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Clés : Enquête Europe Energie Energies renouvelables
Alors que la Commission européenne lance vendredi 9 décembre l’Alliance européenne pour l’industrie solaire avec l’ambition de retrouver une souveraineté dans un marché encore chasse gardée d’acteurs asiatiques, de nombreux projets français misent sur les nouvelles technologies photovoltaïques pour se distinguer. Top-con pour Carbon, Hétérojonction chez le CEA-Ines, tandems silicium-pérovskites pour l’IPVF et Voltec Solar… chacun fait valoir ses atouts.
7 min. de lecture © Guittet Pascal
Le CEA-Ines, à Chambéry, parie sur l’hétérojonction pour replacer la France parmi les pays producteurs de cellules photovoltaïques.
Après les batteries et l’hydrogène, le solaire photovoltaïque ? C’est en tous cas l’ambition de la Commission européenne, qui lance ce vendredi 9 décembre l’Alliance européenne pour l’industrie solaire. Annoncée en octobre dans le cadre du plan Repower EU, cette dernière est portée par l’accélérateur européen EIT InnoEnergy et plusieurs organisations d’industriels du secteur afin de «construire le cadre de la réindustrialisation de l’Europe dans le photovoltaïque avec pour objectif de faire émerger 30 GW de capacités manufacturières dans le solaire d’ici 2025», explique le PDG de l’Institut Photovoltaïque d’Ile-de-France, Roch Drozdowski-Strehl, à l’Usine Nouvelle. Un objectif ambitieux, poussé par "l’électrochoc" de l’Inflation Reduction Act américain et la volonté de «faire en sorte que l’Europe puisse se battre à armes égales avec les Etats-Unis, la Chine ou l’Inde», espère l’industriel. Il souligne que la crise énergétique et les prévisions de croissance des renouvelables, encore revue à la hausse par l’Agence internationale de l’énergie le 6 décembre, «ont fait tourné tous les regards vers le monde du solaire, qui ressort comme le grand gagnant de la période.»
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Des microbots ont été développés par des chercheurs de l'Institut des systèmes intelligents et de robotique du CNRS pour déplacer des cellules biologiques. Imprimés en 3D, ils fonctionnent grâce au principe des pinces optiques. Ils pourraient être utilisés dans la recherche contre le cancer et l'assistance médicale à la procréation.
Clés : Robotique, Impression 3D , Santé
Edison Gerena, docteur en robotique au sein de l'Institut des systèmes intelligents et de robotique (Isir) du Centre nationale de la recherche scientifique (CNRS), a développé des microrobots capables de déplacer des cellules biologiques en suspension dans un liquide. Ils ouvrent de nombreuses perspectives dans le domaine de la biologique.
Le recours à l'impression 3D
Ces robots mesurant une dizaine de micromètres ont été fabriqués grâce à la fabrication additive. C'est l'équipe de l'Institut Franche-Comté électronique mécanique thermique et optique – Sciences et Technologies (FEMTO-ST) qui s'est chargée d'imprimer les robots à l'aide de l'imprimante 3D de l'entreprise Nanoscribe. Celle-ci a été choisie car elle est capable d'imprimer à une résolution de 100 nanomètres.
Faits divers - Justice
Dans un communiqué, le maire du Mans Stéphane Le Foll apporte son soutien à un médiateur de la Ville, agressé au couteau ce mardi 27 avril. Une cellule de crise a été ouverte.
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par un homme "ayant des antécédents psychiatriques"
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*Clés : Agression Enquête Le Mans
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Dans ce 102e numéro de la Revue de la semaine, Jean-Luc Mélenchon laisse de côté le sujet des retraites, qu'il a traité en détail la veille dans un meeting, pour se concentrer sur quelques sujets qui ne sont pas parvenus à capter l'attention médiatique. Il parle d'abord de la « Cellule Demeter », créée par Castaner, pour lutter contre les défenseur des animaux, antispécistes et lanceurs d'alerte concernant la souffrance animale dans les élevages. Il parle ensuite des pesticides qui se retrouvent désormais dans l'air que nous respirons. Enfin, il évoque la COP 25 qui n'a abouti à rien alors que nous devons faire face à l'urgence climatique.
SOMMAIRE
00:25 : Meeting sur les retraites et guerre du mot
04:21 : La « Cellule Demeter » de Castaner, qui lutte contre les lanceurs d'alerte sur la souffrance animale
13:32 : Des pesticides dans l'air que nous respirons
15:24 : Une COP 25 pour rien !
LES LIENS
- Meeting contre la réforme des retraites : https://youtu.be/EE1qMZ0D3ts
- « Le gouvernement entend museler les lanceurs d’alerte sur la question animale » : https://www.lemonde.fr/idees/article/...
- Les pesticides polluent aussi l’air que respirent les Français : https://www.lemonde.fr/planete/articl...
- COP25 : une conférence sur le climat à oublier : https://www.lemonde.fr/idees/article/...
Catégorie Actualités et politique 764 commentaires
Les modules photovoltaïques de la start-up lausannoise Insolight, en Suisse, ont atteint un rendement de 29 %. Pour comparaison, les panneaux en silicium cristallin que l’on retrouve sur les toits ne dépassent généralement pas les 18 % de rendement. Pour parvenir à cette prouesse, Insolight a conçu des panneaux solaires qui reprennent la technologie des cellules photovoltaïques multi-jonctions à très haut rendement utilisées dans le domaine spatial.
Le défi était de proposer un produit à un prix compétitif, alors même que les technologies utilisées dans l’aérospatial sont très chères. L’entreprise a mis au point un système de lentilles qui concentrent les rayons du soleil sur de minuscules cellules solaires. Celles-ci sont fixées à un cadre mobile et se déplacent de quelques millimètres durant la journée, en fonction du soleil, de manière à maximiser le rendement.
Source : Le Temps https://www.letemps.ch/economie/panneaux-solaires-dinsolight-franchissent-un-record
La cellule photovoltaïque est composée d’un matériau semi-conducteur qui absorbe l’énergie lumineuse et la transforme directement en courant électrique.
La production des cellules photovoltaïques nécessite de l’énergie, et on estime qu’une cellule photovoltaïque doit fonctionner environ 2 à 3 ans suivant sa technologie pour produire l’énergie qui a été nécessaire à sa fabrication.
Principe de fonctionnement
Une cellule individuelle, unité de base d’un système photovoltaïque, ne produit qu’une très faible puissance électrique, typiquement de 1 à 3 W avec une tension de moins d’un volt. Pour produire plus de puissance, les cellules sont assemblées pour former un module (ou panneau).
Les connections en série de plusieurs cellules augmentent la tension pour un même courant, tandis que la mise en parallèle accroît le courant en conservant la tension. Le courant de sortie, et donc la puissance, sera proportionnelle à la surface du module.
Les principaux types de cellules photovoltaïque
- Cellule multijonction
- Cellule en silicium monocristallin
- Cellule en silicium polycristallin
- Cellule sans silicium en couche mince CIS
- Cellule silicium amorphe en couche mince
- Cellule CZTS (cuivre zinc etain soufre)
Clés :
photovoltaïque solaire cellule CZTS panneau silicium énergie