COVID : la protéine Spike peut persister dans le tissu cérébral pendant des années, révèle une étude
Médecine & Bio - ·2 min de lecture
COVID : la protéine Spike peut persister dans le tissu cérébral pendant des années, révèle une étude / Kareen Fontaine & J. Paiano·7 janvier 2025
En France, près de deux millions de personnes, soit 4 % de la population, sont concernées par le Covid long. En cause, la persistance d’une infection latente par le SARS-CoV-2. Une récente étude a exploré la persistance de la protéine Spike du SARS-CoV-2 dans l’axe crâne-méninges-cerveau et son rôle dans les séquelles neurologiques. Les résultats montrent que cette protéine pourrait persister dans les tissus protecteurs du cerveau jusqu’à quatre ans après l’infection, provoquant une inflammation chronique et des maladies neurodégénératives. Ces découvertes pourraient aboutir au développement de traitements ciblés.
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Vaccins à ARNm : un espoir contre la persistance de la protéine Spike ?
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Les souris vaccinées présentaient une concentration de Spike réduite de moitié dans l’axe crâne-méninges-cerveau par rapport aux souris non vaccinées.
« Cette réduction représente une étape importante », estime Ertürk. Cependant, il précise que des recherches complémentaires sont nécessaires pour évaluer la pertinence de ces résultats chez les patients humains atteints de Covid long. « Nos travaux ouvrent de nouvelles voies de recherche pour le diagnostic et le traitement des séquelles neurologiques de la Covid-19 », conclut-il.
Source : Cell Host & Microbe
Connu / https://diaspora-fr.org/posts/10752469
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Laurent Espitallier - il y a environ un jour
COVID : la protéine Spike peut persister dans le tissu cérébral pendant des années, révèle une étude
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#étude #santé #covid19 #sarscov2 #protéinespike
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COVID : la protéine Spike peut persister dans le tissu cérébral pendant des années, révèle une étude
Des chercheurs ont découvert que la protéine Spike du SARS-CoV-2 peut persister jusqu’à quatre ans dans les tissus protecteurs du cerveau, contribuant à des séquelles neurologiques. Ces résultats pourraient guider le développement de traitements ...
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Ndlr: semble fidèle à l'étude https://www.cell.com/cell-host-microbe/fulltext/S1931-3128(24)00438-4?_returnURL=https%3A%2F%2Flinkinghub.elsevier.com%2Fretrieve%2Fpii%2FS1931312824004384%3Fshowall%3Dtrue
Copyright AFP 2017-2021. Droits de reproduction réservés.
Des publications très partagées en anglais, en français ou en croate, affirment que les personnes ayant reçu le vaccin anti-Covid de Pfizer peuvent excréter la protéine "spike" du Sars-CoV-2 et être dangereuses pour les non-vaccinés. Comme l'ont expliqué de nombreux experts, c'est impossible.
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Ces articles sont des traductions d'un article en anglais du site canadien anti-avortement "Lifesite News" (relais régulier de désinformation), qui lui-même reprend les éléments de ce texte, provenant du site du groupe de médecins américains America's Fronline Doctors.
Ces médecins ont plusieurs fois relayé des allégations trompeuses autour de supposés remèdes au Covid-19, comme expliqué dans ces articles (1, 2) de l'AFP Factuel.
La théorie - infondée - selon laquelle les vaccinés pourraient excréter des particules virales ou vaccinales, a déjà fait l'objet d'articles de vérification de l'AFP en serbe et en anglais.
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La protéine de pointe (ou "spike" en anglais), située à la surface du Sars-CoV-2, est celle qui lui permet de s'arrimer aux cellules humaines et d'y pénétrer pour l'infecter. Les vaccins visent à faire produire au corps humain cette protéine - qui isolément est inoffensive - pour déclencher une réponse immunitaire.
Ainsi, l'organisme est "entraîné" à combattre efficacement et immédiatement le Sars-Cov-2 s'il venait à être réellement infecté.
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Dasantila Golemi-Kotra, microbiologiste à la York University au Canada ... Barry Pakes, enseignant à l'école de Santé publique de l'Université de Toronto ... Jamie Scott, professeur émérite de la Simon Fraser University au Canada ... "Dr Simone Gold", co-fondatrice d'America’s Frontline Doctors ... le médecin David Gorski, auteur de nombreux articles de démystification de fausses allégations autour du Covid ... le chirurgien oncologue de la Wayne State University School of Medicine aux Etats-Unis ... Société de pathologie infectieuse de langue française (SPILF) ... le Centre de Référence sur les Agents Tératogènes (CRAT) en France et l’American College of Obstetricians and Gynecologists (ACOG) ... Daniel Dunia, directeur de recherche au CNRS ... le Pr Claire-Anne Siegrist, experte en maladies infectieuses ... Kathryn Clancy, enseignante au département d'anthropologie de l'université américaine University of Illinois Urbana-Champaign ...