Publié le mardi 28 janvier 2025 / Chroniques littorales
Watter par la force du vent, double mot, watter, l'eau en anglais, mais seulement watter avec 2 t donc watt, l'électricité. Il s'agit d'un film documentaire et un film d'aventure tout autour de l'Europe, en bateau. Benjamin Catry, l'un des co-réalisateur, aussi le skippeur de cette aventure.
Nous sommes partis à la voile, à la découverte de l'éolien en mer le long des côtes européennes. On avait envie de se saisir d'un sujet actuel. On a entendu parler de 300 gigawatts à l'échelle de l'Europe. C'est massif et on s'est dit on a envie d'aller voir par nous mêmes ce qui passe. Ce sera un film qui sera diffusé dans les cinémas d'art et d'essai, On est allé dans huit pays en partant de la France, en Belgique, aux Pays-Bas, en Allemagne, au Danemark jusqu'en Norvège. Ensuite, on a traversé vers l'Ecosse. Puis nous sommes allés en Angleterre, Pays de Galles et également en Irlande pour aller rencontrer des acteurs très variés.
-> watter-project.com
Connu / CDD Nontronnais
Un film de Claude Barras - Sortie le 16 octobre 2024
À Bornéo, à la lisière de la grande forêt tropicale, Kéria recueille un bébé orang-outan trouvé dans la plantation de palmiers à huile où travaille son père. Au même moment Selaï, son jeune cousin, vient trouver refuge chez eux pour échapper au conflit qui oppose sa famille nomade aux compagnies forestières. Ensemble, Kéria, Selaï et le bébé singe vont lutter contre la destruction de la forêt ancestrale, plus que jamais menacée. Mais pour Kéria, ce combat sera aussi l’occasion de découvrir la vérité sur ses origines.
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La campagne d’impact est l’ensemble des actions menées autour du film afin d’obtenir un changement positif sur la situation exposée à l’écran. Créée en collaboration avec des partenaires associatifs, acteurs reconnus pour la protection de la biodiversité et contre la déforestation et pour une alimentation responsable (Foodwatch, Fonds Bruno Manser, Greenpeace France, Kalaweit,…) la campagne d’impact de « Sauvages » repose sur leur expertise associée à l’intention du réalisateur Claude Barras de protéger le vivant et appeler à des mesures plus ambitieuses pour lutter contre la déforestation et les projets écocides à Bornéo. Vous aussi, rejoignez la mobilisation autour du film.
Synopsis
Le film de montage d'Aymeric Caron, diffusé à l'Assemblée nationale le 29 mai dernier (avant la dissolution)
« Ce film est écrasant, effroyable… Voilà ce qu’est vraiment la supposée “guerre contre le Hamas”. Cette réalité terrible doit être montrée crûment. Il est bon que ce film puisse être vu. On aimerait qu’il soit vu en Israël. »
Rony Brauman (Médecin, essayiste, ex-président de Médecins Sans Frontières)
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LE FILM VU PAR LES MUTINS DE PANGÉE
... Personne n’a envie de voir des images aussi effroyables, mais elles témoignent de ce qui se passe à Gaza depuis l’attaque du 7 octobre 2023.
Un cauchemar
« C’est un rêve ou une réalité ? » demande une petite fille abasourdie par ses blessures. C’est un cauchemar, sans aucun doute, et rien ne peut le justifier, ni les crimes du 7 octobre ni la détention des otages israéliens par le Hamas. Condamner tous les crimes du 7 octobre, d’avant et d’après, condamner l’antisémitisme et toutes les formes de racisme, c’est le sens commun. Il semble cependant qu’il faille le préciser. Toute personne normalement constituée souhaite que les otages survivants puissent un jour retrouver leurs familles et que s’arrête immédiatement le massacre à Gaza. Mais aller jusqu’au bout de la démarche, c’est voir les choses en face, voir ce qui se passe à Gaza depuis le 7 octobre, ce que fait l’armée israélienne, ce que ne montrent pas les chaînes de télévision.
Des journalistes documentent
Reporters Sans Frontières a dénoncé la mort d’une centaine de journalistes, tués à Gaza par l’armée israélienne entre le 7 octobre 2023 et début juin 2024, souvent délibérément ciblés, comme l’ont été des soignants et du personnel humanitaire, parmi les dizaines de milliers de gens bombardés ou visés par des snipers, mutilés, déplacés, affamés, harcelés, torturés, des familles entièrement décimées (dont au moins 40 % sont des enfants), dans leurs habitations, dans la rue, dans des écoles, dans des hôpitaux, dans des ambulances, dans des camps de réfugiés… Le bilan s’alourdit en permanence, il est mis à jour par les ONG. L’Unicef alertait dès le début : « La bande de Gaza est aujourd’hui l’endroit le plus dangereux au monde pour un enfant. » (voir site de l'Unicef)
Ce film de montage a été réalisé par le journaliste et député Aymeric Caron avec l’aide d’une équipe, qui a identifié, trié et daté ces images, contacté des journalistes sur place. Sans autres commentaires que les titres et légendes qui datent et donnent les sources des images envoyées depuis Gaza comme des bouteilles à la mer par des filmeurs et des filmeuses, journalistes qui continuent à travailler dans des conditions terribles alors qu’aucun de leurs collègues étrangers n’est autorisé à entrer dans cette zone de crime de 360 km2. Leurs images se percutent avec des prises de paroles israéliennes, officielles et dissidentes, ainsi que des vidéos postées sur les réseaux par des soldats israéliens.
Le film contient beaucoup d’images du journaliste palestinien Motaz Azaiza, aujourd’hui en exil, et qui vient de recevoir le prix Liberté à Caen, décerné par la région Normandie avec l’Institut international des droits de l’homme et de la paix (Le Monde, 17 juin 2024)
Une première séance à l’Assemblée nationale
Le député Aymeric Caron a d’abord organisé une séance à l’Assemblée nationale pour ses collègues de tous les groupes parlementaires, le 29 mai dernier. Seulement 17 députés ont assisté à cette projection, quelques journalistes étaient présents. Aymeric Caron a alors précisé qu’il souhaitait mettre son film « à disposition de tous ceux qui veulent le voir ». Nous l’avons aussitôt contacté pour en parler. Nous nous sommes bien sûr demandé s’il fallait vous montrer ces images sur CinéMutins. Après réflexions, discussions, consultations, nous avons voulu vous laisser la libre décision de visionner ce film (ou pas), en libre accès, après vous avoir averti de la nature de ces images, le réalisateur ayant ajouté un carton au début du film.
Un film qu’on voudrait voir s’arrêter
Préalablement, il a fallu donc visionner le film et nous l’avons jugé terrible, insoutenable… mais nécessaire. Car, au-delà de tous les discours et de « la guerre des mots » qui montrent le visage assez délirant de l’environnement politico-médiatique dans lequel on baigne en France, ces images documentent les crimes de guerre perpétrés, dans une démocratie, par l’autoproclamée « armée la plus morale du monde ». Des crimes commis avec des armes fournies en grande partie par les États-Unis et l’Union européenne, l’Allemagne surtout et même la France comme l’ont révélé Disclose et Marsactu en mars 2024 (en savoir plus).
Dès les premières minutes de visionnage, on voudrait que le film s’arrête, que ça cesse immédiatement… que cessent les crimes, que cesse le feu, que tout ça n’ait jamais existé.
Qui peut encore nier ou justifier ces crimes après avoir vu ces images ?
Nous ne trouvons pas les mots à opposer à la mauvaise foi où le poids d’une photo ne pèse plus bien lourd au milieu de la masse d’images qu’il faut digérer chaque jour, où les réalités sont niées avec aplomb, voire même, carrément justifiées ouvertement avec mépris, insultes et menaces, par des criminels de guerre et leurs complices, qui osent salir les morts qu’ils engendrent, mais aussi la mémoire des victimes de l’antisémitisme dans l’histoire, en usant de cette grave accusation à tous propos dans le but de faire taire toute contestation. Ces images témoignent pour que ça cesse, avant tout. Face à ceux qui continuent à soutenir ces crimes, face aux discours de haine, de vengeance et de déshumanisation, plutôt que de se laisser entrainer dans une forme de surenchère verbale, nous préférons opposer ce miroir sans tain. Bon courage.
Tr.: ... Helena Ranchal, directrice des opérations internationales de Médecins du Monde, le 31/10/23 ...
Mardi 27 août 2024
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Dès demain, Charlotte de Turckheim et François Berléand seront à l’affiche de « Fêlés », réalisé par Christophe Duthuron, avec Pierre Richard, Bernard Le Coq, Ricardo Lo Giudice, Fred Blin, Patrick de Valette, Matthieu Pillard et Méliane Marcaggi.
Le film prend place au foyer Arc-en-ciel, authentique lieu associatif de Marmande qui accueille des personnes ordinaires mais violentées par la vie. Ses adhérents se soutiennent mutuellement dans leur lutte contre les difficultés quotidiennes. Quand on menace de les expulser, un élan de solidarité s'organise autour de Pierre, le fondateur, pour sauver cette maison d’accueil unique.
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- Alain Martin, est à l'initiative et le responsable de l’ASAM (Association du Sport Adapté Marmandais) et de la Maison « Arc en ciel ».
https://www.unafam.org/gestionnaire/asam-association-sport-adapte-du-marmandais
https://www.facebook.com/asamarcenciel/?locale=fr_FR
Audrey Oeillet
Par Audrey Oeillet
Publié le 27 janvier 2015 à 12h05
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Le 28 janvier sort sur les écrans français Imitation Game, un film qui se concentre sur le travail d'Alan Turing durant la Seconde Guerre mondiale. Car avant d'inventer le célèbre test qui porte son nom, le Britannique a joué un rôle-clé dans le déchiffrement des messages secrets allemands, mais pas seulement. Voici ce qu'il faut savoir sur Alan Turing.
Dans ce nouveau film, Marie-Monique Robin nous plonge dans l'univers de ces mal-aimés de la biodiversité, dont 99% sont indispensables à la vie ! Les scientifiques ont montré que l’absence de biodiversité végétale et animale dans les milieux urbanisés, due à la bétonisation, l’hyper-hygiénisme, l’aseptisation des logements et des aliments industriels, provoque un appauvrissement du microbiote des enfants, et contribue à l’affaiblissement de leur système immunitaire, ce qui fait le lit des maladies chroniques.
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partons à la rencontre des chercheurs qui ont mis au jour les mécanismes biologiques, permettant de comprendre pourquoi les adultes qui sont nés et ont grandi dans des fermes d’élevage traditionnelles, comme en Franche-Comté ou dans les communautés Amish des Etats-Unis, ne souffrent pas d’asthme ni d’allergie ; ou pourquoi la végétalisation des cours de récréation a un impact sur le système immunitaire des enfants. Ces découvertes scientifiques ont d’énormes incidences politiques, pour l’aménagement des territoires urbains ou ruraux, des écoles ou hôpitaux, car elles impliquent que la protection de la biodiversité est un puissant levier de santé publique !
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Appel à souscrire ... un pré-achat du film que vous recevrez de manière dématérialisée (VOD) une fois le documentaire réalisé.
À ce jour 910 souscripteurs
Connu / mel
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Sujet : [france] Le nouveau film de Marie-Monique Robin a besoin d'un coup de pouce
Date : Fri, 3 May 2024 13:21:26 -0300
De : PDR
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8,7 k abonnés - 10k+ - 329 187 vues - 1 053 commentaires #ClimateTheMovie
Ce film expose l’alarme climatique comme une frayeur inventée sans aucun fondement scientifique. Cela montre que les études traditionnelles et les données officielles ne soutiennent pas l’affirmation selon laquelle nous assistons à une augmentation des événements météorologiques extrêmes – ouragans, sécheresses, vagues de chaleur, incendies de forêt et tout le reste. Cela contredit catégoriquement l’affirmation selon laquelle les températures et les niveaux actuels de CO₂ atmosphérique sont inhabituels ou inquiétants. Au contraire, par rapport au dernier demi-milliard d’années de l’histoire terrestre, les températures actuelles et les niveaux de CO₂ sont extrêmement et inhabituellement bas. Nous sommes actuellement dans une période glaciaire. Cela montre également qu’il n’existe aucune preuve que l’évolution des niveaux de CO₂ (ils ont changé à plusieurs reprises) a jamais « entraîné » le changement climatique dans le passé.
Pourquoi alors nous répète-t-on, sans cesse, que le « changement climatique catastrophique provoqué par l’homme » est un fait irréfutable ? Pourquoi nous dit-on qu’il n’y a aucune preuve qui le contredit ? Pourquoi dit-on, que quiconque, qui remet en question le « chaos climatique » est un « platiste » et un « négationniste de la science » ?
Le film explore la nature du consensus derrière le changement climatique. Il décrit les origines du mouvement de financement climatique et la montée en puissance d’une l’industrie climatique, pesant des billions de dollars. Il décrit les centaines de milliers d’emplois qui dépendent de la crise climatique. Cela explique l’énorme pression exercée sur les scientifiques et autres pour qu’ils ne remettent pas en question l’alarme climatique : retrait des fonds, rejet par les revues scientifiques, ostracisme social.
Mais l’alarme climatique est bien plus qu’un mouvement de financement et d’emploi. Le film explore la politique du climat. Dès le début, la peur climatique était politique. Le coupable était le capitalisme industriel de libre marché. La solution était des impôts plus élevés et davantage de réglementation. Dès le début, l’alarme climatique a séduit, et a été adoptée et promue par, les groupes favorables à un gouvernement plus important.
C’est une division politique tacite qui se cache derrière l’alarme climatique. La peur du climat séduit particulièrement tous les membres de l’establishment tentaculaire financé par l’État. Cela inclut l’intelligentsia occidentale largement financée par l’État, pour qui le climat est devenu une cause morale. Dans ces cercles, critiquer ou remettre en question l’alarme climatique est devenu une violation d’étiquette sociale.
Le film comprend des entretiens avec un certain nombre de scientifiques de renom, dont le professeur Steven Koonin (auteur de « Unsettled », ancien doyen et vice-président de Caltech), le professeur Dick Lindzen (ancien professeur de météorologie à Harvard et au MIT), le professeur Will Happer (professeur de physique à Princeton), Dr John Clauser (lauréat du prix Nobel de physique en 2022), professeur Nir Shaviv (Institut de physique de Racah), professeur Ross McKitrick (Université de Guelph), Dr Willie Soon et plusieurs autres.
Le film a été écrit et réalisé par le cinéaste britannique Martin Durkin, et est la suite de son excellent documentaire de 2007 « The Great Global Warming Swindle. » Tom Nelson, un podcasteur qui examine en profondeur les questions du débat climatique, depuis près de deux décennies, a produit le film.
#ClimateTheMovie sera disponible gratuitement sur de nombreux sites en ligne à partir du 21 mars 2024. Des sous-titres dans de nombreuses langues sont actuellement créés par la Fondation Clintel. Suivez @ClimateTheMovie et @ClintelOrg pour les mises à jour.
Ndlr : aucun climatologue pour étudier le climat ? ESCROQUERIE
6:40 terminer ACT
Réfléchir ensemble aux enjeux agricoles et alimentaires de notre époque
Le Pitch
Vagues de chaleur, sécheresses, gels tardifs ou ravageurs, le climat se dérègle et notre agriculture doit bifurquer… Oui, mais vers où ?
Nathanaël Coste enquête dans la vallée de la Drôme pour comprendre comment les agriculteur.rice.s s’adaptent, tout en questionnant la résilience alimentaire de nos territoires.
Après « En Quête de Sens », un nouveau film produit et distribué par l’association Kamea Meah.
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Par Reporterre et Off Investigation
21 février 2024 à 18h00 Mis à jour le 22 mars 2024 à 09h32
Durée de lecture : 2 minutes
Mégabassines
Connu / TG le 24/02/24 à 7:15
i à https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?bv7mpA
Paroles de Nathan et Floris
"Comment l'agriculture céréalière industrielle est-elle née ? Quel est l'avenir de cette agriculture dont les pratiques sont souvent critiquées ? Jeunes ingénieurs agronomes, nous souhaitions répondre à ces questions à travers un documentaire à la fois pédagogique et captivant. En collectant les témoignages des céréaliers ainsi que de précieuses images d'archives, nous avons choisi de retracer l'histoire d'une région emblématique de l'agriculture céréalière française : la Champagne crayeuse...
Ainsi, en explicitant les choix qui ont façonné l'agriculture d'aujourd'hui, nous souhaitions poser les bases d'un débat éclairé sur l'avenir de notre modèle agricole."
Connu / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?_ikzdQ
20 décembre 2023 en salle / 1h 31min / Drame
De Benoit Cohen
Par Benoit Cohen, Eléonore Pourriat
Avec Fanny Ardant, Nawid Elham, Elisabeth Margoni
Synopsis
France, la soixantaine, vit seule dans son appartement bourgeois de l’est parisien. Lorsqu’elle entend parler à la radio d’une association qui met en contact des personnes réfugiées sans logement et celles ayant la possibilité de les accueillir, elle décroche son téléphone pour se porter volontaire. Quelques jours plus tard, Reza, jeune afghan d’à peine vingt ans, débarque dans sa vie. Ces deux êtres, qui n’ont rien en commun, vont devoir apprendre à vivre ensemble…
Un enfant passionné de sciences fugue à Washington pour recevoir un prix prestigieux. Le dernier Jean-Pierre Jeunet sorti au cinéma : drôle, inventif et émouvant.
Enfant surdoué, T. S. Spivet vit dans un ranch du Montana, entouré d’une famille atypique : une mère entomologiste, un père cow-boy dépassé et une sœur qui ne rêve que de fuir ce “trou paumé” pour être élue Miss America. À la suite d’une expérience avec un fusil, Layton, son frère jumeau, décède accidentellement. Personne n’en parlera jamais dans la famille. Passionné de sciences, T. S., malgré ses 10 ans, a inventé la roue à mouvement perpétuel et doit recevoir le prestigieux prix Baird de l’Institut Smithsonian. Sans en parler à personne, il s’engage en passager clandestin dans un train de marchandises et met le cap sur Washington, DC.
Ode aux bizarreries de la vie
T. S. Spivet aime cartographier les rivières du Montana alors que son frère Layton préfère tirer sur des boîtes de conserve avec son fusil… Grâce à une voix off, Jean-Pierre Jeunet, fidèle à ses habitudes, s’attarde à décrire avec précision les détails du quotidien de ses atypiques protagonistes. Pour son dernier long métrage sur grand écran, le réalisateur du Fabuleux destin d’Amélie Poulain adapte le roman de Reif Larsen et livre un road-movie astucieux, empli de poésie, comme une ode aux bizarreries de la vie. Plein d’inventivité visuelle – dominantes à l’image de vert, de jaune et de rouge et usage du grand angle qui ont fait la marque du cinéaste –, le film fait surgir au fil du récit une palette de personnages surprenants, fantasques ou marginaux (un SDF adepte des ombres chinoises, un camionneur photographe...) qui croisent la route du gamin surdoué pour rajouter de l’extravagance à son périple. Contant l’histoire d’une famille hors norme amenée à surmonter ses traumatismes grâce à l’amour inconditionnel qui lie ses membres, une aventure émouvante à travers les États-Unis, subtil mélange de mélancolie et d’humour.
Réalisation Jean-Pierre Jeunet
Scénario Jean-Pierre Jeunet Guillaume Laurant
Production Epiphète Films Tapioca Films Filmarto Gaumont France 2 Cinéma
Producteur/-trice Frédéric Brillion Gilles Legrand Jean-Pierre Jeunet Suzanne Girard
Image Thomas Hardmeier
Montage Hervé Schneid
Musique Denis Sanacore
Avec Helena Bonham Carter (Dr. Clair, la mère) Callum Keith Rennie (le père) Judy Davis (Ms. Jibsen) Kyle Catlett (T.S. Spivet) Niamh Wilson (Gracie) Jakob Davies (Layton) Rick Mercer (Roy) Dominique Pinon (Deux nuages)
Auteur.e Reif Larsen Pays France Canada Année 2013
Clés Cinéma Films
Durée 100 min - Disponible Du 25/12/2023 au 23/01/2024
Genre Cinéma
réalisé par Marianne LERE
Connu par AES
Voir aussi https://vimeo.com/874847619/99a8b67d25
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Un film de Marianne Lère Laffitte
Produit par Joparige Films et Schuch Productions
Synopsis : Chapelle-Darblay est la dernière et unique usine à fabriquer du papier journal 100% recyclé en France. Fermée depuis septembre 2019 sur décision de son propriétaire finlandais, la papeterie centenaire est désormais menacée de démantèlement. A sa place, un site de production d'hydrogène est prévu. Alors que les 217 salariés, les « pap-chap », ont perdu leur emploi, trois délégués du personnel, deux ouvriers syndiqués et un cadre dans étiquette, toujours présents sur le site, se battent pour sauver la papeterie de la fermeture. Vont-ils réussir à sauver leur usine ?
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france-2 Films 2015 1 h 34 min Français tous publics Vidéo en audio-description
Bougon et droit dans ses bottes, Michel Racine, président de cour d'assises à Saint-Omer dans le nord de la France, ne fait pas de sentiment. Il a même un surnom : "le président à deux chiffres" car ses sentences dépassent les dix ans. Il a raté sa vie personnelle en épousant une femme plus riche que lui qui vient de le quitter. Lors d'un procès, des jurés doivent être choisis et il est très surpris et ému de découvrir que parmi eux figure Birgit Lorensen-Coteret, qui lui a brisé le coeur. Un chagrin d'amour qui l'a rendu amer. Alors que leur relation n'existait pas, il lui a écrit une lettre dans laquelle il lui déclarait sa flamme. A son contact, il pourrait bien apprendre la compassion...
- César 2016 - César : Meilleure Actrice dans un Second rôle : Sidse Babett Knudsen
- Mostra de Venise 2015 - Volpi Cup : Best Actor : Robert Luchini
- Golden Osella : Best Screenplay : Christian Vincent
Réalisé par : Christian Vincent
Avec : Fabrice Luchini, Sidse Babett Knudsen, Michaël Abiteboul, Corinne Masiero, Miss Ming, Claire Assali, Floriane Potiez, Marie Rivière, Bérénice Sand
Scénaristes : Christian Vincent
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3,57 k abonnés - 10+ - 62 vues - 3 commentaires #documentaire #film #gaza_la_vie
Être avocat(e) à Gaza, film documentaire sous-titré en français sur les avocats de Gaza. Septembre 2023
#gaza_la_vie #gaza_la_vie #film #documentaire
Musique TITRE Epic Inspiration ARTISTE AShamaluevMusic ALBUM Epic Music
Connu / mel de l'AFPS
La trajectoire d’une mère de famille amenée à se prostituer – métaphore, pour Jean-Luc Godard, des rapports sociaux dans la société moderne. Réalisé en 1967, un essai filmique percutant, prélude au virage résolument politique du cinéaste. Avec Marina Vlady, Annie Duperey et Christophe Bourseiller.
Au milieu des années 1960, au coeur des grands ensembles de la petite couronne parisienne tout juste sortis de terre, Juliette (Marina Vlady), jeune mère de famille de classe moyenne, recourt occasionnellement à la prostitution pour améliorer l'ordinaire. Autour de cette femme à la tristesse résignée, qui erre de cafés en appartements de passe, se déploient les tranches de vie de personnages anonymes, arpentant comme elle une banlieue désenchantée, à l'horizon bouché par un urbanisme en pleine explosion.
Cris et chuchotements
Deux ou trois choses que je sais d'elle ("elle" se référant, dit un intertitre malicieux, à la banlieue parisienne) s'inspire d'une enquête de Catherine Vimenet parue dans Le Nouvel Observateur sur le phénomène de la prostitution occasionnelle né avec le développement des grands ensembles : pour Jean-Luc Godard, la prostitution incarne le modèle même des rapports sociaux dans les sociétés capitalistes, et s'impose comme une métaphore de choix pour incarner sa vision du monde. Avec ce film-essai, expérimental dans sa forme et militant dans son propos, le cinéaste entame le virage politique qui annonce les nouvelles directions esthétiques et philosophiques que prendra sa filmographie à l'approche de Mai 68. S'affranchissant de la narration traditionnelle ou de l'analyse psychologique des personnages pour se faire sociologue et poète de la modernité, Godard réalise un film éclaté, à l'image des bouleversements de l'époque : un patchwork de séquences saturé parfois jusqu'à la cacophonie de couleurs et de sons - vacarme des bulldozers et des voitures, cris d'enfants, machines - d'où émerge sa voix chuchotée, qui dénonce l'aporie du langage, la perte d'identité et l'absence de perspectives qui caractérise la vie dans les grands ensembles. Le portrait d'une société française aliénée par la consommation, autant qu'un manifeste sur le pouvoir du cinéma à penser le monde contemporain.
Réalisation, Scénario Jean-Luc Godard
Production Argos Films Anouchka Films Les Films du Carrosse Parc Films
Producteur/-trice Anatole Dauman Raoul Lévy
Image Raoul Coutard
Montage Françoise Collin Chantal Delattre
Musique Ludwig van Beethoven
Avec Marina Vlady (Juliette Jeanson) Anny Duperey (Marianne) Christophe Bourseiller (Christophe Jeanson) Raoul Lévy (John Bogus) Roger Montsoret (Robert Jeanson) Jean Narboni (Roger)
Auteur.e Guy de Maupassant Catherine Vimenet
Pays France Année 1967 Cinéma Films Durée 84 min
Disponible Du 05/06/2023 au 03/08/2023
Genre Cinéma
Versions Sous-titrage malentendant
Ce programme est disponible en vidéo à la demande ou DVD.
« Un scandale d’État potentiel », a estimé Clémentine Autain en évoquant ce film qui raconte l’histoire d’une syndicaliste ...
Connu / TG le 24/05/23 à 17:23
18 abonnés - 55+ - 567 vues - 2 commentaires
Un film écrit et réalisé par Jean-Baptiste Le Hen
Avec
Luck Parize ; Marine Gourhand ; Kévin Arnaud ; Camille Lorente ; François Bientz ; Natasha Bentivoglio ; Louise Loeb
Assistante réaliseur : Julia Schierer - Directrice de la photographie : Lou Camille - Ingénieure du son : Élodie Thévenin - Régisseuse : Emma Mendicino
31 mai 2023 / Documentaire / France
De Fabien Mazzocco
Dans le marais poitevin, des milliers de personnes sont aujourd'hui engagées dans une lutte contre un projet de méga-bassines. Comment ce territoire à l'image si paisible est-il devenu l'épicentre d'une véritable guerre de l'eau ?
23 juin 2023 - En VF 20:30