Christophe Cassou @cassouman40 · 1h
"On est en plein ère de la post-vérité ou les mots soient ne veulent +rien dire soit, pire encore, veulent dire ajd le contraire ce qu'ils voulaient dire a l'origine"
Vrai sur bcp de dossiers...dont #A69, ce qui rend impossible les espaces de dialogue partagé avec objectivité
Citation
Clément Viktorovitch @clemovitch · 21h
« Le ministre de l'agriculture nous explique donc que, en fait, la souveraineté alimentaire... ça veut dire exporter davantage, et favoriser le libre échange ! »
Le macronisme triture le sens des mots : épisode 357, avec Marc Fesneau.
Tr.: ... concept de l'altermondialisme ... le langage est trituré, dépatouillé, DÉVOYÉ ... SUVBERTI ... impossible de savoir de QUOI ILS PARLENT ... pb de responsabilité ...
Libre échange : l'accord UE-NZ est une bombe climatique et sanitaire - 19 janv. 2024 / Matthias Tavel
978 abonnés -146+ - 2 248 vues - 22 commentaires - #souveraineté #CETA #Mercosur
#CETA #Mercosur #souveraineté
Connue / mel attac
Ndlr : Matthias résume de manière excellente les enjeux pour les agriculteurs et le climat, avec humour, de surcrois ! Valoriser ACT
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Dans ce portrait-vidéo, nous vous proposons de découvrir la candidate de la 2e circonscription des Alpes-de-Haute-Provence : Alice Allamel !
Sa priorité ? Les circuits-courts et la souveraineté alimentaire.
Les actes du colloque en intégralité à télécharger ici https://www.fondation-res-publica.org/Les-actes-du-colloque-en-integralite-a-telecharger-ici_a1477.html - 14/01/2022
Le cahier imprimé du colloque "La souveraineté alimentaire, un enjeu pour demain" est disponible à la vente dans la boutique en ligne de la Fondation.
Accueil - 14/01/2022
Accueil par Marie-Françoise Bechtel, présidente de la Fondation Res Publica, lors du colloque "La souveraineté alimentaire, un enjeu pour demain" du jeudi 21 octobre 2021.
Introduction - 14/01/2022
Intervention de Lucien Bourgeois, économiste, spécialiste des politiques agricoles et alimentaires, membre de l'Académie d'agriculture, membre du Conseil scientifique de la Fondation Res Publica, lors du colloque "La souveraineté alimentaire, un enjeu pour demain" du jeudi 21 octobre 2021.
« Chine, États-Unis, Europe, Afrique : enjeux agricoles et alimentaires entre local et global » - 14/01/2022
Intervention de Matthieu Brun, responsable des études au Club DEMETER et chercheur associé à Sciences Po Bordeaux, lors du colloque "La souveraineté alimentaire, un enjeu pour demain" du jeudi 21 octobre 2021.
« Les évolutions de la politique agricole et alimentaire des États-Unis » - 14/01/2022
Intervention de Thierry Pouch, responsable des études de l’Assemblée permanente des chambres d’agriculture, lors du colloque "La souveraineté alimentaire, un enjeu pour demain" du jeudi 21 octobre 2021.
« La politique agricole de la Chine » - 14/01/2022
Intervention de Jean-Marc Chaumet, spécialiste de l’agriculture chinoise, membre du comité de rédaction de DEMETER, lors du colloque "La souveraineté alimentaire, un enjeu pour demain" du jeudi 21 octobre 2021.
« Politique agricole, géopolitique et souveraineté alimentaire : où va l’Europe ? » - 14/01/2022
Intervention de Gérard Choplin, analyste indépendant des politiques agricoles, expert du rapporteur du Comité européen des Régions sur la réforme de la PAC, lors du colloque "La souveraineté alimentaire, un enjeu pour demain" du jeudi 21 octobre 2021.
Débat final - 14/01/2022
Débat final, lors du colloque "La souveraineté alimentaire, un enjeu pour demain" du jeudi 21 octobre 2021.
Alimentation, énergie, santé : la France doit retrouver sa souveraineté - RCI Martinique
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Le vendredi 17 décembre 2021, Jean-Luc Mélenchon était l’invité de RCI Martinique. Interrogé sur la déclaration de Christiane Taubira qui envisage de se présenter à la présidence de la République, il a répondu qu’il ne voulait pas ajouter au ridicule de la gauche traditionnelle et a répondu avec humour qu’il continuerait à suivre le feuilleton depuis l’Élysée. Il a expliqué qu’il travaillait sérieusement à partir d’un programme et qu’il appelait les gens à se baser sur cela pour décider de leur vote.
Le candidat de l’Union populaire à l’élection présidentielle a expliqué que l’abstention était un enjeu central qui montre le divorce entre le peuple et ses institutions. Il a expliqué qu’il voulait convaincre les citoyens de voter sur la base d’un programme et il a rappelé qu’il propose le SMIC à 1400 euros ou encore la retraite à 60 ans. Il a par ailleurs affirmé que face aux défis du changement climatique, il fallait que la France retrouve sa souveraineté alimentaire, énergétique et sanitaire. Il a donc défendu la relocalisation de la production et a répété que son programme s’appliquerait même s’il est contraire à certaines mesures des traités européens, grâce au mécanisme d’opt-out.
Défendant l’autonomie énergétique de la Martinique, Jean-Luc Mélenchon a rappelé qu’il était possible de produire de l’énergie à partir de la géothermie, comme c’est le cas à la centrale de Bouillante, en Guadeloupe. Il a aussi expliqué qu’on pouvait faire de la climatisation à partir de la température des eaux au fond de la mer. Il a également défendu la souveraineté alimentaire pour l’île, expliquant qu’on pouvait le faire notamment en mettant en place des droits de douane.
Enfin, le candidat de l’Union populaire à l’élection présidentielle a répété son opposition au pass sanitaire. Il a expliqué qu’il était une illusion de sécurité puisqu’une personne vaccinée peut attraper le virus et contaminer les autres. Il a, plus largement, appelé à lutter contre les causes des pandémies et notamment contre les élevages intensifs qui concentrent les possibilités de zoonoses.
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Dans cette émission dédiée au thème de l’alimentation, il a tout d’abord abordé la question de la pêche. Il a souligné l’événement majeur qui s’est déroulé en 2013 puisque pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, on a mangé plus de poisson d’élevage que de poisson sauvage. Il s’est également prononcé en faveur des quotas de pêche puisqu’en cas de surpêche il pourrait ne plus y avoir de poisson. Il a indiqué que le poisson était porteur d’une histoire politique, et que la question de la souffrance animale n’était pas un non-sujet comme l’a dit Éric Zemmour. Il a rappelé la bataille victorieuse menée par l’eurodéputée insoumis Younous Omarjee pour interdire la pêche électrique.
Le candidat de l’Union populaire a ensuite évoqué l’agriculture et l’absurdité du système agricole actuel qui fait qu'aujourd'hui on produit du maïs pour nourrir les poules en Chine et un importe du soja pour nourrir des poules en France. Il a rappelé l’objectif que devait avoir notre agriculture : nourrir les Français. Pour cela, il a indiqué qu’il fallait 200 000 à 300 000 paysans de plus pour pouvoir mettre en place une bifurcation agricole plus respectueuse de la nature. En effet, depuis 50 ans, la qualité organique de la Terre a été réduite de moitié. Jean-Luc Mélenchon a proposé de revoir la condition sociale des paysans qui sont aujourd’hui dans une grande détresse mais aussi d’augmenter les salaires pour donner les moyens aux gens de se procurer une alimentation de qualité. Il a souligné que l'augmentation des salaires était une politique écologique.
Jean-Luc Mélenchon a ensuite été interrogé sur sa proposition de bloquer les prix de 5 fruits et légumes. Il a indiqué que c’était une mesure indispensable alors que 8 millions de personnes ont recours à l’aide alimentaire en France et qu’il ne suffisait pas de faire des publicités pour dire de manger 5 fruits et légumes par jour, mais d’en donner les moyens de le faire. Il a précisé que ce sera payé en grande partie par la grande distribution qui devra réduire les marges particulièrement importantes qu’elle réalise sur de nombreux produits.
Le candidat à l’élection présidentielle de 2022 s’est prononcé contre les pesticides et les fermes usines. Il a indiqué qu’il interdirait, s’il était élu, l’importation de produits avec des pesticides grâce à un protectionnisme écologique.
Il a enfin appelé à faire de l’agriculture responsable en relocalisant les productions. Pour cela, il a précisé qu’il faudrait sans aucun doute manger moins de viande, mais qu’il faudrait donc à la place des protéines végétales comme du quinoa et de l’épeautre qui soient produits en France.
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Le dimanche 24 octobre 2021, Jean-Luc Mélenchon était l'invité de Guyane 1ère.
Interrogé sur la condamnation récente de 4 syndicalistes guyanais à 18 mois de prison ferme, le candidat à l'élection présidentielle a appelé à leur libération immédiate. Il a dénoncé le manque de volonté de dialogue de la part des pouvoirs publics et a plaidé pour l'apaisement plutôt que la logique de confrontation.
Jean-Luc Mélenchon a également défendu l'objectif que la Guyane, comme l'Hexagone, atteigne la souveraineté alimentaire, mais aussi l'autonomie énergétique. Il a par ailleurs présenté ses mesures pour lutter contre la pêche clandestine. Enfin, il a défendu la scolarisation de tous les enfants de Guyane.
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Lettre ouverte Sommet de l'ONU sur les systèmes alimentaires - 27.07.2021 | Confédération Paysanne
INTERNATIONAL
La Confédération paysanne et 83 autres signataires appellent la France à résister aux pressions des multinationales et à sauver l’agriculture paysanne
Un Sommet international sur les systèmes alimentaires aura lieu en septembre 2021, organisé par l'ONU* en étroit partenariat avec le Forum Économique Mondial1. D'ici quelques jours, le pré-sommet de cette initiative se tiendra à Rome. En dépit de l'inquiétude et des remarques formulées par une grande partie de la société civile, par de nombreux acteurs du monde académique, mais aussi par certains Etats, ce sommet et ce pré-sommet se caractérisent par un manque criant d'inclusivité et un refus de tout dialogue quant aux modalités d'organisation.
Les premières orientations prises nous font craindre le pire.
En téléchargement : Lire la lettre ouverte
Connue / https://twitter.com/ConfPaysanne/status/1420028314396368914
"Conf' Paysanne @ConfPaysanne · 1h ... #UNFSS2021 #SouveraineteAlimentaire #AgriculturePaysanne - 2 - 16 - 23"
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Lundi 19 juillet 2021, Jean-Luc Mélenchon était en déplacement au Burkina Faso. Il était accompagné de Mathilde Panot, vice-présidente du groupe parlementaire de la France insoumise et de Bastien Lachaud, député de Seine-Saint-Denis. Jean-Luc Mélenchon et Bastien Lachaud se sont entretenus avec le Président de l'Assemblée nationale du Burkina Faso, M. Alassane Bala Sakandé, tandis que Mathilde Panot rencontrait le Ministre de l'Eau.
Puis, la délégation parlementaire s'est entretenue pendant environ 45 minutes avec le Président du Faso, M. Roch Marc Christian Kaboré. L'échange avec le chef de l'État a porté sur la gestion de la crise sanitaire, la crise climatique et les relations avec la France.
Enfin, la délégation de la France insoumise s'est rendue à Loumbila pour visiter l'association Yelemani. Cette association, fondée par Mme Blandine Sankara, soeur de l'ancien Président du Faso Thomas Sankara, lutte pour la souveraineté alimentaire du Burkina Faso.
Lors de la visite, les députés insoumis et Mme Sankara ont échangé sur les moyens d'arriver à cette souveraineté, en France comme au Burkina Faso. Les membres de l'association ont ensuite fait visiter les jardins et expliqué leurs actions auprès des différents publics.
95 commentaires
Nicole Chauvet il y a 1 jour
Bravo, c’est une émission très sympathique et agréable à regarder. Cela fait du bien de voir qu’il y a des associations qui trouvent des solutions pour aider les gens à se nourrir. Merci Jean Luc, Mathilde, Bastien et Antoine !
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Thomas K. il y a 1 jour
Je trouve intéressante la notion de fierté en matière de souveraineté alimentaire... j avais jamais pensé à ça sous cet angle.
La Via Campesina gardera la mémoire du massacre #EldoradoDosCarajás au Brésil et de notre lutte continue contre l’impunité des entreprises et des États. La crise COVID-19 nous montre que le moment est venu d’exiger des réformes structurelles des systèmes agroalimentaires au niveau mondial.
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a Via Campesina marque cette journée en publiant une version illustrée de la Déclaration des Nations unies sur les droits des paysans et autres personnes travaillant dans les zones rurales (UNDROP). Nous avons choisi de relayer leur tribune ici. https://viacampesina.org/fr/illustrations-droitspaysans/
Cette terre, cette eau, cette forêt – c’est nous !
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COVID 19 n’est pas un problème en soi, mais simplement un symptôme. L’espèce humaine vivait déjà au bord du gouffre, les émissions de gaz à effet de serre (GES) atteignant un niveau record et la terre se réchauffant à un rythme sans précédent.
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Poussés par la cupidité humaine et favorisés par de puissants intérêts corporatifs – les défenseurs du capitalisme ont remplacé la nature par des briques d’usine, des cheminées et des serres industrielles. Ils ont conçu les villes comme moteurs de l’activité économique, en se souciant peu de la biodiversité de la planète. Ce faisant, ils ont négligé les villages, les côtes, les forêts et les gens qui y vivent.
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Le capitalisme a créé ce monde polarisé, où la concurrence a remplacé la solidarité.
Cependant, tout espoir n’est pas perdu. Une riposte des peuples, menée par les personnes les plus touchées par ces crises et s’appuyant sur la force de l’internationalisme, de la solidarité et de la diversité, peut démanteler le capitalisme et nous redonner un monde socialement juste et égal. ... La Via Campesina a proposé et commencé à faire campagne pour un instrument juridique international qui défend les droits des peuples sur leurs territoires, leurs semences, leur eau, leurs forêts.
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Le 18 décembre 2018, ces efforts ont finalement porté leurs fruits et l’Assemblée générale des Nations unies a adopté la Déclaration des Nations unies sur les droits des paysan·ne·s et autres personnes travaillant dans les zones rurales (UNDROP).
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Le cœur de la Déclaration est centré sur le droit à la terre, aux semences et à la biodiversité, ainsi que sur plusieurs “droits collectifs” ancrés dans la Souveraineté alimentaire.
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Il incombe désormais aux États membres des Nations unies, aux mouvements sociaux et à la société civile de tous les coins du monde d’adapter et de mettre en œuvre cette déclaration dans différents contextes nationaux.