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Réf. https://my.framasoft.org/u/mediationpourtous/?P6ULIQ
vous conduisez une thèse qui intègre la conception d’un accompagnement (cadre conceptuel, gouvernance, méthodes...) de la transition vers un système agri-alimentaire territorial durable s’appuyant sur l’hybridation de deux concepts :
- La démocratie créative de John Dewey (1940) basée sur l’action sociale et l’enquête pragmatique couplant intelligence collective et réflexive avec expérimentation sociale ;
- L’hédonisme alternatif de Kate Soper (2008) proposant de substituer aux possessions matérielles le lien social et contribuant à inventorier les sources de satisfaction possibles à partir de pratiques souvent perçues comme plus éthiques, écologiques, solidaires.
Ingénieur devenu médiateur, centré sur l'éthique, mon métier consiste notamment à intégrer une "ingénierie sociétale" au service de projets comme LA MÉDIATION DE L'URGENCE (climatique, écologique, politique, risques suicidaires et psychosociaux) dans un contexte de changement de paradigme : l'anthropocène. Je m'appuie sur une expérience de terrain qui a débuté en 1996 en région havraise et se poursuit en Charente en se basant sur :
- la notion de laboratoire de vie similaire à votre living-lab, le Hmm Lab ;
- l'accompagnement de processus relationnels susceptibles de faire émerger (ou non) une intelligence collective effective mesurable à postériori par des résultats tangibles. Aussi appelé médiation de projet ou médiation de co-création/co-construction et susceptible d'intégrer des médiations de conflits, dans une approche systémique, holistique et holomidale.
Rencontrons-nous pour examiner en détail quelles pourraient être les meilleures conditions de notre coopération au service du bien commun.
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( colloque publié http://www.ccic-cerisy.asso.fr/bienscommunsTM18.html) Mise à jour 29/08/2018
DIRECTION : Nicole ALIX, Jean-Louis BANCEL, Benjamin CORIAT, Frédéric SULTAN - Animateurs de La Coop des Communs
ARGUMENT :
Mieux connu depuis l'attribution, en octobre 2009, du prix Nobel d'économie à Elinor Ostrom, le concept de "communs" ou de "biens communs" fait actuellement florès dans de nombreuses disciplines: économie, gestion, droit et science politique, mais aussi dans les programmes de militants et responsables politiques. Ainsi le Parlement européen a constitué un intergroupe dédié aux "services publics et biens communs". Surtout, de très nombreuses initiatives témoignent de la vitalité de nouvelles forces sociales du vivre et produire ensemble et autrement, pour promouvoir des laboratoires citoyens et économiques dans les domaines tels que l’économie collaborative, la santé, l’éducation, la transition énergétique, le domaine foncier et pour utiliser des logiques de biens communs pour une gouvernance plus démocratique de fourniture de services d’intérêt général et élargir les choix dans les partenariats publics/privés.
Dans ces temps de mutations économiques, technologiques, écologiques, sociales, majeures, ce colloque est conçu comme un carrefour pluridisciplinaire de rencontres et d'échanges entre chercheurs et acteurs, venant de plusieurs pays européens, pour cerner le contenu du concept de biens communs et sa capacité à permettre la construction d'une nouvelle manière de vivre en société.
Vous pouvez retrouver l'intégralité des enregistrements vidéo réalisés durant ce colloque, en accès libre, sur le site Internet suivant : http://www.colloque-tv.com/colloques/vers-une-republique-des-biens-communs
Mémoire déposé dans le cadre de la convention citoyenne pour le climat
Thématique traitée : FINANCEMENT
Auteur : Philippe Derudder, Ste Adèle - QC, gérant de l'homme en devenir - www.lhed.fr, auteur, conférencier, conseil en alternatives économiques et monétaires
Connue / https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?JpoK1w
293 – Monnaie nationale complémentaire - Publié le 9 novembre 2014 | Le blog d'André-Jacques HOLBECQ
Une monnaie nationale complémentaire de Bien commun
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Tant que la pensée économique n’admet qu’une seule monnaie sur un territoire à fortiori conçue comme si elle était matérielle, le bien commun ne peut qu’être un sous-produit de l’activité marchande toujours remis en question sous la pression des exigences qu’imposent une économie globalisée. Or à ce jour où la production marchande n’offre plus d’emploi à tous et ne peut fonctionner que dans une dynamique de croissance infinie incompatible avec ce que la planète peut soutenir, il ne peut y avoir d’avenir que si la qualité de vie est considérée comme une RICHESSE prioritaire. La nature maintenant dématérialisée de la monnaie rend ce défi possible.
Pour ce faire il « suffit » de DÉCOUPLER le Bien commun de l’activité marchande, en le traitant dans un espace économique nouveau, AUTONOME, complémentaire à l’économie marchande. Ce nouvel espace regroupe les activités dont le contenu n’a pas par nature à être considéré comme une marchandise, tel que la santé, l’éducation, la recherche fondamentale, l’eau, la transition écologique, etc … Il est régi par un statut juridique spécifique et n’a pas pour finalité le profit financier ou l’équilibre comptable mais celle de bénéfice éco-social, c’est-à-dire l’atteinte concrète des objectifs écologiques et sociaux visés pour améliorer la qualité de la Vie.
C’est le débat public, partant du local vers le global, qui détermine ce qui doit relever légitimement de chaque champ, le marchand ou l’éco-social. Quant au financement, et c’est là la clé, il n’est plus assuré par l’impôt, ni par l’emprunt, mais par l’utilisation d’une monnaie de bien commun complémentaire à la devise nationale dont le nom reste à trouver (le socio?).
Elle est CRÉÉE EX-NIHILO par un organisme public sous mandat et contrôle citoyen, à hauteur des besoins déterminés par les projets décidés démocratiquement.
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« Le bien commun doit avoir sa monnaie »
Vidéo de présentation : http://www.youtube.com/watch?v=qaqW0mt_a4s (i à https://my.framasoft.org/u/mediationpourtous/?uTO-8g)
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Que pointe-t-on du doigt précisément ?
La logique de redistribution de la richesse par la fiscalité présentée comme symbole de solidarité nationale
... depuis 1971 la monnaie n'est plus matérielle. Elle n'est plus qu'une unité de compte virtuelle, créée par la seule décision humaine (si vous en doutez ou si vous voulez en savoir plus sur la monnaie et sa création vous pouvez regarder la vidéo en ligne La monnaie du pouvoir d'achat au pouvoir d'Être https://www.youtube.com/watch?v=XMs0aI4C0Ro&list=PLzTSLXax3AvlW0gsBoSUGTOKMGvqG5DnM sur ce site ou lire certains articles et textes choisis sur le sujet https://lhed.fr/s-informer/articles-et-textes-choisis). C'est l'ignorance et le conditionnement de pensée entretenus par ceux qui y ont intérêt qui nous font encore croire :
- Que la monnaie est une richesse en soi... Non !
comme le disait le chef indien Seattle, ou du moins ces paroles lui sont-elles attribuées : «Quand le dernier arbre aura été abattu, quand la dernière rivière aura été empoisonnée, quand le dernier poisson aura été pêché, alors vous réaliserez que l’argent ne se mange pas.» - Qu'elle est rare... Non !
elle n'est qu'écriture laissée à l'appréciation de ceux qui ont le pouvoir de la créer. - Que la fiscalité est nécessaire pour financer tout ce qui relève du collectif : justice, sécurité, infrastructures, aides sociales, santé, enseignement etc... Non, non et non !
Dès lors que la monnaie se crée par décision humaine, le collectif n'a plus besoin de fonder ses recettes sur l'accaparement d'une partie des revenus des uns et des autres : il n'a qu'à créer ce qu'il lui faut à la hauteur de ce qui est reconnu d'utilité commune.
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C'est le Bien commun, la recherche incessante d'amélioration de la qualité de la vie obéissant strictement a ce que la planète peut soutenir qui doit présider à la production et à nos modes de vie. Son financement doit donc être autonome, libéré des limites de la fiscalité et de l'emprunt qui asservissent la plupart pour le seul avantage de quelques uns et qui conduit à une destruction progressive de notre planète.
Tout est prêt pour opérer cette libération. Voici comment...
Catégorie Éducation 8 commentaires
Connue / https://lhed.fr/actions-politiques/la-monnaie-du-bien-commun
Transcription : ... monnaie nationale complémentaire
Climat, Communs globaux, Gouvernance mondiale
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