Fin février, la startup allemande SkySails Power a annoncé l’expédition depuis le port de Hambourg de son premier système d’aile volante PN-14 vers l’Asie. prototype cerf-volant de 100 kW pouvant exploiter des vents entre 200 et 400 mètres d’altitude pour produire de l'électricité. Après des tests concluants l’été dernier, l’entreprise passe à l’étape suivante avec une série d'unités dont la première est destinée à l’Asie. L'aile volante PN-14 affiche une puissance de 80 à 200 kW, selon configurations, avec une surface de 90 à 180 m2. Les prochaines iront alimenter des projets en Allemagne et à l’Île-Maurice. L’avantage principal pouvoir exploiter des vents constants en haute altitude permettant leur utilisation dans des régions reculées, actuellement alimentées en électricité par des générateurs diesel. Le faible impact visuel et la facilité d’installation dans des zones difficiles d’accès permettent de surmonter les problèmes rencontrés par des éoliennes classiques. L’entreprise prévoit également un déploiement en mer sur des plateformes flottantes. Située dans la région de Hambourg, SkySails Power emploie actuellement 90 personnes, et a pour projet de recruter dans les prochaines années, notamment des travailleurs qualifiés en électronique et en mécanique.
GreenSpur Wind estime que sa technologie de génératrice à aimants permanents en ferrite https://www.greenunivers.com/2019/06/greenspur-developpe-des-generateurs-eoliens-modulaires-et-vise-25-mw-205953/ sera prête d’ici trois ans pour équiper les futurs modèles d’éoliennes en mer jusqu’à 20 MW. La société britannique espère ainsi offrir une alternative crédible aux fabricants d’éoliennes dépendant de leurs fournisseurs en terres rares, aujourd’hui incontournables dans l’éolien en mer.
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Vers un modèle de 12 MW
Connu / https://twitter.com/ThierrySalomon/status/1200059786445893633
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Vous avez retweeté Thierry Salomon @ThierrySalomon · 28 nov.
"Oui, mais les terres rares ! le néodyme !" clament en choeur les anti-éoliens.
Dans 3 ans des.éoliennes en mer sans terres rares avec génératrices à aimants permanents en ferrite ... et jusqu'à 20 MW.
De nouveau un de leur "argument" qui s'effondre.
Vive le vent !
Claudio @SilvitoTerra · 25 nov. via @GreenUnivers φleo @fileo21000 Vous suit Fi
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Interview
Vous avez présenté à Hyvolution un groupe électrogène « zéro émission », baptisé MobHyl Power M30. Comment peut-on présenter ce produit ?
L’idée c’est de remplacer le moteur Diesel au sein d’un groupe électrogène par une pile à combustible, qui va utiliser de l’hydrogène et donc ne plus produire aucune émission toxique dans l’air, tout en se montrant silencieuse.
Ce qui est impressionnant, c’est la taille de ce générateur…
En effet, il y a déjà eu des générateurs de petite taille. Là, on est passé à la taille supérieure, avec une pile de 30 kW qui vient de chez Ballard et qui est utilisée en temps normal sur des bus, en Chine notamment. Cette pile a une haute fiabilité et une très longue durée de vie. On espère d’ailleurs qu’elle sera commercialisée à grande échelle, ce qui permettra de réduire les coûts et d’amener vers le grand public ce genre de technologie.
Quel sera a priori l’usage de ce groupe électrogène ?
Il sera utilisé dans les grandes agglomérations, comme Paris ou Londres qui ont pour projet de légiférer pour supprimer les groupes électrogènes classiques. Si l’on prend l’exemple de la France, la mairie de Paris veut interdire le moteur Diesel. Un tel équipement se destine à des usages dans le cadre de l’événementiel. Il y a aussi les chantiers et les milieux confinés où les exploitants n’ont pas le droit d’utiliser des appareils à gaz toxiques. L’hydrogène peut donc être une solution alternative.
Vous parliez de Paris. Est-ce que dans la perspective des JO, ce groupe électrogène pourrait jouer un rôle ?
Oui, car les Jeux Olympiques font partie de ce que j’appelle l’événementiel. Lors des derniers JO, il a été utilisé 350 groupes électrogènes pour divers usages, comme le chronométrage par exemple. Et je ne parle même pas des groupes de secours. Donc, oui il y a du potentiel.
Si le modèle M30 impressionne par sa taille, il y a aussi un petit modèle que vous avez dévoilé à Hyvolution….
Cet appareil, qui a pour nom le S4, pour 4 kW, se destine plutôt au marchand de frites sur le marché. Il peut aussi servir dans le cadre d’un petit événementiel pour éviter la pollution toxique et sonore, mais aussi dans des bâtiments confinés. Ce groupe électrogène peut également répondre à des besoins très particuliers. Si l’on prend l’exemple de Decaux, qui fait parfois venir des voiliers à Rouen pour de l’événementiel, il vaut mieux un produit de ce type pour apporter de l’électrification, plutôt qu’un générateur à moteur.
Quels sont les projets de Powidian ?
On travaille sur un projet d’usine autonome, totalement déconnectée du grid, dans un pays limitrophe de la France. Dans ce cas précis, on valorise totalement l’hydrogène, puisque l’on fait de la cogénération avec la pile pour chauffer l’eau, alimenter en énergie électrique et produire aussi de l’hydrogène pour alimenter des véhicules. Et comme c’est une usine de type Methane Factory, on va aussi réutiliser l’oxygène.
Le MobHyl Power M30 en bref
Ce groupe électrogène utilise une pile Ballard MD-30 donnée pour 20 000 heures de fonctionnement. Elle est alimentée en hydrogène par 8 bouteilles à une pression de 200 bars. L’autonomie est de 3 h 30 à 100 % de la puissance nominale (25,5 kW), 8 h à 50 % et 17 h à 25 %. La pile fonctionne de concert avec des batteries lithium fer phosphate (20,8 Kwh). Le groupe électrogène est équipé d’une liaison Wi-Fi et peut être piloté à distance.
Poids : 2 400 kg
Dimensions : 2,70 m de long, 1,65 m de largeur et 1,50 m de hauteur
Favorit
L'hydrogène tend à s'imposer comme un vecteur d'énergie d'intérêt majeur pour l'avenir, tant pour la production et la gestion de l'énergie que dans le domaine des transports. Il est depuis plus de quinze ans le fer de lance de la fédération de recherche FCLAB, installée à Belfort, qui travaille sur les systèmes hydrogène-énergie. C'est là que la mise au point de générateurs électriques à hydrogène a été menée sous la houlette de Sébastien Faivre. Un pari réussi : l'ingénieur, après avoir validé le concept et démontré la fiabilité et l'efficacité de la technologie grâce à la construction de prototypes, a créé une start-up pour le développement et la commercialisation de ses produits. Née en septembre 2017 après trois ans de maturation, H2SYS est la première entreprise issue des activités de la fédération FCLAB, et compte une dizaine de salariés.
Les groupes électrogènes H2SYS sont développés sur une architecture hybride et sont équipés de cartes électroniques pilotant la production de l'énergie en temps réel, en fonction des besoins de l'utilisateur et des ressources du système. La pile à hydrogène, cœur du dispositif, transforme en électricité l'hydrogène stocké dans des bouteilles ou des réservoirs hydrures. Les batteries électriques permettent d'absorber les variations de puissance et assurent le relais pour répondre aux besoins instantanés. C'est le logiciel développé par H2SYS qui choisit à chaque instant le mode de production et l'apport de la pile et / ou de la batterie dans la réponse électrique. Festivals et rencontres sportives en plein air, travaux publics sur routes de campagne ou secours électrique pour de petites installations, tous les lieux et activités de la vie quotidienne peuvent recourir à l'assistance des générateurs électriques à hydrogène H2SYS, qui outre leurs performances, ne produisent aucune pollution et sont entièrement silencieux.
Une cérémonie a été organisée à Belfort le 20 juin pour valoriser le capital hydrogène de la région et les résultats obtenus par le FCLAB, première structure de recherche française sur les systèmes hydrogène-énergie. L'occasion de braquer les projecteurs sur H2SYS, ainsi que de mettre à l'honneur Daniel Hissel, directeur de la fédération, qui a reçu fin 2017 la prestigieuse médaille Blondel.
Caractéristiques
Type:
à piles à combustible
Description
The YANAN FUEL CELL by YANAN ® is intrinsically more efficient than most other energy-conversion devices with a stand by power generator that supplie electricity for our home, several military application and for remote applications. Its modern design is mostly used as UPS and back-up power system. It converts hydrogen into electric power using the proton exchange membrane (PEM) technology.
Ceci est une traduction automatique.
La CELLULE de CARBURANT de YANAN par le ® de YANAN est intrinsèquement plus efficace que la plupart des autres dispositifs d'énergie-conversion avec un générateur de puissance de tenir prêt qui l'électricité de supplie pour notre maison, plusieurs application militaire et pour des applications à distance. Sa conception moderne est la plupart du temps employée comme UPS et système d'alimentation de secours. Elle convertit l'hydrogène en énergie électrique en utilisant la technologie de la membrane d'échange de proton (PEM).
Plus d'informations sur le site de FUJIAN YANAN POWER GROUP
Heliatek invente la fenêtre à énergie solaire - Par Elsa Bembaron - Mis à jour le 09/01/2017 à 10:18
CES 2017 - Avec la technologie de cette start-up allemande, les façades des immeubles se transforment en générateur d'électricité.
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Heliatek a déjà équipé une trentaine de bâtiments dans le monde. Elle s'apprête à passer à la vitesse supérieure avec la mise en service d'une deuxième machine qui lui permettra de produire des films jusqu'à 1,2 mètre de large, contre 30 cm actuellement. Le film, très léger, peut être posé sur une façade, ou sur un toit, y compris sur une structure gonflable.
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Levée de fonds
a levé 80 millions d'euros en septembre dernier. Lors de cette opération, Engie a pris 6,6% du capital de la start-up allemande.
«Le partenariat avec Engie nous permet de bénéficier de leur portefeuille de clients», explique Thibaud Le Séguillon, le PDG d'Heliatek. C'est aussi dans le cadre de ce rapprochement qu'Engie a choisi d'accompagner Heliatek au CES de La Vegas. La start-up de Dresde est une des onze jeunes pousses emmenées par le groupe énergétique français cette année sur le salon.
ndlr : Nexcis ne l'avait-elle pas inventée avant ?!
Je poste
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Julien Delalande
Bonjour,
affirmer que "Heliatek invente la fenêtre à énergie solaire" est mensonger puisque ce concept existait déjà en 2015 à Marseille.
Quelques références ici :
https://del.icio.us/search?p=Nexcis&jtf=Y&partial_type=N
EDF avait abandonné cette filiale à l'époque sans que les raisons aient vraiment été objectivées.
Les deux technologies mériteraient une comparaison fine.
Mais de grace, chers amis journalistes, chère Elsa Bembaron, faites vous aider pour donner du recul à vos articles !
sur Heliatek invente la fenêtre à énergie solaire
04:54, le 13/01/2017 Répondre Refusé
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Pas passé
nouvelle tentative avec
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Bonsoir,
il est écrit dans cet article que "Heliatek invente la fenêtre à énergie solaire". Cela me semble inexact puisque ce concept existait déjà en 2015 à Marseille grâce à la société Nexcis.
La photo en milieu de cet article https://marsactu.fr/nexcis-une-reprise-dans-lombre-de-lfoundry-et-de-fralib/ montrant une fenêtre solaire toute installée, le prouve.
D'autres articles sont consultables ici par exemple : https://framabee.org/?q=Nexcis&categories=general
Sincèrement.
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ok ce 2è a été pris en compte.
Un commentaire précise que c'est "cellules photo-voltaiques sont faites avec un matériau organique. Alors que la majorité des cellules photovoltaïques sont faites a partir du silicium minéral."
un autre du successeur de Nexcis sunpartner ?! :
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Morphéus M.
Ils ne sont pas les seuls, il y a aussi onyxsolar, SolarWindow, et la société d’ingénierie Aixoise Sunpartner Technologies qui produit le WYSIPS qui est français et le plus avancé en la matière. Mais faire la promotion d'entreprises françaises n'intéressent visiblement pas les journalistes.
Le 06/01/2017 à 18:42
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