Un jardin non ouvert au public dans l'enceinte du Jardin des Plantes de Paris ©Radio France - Denis Cheissoux
Un lieu tenu secret du grand public, dans l'enceinte du Jardin des Plantes de Paris, en compagnie du biologiste et naturaliste Marc-André Selosse
Avec
- Marc-André Selosse Professeur du Muséum National d'Histoire Naturelle et membre de l’institut universitaire de France.
Direction le Jardin des Plantes en bord de Seine à Paris.
Le naturaliste et biologiste Marc-André Selosse nous ouvre les portes d’un jardin qui, faute d’être extraordinaire, est écologique.
C’est un secteur clos où l'intervention humaine se fait la plus discrète possible afin de laisser place à la biodiversité naturelle.
Un petit laboratoire pour les champignons, pour mieux comprendre la vie des sols, en reconstituant différents milieux forestiers d’Ile-de-France.
Un coin de nature dans le Jardin des Plantes de Paris Un coin de nature dans le Jardin des Plantes de Paris © Radio France - Denis Cheissoux
Marc-André Selosse prône le savoir-vivre : oui, il faut savoir lire, écrire, compter … et savoir-vivre avec le vivant sous toutes ses formes.
Il milite pour plus de sciences naturelles quasi absentes à l’école primaire, faiblement enseignées au collège (1h30 maximum par semaine), et optionnelles ensuite.
Ecoutez cette ode au sol, aux microbes - car il faut se décomposer pour redonner naissance ensuite - dans un coin de nature en plein Paris.
Puis, nous avons la chance de réentendre la voix du grand Jean-Marie Pelt qui nous conte le sol, à sa manière.
À écouter : Ces microbes qui construisent les plantes, les animaux et les civilisations
Le temps d'un bivouac
54 min
Pour aller plus loin
"Nature et préjugés", de Marc-André Selosse (Editions Actes Sud, à paraître en mars 2024)
Fédération Biogée
Clés Environnement Sciences et Savoirs Biodiversité Sciences Sciences naturelles
Ndlr : valorise l'action de Nicole Bonnefoy, sénatrice de Charente : justifié ? Approfondir
...
Le risque de multiplier à-vau-l’eau les bassines et autres retenues d’eau est à terme de maintenir un système agricole qui fait fi des nouvelles contraintes climatiques. C’est ce que les experts du GIEC appellent la mal-adaptation
...
processus de concertation locale dans un cadre clairement défini par le national car il est à l’intersection d’intérêts contradictoires
...
Notre avenir agricole, l’avenir de l’alimentation ne peut être privatisé par telle ou telle catégorie d’agriculteurs. L’eau est un bien commun qui ne peut échapper au contrôle de la puissance publique. L’accès à la ressource peut même devenir un des puissants leviers pour réaliser la transition agro-écologique moins gourmande en eau et que j’appelle de mes vœux pour la préservation de l’environnement, de la biodiversité, la santé des agriculteurs, des riverains et de tous les usagers.
Non classé [ Article Charente Libre du 18/10/11 ]
Le projet de Pôle d’excellence rurale en pays aigrinois retoqué, l’unité de transformation du chanvre n’a pu se réaliser. Nicole Bonnefoy lance un appel aux agriculteurs et aux industriels. On a étudié toutes les problématiques. On a trouvé des réponses. On aurait pu passer à l’acte.
...
...
La commune nouvelle de Terres-de-Haute-Charente, qui compte plus de 3 500 âmes, peut donc demeurer sur le périmètre de deux cantons (Charente-Bonnieure et Charente-Vienne) et le découpage cantonal continue de suivre la limite des anciennes communes ; le rattachement des électeurs ne change pas.
...
7 990 ont signé
Nicole BONNEFOY a lancé cette pétition adressée à ministre des transports
Près de 40 000 camions utilisent quotidiennement la RN 10. Un nombre important d’entre eux la traverse sans s’arrêter (en transit) et pourrait parfaitement prendre ou rester sur l'Autoroute A10 entre Poitiers et Bordeaux. S’ils ne le font pas, c’est souvent pour économiser quelques litres de carburant et une soixantaine d'euros de péage.
Les conséquences de cette situation sont pour la Charente :
- un trafic routier d’une telle ampleur qu’il met en danger la sécurité des chauffeurs poids lourds eux-mêmes et celle des automobilistes au point que nombreuses sont les personnes qui ne veulent plus emprunter la RN 10.
- l’augmentation de la pollution atmosphérique avec par exemple la présence de 29,8 kg/habitant NOx (Oxydes d’azote) sur le territoire de la communauté de communes de Val de Charente contre 21kg/h sur la Charente et 15,9 kg/h sur la Region Nouvelle Aquitaine. Aux NOx se rajoutent les particules fines... (sources bureau étude AXENNE et ATMO)
Afin de lutter contre la pollution atmosphérique et l'insécurité routière ... donner la possibilité aux élus dont le territoire est traversé par la RN10, de restreindre la circulation des poids lourds en transit dès lors qu’ils peuvent prendre l’autoroute à proximité.
Nous demandons que nos territoires ruraux aient la même possibilité que les villes en mesures de restriction de circulation.
...
=> Commentaire :
"
Je ne signe pas car il y a une GROSSE LACUNE : PAS UN MOT SUR LES CAUSES ???
Pourquoi tant de camions ? Ne faudrait-il pas relocaliser l'économie plutôt que de traiter une partie des conséquences ?
Donc ENVOYER CETTE PÉTITION AU PREMIER MINISTRE, À LA MINISTRE DE L'ÉCOLOGIE, ET AU MINISTRE DE L'ÉCOLOGIE
afin de leur demander de prendre toutes les mesures nécessaires pour résorber ce flux de camions AU PLUS VITE.
Sur les conséquences, il y AUSSI a l'usure prématurée de la chaussée.
De plus, Mme Bonnefoy est en pleine campagne électorale pour les départementales.
"
| Actualités /
Le 22 mars dernier à l’invitation de Madame la Préfète de Région et en présence du Conseil Régional, nous avons appris que les conditions étaient réunies pour pouvoir lancer prochainement sous financement de l’Etat et de la Région (chacun à hauteur de 1 M€), les études préliminaires de régénération de la ligne de chemin de fer LIMOGES-ANGOULEME. Ces études porteront à la fois sur le transport de voyageurs mais aussi sur celui des marchandises (fret).
A l’heure de l’impératif écologique et social, je me suis réjouie de la volonté exprimée par l’Etat et la Région de redonner vie à cette ligne ferroviaire.
Je n’ai pas manqué de rappeler l’importance de cette ligne ferroviaire et celle de la gare LGV d’ANGOULEME en espérant toutefois une offre TGV digne de ce nom, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui !