Après 450 kilomètres, après avoir sillonné cinq départements (Deux-Sèvres, Vienne, Indre-et-Loire, Loir-et-Cher, Loiret), le cortège des 700 cyclistes et des tracteurs a réussi à atteindre le siège de l’Agence de l’Eau, à Orléans.
Organisé par la Confédération paysanne, Bassines non Merci et les soulèvements de la terre, et parti de Sainte Soline, le convoi de l’eau exigeait un moratoire sur les bassines. Les militant.es dénonçaient ainsi « l’accaparement de l’eau » et son financement public.
Thierry Burlot, président du Comité de Bassin, s’est montré à l’écoute des revendications. Il a parlé de "camouflet" si des travaux démarraient... Or, le jour même des barrières étaient posées sur le site de la bassine de Priaires. Par ailleurs, M. Burlot n’est finalement pas venu s’exprimer devant les manifestants, comme il l’avait promis à la délégation.
Pendant ces discussions, à l’extérieur s’organisait un camp improvisé. Le convoi devait initialement s’installer à Bou, à quelques kilomètres d’Orléans. Mais faute d’avoir obtenu en amont l’assurance d’un rendez-vous avec Sophie Brocas, préfète du Loiret et présidente du conseil d’administration de l’Agence de l’eau Loire-Bretagne, le convoi a décidé de s’installer devant le siège de l’Agence de l’Eau... et d’exiger d’engager un dialogue avec les responsables politiques en charge du dossier. Finalement, la préfète acceptera d’ouvrir les grilles à la délégation, sous la pression de la rue. « On veut qu’il y ait un vrai dialogue et ce dialogue, pour nous, il passe par une condition, l’arrêt immédiat des chantiers en cours et surtout l’ouverture d’aucun chantier de nouvelles bassines », a rappelé Laurence Marandolo, porte-parole de la Confédération paysanne.
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Proche et Moyen-Orient - 163 commentaires
Pour de nombreux Palestiniens, et malgré la mort de centaines de civils à Gaza et en Israël, l’attaque du Hamas s’explique par les pratiques brutales du gouvernement de Nétanyahou et par la colonisation qui n’a fait que s’étendre. Témoignage de Rula Shadeed, responsable dans une ONG.
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Mediapart a donné la parole à des experts sur place, dont des universitaires, comme Mkhaimar Abusada, professeur de sciences politiques à l’université Al-Aqsa de Gaza, qui voit dans l’attaque surprise du Hamas une conséquence à la politique de ce qu’il décrit comme un « gouvernement israélien d’extrême droite fasciste », en rappelant que certains de ses ministres « pensent que le temps est venu d’expulser les Palestiniens et d’annexer plus de la moitié de la Cisjordanie ».
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C’est le cas de Rula Shadeed, qui travaille depuis des années dans diverses organisations non gouvernementales depuis Ramallah, en Cisjordanie. Aujourd’hui responsable de programme pour le Palestine Institute for Public Diplomacy, elle a œuvré longtemps à l’association Al-Haq, fondée en 1979 pour documenter les violations des droits humains commises dans le cadre du conflit. Al-Haq fait partie des six ONG que le gouvernement israélien a tenté d’interdire en 2021, au prétexte qu’elles aurait des liens avec le terrorisme palestinien, sans convaincre les Occidentaux. https://www.mediapart.fr/journal/international/221121/interdiction-d-ong-palestiniennes-la-manoeuvre-ratee-d-israel-pour-convaincre-les-occidentaux
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les différents partis incluant le Hamas avaient tous appelé à ce que le gouvernement israélien stoppe ses agressions, les attaques contre des civils et contre les lieux et édifices religieux comme la mosquée Al-Aqsa à Jérusalem. »
Elle évoque aussi des humiliations contre « les croyants en train de prier près des églises et des mosquées ». Les images toutes récentes de juifs ultraorthodoxes crachant sur des pèlerins chrétiens dans la vieille ville de Jérusalem ont notamment tourné en boucle à la télévision et sur les réseaux sociaux.
Le souvenir noir de 1948
Rula Shadeed dénonce également le « nombre insensé de violations et de brutalités » commises par « le gouvernement fasciste israélien, qui ne se soucie d’aucune manière des résolutions de l’ONU, des lois de l’Union européenne, des droits humains, du droit des Palestiniens à simplement vivre ».
Elle fait de l’extrémisme du gouvernement mené par Benyamin Nétanyahou et qui compte parmi ses ministres clés Itamar Ben Gvir, suprémaciste juif, raciste et homophobe, et Bezalel Smotrich, qui se revendique fièrement partisan du Grand Israël, de la Méditerranée au fleuve Jourdain, « l’un des moteurs qui font que le Hamas, mais aussi d’autres partis se sont décidés » [à attaquer – ndlr].
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l’activiste raconte son inquiétude croissante devant « les villages brûlés » et « le transfert des populations auquel on assiste ces derniers mois » pour permettre aux colons israéliens de s’installer sur les territoires palestiniens, avec la bénédiction du gouvernement et de l’armée. « Tous ces événements ont constitué une sorte de signal d’alarme pour tous les Palestiniens, un signe que la menace devenait de plus en plus proche », décrit Rula Shadeed, pour qui ils sont « très similaires à ce qu[’ils ont] connu en 1948 » : la Nakba, l’exode forcé de plusieurs centaines de milliers de Palestiniens, expulsés au cours de la guerre qui a institué l’État d’Israël.
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« Un régime d’apartheid tout entier tourné vers un but ultime, celui de déplacer les Palestiniens pour les remplacer par le peuple juif. »
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« Dans toute situation de colonisation et d’oppression, la violence est le résultat de la brutalité de l’oppresseur. Il ne faut jamais faire porter la responsabilité d’une escalade sur le colonisé, qui est confronté à de grandes injustices depuis des décennies », lance-t-elle.
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« à chaque fois que les Israéliens ont attaqué Gaza, ils l’ont fait dans l’impunité, et sans jamais devoir répondre de leurs actes et de leurs crimes ».
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« Ici, même quand les gens sont brûlés dans leurs propres maisons, ce n’est jamais le bon moment pour soutenir les Palestiniens »
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Elle fait ici référence à l’incendie de plusieurs maisons par des colons israéliens en Cisjordanie en juin 2023, ou à cet enfant, brûlé vif dans l’incendie de son foyer, en 2015
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Connu / https://twitter.com/Mediapart/status/1711011104288092242
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Le député Simha Rotman est un politicien israélien fasciste et l’un des chefs du « coup d’État judiciaire » du gouvernement israélien actuel. Il est également un colon. La semaine dernière, le mouvement pro-démocratie a organisé une manifestation devant son domicile, au fin fond du sud de la Cisjordanie. Deux des partenaires israéliens de RSN, Mesarvot et Mothers Against Violence, étaient en tête de la manifestation. Suivaient des membres de groupes de protestation centristes, dont beaucoup, quelques semaines auparavant, avaient tout fait pour ostraciser le mouvement anti-occupation.
Hier soir, les Mères ont pris la tête du cortège lors de la manifestation centrale en faveur de la démocratie à Tel Aviv. Elles ont brandi une banderole avec le texte « Faites sortir les soldats des territoires occupés », et derrière elles, des milliers de personnes ont défilé. Avec votre aide, nos partenaires ont placé la question palestinienne au cœur de l’agenda du mouvement pro-démocratique. Un message clair : « Il n’y a pas de démocratie sous occupation ! » Cliquez ici pour soutenir le mouvement de refus de la base en Israël.
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Grève, round 11 : occupation des voies à la gare d’Angoulême et blocage sur la zone Euratlantic de Fléac (Live)
Début de journée agité dans l’agglo d’Angoulême : les voies de la gare ont été ...
Connu / TG le 06/04/23 à 11:54
Des salariés de l’énergie occupent le site d’Enedis de Gap Patac depuis le jeudi 16 mars 6 heures du matin dans le cadre ...
Connu / TG le 20/03/23 à 14:53
Connu / TG le 02/02/23 à 13:31
Les logements inoccupés et non meublés situés en zone tendue sont soumis à la taxe sur les logements vacants, à payer en décembre, explique Laurent Chatel, avocat associé chez CMS Francis ...
Connue / TG le 11/12/22 à 23:03
voiture électrique ©Getty
Quels sont les avantages et les inconvénients de la voiture électrique ? Si la voiture électrique est la meilleure technologie pour décarboner le parc automobile, la voiture demeure le pire des modes de transport en termes d'impacts environnementaux.
En France, l’objectif de fin de vente des voitures thermiques est fixé à l’horizon 2040. La voiture est le mode de transport le plus utilisé en France, représentant de l’ordre des deux tiers de nos mobilités, en nombre de trajets, en temps de transport ou en kilomètres parcourus.
D’un point de vue technologique, la voiture électrique est la meilleure technologie pour décarboner le parc automobile. En revanche, la voiture demeure le pire des modes de transport en termes d’impacts, donc le véhicule électrique répond imparfaitement aux différents impacts et défis de transition dans les transports.
La voiture électrique permet, en France et dès aujourd’hui, de diviser par trois les émissions de gaz à effet de serre, en comparaison avec une voiture thermique.
La voiture électrique, est-elle la solution optimale à la transition énergétique des transports, comme elle l’est si souvent présentée ?
Aujourd’hui, les voitures électriques ont cinq places, permettent d’aller à plus de 130km/h, pèsent 1,5 tonne, et permettent des déplacements de plusieurs centaines de kilomètres. Comparé aux usages réels du quotidien dont les distances sont de seulement quelques kilomètres, la voiture électrique est surdimensionnée constate le chercheur Aurélien Bigo.
Afin que la voiture électrique soit optimale d'un point de vue environnemental, il faudrait que les modèles soient sobres, moins lourds avec des batteries à autonomie modérée.
Pour une voiture électrique les émissions sont nulles à l’usage, mais concentrées sur la production du véhicule et de l’énergie : la production d’une batterie de voiture électrique demande des ressources minérales dont l’extraction a un impact environnemental indéniable, et leur raffinage comme la production de batteries consomme également de l’énergie. Il n'existe pas de véhicule propre. La voiture devra être réservée à des usages pour lesquels on ne pourra pas faire autrement.
Selon l’Agence internationale de l’énergie, la demande en lithium du secteur énergétique va être multipliée par plus de 40 d’ici à 2040. La Banque mondiale estime que la production de graphite, lithium et cobalt devrait augmenter de près de 500 % d’ici à 2050 pour atteindre les objectifs climatiques.
Un véhicule thermique c’est 20kg de cuivre, un hybride 40kg et une voiture électrique 80kg… soit quatre fois plus de cuivre, mais ce n’est pas pour autant qu'il ne faut pas électrifier. Il s'agirait néanmoins de définir comment assurer nos approvisionnements en matériaux explique l'économiste Emmanuel Hache.
L'enjeu serait également de revoir la place et les usages de la voiture dans la mobilité, en agissant sur les cinq leviers de la décarbonation des mobilités : plus de proximité pour réduire les longs trajets, favoriser la marche, le vélo, le train, les bus, améliorer le remplissage des véhicules (covoiturage), réduire la vitesse sur les routes et électrifier pour les véhicules les plus légers. Et enfin, développer des véhicules intermédiaires entre vélo et voiture : vélos pliants, vélos cargos, speed-pedelex (valéos assistés j’à 45km/h), vélomobiles.
On en parle avec
- Aurélien Bigo, chercheur sur la transition énergétique des transports (associé à la Chaire Énergie et Prospérité)
- Emmanuel Hache, économiste à l’IFP Energies nouvelles, directeur de recherche à l'IRIS
Ressources :
- La voiture électrique passée au crible de la soutenabilité https://www.polytechnique-insights.com/tribunes/planete/la-voiture-electrique-passee-au-crible-de-la-soutenabilite/
- Les métaux dans la transition énergétique https://www.ifpenergiesnouvelles.fr/enjeux-et-prospective/decryptages/climat-environnement-et-economie-circulaire/les-metaux-transition-energetique
Clés : Sciences et savoirs Sciences
Nicolas Voisin a retweeté
Radio Sauvage @radiosauvage · 28 nov.
Panneau d'avertissement NOUVEAU LIEU OCCUPÉ Panneau d'avertissement
Pour lutter contre l'extension de la ZAC (Zone d'Activités Commerciales) de #Pertuis dans le 84, des militant.e.s ont décidé d'occuper l'une des maisons expropriés pour créer une #ZAP.("Zone à Patates")
Adresse : rue du goure d'aure, Pertuis.
Connu / https://framasphere.org/posts/11859539
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Dom - il y a environ 6 jours / Basta ! - il y a environ 6 jours
Un collectif d’associations et de syndicats a saisi le Conseil constitutionnel, ce 29 avril, contre l’article 1°bis A de la #LoiSecuriteGlobale. Cette disposition élargit le périmètre des sanctions contre les occupations, notamment militantes.
... article de la loi « Sécurité globale » passé sous les radars. Il constitue pourtant « une porte étroite, par laquelle la loi “Sécurité globale” ouvre tout un champ de déploiement des pouvoirs de police » introduit Anthony Ikni, délégué général du collectif Romeurope. Alertées, plusieurs associations de solidarité, parmi lesquelles Droit au logement (DAL), la Fondation Abbé Pierre, Médecins du Monde ou encore le Secours Catholique ont saisi collectivement le Conseil constitutionnel, hier, pour tenter de le faire invalider.
Cet article, issu d’un amendement déposé par Les Républicains, n’est apparu dans le projet de loi qu’à l’issue de la commission mixte paritaire, fin mars. Il fait monter d’un cran la législation anti-squat. Le code pénal punissait déjà, via son article 226-4, l’intrusion dans le domicile d’autrui, par un an d’emprisonnement et 15 000 euros d’amende. L’article 1°bis A de la loi de sécurité globale triple les sanctions : trois ans d’emprisonnement, 45 000 euros d’amende.
Surtout, l’article 1bis-A élargit la définition de «domicile d’autrui» contenue dans le code pénal. Les sanctions s’appliqueront bien au-delà des seules personnes sans domicile squattant un lieu vacant. Les occupations de locaux professionnels mais aussi les #ZAD sont visées.
... décryptage ...
#stoploisécuritéglobale #libertespubliques #logement #droitsaulogement #Repression #Occupation #Squat #Zad #Greve #Manifestation #sansdomicilefixe #vulnerable #Inegalites #Mobilisation #MouvementSocial
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Clés : Coronavirus ; Culture ; Emploi
Depuis le 29 octobre, date du second confinement, le monde de la culture est à l’arrêt. Les musées sont fermés, les spectacles sont annulés. C’est pourquoi, intermittents du spectacle, artistes et techniciens, se sont réunis sur la Place de la République, jeudi 4 mars dernier. Ils demandent la prolongation de leurs droits au chômage, et la réouverture des lieux de culture.
A l’arrêt depuis le second confinement du 29 octobre 2020, le monde de la culture et du spectacle s’est donné rendez-vous jeudi 4 mars dernier sur la Place de la République, pour une manifestation en direction de Madeleine. Associations, organisateurs de spectacles, salariés et intermittents demandent au ministère de la culture la réouverture des lieux de culture. Ils demandent aussi la prolongation de l’année blanche, qu’Emmanuel Macron avait décidée le 6 mai dernier. L’année blanche avait permis à certains intermittents de prolonger leurs droits au chômage d’une année. Elle prendra fin le 31 août prochain. Après quoi, des milliers de travailleurs de la culture pourraient se retrouver sans revenu et plongés dans la précarité.
En parallèle de la manifestation, un autre groupe s’est introduit dans le théâtre de l’Odéon, situé dans le 6ème arrondissement de Paris, pour l’occuper. L’occupation ne s’arrêtera pas tant que le ministère de la culture n’aura pas répondu favorablement aux revendications des travailleurs de la culture.
jeudi 14 mai, à Schiphol ... Des militants de Greenpeace ont circulé à vélo sur les pistes de l’aéroport « pour demander des conditions environnementales au sauvetage des compagnies aériennes ».
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Cette action a particulièrement ciblé Air France - KLM, comme l’explique Greenpeace Pays-Bas :
KLM émet plus de CO2 que la plus grande centrale au charbon des Pays-Bas. C’est pourquoi nous demandons au gouvernement de fixer trois conditions importantes pour le soutien du gouvernement à KLM : un plafond de CO2 en baisse, moins de vols et le remplacement des vols courts-courriers par des trains. »
Quant à la possibilité de mener des actions de désobéissance en pleine pandémie, Greenpeace Pays-Bas s’est également expliqué : Nous restons à un mètre et demi de distance les uns des autres et il n’y a pas plus de militants présents que nécessaire pour que l’action réussisse (...) Il est important que nous agissions dès maintenant. Si nous restons silencieux, cet argent de nos impôts permettra aux grands pollueurs de s’envoler. Continuer comme avant n’est pas une option. »
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Lire aussi : Les faramineuses dépenses de l’État pour soutenir l’avion https://reporterre.net/Les-faramineuses-depenses-de-l-Etat-pour-soutenir-l-avion
des occupations au nom du climat
24.01.2020 | Maison Internationale de Rennes
Connu / https://framasphere.org/posts/7508554
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Jérémy Myard - il y a environ 14 jours
.#palestine #israel #proche-orient
Mais quand est ce que nous réagirons à la hauteur de l’horreur !!!
Israël détruit des maisons palestiniennes sur les territoires occupés
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Le Père Igor, vert de rage. - il y a environ 14 jours
Quand tu dis “nous”, de qui parles-tu ? De la population française ? De l’état français à travers son armée ? De l’Union Européenne ? De l’Otan puisque nous appartenons à l’Otan ?
Dans aucun cas de figure “nous” ne réagira et rien ne peut leur être apporté en guise de soutien, si ce n’est l’indignation de certains (très peu).
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Depuis 10h du matin, plus de 200 personnes se sont rassemblées dans et devant les locaux de la DDTM pour obtenir des baux pour les projets, la transparence du diagnostic foncier, une plateforme de répartition équitable des terres et des garanties sur le plan écologique. 3 banderoles ont été disposées sur la façade de l’immeuble « ZAD-NDDL, on est là pour un bail ! », « Pour un bocage sans glyphosate ! », « Pour l’accès à la terre : répartition équitable ». Une délégation du mouvement devait être reçue et l’a été à 9h30. Des habitant.e.s, paysan.ne.s de la zad et soutiens sont directement allés échanger dans les bureaux avec les employé.e.s de la DDTM sur la précarité dans laquelle l’absence d’engagement de l’Etat les maintient.
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Les associations de chômeurs AC!, APEIS, CGT chômeurs et MNCP, soutenues par les syndicats et organisations Sud-emploi, Snu/Fsu, JOC…, ont occupé l’agence Pôle emploi, 78 boulevard Ney (Paris), ce vendredi 29 juin 2018 à 10 heures. Il s’agissait de protester, entre autres, contre la multiplication par trois des contrôles et des sanctions ainsi que le vote de la loi Pénicaud, remplaçant l’assurance-chômage actuelle par un système non-assurantiel d’aides sociales. Celles-ci seront soumises aux aléas de décrets décidés en tout arbitraire par le gouvernement.
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Contacts presse :
Malika Zédiri (APEIS) : 06.18.56.26.05 | Claire Pauchet (MNCP) : 06.16.99.69.57