Foire aux questions
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D'où viennent les offres publiées sur ce site ?
publiées par les employeurs publics locaux (communes, conseils départementaux, régions, SDIS, structures intercommunales, CCAS,...) et ponctuellement par d'autres employeurs publics.
Elles sont recueillies par les CDG et le CNFPT dans le cadre de leur mission de promotion de l'emploi public territorial et de publicité légale des postes à pourvoir dans la Fonction Publique Territoriale. -
Pourquoi ce portail et par qui est-il réalisé ?
Les sites Emploi-Territorial.fr et Concours-Territorial.fr sont des réalisations des Centres de Gestion de la Fonction Publique Territoriale (CDG) et du Centre National de la Fonction Publique Territoriale (CNFPT). Ils visent à promouvoir l'emploi dans les collectivités territoriales et établissements publics locaux, en mettant en relation les offres d'emplois des employeurs territoriaux, recueillies par les CDG et le CNFPT dans le cadre de la mission de publicité légale des postes à pourvoir, et les demandes d'emploi.
Ces sites sont édités dans une démarche mutualisée pour le compte des CDG et du CNFPT par le GIP Informatique des Centres de Gestion. -
Comment publier des offres d'emploi sur ce site ?
Pour publier des offres d'emploi sur ce site, contactez le CDG de votre département ou le CNFPT pour les établissements de Paris.
Seules des offres d'emploi de collectivités territoriales, d'établissements publics ou d'organismes liés à l'emploi public local sont diffusées sur ce site ; la diffusion d'annonces est gratuite, car entrant dans le cadre des missions légales confiées aux CDG et au CNFPT. -
Quels sont les critères de recherche utilisés dans la recherche par mots-clés ?
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Organisation de la Fonction Publique Territoriale (FPT) :
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Comment devenir fonctionnaire territorial ?
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Quels sont les différents métiers pouvant être exercés dans la Fonction Publique Territoriale ?
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Quelles sont les différences entre les catégories A, B et C des emplois de la Fonction Publique Territoriale ?
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Qu'est-ce qu'une filière dans la Fonction Publique Territoriale ?
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Qu'est-ce qu'un Centre de Gestion (CDG) et quelles sont ses missions ?
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Qu'est-ce que le CNFPT ?
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Qu'est-ce qu'un emploi permanent et un emploi temporaire ? A quoi correspondent les différents types d'emploi indiqués sur Emploi-Territorial ?
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Qu'est-ce qu'un cadre d'emplois et un grade dans la Fonction Publique Territoriale ?
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Peut-on postuler à un emploi dans une mairie ou une autre collectivité sans passer de concours ?
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Qu'est-ce que la Fonction Publique Territoriale (FPT), quels sont les employeurs ?
... constitue l'une des trois fonctions publiques (avec les fonctions publiques d'Etat et hospitalière). Elle regroupe le tiers des fonctionnaires (1,8 million d'agents).
Les agents territoriaux travaillent dans les collectivités locales et les établissements publics locaux : communes, conseils départementaux, régions, structures intercommunales, CCAS,... La vocation des structures territoriales et d'assurer un service public de proximité, au plus près des besoins des populations sur les territoires.
Quelques chiffres : 35 416 communes 101 départements 13 régions + 5 ultramarines 20 000 Etablissements publics locaux (Communauté d'agglomération, Communauté de Communes, Communauté Urbaine, SDIS, OPHLM, CCAS etc.) Au total 55 000 structures, 55 000 employeurs potentiels
Les familles de métiers (grands domaines d'interventions) sont regoupées en filières.
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En résumé : Fonction Publique Territoriale = filières = catégories = cadres d'emplois = métier -
Le recrutement dans la Fonction Publique Territoriale (FPT) :
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Les offres sur ce site sont-elles réservées aux fonctionnaires ?
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Comment postuler à une offre d'emploi ?
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Comment faire une candidature spontanée ?
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Site financé par l'Union Européenne dans le cadre du programme France Relance
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Avec le projet Dreaup, le CSTB recrute des collectivités de toutes tailles, partout en France, pour mettre à jour les statistiques de l’eau et leur donner les clefs d’une politique adaptée à leur territoire. Détails avec Maxime Roger, directeur eau du CSTB.
Pour en découvrir davantage : https://www.actu-environnement.com/ae/news/eau-donnees-CSTB-recherche-collectivites-collecte-datas-41244.php4
Dreaup. C’est le petit nom d’un nouveau projet lancé par la jeune direction de l’eau du CSTB. L’idée est d’analyser sur un territoire les usages de l’eau et de mettre à jour des statistiques obsolètes. Traditionnellement, on estime qu’un Français consomme en moyenne 150 litres d’eau par jour et qu’une douche consomme entre 40 et 60 litres. Mais ces chiffres, et bien d’autres, reflètent-ils encore la réalité à l’heure où les équipements de la maison sont de plus en plus économes et où la sensibilisation aux pénuries d’eau gagne du terrain ?
À travers des enquêtes, des tests de produits et des foyers équipés de capteurs, l’équipe du projet Dreaup se donne trois ans pour mieux cerner la situation. Pour les collectivités territoriales participantes, c’est l’occasion de mieux connaître les usagers de leurs services de l’eau, l’état de leur réseau, de se comparer à d’autres services afin de mettre en place une politique de l’eau adaptée à leur situation. Détails avec Maxime Roger, directeur eau du CSTB, rencontré en janvier dernier à l’occasion du Carrefour des gestion locales de l’eau, à Rennes.
Tr.: ... Prix de l'eau : 4€/m3 ... conclusions en 2026 mais partage des résultats intermédiaires.
Le regard sur les campagnes a changé depuis le confinement, se félicite la nouvelle ministre chargée des Collectivités locales. Mais ...
Connu / TG 15/09/22 à 11:17
Clés : Énergies renouvelables ; Transition ; Agir ; Collectivités ; Énergies renouvelables
Connu / https://twitter.com/assoCLER/status/1441331063159017484
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CLER @assoCLER · 24 sept.
Réalisé par @assoCLER en partenariat avec @GRDF et @Solagro, ce guide pratique a vocation à accompagner les #Regions dans le développement de leur politique de #methanisation ⤵️
Act4gaz et 9 autres personnes
11:17 AM · 24 sept. 2021·- 20 Retweets 3 Tweets cités 36 J'aime
Et🔴Notre page campagne à: https://cler.org/accueil/les-regions-acteurs-de-la-transition-energetique/
#LesRegionsenAction #Regions2021
Agnès Langevine et 9 autres personnes - 0 - 6 - 7
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nDLR : crédible ? amélioration ? ACT
AMARIS réunit les collectivités accueillant sur leurs territoires des activités générant des risques industriels majeurs.
Les membres du conseil d’administration
- Pierre Athanaze Vice-Président – Métropole de Lyon
- Roger Bergougnoux Conseiller communautaire – Caux Seine Agglo Maire – Lanquetot
- Salah Bouchama Adjoint au maire – Chasse-sur-Rhône
- Yves Blein Député du Rhône
- Alban Bruneau Maire – Gonfreville-l’Orcher Vice-président- communauté urbaine Le Havre Seine Métropole
- Jean-Michel Budynek Adjoint au maire – Solaize
- Fabienne Castel Maire Déléguée – Mardyck Conseillère communautaire – Dunkerque Grand Littoral
- François Chollet Vice-président – Métropole de Toulouse
- Gérard Dubois Conseiller municipal – La Rochelle
- Valérie Giraud Maire – Genay
- Charlotte Goujon Vice-Présidente – Métropole de Rouen Maire – Petit Quevilly
- Michel Guilloux Conseiller municipal – Feyzin
- Judith Laborieux Conseillère communautaire – Communauté d’agglomération
Centre Martinique Adjointe au maire – Le Lamentin - Françoise Rossignol Maire – Dainville
- Alexandre Rubio Maire – Bassens
- Patrice Schoepff Conseiller municipal – Strasbourg
- Karim Ternati Adjoint au maire – Grand Quevilly
Les membres du bureau
- Président Yves BLEIN
- Secrétaire Judith LABORIEUX
- Trésoriere Fabienne CASTEL
- Les vice-présidents Pierre ATHANAZE ; Alban BRUNEAU ; Charlotte GOUJON ; Françoise ROSSIGNOL
- Les autres membres Gérard DUBOIS ; François CHOLLET ; Alexandre RUBIO ; Patrice SCHOEPFF
L’équipe
- Delphine FAVRE, déléguée générale 01 40 41 42 12 delphine.favre@amaris-villes.org
- Danielle SAUGE-GADOUD, conseillère technique 06 15 90 09 49 danielle.saugegadoud@amaris-villes.org
- Christelle SALAS, assistante 06 70 77 77 35 contact@amaris-villes.org
- Manesha Seenarain manesha.seenarain@amaris-villes.org
Contact Tél. 01 40 41 42 12
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| Europe, Municipales 2020, Construction bas carbone, Empreinte carbone, Sarthe
A l'approche des élections municipales, les villes affichent leurs objectifs en matière de chasse au CO2. Certaines ont déjà pris les devants.
Aucune voiture, une végétation omniprésente, des panneaux solaires sur les toits : voilà ce dont rêvent de nombreux maires [...]
Règlement européen
Clés : CETA Collectivités locales Néolibéralisme Démocratie Ville TAFTA Services publics Multinationales Politiques publiques locales et services publics locaux
Le nouveau rapport de l’AITEC « Collectivités locales, reprendre la main, c’est possible ! Politiques publiques de transition démocratique et écologique : résistances et alternatives locales à la libéralisation » se fonde sur une enquête approfondie menée en 2017 auprès d’élu-e-s, d’agents territoriaux, et d’acteur-trice-s du monde associatif. Il met en avant des politiques publiques locales alternatives, plus démocratiques, plus justes et plus durables, à rebours de la libéralisation des marchés, du tout-privé et d’une économie hors-sol.
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mettre en place des politiques publiques locales alternatives implique de saisir les enjeux de la libéralisation à l’échelle mondiale, parce qu’ils déterminent la rationalité dominante qui s’imposent aux politiques locales.
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http://aitec.reseau-ipam.org/IMG/pdf/reprendre_la_main_c_est_possible_politiques_publiques_de_transition_da_c_mocratique_et_a_c_cologique_resistances_et_alternatives_locales_a_la_liba_c_ralisaiton-2.pdf
N’hésitez pas à diffuser et/ou à nous contacter !
contact.aitec@reseau-ipam.org
Le rapport commandé par Ségolène Royal le 27 avril 2016 au Conseil général de l’environnement et du développement durable (CGEDD) sur les causes des réticences au déploiement des nouveaux compteurs électriques communicants Linky vient enfin d’être publié, après avoir été remis à la ministre en début d’année. Ce document recommande notamment de renforcer le volet maîtrise de l’énergie des appareils et demande "une politique d’installation plus à l’écoute des consommateurs" et une prise en compte des besoins des collectivités en amont.
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Très attendu par les associations de défense des consommateurs et de surveillance des ondes électromagnétiques, mais aussi par les élus locaux
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craintes : protection des données personnelles, dangerosité éventuelle des ondes électromagnétiques mais aussi adéquation du compteur aux besoins des consommateurs et coût pour la collectivité et les ménages.
Très faible utilisation pour maîtriser l'énergie
Le rapport commence par rappeler la genèse de cette opération, vers 1980, avec l’élaboration d’un premier compteur électronique sans autre fonctionnalité que le comptage. Puis deux évolutions notables sont survenues, avec la modification du cadre réglementaire et le rajout de fonctions de maîtrise de l’énergie. Mais"si l’expérience de 2011, avec 300.000 compteurs, a permis de valider et d’améliorer le bon fonctionnement économique, certains signaux d’alerte n’ont cependant pas été pris en considération à ce stade", note le rapport.
Fin septembre 2016, 1.572.000 compteurs étaient installés, y compris ceux de l’expérimentation, et le taux de refus par les particuliers était alors de 3%. "Cependant, poursuit le rapport, l’utilisation pour la maîtrise de l’énergie est très peu développée, avec moins de 4.500 clients, soit 0,3% ayant demandé l’ouverture d’un compte sécurisé". Quant à l’installation d’afficheurs déportés, obligatoire selon la loi de transition énergétique du 17 août 2015 pour les clients éligibles aux tarifs sociaux de l’énergie, elle ne commencera que cette année. Par ailleurs, au 26 septembre 2016, 260 délibérations concernant des réticences sur le déploiement de Linky, en majorité de petites communes, avaient été adoptées, a constaté le CGEDD. "Au total, si le compteur est une réussite technique, tranche-t-il, son utilisation pour la maîtrise de l’énergie reste largement insuffisante".
Sur la question des ondes, le rapport du CGEDD rappelle les travaux de l’Ineris et de l’Anses, qui concluent à "l’absence d’effets à court terme" mais recommandent des compléments de mesures. Sur le sujet de la protection des données personnelles, il s’appuie sur les recommandations de la Cnil "très exigeantes" et "qui devraient constituer une protection efficace pour la vie privée de l’utilisateur, d’autant que son accord est requis pour la transmission des données autres que pour le comptage simple de la consommation".
Davantage d'écoute des consommateurs
...trois orientations de politique générale, accompagnées d’une douzaine d’actions concrètes. Il appelle d’abord à confirmer l’engagement de l’Etat pour le compteur électrique intelligent car "les difficultés rencontrées apparaissent comme des défauts de jeunesse dans un programme complexe".
Surtout, il pousse à renforcer le volet maîtrise de l’énergie, en cohérence avec les objectifs de la transition énergétique. Pour cela, "il serait nécessaire de développer le déport des indications de consommation depuis le compteur jusqu’aux lieux d’habitation, avec le module Emetteur Radio Linky (ERL), souligne-t-il. Celui-ci devrait être distribué en grande surface, et permettre la transmission des paliers tarifaires jusqu’aux dispositifs d’affichage de l’habitation". Les études montrent en effet une diminution des consommations de 6 à 10% lorsque les clients sont équipés d’afficheurs en euros. La possibilité de recevoir ces données énergétiques sur smartphone dans l’habitation devrait également être développée, estime le CGEDD.
La troisième orientation préconisée par le rapport concerne l’acceptabilité sociale du compteur. "Il paraît nécessaire de disposer d’une politique d’installation plus à l’écoute des consommateurs, souligne-t-il. Cette orientation passe par l’introduction d’une certaine souplesse dans les installations, offrant quelques options, notamment le cas de compteurs installés dans des lieux de vie passagers". La sécurité des données devrait quant à elle faire l’objet d’une politique de communication "plus affirmée".
Faire des élus les "ambassadeurs de Linky"
Parmi les actions concrètes accompagnant ces orientations, les auteurs du rapport proposent que l’Etat mette en place un portail sur les compteurs intelligents, expliquant les enjeux, notamment en matière de transition énergétique, les avantages induits pour les consommateurs et la collectivité au sens large, ainsi que les mesures de protection des données. "Ce portail apaiserait les craintes concernant les émissions du compteur, via la fourniture des données objectives", estiment-ils. Parallèlement, "l’Etat pourrait exercer un contrôle actif vis-à-vis des délibérations illégales de communes entravant le développement du compteur intelligent". Il faudrait aussi selon le CGEDD "permettre à l’Ademe d’intervenir plus efficacement dans le sens de l’usage du compteur intelligent pour la transition énergétique", via le lancement d’un appel à projets orienté vers les collectivités territoriales et les développeurs d’applications à l’aval du compteur.
En outre, si "l’approche des collectivités locales bénéficie aujourd’hui de nombreux outils de communication mis en place par Enedis", elle "pourrait encore être renforcée par une écoute des besoins des établissements publics de coopération intercommunale (EPCI), syndicats d’électrification, des associations départementales en amont des installations de particuliers", souligne le rapport. Celui-ci suggère donc d’effectuer un raccordement des installations communales en amont de celui des particuliers, "de sorte à disposer d’une communication positive des élus communaux" qui pourraient alors devenir "les ambassadeurs de Linky devant leurs populations".
Enfin, conclut le rapport, "la politique de communication, tant du distributeur que des fournisseurs et de l’Etat, devrait s’adapter à ces orientations. Elle pourrait notamment faire la promotion de l’installation des ERL et des afficheurs intelligents".
Lien :
http://www.cgedd.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/010655-01_rapport_cle27279c.pdf