... unique acteur public de la santé mentale en Charente. Trois de ses unités sont spécifiquement tournées vers les aidants.
La Maison des Usagers et des Accompagnants : Lieu d’informations et de permanences d’associations (UNAFAM, GEM, …).
Profamille : Programme psycho éducatif pour donner aux accompagnants de patients atteints de schizophrénie des clés pour améliorer la communication et la qualité de vie.
Contact : mdua@ch-claudel.fr/– www.ch-claudel.fr
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Our Trauma Resilience Initiative is focused on advancing the mental and behavioral health fields through several regional and national initiatives that support a broad range of health system
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#quantumway #développementpersonnel #TPV
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La Théorie Polyvagale est une approche avant-gardiste qui prône une vision holiste de la guérison, centrée sur le système nerveux. Elle nous apprend, entre autres, qu’il n’y a pas de bien-être en isolation avec autrui et que les relations humaines que nous nourrissons au quotidien sont essentielles pour gérer son stress et s’épanouir. Dans nos relations personnelles comme au travail, nous avons tout intérêt à cultiver ce savoir-faire pour mener une vie saine et harmonieuse.
copyright © 2021 Polyvagal Institut
copyright version Française © 2021 Quantum Way
Traduction et voix : Anne-Laure Gex
#quantumway #développementpersonnel #TPV #théoriepolyvagale #polyvagaltheory #stephenporges #debdana #trauma #therapy #thérapie
Connu / TG le 5/12/23 à 7:55 (TG-HLC-Pepites_et_ressources_pratiques_preventives)
Ndlr :
- consistant, à faire valider par des experts, qui ? François Ducrocq ? Chercher ACT
- en fin de vidéo, il est faire référence à THE TRAUMA FOUNDATION https://thetraumafoundation.org/ i à https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?hZHzTA
- quelle relations lient Quantum Way, Polyvagal Institut (https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?eNZpxQ) à cette fondation ?
Manifestation en Israël, près de Jérusalem, pour la libération des otages du Hamas ©Maxppp - Jim Hollander/UPI
François Ducrocq : "Un événement traumatique, il marque le sujet à jamais" - Jeudi 23 novembre 2023 / L'invité de 6h20
Quelles sont les séquelles psychologiques d'anciens otages ? François Ducrocq psychiatre au CHU de Lille, coordinateur national adjoint des CUMP (cellules d'urgence médico-psychologique).
Avec François Ducrocq Psychiatre au CHU de Lille
Alors que les premières libérations d'otages israéliens du Hamas devraient avoir lieu dans les heures qui viennent, zoom ce matin sur ce qui attend ces otages une fois libérés : des médecins vont les examiner, ils auront droit à toute une batterie d'examens, mais il faudra gérer aussi le traumatisme psychologique qu'ils ont vécu. Une procédure que connait bien François Ducrocq, qui a notamment travaillé avec des victimes des attentats du Bataclan et de Nice.
Des troubles qui peuvent survenir "dans les années" qui suivent
Quand on est libéré, explique-t-il, "il y a évidemment quelque chose de l'ordre d'un soulagement et d'une libération, au sens propre du terme". "Mais on sait également qu'il y a très souvent des réactions un peu particulières, qu'on appelle des réactions dissociatives, avec l'impression que ce n'est pas la réalité, un sentiment de dépersonnalisation, l'impression d'être détaché de son corps. Des symptômes qui sont perçus, à la fois par le sujet lui-même et par son environnement, comme assez atypiques."
D'autant que ces séquelles peuvent ne pas apparaître immédiatement, mais faire l'effet de bombes à retardement. "Ces pathologies, qui tournent essentiellement autour de ce qu'on appelle le trouble stress post-traumatique, sont susceptibles de survenir dans les jours, dans les semaines, dans les mois et parfois même dans les années qui suivent un événement traumatique."
"C'est un trouble qui s'articule autour de quatre grands axes", précise le psychiatre. "Des symptômes de répétition, le fait de revivre les scènes traumatiques, le jour au travers d'intrusions, de flashbacks, la nuit au travers de cauchemars traumatiques. Un deuxième groupe s'articule autour des conduites d'évitement des situations, des conversations, des lieux... Il y a également des problèmes d'humeur, de cognition, un sentiment de honte, de perte d'intérêt. Et enfin, un quatrième groupe très parlant, qui provoque d'ailleurs souvent l'accès aux soins, d'hyper-éveil, avec des sentiments d'hyper-vigilance, un sentiment d'insécurité qui peut devenir permanent."
"On va leur apprendre à vivre avec"
Ces symptômes peuvent toucher toutes les victimes, qu'il s'agisse d'hommes, de femmes, ou d'enfant, sans réelle spécificité. "Chez l'enfant, il y a des symptômes un peu particuliers, notamment autour de ces réactions dissociatives, et des symptômes parfois assez atypiques, qui peuvent ressembler à de la dépression ou à de l'anxiété générale. Mais globalement, même si les grilles de lecture divergent un peu, l'approche et la prise en charge est à peu près la même."
Est-ce qu'à terme, certains parviennent à tout effacer, à ne plus y penser ? "Effacer, ce n'est pas le terme le plus adéquat", explique François Ducrocq. "Et pourtant, c'est souvent la demande des patients, qui nous disent qu'ils veulent effacer tout ça, vivre sans. On leur répond souvent qu'on va plutôt leur apprendre à vivre avec. Ce qui peut s'effacer, ce sont les symptômes. Ce trouble de stress post-traumatique peut guérir et va guérir si la prise en charge est adaptée. C'est vrai que ça dépend d'un tas d'éléments, cette médecine est complexe. Mais l'événement traumatique, j'ai envie de dire qu'il est gravé à jamais, qu'il marque le sujet à jamais, au point de fausser son destin psychique."
Clés : Monde Société Proche et Moyen-Orient Santé Israël Santé psychologique – Psychiatrie Bande de Gaza Prise d'otages
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– La paranoïa et les troubles associés. aqpamm.ca. Consulté le 13 janvier 2021.
– La paranoïa, approche clinique et médico-légale : quelle actualité ? congresfrancaispsychiatrie.org. Consulté le 13 janvier 2021.
– PARANOÏA. ramsaygds.fr. Consulté le 13 janvier 2021.
DOCUMENTAIRE duration 52 minutes - Disponible du 17 avril 2023 au 16 mai 2023
À lui seul, Frantz Fanon incarne toutes les problématiques de l'Histoire coloniale française. Résistant martiniquais, il s'engage, comme des millions de soldats coloniaux, dans l'Armée Libre par fidélité à la France et à l'idée de liberté qu'elle incarne pour lui. Écrivain, il participe au bouillonnement de la vie de Saint-Germain avec Césaire, Senghor ou encore Sartre, débattant sans relâche sur le destin des peuples colonisées. Médecin, il révolutionne la pratique de la psychiatrie allant chercher dans les rapports de domination des sociétés coloniales les fondements des pathologies de ses patients de Blida. Militant, il rassemble par son action et son histoire, les colères des peuples écrasés par des siècles d'oppression coloniale.
Mais au-delà de ce parcours exceptionnel qui rend sensible la permanence du colonialisme français des petites Antilles aux portes du désert algérien, il laisse une oeuvre incomparable qui lui vaut d'être aujourd'hui l'un des auteurs français les plus étudiés Outre-Atlantique.
Paroles @lolaces @mariefacundo @ssttephanerose
Musique @lolaces
#hopitaux #trio #lescoquettes #chanson #petiteschansons #instasong #ukulele
Connu / TG du 27/11/22 à 21:42
Date : le 9 novembre 2021 de 19h00 à 21h00
Titre : Anthropologie clinique : nouvelle proposition épistémologique pour une psychopathologie intégrative
Orateur : Serge Escots, anthropologue et psychothérapeute. Co auteur avec Nicolas Duruz de « Esquisse d’une anthropologie clinique I et II » (PSN, 2015)
Abstract : Esquisse d’une anthropologie clinique I et II co-signé avec Nicolas Duruz (PSN, 2015), proposait une réflexion épistémologique programmatique dont la visée s’inscrivait pleinement dans la perspective de dépassement des clivages intermodèles pour permettre aux professionnels des champs sanitaires, sociaux et médico-sociaux de trouver un sol commun dans le respect de leurs différences.
En 2015, si l’articulation de l’anthropopsychiatrie de Jacques Schotte et de l’anthropologie sémiotique avait permis de résoudre un certains nombre de problèmes épistémologiques importants en psychopathologie, de nombreuses questions demeuraient toujours sans réponse. Il s’agira ici de faire une proposition d’articulation plus fine entre ce qu’autorise la perspective sémiotique inaugurée par les travaux de Cassirer sur les formes symboliques et le schéma de la structure de l’humain que nous avions proposé dans nos articles. Cette fois, en repartant du concept d’entour sémiotique (Rastier, Fontanille), nous revisiterons les dimensions anthropologiques existentielles entre génétique, fantasmes originaires et angoisses archaïques pour examiner en quoi l’épigénétique fait un pont pour rejoindre les grands facteurs étiopathologiques que sont le traumatisme, l’attachement et les pathologies des systèmes relationnels. Ainsi, avec l’anthropologie clinique, nous aurons montré comment de l’hominisation au sujet individuel, anthropologie sémiotique et anthropopsychiatrie permettent de saisir le nouage du biologique et du psychique, de l’individu et des systèmes culturels, du normal et du pathologique.
Faits divers - Justice
Dans un communiqué, le maire du Mans Stéphane Le Foll apporte son soutien à un médiateur de la Ville, agressé au couteau ce mardi 27 avril. Une cellule de crise a été ouverte.
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par un homme "ayant des antécédents psychiatriques"
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*Clés : Agression Enquête Le Mans
Classification pharmacothérapeutique VIDAL :
Psychiatrie - Anxiolytiques : Benzodiazépines (Voie orale)
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INDICATIONS
- Traitement symptomatique des manifestations anxieuses sévères et/ou invalidantes.
- Prévention et traitement du delirium tremens et des autres manifestations du sevrage alcoolique.
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Dépendance : Tout traitement par les benzodiazépines et apparentés, et plus particulièrement en cas d'utilisation prolongée, peut entraîner un état de pharmacodépendance physique et psychique. Divers facteurs semblent favoriser la survenue de la dépendance : durée du traitement, dose, antécédents d'autres dépendances, médicamenteuses ou non, y compris alcoolique.
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Phénomène de rebond : Ce syndrome transitoire peut se manifester sous la forme d'une exacerbation de l'anxiété qui avait motivé le traitement par les benzodiazépines et apparentés.
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Troubles du comportement :* Chez certains sujets, les benzodiazépines et produits apparentés peuvent entraîner un syndrome associant à des degrés divers une altération de l'état de conscience et des troubles du comportement et de la mémoire :
Peuvent être observés :
aggravation de l'insomnie, cauchemars, agitation, nervosité ;
idées délirantes, hallucinations, état confuso-onirique, symptômes de type psychotique ;
désinhibition avec impulsivité ;
euphorie, irritabilité ;
amnésie antérograde ;
suggestibilité.
Ce syndrome peut s'accompagner de troubles potentiellement dangereux pour le patient ou pour autrui, à type de :
comportement inhabituel pour le patient ;
comportement auto ou hétéro-agressif, notamment si l'entourage tente d'entraver l'activité du patient ;
conduites automatiques avec amnésie post-événementielle.
Ces manifestations imposent l'arrêt du traitement.
36 minutes
A en croire les psychiatres et les psychologues, la santé mentale des français se serait sérieusement dégradée avec le Covid. Le premier confinement l’avait déjà montré mais c’est encore plus vrai depuis le début du deuxième confinement. Anxiété, stress, colère, états dépressifs, les choses se sont encore aggravées…
Toutes vos questions et vos témoignages au standard de Radio France - 01 45 24 70 00, sur l'application France Inter et par e-mail à l'adresse telsonne@radiofrance.com
Invités :
- Serge Héfez, Psychiatre, psychanalyste, membre du Conseil d'administration de SOS Amitié
- Alain Mathiot, Président de SOS amitié
09 72 39 40 50
Marianne @MarianneleMag · 14h
"Nous sommes de plus en plus mobilisés pour des crises suicidaires. Il y a des personnes avec des antécédents psychiatriques, mais d'autres, pas du tout."
Flèche vers le bas
Grande dépression : des psychiatres alertent sur le risque d'une flambée des suicides post-Covid
La pandémie bouleverse le quotidien des Français. Et leur psyché. À la crainte d’attraper le virus s’ajoute celle de perdre son emploi. Plusieurs médecins et experts notent une vague de dépressions...
marianne.net - 8 - 19 - 11
Thierry Gourvénec a fait sa thèse de psychiatrie sur les bouffées délirantes. Il a étudié à ce titre la propagation de rumeurs délirantes, en particulier celle d’Orléans qui voulait que des femmes disparaissent et soient livrées à des réseaux de prostitution, après avoir visiter des commerçants de la ville. Il a noté que la propagation de cette rumeur est intervenue au moment où De Gaulle allait quitter le pouvoir et laisser la France orpheline de son ange tutélaire. « La rumeur d’Orléans éclot en 1969 après que De Gaulle ait perdu son référendum et quitté le pouvoir. C’est une angoisse majeure, œdipienne… La mort politique du Grand Charles est un peu comme la mort du père…" Il s’appuie sur ce type de phénomène de croyance collective pour inscrire l’histoire du coronavirus dans la longue litanie des épidémies, dont très peu au final se révèlent réellement meurtrières à grande échelle.
On a nettement exagéré la portée et la violence de l’épidémie de Covid et nous nous sommes collectivement enfoncé dans une sorte de bouffée délirante collective (et médiatique) dès l’origine de l’épidémie sans pouvoir faire machine arrière: telle pourrait être résumée son hypothèse. « Les gens individuellement ne sont pas fous, c’est la communication collective qui est délirante, explique-t-il avant de faire un lien entre le contexte politique angoissant, la peur archaïque de toute épidémie, instrumentalisée ou pas, et la naissance d’un délire collectif. Denis Robert remonte avec lui le cours des histoires des délires collectifs: des sorcières brûlées au Moyen Age à la grippe aviaire (qui n’aurait fait qu’une seule victime humaine) en passant par épidémie allemande d'Escherichia Coli de 2011 dont la souche d'origine aurait été liée à l’ingestion de concombres bio originaires d’Espagne. Il note que la rumeur qui s’avèrera fausse est lancée quelques jours après Fukushima et que l’épidémie, dont tout le monde parle, fera une cinquantaine de victimes, pour qui la suspicion de recto-colites dues à du césium japonais ne peut être écartée: La très questionnante saga de l'Escherichia Coli Entéro-Hémorragique - AgoraVox le média citoyen ). « Chaque épidémie gérée de manière inconséquente est le fruit d’une peur panique et politique » conclut-il. La conversation roule et fait réfléchir. De la confrontation entre le raisonnement du psychiatre et le scepticisme affiché par son intervieweur nait une mise en abime qui brise certaines idées reçues et nous donnent à penser. C’est un des mérites de cette conversation pas si savante que ça, toujours sur un fil; « Et si l’épidémie que nous venons de vivre fonctionnait d’abord sur la transmission d’une peur ? » Bonne question…
Aussi à https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?udqi3A
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Dans le cadre de la commission d’enquête de suivi du Covid-19 lancée par les parlementaires de la France insoumise, Mathilde Panot auditionnait Mathieu Bellahsen, psychiatre et chef du pôle de psychiatrie adulte à Asnière.
Toutes les auditions et les informations sur la commission d'enquête de suivi du Covid-19 sont à retrouver sur cette page : https://lafranceinsoumise.fr/commissi...
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Simon Kervegan est un patient de l'Hôpital Pinel. Il revient sur son parcours chaotique à l'hôpital psychatrique et nous donne à voir sa vision hors norme du monde. Avec Virginie Cresci.
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Alegría Nohay il y a 10 mois
Souvent on dévalorise les gens qui ont recours à la psychiatrie en les traitant de "fous".
À l'écoute de ce témoignage et du raisonnement de cet homme, clair et plein de bon sens sur l'état de notre système de santé, on sait qui sont les fous dans ce pays.
Et ils ne sont pas dans les hôpitaux psychiatriques.
Ces temps troubles en France, après les attentats successifs de Paris, de Nice et l’assassinat d’un prêtre, près de Rouen, voient une partie de notre jeunesse, répondre aux clairons de dogmatismes qui veulent la mort de nos démocraties et attisent la haine entre communautés. Face à ces évènements qui cherchent à diviser, nous pensons dans le cadre des outils à disposition de la protection de l’enfance (sous mandat administratif ou judiciaire), que le déplacement, et le détour par l’expérience commune avec les professionnels, à l’étranger, créent de l’instabilité pour que le jeune puisse entendre un contre discours de l’adulte.
Par la médiation entre les arts et la culture, le dialogue peut se renouer, le lien devient possible. Cette médiation culturelle permet aux jeunes de mieux appréhender les différences et évite le communautarisme. La « pratique éducative par ricochet » dans le quotidien en partage, chère au psychologue lyonnais, Paul Fustier[1], nous invitait à de tels détours : démontrer ainsi que travailler les questions de processus identificatoire par les enjeux culturels sont des démarches fondamentales au processus d’intervention clinique et éducatif en contexte de protection administrative ou judiciaire.
...
L’expertise issue de notre pratique éducative et formative nous indique que nous souffrons de trop de cloisonnement dans nos pratiques d’accompagnement. Ce modèle cloisonné n’assume pas pleinement l’importance de la conjonction des volets cliniques avec l’expérimentation d’engagement citoyen pour le vivre ensemble. Nous considérons ainsi à l’appui des travaux contemporains en psychiatrie et psychosociologie que les troubles psychiques et souffrances sociales contemporains sont autant « d’empêchements d’accomplissements » et de réalisation de soi.
...
faire entendre que la culture dont certains sont issus, reste plus que jamais, estimable, et qu’elle a sa place pour le guider dans la construction positive de son parcours de vie, loin de tout regret haineux.
[1] Paul Fustier, les corridors du quotidien, Dunod, 2014 (1ère édition 1993). Paul Fustier (1937-2016), professeur émérite de psychologie à l’Université de Lyon. Il joua un rôle central dans la structuration de la clinique du champ social et médico-social. L’intégralité de son oeuvre est éditée chez Dunod.