1 789 Signatures (1824 au 27/02/24)
Lancée le 7 janvier 2024 par Julien KIEN
Cette pétition s’adresse au Président de Lorient Agglomération, Fabrice Loher.
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Lorient Agglomération finance avec l’argent public des contribuables – à hauteur de 475.000 euros – un projet de port de pêche à Duqm, au Sultanat d’Oman. L’un des éléments de ce projet n’est autre que l’importation de tonnes de poisson en provenance du sultanat d’Oman. 8.000 km de distance, avec un transport prévu en avion.
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Connue / https://twitter.com/GreenpeaceNice/status/1758554637106331814
connu / WeGreen Actu
Nouvelle victoire judiciaire dans la lutte contre le bois illégal (condamnation du leader français de l'importation de bois) !
Publié le 11 septembre 2023 / Tom Baquerre Groupe dans le groupe Membres des différentes familles Greenpeace 2 - 8 j'aime
Tags Bois illégal Déforestation Déforestation importée Forêt Greenpeace
Aujourd’hui, le 11 septembre 2023, le tribunal judiciaire de Rennes vient de condamner l’entreprise rennaise ISB FRANCE, leader français des importations de bois, pour délit de mise sur le marché illégale de bois importé à 100 000 euros d’amende et à la publication du jugement sur le site de l’organisme professionnel Le Commerce du Bois et dans le journal Ouest France. La société a également été condamnée à verser 10 000 euros à Greenpeace France au titre de son préjudice moral ainsi que 5 000 euros aux associations France Nature Environnement et Canopée.
Cette condamnation emboîte le pas à une première condamnation https://services.hosting.augure.com/Response/cGN8g/%7Bcbd4fcdc-ea93-4a40-9288-620d843fc287%7D le 6 septembre dernier d’une entreprise de l’Indre, Pierre ROBERT, pour violation du règlement visant à lutter contre le bois illégal concernant également des importations de bois précieux Ipé depuis l’Etat du Pará au Brésil.
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- Renaud Romagné • Il y a 1 semaine - 3 j'aime
Tout simplement excellent! Tu vois que tu peux donner des bonnes nouvelles aussi. Lol! Merci Tom. ça fait vraiment plaisir. Et on passe de 20 000 à 100 000 euros d'amendes. Au suivant... - Renaud Romagné • Il y a 3 jours - 2 j'aime
https://www.novethic.fr/actualite/gouvernance-dentreprise/entreprises-controversees/isr-rse/bois-illegal-pour-la-premiere-fois-deux-entreprises-francaises-condamnees-pour-manquement-a-leur-obligation-de-diligence-raisonnee-151753.html
Selon l'ONG, la Russie contrôlerait 43% des importations d'uranium naturel en provenance du Kazakhstan et d'Ouzbékistan, ...
Connu / TG le 11/03/23 à 19:59
Le parc atomique est le deuxième plus gros consommateur d’eau douce en France, plus que les buveurs d’eau potable. Alors que les inquiétudes liées à la sécheresse s’accroissent, ce sujet crucial est ...
Connu / TG le 03/03/23 à 20:47
228 k abonnés - 2k+ - 28 711 vues (40 940 au 13/2) - 309 commentaires
➡️ La sobriété gagnante : https://lasobrietegagnante.fr/
164 milliards : c'est le déficit commercial de la France sous Macron. Un trou, un gouffre, gigantesque, mais qu'ils veulent masquer, oublier. Alors, comment stopper l'hémorragie ? Benjamin Brice y répond, dans "La Sobriété gagnante" : non plus par l'obsession d'exporter, par la compétitivité, mais par moins importer. Sauver notre économie et la planète en même temps !
Tous les pays très fortement importateurs ou dans des situations géopolitiques compliqués possèdent des stocks alimentaires. Mais dans la logique de l’UE néolibérale, ils n’ont pas le droit de les utiliser pour influencer les marchés, alors que cela ne pose aucun problème quand ce sont des acteurs privés qui le font pour augmenter leurs marges.
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Conformément au Plan Climat adopté en juillet 2017, le gouvernement vient d’annoncer l’adoption de la stratégie nationale de lutte contre la déforestation causée par l’importation de produits forestiers et agricoles non durables. Une stratégie qui se veut seulement incitative et ne comporte donc aucune réglementation contraignante, ce que regrette les ONG.
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Les réactions d’ONG
Greenpeace France commente cette stratégie nationale de lutte contre la déforestation importée en parlant de « timides avancées » qui ne compensent pas « l’autorisation qu’il a donnée à Total d’importer 550 000 tonnes d’huile de palme par an pour sa bioraffinerie de La Mède, ni son blocage de la suppression de l’avantage fiscal aux agrocarburants à l’huile de palme« .
« Comment un tel texte, qui ne prévoit aucune interdiction ou mesure réglementaire, pourra-t-il freiner la déforestation engendrée par la production d’huile de palme ou de soja ? Avec si peu de moyens pour la protection des forêts, il est évident que la France ne pourra pas respecter ses engagements internationaux, en particulier ceux de l’Accord de Paris sur le climat« , analyse Clément Sénéchal, chargé de campagne Forêts chez Greenpeace France.
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Categories: climat, Collectivités, Entreprises, Particuliers
Étiquettes déforestation ; huile de palme : mesures incitatives ; ONG ; stratégie nationale de lutte contre la déforestation importée
Faute de production d'électricité nucléaire et éolienne suffisante, l'Hexagone a commencé à faire tourner ses centrales à charbon ces dernières semaines. En cause : le manque de vent et de nouvelles avaries techniques chez EDF, qui pâtit par ailleurs d'un encombrement d'opérations de maintenance et d'un décalage de son planning de travaux lié au Covid-19.
Si la crise du coronavirus, et surtout les mesures de confinement, ont provoqué une chute drastique des émissions de CO2 au printemps, d'autres effets viennent aujourd'hui nettement contrebalancer ces bonnes nouvelles pour le climat . Selon les données publiées par le gestionnaire du réseau de transport d'électricité RTE, la France a allumé ses centrales à charbon ces dernières semaines. Ce jeudi 17 septembre, elles fournissaient 2 % du mix électrique national, soit 824 mégawatts, à la mi-journée.
Certes, ce chiffre est modeste en proportion de la consommation française mais il n'en reste pas moins marquant, en plein mois de septembre, alors que les températures sont anormalement élevées et que les radiateurs ne sont pas encore allumés. En effet, ces centrales - dont le nombre se limite à quatre en France - sont le plus souvent mobilisées au coeur de l'hiver pour faire face aux pics de consommation d'électricité.
Des prix de l'électricité orientés à la hausse
Surtout, ce recours précoce au charbon ne semble pas suffisant pour répondre aux besoins en électricité du pays. Selon RTE, des mesures « d'effacements » - c'est-à-dire le report de consommations d'entreprises qui acceptent de les différer ou de les modérer moyennant rémunération - ont été utilisées ces derniers jours pour faire baisser la consommation.
La France a, par ailleurs, été globalement importatrice d'électricité ces derniers jours. Ces importations proviennent en grande partie d'Allemagne où la production d'électricité génère plus d'émissions de CO2 qu'en France. Un contexte qui tire les prix de l'électricité à la hausse : lundi 14 septembre, ils atteignaient un pic de 120,62 euros, en France, en fin de journée.
De nouvelles avaries techniques
En cause : la très faible disponibilité du parc de réacteurs nucléaires d'EDF. Sur ses 56 réacteurs, 24 sont actuellement à l'arrêt. Les causes sont multiples, et dépassent largement la fermeture de Fessenheim.
A Chooz (Ardennes), les deux réacteurs d'EDF sont maintenus à l'arrêt à cause de leur impact potentiel sur le débit de la Meuse, déjà limité du fait de la météo. A Cattenom, à Penly, à Blayais, à Flamanville, au Bugey et à Paluel, les programmes de maintenance ont été prolongés sur un ou plusieurs réacteurs à cause de nouvelles avaries techniques. Enfin, deux réacteurs sont visés par des mesures d'économies de combustibles destinées à faire face à un hiver tendu du fait du décalage des travaux de maintenance en pleine crise sanitaire.
Des vents très faibles en Europe
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Connu / https://twitter.com/LesEchos/status/1306853870639943683
"Corinne Lepage a retweeté
Les Echos @LesEchos · 18 sept. Faute de production d'électricité nucléaire et éolienne suffisante, l'Hexagone a commencé à faire tourner ses centrales à charbon
297 - 2,5 k - 1,3 k
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Ndlr : nous payons notre manque d'anticipation et de planification au PRIX FORT, dans tous les sens du terme : financier et écologique. => DÉNONCER ACT
INFOGRAPHIES & VIDÉOS
La Fondation pour la recherche sur la biodiversité (FRB) vient de publier une solide synthèse des connaissances existantes pour expliquer le lien entre perte de biodiversité et développement des zoonoses, des maladies qui se transmettent de l’animal à l’Homme, comme ce fut le cas du Covid-19. Pour la plateforme, il y a consensus sur le fait que le risque s’accroît avec l'érosion de la biodiversité.
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risque augmenté par le réchauffement climatique
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les auteurs estiment qu’"il existe des constats antérieurs de fortes atteintes à la biodiversité, et en particulier à l'intégrité des écosystèmes en Chine, avec des conséquences sur l'état des populations de certaines espèces, dont les chauves-souris." "On sait que la déforestation est encore en cours dans plusieurs régions chinoises et limitrophes (notamment Vietnam et Laos), où se trouvent les hôtes des virus, pour l'instant présumés, à l'origine du Covid-19 (chauve-souris et pangolins)", pointe la FRB.
Enfin, la FRB conclut qu’"une meilleure protection de la biodiversité, en particulier dans les pays du sud, ne peut s’envisager et être durable que si les pressions de consommation, notamment d’origine externe (déforestation importée) sont significativement réduites". La France s’est engagée à mettre fin à la déforestation importée d’ici 2030. Selon le WWF, en cinq ans, ce sont 15 millions d'hectares de forêts qui ont été rasés pour l’importation de sept matières premières critiques (huile de palme, soja, cacao, caoutchouc, pâte à papier, bois et bœuf), dont un tiers dans des pays présentant un risque élevé de déforestation.
, @conce1
(1) Voir la synthèse publiée par la FRB https://www.fondationbiodiversite.fr/wp-content/uploads/2020/05/Mobilisation-FRB-Covid-19-15-05-2020-1.pdf
Les incendies qui ravagent l’Amazonie sont en grande partie causés par la déforestation destinée à cultiver du soja. Cette légumineuse hypernutritive est massivement importée en France et en Europe pour nourrir volailles, cochons et ruminants. Peut-on se défaire de cette addiction au soja brésilien ?
La France a « une part de complicité » dans les incendies qui ravagent l’Amazonie. Ce n’est pas un militant écolo qui le dit, mais bien Emmanuel Macron, lors d’un entretien accordé à France 2 lundi 26 août. Et le président de préciser : « Sur le soja, on a une part de responsabilité. »
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« À la question : sommes-nous dépendants du soja brésilien, la réponse est clairement oui, résume l’agronome Marc Dufumier. Les deux tiers de nos animaux dépendent du soja américain pour se nourrir en protéines. Et l’Europe en dépend aux trois quarts. » La légumineuse séduit ainsi nombre d’éleveurs français, notamment sous sa forme triturée et broyée de tourteau, car « elle est un super-aliment, constate Suzanne Dalle. Hyper nutritif et facile à digérer pour les animaux ». « Si on veut faire produire beaucoup de lait aux vaches, ou si l’on veut des animaux qui grossissent plus vite, effectivement, on va complémenter la ration alimentaire avec beaucoup de soja, précise Nicolas Girod, porte-parole de la Confédération paysanne et éleveur laitier dans le Jura. Le soja, et particulièrement celui importé, est intrinsèquement lié au productivisme. Ce n’est pas tant l’agriculture qui est dépendante du soja brésilien que le modèle industriel. »
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il n’y a pas de fatalité, à en croire Nicolas Girod : « Sur notre ferme, on se fournit localement en Bourgogne en soja et colza bio ...
Pour Marc Dufumier aussi, « il est temps de dénoncer les accords de Blair House » : « Devant l’Organisation mondiale du commerce, nous pouvons faire valoir un accord supérieur, le traité de Paris sur le climat, souligne-t-il. Car, en important moins de soja et en soutenant la production européenne de protéagineux, nous réduirions le transport maritime, polluant, et surtout, puisque les légumineuses fertilisent naturellement le sol en azote, nous éviterions de mettre trop d’engrais azotés de synthèse, qui sont coûteux en énergies fossiles et émetteurs de protoxyde d’azote, un important gaz à effet de serre. » Quant aux surfaces nécessaires pour cultiver l’équivalent de 3,5 millions de tonnes de soja, l’agronome a déjà fait ses calculs : « Il nous faudrait mettre des cultures de légumineuses – soja, luzerne, trèfle, féverole, lupin — sur 1,4 million d’hectares en France, affirme-t-il. Nous pourrions les prendre sur 700.000 ha de maïs ensilage et sur 700.000 ha de blé, seigle et autres céréales, que nous exportons aujourd’hui vers des pays comme l’Égypte, qui se fournissent déjà auprès de l’Ukraine. »
Suzanne Dalle, de Greenpeace, espère que le gouvernement, inspiré par le nouveau positionnement du président Macron, « va enfin rendre plus concrète et contraignante la stratégie nationale contre la déforestation importée », adoptée l’an dernier mais restée pour le moment une coquille vide. Autre levier d’action entre les mains de l’exécutif, le plan protéines végétales pour la période 2020-2026, actuellement en discussion : « On pousse pour qu’il fixe un objectif de réduction des importations de soja, explique-t-elle. Mais aussi pour qu’il développe les protéines végétales pour l’alimentation humaine. » Car à Greenpeace, on en est convaincu : pour se passer de soja brésilien, il faudra réduire notre consommation de viande d’au moins 80 % d’ici 2050, donc manger plus de légumineuses.
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Pourquoi le charbon est l'ennemi numéro 1 du climat et le plus grand danger pour l'humanité ?
Pour les sources de la vidéo : http://osonscauser.com/charbon-lennemi-n1-climat/
Il est peu cher, il est la 2ème source d'énergie dans le monde, mais il tue chaque année des centaines de milliers de personnes et est la première cause du réchauffement climatique, avec 34% du C02 à lui tout seul : un tiers !
Dans cette vidéo on voit qui utilise du charbon, pourquoi, et comment le remplacer. Et on découvre au passage le concept d'émissions importées.
Catégorie Actualités et politique 519 commentaires
Transcription :
... osonscomprendre.com ? ... ACT
Le début de la deuxième Intifada, à l'automne 2000, a coïncidé avec une hausse spectaculaire des actes antisémites en France. Depuis lors, chaque explosion de violence au Proche-Orient se traduit par une montée des tensions sur le territoire national, si bien que certains n'hésitent plus à parler d'une " importation du conflit israélo-palestinien ". L'auteur de ce livre a cherché à comprendre les mécanismes de cette " importation ". ...
Connu / https://www.senat.fr/interventions-commissions/duplomb_laurent19507s/duplomb_laurent19507s.html depuis https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?hEJCxQ
Travaux parlementaires > Rapports
Rapport d'information n° 528 (2018-2019) de M. Laurent DUPLOMB, fait au nom de la commission des affaires économiques, déposé le 28 mai 2019
Disponible au format PDF (734 Koctets)
Synthèse du rapport (725 Koctets) https://www.senat.fr/rap/r18-528/r18-528-syn.pdf
La France est incontestablement une puissance agricole de premier plan,
représentant à elle seule près de 17% de la production européenne.
Fruit d’une histoire et d’une longue tradition d’excellence, la puissance agricole
nationale tient avant tout aux savoir-faire de femmes et d’hommes dévoués à leur métier, à l’importance de ses surfaces agricoles couvrant près de 50% du territoire et à son potentiel agronomique élevé.
L’indicateur le plus souvent mis en avant pour démontrer les bonnes
performances de notre agriculture sur les marchés mondiaux est l’excédent commercial
structurel français en matière de produits agricoles. Troisième excédent sectoriel derrière le secteur aéronautique et spatial et la chimie, il fait de l’agriculture l’une des fiertés commerciales françaises.
Toutefois, cet indicateur masque des évolutions alarmantes :
1) La production française stagne en volume alors que celle de ses
concurrents augmente ;
2) L’excédent commercial agricole risque de disparaître si la tendance
actuelle se poursuit ;
3) Les importations de produits agricoles et alimentaires augmentent
alors que leur respect des normes de production exigées en France
n’est pas assuré. Il en résulte une atteinte à la sécurité alimentaire des
Français, à la compétitivité économique de notre agriculture, et, partant, au
revenu de nos agriculteurs.
Le groupe d’études Agriculture et alimentation du Sénat a souhaité, lors de sa
reconstitution en février 2018, débuter ses travaux en faisant un tour d’horizon de ces
problématiques autour d’un dialogue avec plusieurs experts de ces questions.
Avant d’entamer des auditions plus prospectives, le groupe d’études a souhaité ne pas se précipiter et prendre le temps de décrire un enjeu auquel l’agriculture française doit faire face aujourd’hui : la perte de son influence sur les marchés mondiaux.
Aux termes de plusieurs auditions étalées sur un semestre, le groupe d’études
présente, dans ce document, les principaux éléments lui ayant été transmis afin de donner une image sincère à l’instant « T 0 », c’est-à-dire en ce début 2019, de l’agriculture française au niveau mondial.
Cette communication synthétique entend avant tout alarmer le citoyen sur cette face cachée de l’agriculture française. Elle constitue la première étape d’un travail à long terme du groupe d’études. Désormais conscient de cette situation, le groupe d’études entamera dès 2019 une série d’auditions pour prolonger ses réflexions et devenir force de propositions dans les débats à venir.
TABLE DES MATIÈRES
AVANT-PROPOS
I. UN LEADER MONDIAL EN MATIÈRE AGRICOLE : POUR COMBIEN DE TEMPS ?
A. LA FRANCE DEMEURE, DE LOIN, LE PREMIER PRODUCTEUR AGRICOLE EUROPÉEN
B. MAIS ELLE EST EXPOSÉE, COMME D'AUTRES PAYS EUROPÉENS, À UNE ÉROSION DE SON POTENTIEL PRODUCTIF
C. SA PRODUCTION STAGNE DEPUIS LA FIN DES ANNÉES 1990
D. DES PERTES INQUIÉTANTES DE PARTS DE MARCHÉ RELÈGUENT LA FRANCE AU RANG DE SIXIÈME PUISSANCE EXPORTATRICE AU NIVEAU MONDIAL
II. UN EXCÉDENT COMMERCIAL AGRICOLE EN VOIE DE DISPARITION
A. UN EXCÉDENT AGRICOLE OU UN EXCÉDENT VITIVINICOLE ?
B. VERS LA FIN DE L'EXCÉDENT AGRICOLE ?
III. UN RECOURS MASSIF À DES PRODUITS AGRICOLES IMPORTÉS, DONT UNE PARTIE SIGNIFICATIVE NE RESPECTE PAS LES NORMES SANITAIRES REQUISES EN FRANCE
A. DES IMPORTATIONS SIGNIFICATIVES SUR LE MARCHÉ FRANÇAIS
B. UNE CONCURRENCE DÉLOYALE POSANT DE VRAIS DOUTES SUR LA QUALITÉ SANITAIRE DES PRODUITS IMPORTÉS
IV. DE NOMBREUX DÉFIS À RELEVER SUR LES MARCHÉS NATIONAUX ET MONDIAUX
A. RECONQUÉRIR LE MARCHÉ NATIONAL
B. CONQUÉRIR DES MARCHÉS LÀ OÙ LA DEMANDE VA EXPLOSER
C. RENFORCER NOTRE COMPÉTITIVITÉ POUR CONSOLIDER LE REVENU DES AGRICULTEURS
D. LUTTER CONTRE LA CONCURRENCE DÉLOYALE DES IMPORTATIONS NE RESPECTANT PAS LES NORMES IMPOSÉES AUX PRODUCTEURS FRANÇAIS
E. MAINTENIR UNE AMBITIEUSE POLITIQUE AGRICOLE COMMUNE AU NIVEAU EUROPÉEN
CONCLUSION GÉNÉRALE
EXAMEN EN COMMISSION
LISTE DES PERSONNES AUDITIONNÉES
A lire aussi
7 juin 2019 :
La France, un champion agricole mondial : pour combien de temps encore ? - Rapport d'information n° 528
6 juin 2019 :
"Non, non, rien n'a changé" dans les négociations commerciales alimentaires, malgré la loi Égalim - Un premier bilan très mitigé
9 mai 2019 :
Réforme de la PAC - Résolution n° 96
25 avril 2019 :
Réseau des chambres d'agriculture - Texte n° 466
17 avril 2019 :
Création de l'Office français de la biodiversité - Texte n° 90
5 avril 2019 :
Création de l'Office français de la biodiversité - Rapport n° 424
NDLR :
- climat, changement climatique, biodiversité, gaz à effet de serre, carbone, gaz carbonique, co2, etc, ne figurent pas dans la synthèse :-(
- aucune remise en question du marché agricole mondial, ni prise en compte du changement d'ère géologique nécessitant une relocalisation maximale de l'agriculture, la constitution de réserves et toutes mesures augmentant la résilience de notre agriculture.
Economie Entreprises
De nombreux produits agricoles et alimentaires importés en France ne respecteraient pas "les normes minimales" environnementales et sanitaires "imposées aux producteurs français", selon une estimation contenue dans un rapport sur l'agriculture française publié jeudi par le Sénat.
"Nous consommons aujourd'hui en France, plus d'un jour par semaine, des produits qui sont uniquement des produits importés dans nos assiettes. (...) Le pire, c'est que dans cette alimentation qui provient d'ailleurs, un quart ne respecte pas les normes que nous imposons aux agriculteurs français", a déclaré jeudi le sénateur LR de la Haute Loire, Laurent Duplomb, en présentant le rapport à la presse. https://www.senat.fr/interventions-commissions/duplomb_laurent19507s/duplomb_laurent19507s.html
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fraude "plus importante" dans les produits biologiques, la Direction de la concurrence et des fraudes (DGCCRF) ayant constaté que "17% des contrôles physiques sur les produits issus de l'agriculture biologique" étaient "non conformes en 2017".
Mais il fustige surtout les produits agricoles (non bio) importés de l'Union européenne, où les taux de non conformité étaient en 2017 de 17% pour les viandes fraîches de boucherie, 13% pour les viandes fraîches de volaille, 25% pour les produits à base de viande, 21% pour le lait cru ou les produits à base de lait.
*Ndlr :
- lien précis du rapport : https://www.senat.fr/rap/r18-528/r18-528.html et son indexation https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?Ha9Wfw