Dégoogliser ne suffit pas
Framasoft vous invite à embarquer dans une aventure commune : explorer les mondes numériques où l’humain et ses libertés fondamentales sont respectés, et ce jusque dans la conception des outils.
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Un monde où, face aux centres commerciaux de nos données, s’organisent des « AMAP » du numérique, qui proposent des services web dans la proximité et l’échange. Un monde où fleurissent CHATONS, nuages personnels, entraides à la formation et pollinisations internationales.
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Reste un monde encore bien inconnu à co-créer...
Sélectionner les bonnes informations
« Plus d’aspects négatifs que positifs » jugeait ainsi Karine Mauvilly, co-auteure de l’ouvrage « Le Désastre de l’école numérique – Plaidoyer pour une école sans écrans« , dans un entretien à VousNousIls début 2017. « Aucune étude ne démontre un meilleur apprentissage avec les objets numériques. On généralise un plan sans base scientifique, quand le rapport PISA 2012, revu en 2015 sous l’angle de la numérisation des systèmes scolaires, montre que plus les enfants sont derrière un ordinateur à l’école, plus leurs performances en compréhension de l’écrit chutent. Plus les élèves regardent un écran, moins ils comprennent ce qui est écrit dessus », ajoutait-elle.
Valentin Glo
ndlr : afin de perfectionner ses usages du numérique à base de logiciels libres
“ On m'a demandé à plusieurs reprises si l'on apprenait mieux avec le numérique. Ma position est assez claire à ce sujet : le numérique ne fait pas mieux apprendre par principe, par contre, il permet de créer des situations d'apprentissages riches, qui elles, permettent de développer des apprentissages en profondeur. Voyons donc quelques éléments de…”
Via Laurent Mabire, Nelly Renard
Se former pour l’ICN Informatique et Création Numérique
inria - 41014 Commencé - févr 20, 2017
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Les exemples les plus récents, tels que booking.com ou UberPop incitent à une inutile inflation législative. A tort, certains déduisent que ce serait développé un vide juridique. Cela relève du mythe. En réalité, le risque est plutôt celui d’un cumul de législations, même nationales . Les textes existants suffisent à résoudre les litiges, en tous cas mieux que ceux votés dans l’urgence (ainsi, la transposition de la Directive 2000-31 sur le Commerce électronique qui se trouve en France rattachée par la LCEN n° 2004-575 du 21 juin 2004 au droit de la Presse ). Il suffit d’appliquer le principe communautaire de « neutralité technologique » qui consiste à retenir les mêmes règles quelle que soit la technologie utilisée, donc sur Internet les mêmes que dans le monde « réel »...
experte en accessibilité numérique.
source : https://www.zotero.org/herv_le_crosnier/items/itemkey/JJX8QUQA
L'IDPF, pour International Digital Publishing Forum, se charge de promouvoir et de développer le format standard du livre numérique, l'EPUB. Et il se trouve que ce dernier a toujours été très proche du web, aussi bien au niveau du design que de la technique. L'IDPF a donc prévu d'intégrer le W3C, le World Wide Web Consortium, l'organisme de standardisation du web. Mais certains membres de l'IDPF sont circonspects...
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brevet RAND, pour Reasonable and Non-Discriminatory
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Bill McCoy revient sur les accusations relatives à la propriété intellectuelle : les apports au format EPUB des membres de l'IDPF étaient placés, au sein de l'IDPF, sous un brevet RAND, pour Reasonable and Non-Discriminatory, qui accorde au détenteur des droits de propriété intellectuelle, mais l'invite à accorder des licences pour un montant juste et non prohibitif. Il y a deux ans, rappelle Bill McCoy, l'IDPF avait démarré les procédures pour que ce système soit abandonné au profit d'une absence de droits sur les contributions, « pour que l'EPUB reste gratuit et ouvert ».
Le directeur exécutif précise que l'autorisation des membres accorde « une licence non exclusive » au W3C : ils conservent donc leurs droits sur les contributions, sauf si leur utilisation est indispensable aux développements futurs du format.
Bill McCoy évoque également sur le processus qui a mené au rapprochement entre W3C et IDPF, qui lui semble tout à fait démocratique.
accompagnement, formation
conclusion : pas grand chose ? relire ACT
Texte intégral du discours de la Ministre pour présenter le Réseau
Axelle LEMAIRE
Secrétaire d'état chargée du Numérique
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Une plateforme de concertation va travailler à définir des conditions d'appartenance qui soient souples et qui soient flexibles, à ce large réseau et au moyen de lui donner le maximum de visibilité. Il serait un comble que les médiateurs numériques ne fassent pas de médiation entre eux.
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ndlr : mérite une réponse :
"non, Madame la ministre, tout médiateur est d'abord un être humain. Quand il aborde un sujet qui le touche au plus près de lui-même comme son métier, il ne faut pas demander à cette personne de s'appliquer à elle-même ce qu'elle prodigue aux autres dans une médiation. Un des présupposés de la médiation est que, justement, pour "faire médiation", il faut un tiers. Dans le langage courant on parle de "juge et partie", c'est la même idée. Et c'est ce tiers extérieur, impartial, bienveillant... qui est qualifié de médiateur.
En pratique, le groupe (ici l'assemblée des médiateurs) pourrait s'organiser pour confier ce rôle à un médiateur extérieur idéalement, voire, plusieurs membres qui accepteraient de s'exclure du rôle de participant, pour se concentrer sur celui de tiers. Convenons qu'en pratique, c'est un peu "frustrant" de s'exclure mais, au prix d'un travail sur soi, ce n'est pas impossible. C'est juste non idéal et cela demande de l'expérience...
Donc, Madame la Ministre, je me tiens à votre disposition pour vous sensibiliser, voire vous former à la médiation quand il vous en plaira car un médiateur - quand bien même qualifié de "numérique", reste un médiateur. Et, comme par ailleurs le "numérique" devient aussi banal que l'eau et le feu, est-il bien nécessaire d'ajouter un qualificatif à médiateur ? Je prétends que non et c'est la thèse que je développe au COREM." => valoriser cette réponse ACT
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pour agir tout en préservant nos singularités, nous coopérons au sein d’une plateforme nationale, porte-drapeau de multiples actions locales et cheville ouvrière d’une mutualisation de services et du portage de projets communs. Nous décidons de nous doter d’un outil commun, une coopérative d’intérêt collectif à laquelle sera adossé un fonds de dotation.
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