Informatique ou libertés ? [Version 2019] – Lunar
Publié Il y a 1 an • 115 vues - Durée 1h 53min 34s - Aucun commentaire
Informatique ou libertés ?
Par lunar
Travailler, s’informer, jouer, vivre ses amitiés, se soigner, consommer ou se révolter... Quel contrôle avons-nous sur ces ordinateurs devenus omniprésents ? À qui facilitent-ils vraiment la vie ?
L'apparente complexité technique cache des enjeux politiques. Lunar partage dans sa conférence vingt ans d’expérience technique et militante pour nous aider à y voir clair et à nous organiser.
🎬 Enregistré le 1er juin 2019 à Dolus d'Oléron à l'occasion de la rencontre des médias participatifs.
VisibilitéPublique - Publié originellement 01/06/2019
Catégorie Science & Technologie
LicenceAttribution - Partage dans les mêmes conditions
LangueFrançais
Étiquettes : capitalisme de surveillance ; conférence gesticulée ; informatique ; numérique ; ordinateurs
Connue / https://mastodon.top/@arn_fai@toot.aquilenet.fr/113447829932713085
Tr.: ...
Foxcon 2010, scandale dans une de leurs usines à Chenzen, 350 000 employés dans 3,5 km2 ... vie insupportable ... 14 suicides ... ses clients : Apple, Blackberry, Google, wiwi, Motorola, Nokia, Sony, tous les fabricants de mobiles ... se sont plaint ... augmenté les salaires en même temps que la cadence de travail ... livre "la machine et son seigneur ?" ... 1,3 millions de personnes dans tout Foxcon ... en 2016, 200 actions par mois ... en chine, on n'accède pas wikipédia, etc ... ya du courage, ils font des trucs ... projet TOR utile pour s'organiser ... navigateur web qui utilise du chiffrement ... rendre difficile le repérage de l'origine et de la destination des messages ... redonne de la capacité d'agir ... chiffrement ... TOR permet d'avoir un internet tel qu'on se l'imagine ... ils peuvent lire les sms. Si je ne veux pas, je prends Signal. Ces outils nous trompent ... Conversations éphémères enregistrées, donc permanentes ... Si la boite coule, mes données sont perdues ... regarder une vidéo, elle nous regarde aussi et elle prend des notes ... on les paye avec l'histoire de nos vies ... on se débarrasse de Monsento en les faisant chier de toutes les façons possibles ... Facebook, c'est 2,4 milliard de personnes
Comment on fait ? Mon monde idéal.
production locale d'outils numériques : 1 paysan du numérique ... FAI comme aquilenet ... 2 - des AMAP du numérique ex l'AMIPO à Dijon un des CHATONS ...
3 - FINANCER des logiciels émancipateurs ex. Ivan Illich dégooglisont internet de framasoft ... 4 - S'organiser politiquement ex La Quadrature du Net ... ex la CAF des mouvements syndicaux et d'usagers pour se défendre 5 - Imaginer : on va où ? Livre "Bâtir aussi" aux Ateliers de l'antémonde. ... Reprendre le contrôle.
Publié Il y a 3 jours • 29 vues
Il y a un sujet dont on parle peu et qui explique peut-être, du moins en partie, pourquoi l’intérêt des français n’est pas à la hauteur des enjeux : c’est le climat. Ou plutôt le désastre climatique auquel les pouvoirs publics apportent des réponses timides voire anti-écologiques. Le jeudi 17 octobre au soir, une quarantaine de départements ont été placés en vigilance orange, et même rouge, pour risque de crue ou de pluie-inondation. La région Auvergne-Rhône Alpes a été durement touchée.
En Ardèche, l’épisode de fortes précipitations de cette dernière semaine est le plus intense jamais enregistré sur deux jours depuis le début du XXe siècle. Les images de rues inondées, de véhicules submergés et d’animaux emportés par les eaux témoignent du caractère exceptionnel de ces intempéries et de de notre retard en matière d’adaptation au changement climatique.
On en parle avec Clément Sénéchal, ex-porte parole de Greenpeace, Militant écologiste, Expert des enjeux climatiques et auteur d’un livre très critique sur ce qu’il appelle l’écologie du spectacle : “Pourquoi l’écologie perd toujours”, paru le 11 octobre dernier aux éditions Seuil.
Visibilité Publique - Publié originellement 03/11/2024
Catégorie Actualité & Politique
LicenceInconnu LangueFrançais Étiquettes Durée 25min 39sec
Aucun commentaire
Ndlr : n'oublie-t-il pas les actions juridiques de GP ? Approfondir ACT
alimenté par PeerTube - Durée 44:37 - 0 B0 B2 pairs - Publié Il y a 14 heures • 21 vues - 3+
Dans le « Préambule » de cette nouvelle chronique de « L’œil de MouMou », le journaliste indépendant Mourad Guichard a rendu hommage à Perrine Storme, une consœur qui brille régulièrement par son professionnalisme. Son premier « Top » est allé à Frédéric Sergent, un enseignant du Loiret qui a saisi l’Arcom pour des propos racistes tenus par Frédéric Hazizia et Yvan Attal dans les studios de Radio J. La réponse de l’autorité est purement et simplement lunaire. L’autre a gratifié l’association de critique média Acrimed pour son décryptage des liens consanguins entre les Éditions de l’Observatoire et les toutologues de plateaux TV.
Les « Flop » ont pêle-mêle été attribués à deux chroniqueurs d’extrême droite qui, telle une scène du film « La chute », ont nié la situation d’Apartheid vécue par la population palestinienne et fantasmé sur un lien entre un député LFI et les événements terroristes du 7 octobre. Le journaliste indépendant s’est également étonné de la posture de Thomas Guénolé, intellectuel de gauche présent régulièrement sur les plateaux de l’émission populiste TPMP, et qui se fait régulièrement humilier par Cyril Hanouna, l’animateur égocentré et un brin parano.
Il s’est également interrogé sur le travail des journalistes de BFMTV capables d’interroger un maire de droite sur les violences urbaines sans interroger son propre passé judiciaire. La présence d’un « médium » sur le plateau de CNews a également intrigué notre chroniqueur.
La rubrique « Au microscope » s’est penchée sur la manière dont les chaînes de Bolloré ont traité la campagne de la présidentielle américaine. Évènement exceptionnel : Mourad Guichard a rendu hommage à un éditorial de Pascal Praud.
Les « Coups de cœur » sont allés à Clara Magazine, au talent des internautes et à la collection des Éditions du Croquant avec le dernier opus de Claude Calame et Ludivine Bantigny.
⚠️ Depuis le 10 septembre 2024, Le Média n'est plus diffusé sur la 350 des Freebox mais sur le canal 165. Une nouvelle numérotation qui nous accorde une bien meilleure visibilité !
Publié originellement 06/11/2024
Catégorie Actualité & Politique
LicenceInconnu LangueFrançais Étiquettes Durée 44min 38sec
Ndlr : le maire de Rillieux-la-Pape est Alexandre Vincendet, condamné pour violences sur ses enfants dans le cadre de son divorce.
Clés : Environnement Interviews Mode de vie Ressources naturelles
Publication : 23/08/2023 - Mis à jour : 04/01/2024
Picture of Thomas Wagner
Dans La ville stationnaire, un livre clair, bien illustré et abordable, Sophie Jeantet, Clémence De Selva et Philippe Bihouix passent au peigne fin la croissance des villes qui est devenue insoutenable. Au menu : étalement urbain, déconstruction de la smart city, la Zéro Artificialisation Nette, et une tonne de solutions.
L’étalement urbain accélère l’érosion de la biodiversité et contribue au changement climatique. Votre ouvrage rappelle que la définition d’un sol artificialisé n’est pas aussi simple que nous pourrions le penser…
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Parmi les solutions, vous proposez de passer de la Zéro Artificialisation Nette à la Zéro Artificialisation Brute…
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promesse de la smart city ... vole en éclats ... L’abandon par SidewalkLabs (filiale du groupe Alphabet, la maison-mère de Google) du projet de la friche Quayside à Toronto au printemps 2020 a fait l’effet d’une douche froide (officiellement, le projet, qui avait provoqué l’enthousiasme à son lancement, a été abandonné pour des raisons financières, mais de vraies difficultés avaient surgi sur la possible marchandisation des données personnelles des futurs habitants). Il y a des effets de mode, comme partout : en ce moment, c’est l’IA qui tient la dragée haute, après le long-feu du métavers de Zuckerberg… Mais l’idée reste très implantée en Asie et au Moyen-Orient ; les projets délirants comme The Line, en Arabie Saoudite, sont obligatoirement smart, cela va sans dire (et forcément green, bien évidemment).
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matériaux biosourcés, qui représentent une belle opportunité pour décarboner nos bâtiments ... des limites dans l’application de passage à l’échelle
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l’inversion de la tendance de la décohabitation ... divorce ... c’est multi factoriel, que les luttes féministes, l’émancipation des femmes ... la taille moyenne des foyers français est passée de 3,1 personnes dans les années 1960 à 2,2 personnes aujourd’hui ... La séparation des conjoints n’est qu’un facteur de décohabitation parmi d’autres, aux côtés du vieillissement de la population ou de bonnes nouvelles comme l’augmentation du nombre d’étudiants ... le parc de logements vacants augmente – aujourd’hui plus de 8% du parc total, soit 3 millions de logements, dont 1,1 million depuis plus de deux ans. On « fabrique » des dizaines de milliers de logements vacants par an, parce qu’ils sont situés dans des régions ou des zones moins attractives, que leur taille, leur prix, leur localisation, leur contexte urbain, leur ancienneté (voire leur état d’insalubrité nécessitant des travaux que le propriétaire ne peut ou ne souhaite pas prendre en charge) ne conviennent pas aux ménages qui veulent s’installer ... la métropolisation participe à ce phénomène. 15% des communes françaises n’ont jamais été aussi peu peuplées ... depuis 1876.
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pour contrer l’étalement urbain est ce que cela voudrait dire « concrètement, vieillir à plusieurs, garder ses enfants ou parents à la maison » ... On voit apparaître de très belles innovations, tout un continuum de “solutions” qui s’expérimentent ou se développent, qui demandent plus ou moins d’engagement personnel et de socialisation : le béguinage, la cohabitation intergénérationnelle, l’accueil d’étudiants dans les familles ou chez les retraités, les programmes d’habitat partagé dans le petit collectif, qui permettent de mutualiser des pièces comme la buanderie, une salle de jeux pour les enfants, une chambre supplémentaire pour accueillir les visiteurs, les espaces extérieurs…
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Vous rappelez en citant Sophie Divry que le rêve de la maison individuelle et du grand jardin est avant tout une construction sociale ... sujets délicats ... Ce n’est pas tant les maisons individuelles qui posent problème, que le fait que beaucoup d’entre elles sont sous-occupées, qu’on ne sait pas les adapter aux situations familiales évolutives, que les « parcours résidentiels », comme on dit, sont très peu fluides, dans le parc privé comme dans le parc social.
L’une des propositions centrales de votre livre est que « pour construire mieux, nous n’aurons d’autres choix que de construire moins » ... Construire moins (de neuf) permettrait en outre de mobiliser les moyens humains, organisationnels et financiers sur la rénovation thermique, la réhabilitation et la transformation du parc existant.Nous sommes pour le moment très, très loin du rythme de croisière à atteindre: pour « tenir » la trajectoire de neutralité carbone, selon les scénarios, il faudrait rénover 800 000 à 1 million de logements par an, parallèlement à 3% du parc tertiaire et de bâtiments publics, sans fléchir pendant une trentaine d’années. Cela signifie au bas mot une multiplication par vingt du rythme actuel.
Plus d’un tiers de votre livre offre des solutions concrètes. Comme les synthèses du rapport du GIEC, nous avons déjà les solutions ... mieux utiliser, intensifier l’usage du bâti existant, on l’a évoqué avec les logements vacants ou sous-occupés. Mais c’est vrai aussi des bâtiments publics, des bureaux, des locaux commerciaux ou d’activité : on peut agir sur la multifonctionnalité, l’usage en fonction des horaires ou des périodes (le gymnase qui sert aussi de marché couvert, l’école de lieu d’accueil des clubs et associations le soir et le week-end, la salle de classe qui se transforme l’été en logement touristique – il y a déjà des exemples ! – etc.), la mutualisation (particulièrement pertinente dans les zones d’activités qui ont été construites à une époque où le foncier n’était pas un sujet de préoccupation). ... mener des projets urbains, faire de la densification « douce » dans le tissu pavillonnaire et les centres-villes, transformer intelligemment les formes bâties (élévations sur l’existant, découpage de logements…). Comparées à la production « classique », c’est évidemment de l’épicerie fine, de la haute-couture, plus complexe à mettre en œuvre… ... la métropolisation, la concentration des populations autour de « locomotives économiques » a été favorisée, amplifiée, accompagnée par les politiques publiques ... Mais la croissance des grandes villes révèle désormais sa face sombre : effets contre-productifs d’une croissance trop rapide, saturation des équipements et des infrastructures de transport, relégation des plus modestes à la périphérie avec l’augmentation du prix du foncier, perte d’identité progressive avec une « standardisation » des constructions neuves et des offres adaptées aux visiteurs touristiques… et une plus grande vulnérabilité aux crises potentielles et aux effets de changement climatique (îlots de chaleur urbain, etc.).
Si nous voulons gagner en résilience, les métropoles ne doivent plus grandir, mais essaimer
...
ces nouvelles orientations d’aménagement du territoire ne doivent pas être perçues comme une difficulté supplémentaire, qui viendrait s’empiler sur toutes les autres « transitions » à mener dans les décennies qui viennent, mais comme une « pièce du puzzle », car elles pourraient particulièrement bien s’articuler avec d’autres enjeux de la transition énergétique et environnementale, comme celui d’une nécessaire démobilité, en diminuant nos besoins de déplacements quotidiens, en rapprochant les zones d’emploi et d’activité des logements, en favorisant le maillage pour les mobilités actives ou celui de la mutation du système agricole vers des pratiques respectueuses du sol et du vivant, forcément plus intensives en travail humain. Les villes « idéales » sont déjà là, ce sont celles que nous avons sous les yeux, qu’il faut « réparer », entretenir, réinvestir, adapter aux enjeux futurs.
Connu / https://mamot.fr/@bonpoteofficiel/113412925266068037
Ndlr : terminer d'indexer, valoriser ACT
Énergies Entretien
Prix de l’électricité : « On va rester sur des niveaux bien supérieurs à ceux d’avant la crise » - 9 octobre 2024 à 19h13 / Jade Lindgaard
Pour combler son déficit budgétaire, le gouvernement veut augmenter les taxes sur l’électricité. Pour l’économiste Anne Debregeas, il faut revoir de fond en comble les prix de l’électricité, afin de les aligner sur les coûts de production et assainir un système absurde et incompréhensible.
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Pour l’ingénieure-économiste Anne Debregeas, spécialiste du système électrique à EDF et porte-parole du syndicat Sud Énergie (retrouver ici sa note sur la démarchandisation de l'électricité pour l'institut La Boétie, proche de la France Insoumise) , c’est de toute façon tout le système du prix de l’électricité qu’il faut revoir : « Si les prix reflétaient les coûts de production, le problème n’existerait plus. La solution numéro un, c’est de sortir de ces prix aberrants qui bougent tout le temps et que personne n’arrive à maîtriser, pour revenir à des tarifs publics basés sur les coûts de production d’une nouvelle forte hausse. »
https://institutlaboetie.fr/note-demarchandiser-lelectricite-la-solution/
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tarifs réglementés de vente d’électricité (TRVE)
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Billet de blog
Coût du nucléaire, prix de l’électricité, dette publique - 25 octobre 2024 / François VALLET
Ingénieur en génie climatique, énergétique et environnement
Le 9 octobre 2024, Mediapart publiait un article sur le prix de l’électricité qui soulève plusieurs questions intéressantes. Il m’a semblé utile d’en reprendre quelques-unes et d’y apporter des éléments de réponse permettant d’éclairer le débat budgétaire.
...
Pour un « communisme de décroissance »…
En bref :
— Pourquoi convertir les consommations énergétiques en énergie primaire ?
« Le but de tout rapporter en énergie primaire est de comparer les consommations des énergies entre elles, en prenant en compte des pertes liées à la transformation et à l’acheminement. Cela est particulièrement important, notamment pour la réglementation thermique, qui doit être égale pour tous les types d'énergie. »
D’où l’intérêt des CEP (Coefficients d’Energie Primaire) qui expriment les taux de conversion pour différentes énergies primiaires :
Exemples CEP
Électricité 2,3
Gaz 1
Soleil 1
— Pourquoi l’électricité a un si mauvais taux de conversion ?
À cause du mauvais rendement (33%) de la production électrique des centrales nucléaires.
Mais le taux a été ramené de 2,58 (ancienne règlementation) à 2,3 pour tenir compte du développement des EnR, dont le taux =1
— Quel est l’enjeu ?
Une baisse de ce taux de conversion signifie concrètement qu’une maison respectant la nouvelle norme RE2020 (CEP de 2,3) aura le droit de consommer davantage d’électricité qu’un logement construit lors de la précédente réglementation (CEP de 2,58).
« Dans les faits, les calculs considérés pour la RE2020 favorisent davantage l’électricité par rapport à la réglementation précédente. »
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Dans cette seconde partie, on essaie de comprendre ce que la thermodynamique peut dire ou ne pas dire de la transition énergétique. Cette vidéo (et la précédente qu'on vous recommande fortement de regarder avant si ce n'est pas déjà fait : • Entropie : la transition condamnée ? ... ) est un travail collaboratif avec Rodolphe Meyer de la chaîne @lereveilleur
On a débriefé de la sortie des deux vidéos en live sur la chaîne secondaire de Rodolphe "Le Climat Part en Live". Dans cette vidéo, on répond aux commentaires et aux critiques : • Live post-publication : "Entropie : l...
La vidéo sur la nature profonde de l'entropie de @le_science4all : • La nature profonde de l'entropie 🌶️
0:00 • Intro
1:02 • Exergie
4:25 • Structures dissipatives
08:01 • Assez d’énergie pour remplacer les fossiles ?
10:02 • Création d’entropie sans travail, la thermalisation
12:33 • Exergie sur Terre
18:23 • Un système alimentaire thermodynamiquement efficace
28:23 • Transition énergétique
33:01 • Une entropie de la matière
42:07 • Produire de l’entropie ne veut pas dire polluer
46:48 • Sortir du fatalisme thermodynamique
49:50 • Comment on pense la transition ?
54:39 • Métabolisme économique
1:02:06 • Conclusion
1:03:48 • Outro
Le texte avec annotations et sources est disponible ici :
https://docs.google.com/document/d/1dXihQgyFDY47KvyyVG_IAbxFld4naZCFZ7IQvD0veY4/edit
Sources détaillées et informations complémentaires ici : https://lereveilleur.com/entropie-la-transition-condamn%25C3%25A9e/
Nous avons abondamment utilisé une figure tirée de Hermann (2006) https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0360544205001805
Concernant le "rayonnement extra solaire" : du point de vue de la Terre, le fait que l’univers soit plus froid permet d’exercer un travail ( https://pure.tudelft.nl/ws/files/47767140/Jansen_2010_IJEx_7_6_Paper_5.pdf) et nous pensons que c’est par ce flux que ça se manifeste. Nous ne sommes pas certains de comprendre ce point mais ça n'a pas d'influence sur le reste de la vidéo.
Nous avons converti les stocks de ZJ vers TW.an et nous avons actualisé les consommations humaines, détails dans la feuille de calcul https://docs.google.com/spreadsheets/d/18nFKAuodW9RGgTVLqYHx_A1xvadHgM4ZxRcjh3rW-kc/edit%3Fusp%3Ddrive_link et slides successives avec nos modifications https://docs.google.com/presentation/d/1jP1yHghzsmwjTRXQUXkZpB_vpXfxHPE1I0XCmxYPrzY/edit%3Fusp%3Ddrive_link
Pour participer à la plateforme Tournesol et ainsi tenter d'améliorer les biais cognitifs de l'humanité : https://tournesol.app/
Merci à nos nombreux relecteurs :
Loïc Giaccone https://climatanthropocene.com/
Avel Guénin-Carlut (PhD student à l’Université de Brighton & membre fondateur de Kairos Research ; https://avelguenin.github.io/)
Thomas Cabaret (Passe-science) qui a fait des vidéos sur la thermodynamique dont • Démon de Maxwell et entropie - Passe-... https://www.youtube.com/watch?v=VJ61CF9sxm4&t=0s
Lê Nguyên Hoang @le_science4all
Olivier Cleynen https://thermodynamique.fr/
Paul Valcke / paul-valcke https://www.linkedin.com/in/paul-valcke/
François Moriamez / françois-moriamez-72152a19
https://www.linkedin.com/in/fran%C3%A7ois-moriamez-72152a19/
Gaëtan Severac
Merci à Adrien Vande Casteele pour les animations: https://www.linkedin.com/in/a.vanca
Merci Antoine Transon pour la miniature
Merci à Marina Quenan et Valentin Levetti qui nous ont aidé sur la technique.
Merci à la mère de Rodolphe qui s'occupe de corriger le texte et le retranscrire proprement pour les sous-titres.
Tr.: ... l'exergie permet de combiner les deux principes de la thermodynamique ... les structures dissipatives, maintenues par un apport externe d'exergie ... des stocks d'exergie des ressources fossiles ... le soleil, 10000 fois plus que ce que les humains manipulent ... thermalisation produit de l'entropie ... en agriculture exergie de la chaîne alimentaire ... appropriation humaine de la production primaire nette potentielle à 1/4 15 TW ... besoin de 100 W d'exergie / personne et par jour ... végétaliser notre alimentation ... la marge de manoeuvre en terme de biomasse est limitée car un s'approprie déjà une part importante de la production primaire nette. Ensuite car on doit réduire la pression sur la biodiversité ... faible part du mix-énergétique de demain. De+ les agrocarburants inefficaces. Il faut de 50 à 200 fois plus de surfaces pour faire avancer une voiture thermique avec de l'éthanol qu'avec des panneaux photovoltaïque / voiture électrique ... le potentiel nucléaire inaccessible ... le flux solaire, fleuve immense, inépuisable à échelle humaine ... Transition énergétique l'exergie utilisée pour n'importe quoi ... H2, carburant de synthèse / Fisher-Tropsch inefficace ... toute conversion s'accompagne de pertes ... électrification car produire à coûts raisonnables de l'électricité bas carbone avec des panneaux photovoltaïques, éoliennes, hydroélec, nucléaire.
86 TW/s d'exergie touche la terre soit 4000 fois plus que les fossiles ... 1% des terres suffit au photovoltaïque alors que 1/3 nécessaire à l'agriculture ... entropie Nicholas Georgescu-Roegen, économiste, livre de 1971 appliquer le second principe de la thermodynamique à la matière comme on l'applique à l'énergie ... dissipation irréversible de la matière à prendre en compte : idée douteuse ... cycle biogéochimique ... Produire de l'entropie ne veut pas dire polluer comme JMJ l'affirme ... réduire rapidement les émissions de gaz à effet de serre mais désaccord : reforester une surface produit aussi de l'entropie comme la forêt amazonienne ... la terre est un système ouvert, thermalisation ... la pollution, conséquence d'activités humaines néfastes, même avec peu d'énergie ... Sortir du fatalisme thermodynamique ... l'avenir est incertain pas fataliste ... nous pouvons et DEVONS AGIR ... Comment on pense la transition ... réduire au maximum et le plus vite possible nos émissions de gaz à effet de serre ... discussion à avoir sur ce qui est souhaitable parmi les possibles ... Métabolisme économique ... Stuart Bartlett, LYFE, la thermodynamique de la vie[Astrobiologie #2] @ScienceEtonnante ... adaptations culturelles ... inventer une économie qui imite les écosystèmes naturels, on en est encore très loin ... sobriété, biomimétisme, recherche sur les énergies renouvelables, isolation thermique, photovoltaïque, systèmes d'incitation économique ... durable ...
Ndlr : valoriser cette vidéo et dénoncer une nouvelle fois les "erreurs" ou abus de JMJ ACT
L'imaginaire technosolutionniste : un pari hors sol.
...
limites planétaires, l'état des ressources, la justice sociale, pour développer ces innovations vite et en masse, on est face à une impasse.
- géoingénierie solaire - bactéries mangeuses de plastique en 2016 - robots pollinisateurs - capteurs de gaz à effet de serre - base sur mars - centrale solaire orbitale, électricité transférée via un faisceau de micro-ondes - méga-digues / montée des eaux
->
pas de vision globale - pas de pérennité - effet rebond - déni - inaction.
On a besoin de nouvelles technologies au service du vivant, économes en énergie et en ressources, maintenables = low tech
concept né dans les années 70 / l'économiste germano-britannique Ernst Friedrich Schumacher. Trois principes : - utilité - accessibilité - durabilité
Bonnus : coût modéré et économie circulaire.
Ex.:
- permaculture marine (cultiver du varech et des algues commestibles permet de séquestrer du co2.
- Cargos kites (à voile gonflable pour la marine marchande économise 30-50% de carburant
- Frigo d'hiver (garde-manger à l'extérieur économise jusqu'à 50% d'énergie)
- Peinture anti-chaleur : blanche, renvoie les rayons du soleil.
- Biocharbon : à partir de déchets agricoles, 2 fois moins cher que le bois ou le charbon par ex. en Afrique.
- Énergie houlomotrice : produire de l'énergie à partir des vagues et de la houle, premier brevet déposé en 1799.
7 709 Signatures
Adressée à
- Kylian Mbappé (capitaine de l'équipe de France de football)
- Philippe Diallo, président de la Fédération française de football (FFF)
- Aleksander Čeferin, président de l'Union des associations européennes de football (UEFA)
- Gianni Infantino, président de la Fédération internationale de football association (FIFA)
Lancée le 29 octobre 2024 par AFPS ASSOCIATION FRANCE PALESTINE SOLIDARITÉ
Refusons l’accueil en France de l’équipe nationale de foot d’un pays sur le banc des accusés de la Cour internationale de justice pour génocide. En attendant que la FIFA prenne ses responsabilités et exclut la Fédération israélienne de football, exigeons l’annulation du match France-Israël le 14 novembre au Stade de France.
...
Informations légales :
... a pour objectif d’observer, de répertorier et de faire connaître les symboles graphiques utilisés et détournés par l’extrême droite en France. En connaissant leur histoire, nous pouvons mieux comprendre les mécanismes sémiotiques de ces symboles et leur impact dans notre société.
Création de l’association en cours
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StreetPress a recensé plus de 320 sections locales ou groupuscules d'extrême droite extra-parlementaire actifs en France. Ils sont identitaires, royalistes, catholiques-intégristes, nationalistes-révolutionnaires ou confusionnistes, souvent violents et toujours radicaux. Nous avons enquêté sur eux.
Qui sont les FAF près de chez vous ?