avec courage » selon ses mots. Une véritable mine d’or d’informations et surtout une critique systémique des institutions invitant à un changement profond de civilisation et de ses structures économiques dévastatrices.
Ce lundi 29 Juillet 2019, le jour du dépassement mondial, Jérémy Désir prenait donc la décision de démissionner publiquement.
En complément, le documentaire ARTE « Les Gangsters de la finance » https://www.youtube.com/watch?v=rzRSMHqjHUU
TAGS banque capitalisme HSBC humanité Jérémy Désir lettre ouverte
Rapport indexé à https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?zuYUvw
Dossier
Quinze ministres épuisés en deux ans et une garde rapprochée présidentielle qui laisse à désirer. La rentrée s'annonce périlleuse pour Emmanuel Macron et son exécutif, qui vont de reculades en objectifs rabotés. ...
Clés : Emmanuel Macron ; gouvernement ; LREM
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Rugy démission? Oui, je la demande, et depuis le jour de sa nomination. Pour les truites et les ombres du Doubs, pour les rivières qui se vident, pour les hêtres qui se meurent, pour les vaches du Canada et les forêts d'Amazonie, pour la nature peinte par Courbet.
Catégorie Actualités et politique 261 commentaires
PJM B. il y a 2 heures (modifié)
François Ruffin , je vous mets 21 sur 20 pour votre bonne volonté votre sourire et tout le reste !