Les indiscrets de Nils Wilcke
Nouvel épisode des “Indiscrets” de Nils Wilcke, une plongée dans les coulisses de la politique française telle qu’on la raconte peu, c’est-à-dire sans fards ni éléments de langage. Au sommaire :
C’est un scandale sur lequel les médias dominants ont posé un voile pudique. Et pourtant, lors de son voyage récent au Canada, les services de l’Élysée, c’est-à-dire d’Emmanuel Macron, sont allés au bout du logiciel liberticide qu’ils expérimentent depuis des années face aux médias qui leur résistent : intimidations, menaces, séquestration…
Comment ne pas trop s’aliéner François Bayrou dans ces temps qui tanguent ? Emmanuel Macron a trouvé la solution : un poste en or pour faire taire ses éventuelles critiques… Un poste en or directement relié à Emmanuel Macron lui-même, ce qui va faire du bien à l’ego souvent contrarié du faiseur de roi de 2017. Et pendant que certains macronistes surjouent leurs différences avec la droite dure qui est en pole position au gouvernement en ré-endossant le costume des “progressistes”, ça magouille toujours très fort entre leur camp et le Rassemblement national pour des postes à l’Assemblée. Nils Wilcke nous raconte les détails de ces marchandages qui jurent avec toutes les promesses au sujet du “front républicain”.
Tr.: ... Alexis Lévrier, historien des médias ... fusion de France Stratégie et du Haut COMMISSARIAT au plan ... Marc Fesneau, député MODEM ...
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Commandé à deux chercheuses en sociologie du laboratoire Sophiapol de l’Université de Nanterre, Saskia Cousin et Garance Bazin, ce rapport analyse la façon dont l’avion a envahi nos imaginaires de voyage.
Lire le rapport complet https://cdn.greenpeace.fr/site/uploads/2023/10/En-mode-avion-lemprise-de-la-publicite-et-des-influenceurs-sur-nos-imaginaires-du-voyage.pdf
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Alexis Chailloux, chargé de campagne voyage durable chez Greenpeace France
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Engager une action politique efficace pour réinventer les imaginaires du voyage et réduire les vols de loisirs
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Selon l’ADEME, l’aérien représente 41% de l’empreinte carbone du secteur touristique [2], et la diminution du trafic est le levier le plus efficace pour le décarboner dans les années à venir [3].
“La question du prix des billets d’avion est primordiale. Comment inciter la population française à adopter des modes de vie bas-carbone quand elle est matraquée de publicités l’incitant à prendre très régulièrement l’avion à des prix ultra concurrentiels ? Il est urgent que le gouvernement revoie sa copie, notamment en faisant en sorte que les billets de train soient enfin moins chers que ceux d’avion”, reprend Alexis Chailloux.
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Greenpeace demande ainsi au gouvernement français de mettre en place des mesures concrètes permettant de diminuer drastiquement le trafic aérien et de favoriser l’émergence de nouveaux imaginaires de voyage compatibles avec l’urgence climatique :
– Une «loi Evin climat» interdisant toute publicité et partenariat sponsorisé pour les activités les plus émettrices de gaz à effet de serre, notamment le transport aérien [4].
– La fin des avantages fiscaux dont bénéficie le secteur aérien [5] (exemption de taxe sur le kérosène et de TVA sur les billets d’avion internationaux…) et le report de ces ressources dans le ferroviaire.
– Un billet Interrail offert à tous les jeunes d’une tranche d’âge afin de démocratiser le voyage en train et d’encourager les échanges interculturels.
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Notes aux rédactions
[1] Le corpus est composé d’affichages publicitaires des principales compagnies aériennes (françaises et internationales) et d’aéroports français parus entre janvier 2020 et mai 2023, ainsi que des publications Instagram de 36 influenceurs et influenceuses voyage parmi les plus populaires sur Instagram (100 000 abonné·es en moyenne). Tous les comptes ont été anonymisés, excepté ceux montrés en exemple et pour lesquels Greenpeace a reçu l’accord des propriétaires.
[2] Bilan des émissions de gaz à effet de serre du secteur du tourisme, ADEME (2021).
[3] Transport aérien : 3 scénarios pour une transition écologique, ADEME (2022).
[4] Publicité : pour une loi Evin climat, Greenpeace France (2020).
[5] Rapport du Réseau Action Climat sur les aides injustes au secteur aérien.
Contact presse Eléonore Thélot | +33 (0) 7 72 50 56 36 | eleonore.thelot@greenpeace.org
Clés : #aviation #Aviation #Changement climatique #Changements climatiques #Dérèglement climatique #Emissions de gaz à effet de serre #Environnement #GES #Greenpeace #Transition énergétique #Transports
Un rapport européen de Greenpeace compare le prix des billets sur terre et dans le ciel dans vingt-sept pays du Vieux Continent.
Connu / TG le 22/07/23 à 08:41
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Partir sur la route des Grandes Alpes, c’est partir pour un voyage de 680 kilomètres, de Thonon-les-Bains, sur le lac Léman, jusqu’à Menton, au bord de la Méditerranée. Cet itinéraire mythique est imaginé à la fin du XIXème siècle par les militaires pour défendre la frontière italienne. Repris vers 1910 par le Touring Club de France, le tracé devient un itinéraire pour faire découvrir les Alpes aux premiers automobilistes.
Philippe Lemonnier est un écrivain-voyageur, il nous emmène à la découverte des endroits les plus intéressants de cette voie de légende. A commencer par les différents cols : le col des Aravis et ses alpages, le mythique col du Galibier et ses cyclistes ou encore le col de l’Izoard.
Juliette Bligny est une spécialiste des sites naturels classés. Elle part inspecter trois des paysages les plus magnifiques de Haute-Savoie : les Gorges du Pont du Diable, le Cirque du Fer à Cheval et l’incroyable désert de Platé. L’enjeu de ces visites : savoir comment protéger au mieux ces lieux tout en les rendant accessibles aux visiteurs.
La traversée des Alpes, c’est aussi la passion de pilotes, les héritiers des pionniers de l’aviation. Noël Genet est instructeur. Il guide un de ses élèves pour son premier atterrissage sur glacier. Ils survolent les cols enneigés au plus près des parois. Nous les retrouvons dans le massif du Dévoluy, sur les traces des pilotes du début du XXème siècle. En suivant les premières voies aériennes empruntées dès les années 1900, ils font revivre les altisurfaces de la région, des surfaces d’atterrissage aménagées en montagne sur des terrains naturels.
L’histoire du franchissement des Alpes est liée à sa géographie. Pour comprendre pourquoi les hommes ont privilégié tel ou tel passage à travers les âges, comment ils ont défendu ces voies de circulation, nous embarquons à bord d’un avion avec le géographe Christophe Gauchon pour le survol des deux plus importantes voies de passage de Savoie : la vallée de la Maurienne et de la Tarentaise.
Dans le Queyras, nous partons pour une randonnée transalpine : des cavaliers empruntent des chemins spectaculaires entre la France et l’Italie. Elsa Giraud est historienne, elle nous décrypte les influences artistiques et le quotidien des personnes qui empruntaient ces chemins. Nous traverserons Saint-Véran, un des villages les plus élevés d’Europe pour arriver jusqu’à Chianale en Italie.
Jean-Loup Fontana est conservateur du patrimoine. Avec lui nous traverserons les deux derniers départements de la route des Grandes Alpes : les Alpes-de-Haute-Provence et les Alpes Maritimes. Sur cette route, il nous révèlera quelques trésors comme les peintures murales de la chapelle de Roubion, ou encore la singulière redoute des trois communes, premier exemple de construction militaire en béton armé et enfin la splendide place baroque de Sospel.
réalisation : Mathilde Deschamps Lotthé
production : Eclectic Production avec la participation de France Télévisions
6 278 signatures
Destinataire(s) : John Mangelaars, PDG de Skyscanner
Stop au greenwashing de Skyscanner !
Campagne lancée par Guillaume J.
Un Paris-Nantes via Barcelone en avion est un trajet "éco-responsable". Vous trouvez cela absurde ? Nous aussi ! C'est pourtant ce que revendique Skyscanner sur son site internet. Calcul fait, c'est près de 355 kg de CO2 pour un aller simple, soit 394 fois plus d'impact carbone qu'un Paris-Nantes en train¹. Skyscanner jouit par ailleurs d'une audience de plus de 5 MILLIONS de visiteurs par mois², rien qu’en France. En pleine crise climatique, il est URGENT de faire interdire cette pratique, généralisée sur l’ensemble du site !
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calculer l'impact carbone
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pratique qui désinforme, induit en erreur et trompe des millions de Français chaque mois, dans l’objectif de vendre par ailleurs ces services extrêmement polluants.
Rappelons que le tourisme représente 11% des émissions de gaz à effet de serre de la France d’après l’ADEME⁴, dont 41% sont directement issues du transport aérien⁴. Des émissions qui ont été multipliées par 2.2 en 30 ans⁵ et que Skyscanner contribue à faire croître.
⛔ Interdisons cet affichage⛔
Nous citoyens, soucieux des enjeux climatiques et de notre avenir, demandons à Skyscanner de cesser son affichage qualifiant les vols d’“éco-responsables” émettant du “CO2 en moins”. Avec effet immédiat, pour TOUS les vols.
✒️ Auteur de la pétition ✒️
Guillaume Jouffre - Ingénieur, co-fondateur de GreenGo
✍️ Premiers signataires ✍️
Alexis Chailloux - Responsable engagement citoyen de GreenPeace
Charlène Fleury - Coordinatrice du réseau Rester sur terre / Stay Grounded
Guillaume Cromer - Président des Acteurs du Tourisme Durable (ATD)
Lou Welgryn - Co-présidente de Data for Good
Camille Chaudron - Conférencière, médiactiviste et influenceuse @girl_go_green
Benjamin de Molliens - Conférencier, environnementaliste et influenceur @ben_expedition_zero
Benjamin Martinie - Réalisateur/YouTubeur spécialisé dans le voyage bas carbone @globetolter
[SOURCES]
¹ ADEME - Datagir - Mon Impact Transport
² SimilarWeb pour Skyscanner.fr, en août 2022
³ Constaté sur de nombreux vols au départ de Paris, non exhaustivement : Paris-Marseille, Paris-Londres, Paris-Budapest, Paris-Berlin, Paris-Doha, Paris-Buenos Aires...
⁴ ADEME : "Bilan des émissions de gaz à effet de serre du secteur du tourisme en France", 2021
⁵ ADEME : "Transport aérien : 3 scénarios pour une transition écologique"
Catégories Climat ; Transports & Urbanisme
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Jean-Luc Mélenchon revient pour une 153e Revue de la semaine un peu spéciale puisqu’elle est tournée en Colombie lors de son déplacement en Amérique Latine.
Il aborde tout d'abord rapidement les différentes batailles à l’Assemblée nationale et le travail des députés du groupe LFI-NUPES. Il souligne notamment l’arrogance de classe des macronistes, qui ont cherché à critiquer les députés insoumis sur leurs apparences.
Il explique ensuite en quoi les députés du Rassemblement national sont une d’appoint pour les députés macronistes, ce qui leur permet de faire passer ce qu’ils veulent : par exemple refuser la taxe sur les superprofits proposée par la NUPES ou encore le SMIC à 1 500€.
Jean-Luc Mélenchon revient ensuite sur son déplacement en Amérique Latine. Il raconte sa rencontre avec le Président mexicain, Andrés Manuel López Obrador (AMLO), et revient sur la situation politique de ce pays. Il explique comment le Président a remporté le référendum révocatoire du 10 avril 2022 grâce à sa popularité et ses réformes (augmentation du salaire minimum, interdiction des OGM et plan contre l’utilisation des pesticides).
Il détaille ensuite son passage au Honduras où il a pu rencontrer la Présidente actuelle : Xiomara Castro ainsi que l’ancien président Manuel Zelaya, victime d’un coup d'État en 2009 à cause de sa politique sociale en faveur des plus pauvres et de sa volonté de faire une constituante. Il explique comment la victoire de la gauche au Honduras s’est construite sur la création d'assemblées citoyennes et sur la lutte contre les saccages du néolibéralisme.
Il revient enfin sur son déplacement en Colombie, qui vient d’élire un président de gauche : Gustavo Petro. Dans le pays, la structure de base de la résistance populaire s'opère de manière institutionnelle grâce à des comités de quartiers. Jean-Luc Mélenchon explique qu’en France également, les insoumis feront en sorte que les comités de quartier soient mis en place, comme la loi le prévoit, pour s’organiser face aux saccages du néolibéralisme. Il a souligné l’importance de la coopération et dés échanges économiques et culturels dans les Caraïbes entre la Martinique, la Guadeloupe et les autres îles françaises avec les pays voisins.
Enfin, Jean-Luc Mélenchon conclut cette Revue de la semaine en évoquant deux moments culturels de son déplacement : la visite de la maison natale de Gabriel García Márquez et l’hommage rendu à Simon Bolivar.
LES LIENS
La réponse du député insoumis Louis Boyard à Éric Ciotti : https://www.bfmtv.com/politique/interdire-les-costumes-aux-prix-exorbitants-la-reponse-de-louis-boyard-a-eric-ciotti_AN-202207220306.html&v=L-K3f9phz_0
« Vivre pour la raconter » : lire la note de blog de Jean-Luc Mélenchon sur Garcia Marquez et Bolivar : https://melenchon.fr/2022/07/27/vivre-pour-la-raconter/
S’inscrire aux AMFIS 2022 : https://amfis2022.fr/
Gouvernement Enquête
Le chef du gouvernement, qui ne manque jamais une occasion de vanter les mérites des voyages en train, effectue en réalité ses propres déplacements à bord de Falcon, aux frais du contribuable. Même pour les trajets les plus courts, comme le révèle une enquête de Mediapart sur un an de visites ministérielles. Une aberration écologique et économique, contraire à une circulaire signée par le premier ministre lui-même.
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Basées sur une analyse de ses trajets entre février 2021 et février 2022 (lire notre Boîte noire), nos recherches montrent que Jean Castex a préféré utiliser des avions privés pour se déplacer, depuis Paris, dans des villes comme Nantes (Loire-Atlantique), Bordeaux (Gironde), Lyon (Rhône), Angoulême (Charente) ou encore Caen (Calvados).
© Photo illustration Sébastien Calvet / Mediapart avec AFP
Cette utilisation est non seulement contraire aux usages préconisés, puisqu’une circulaire signée par Jean Castex en personne restreint l’utilisation de la flotte gouvernementale, mais aussi aux antipodes du discours de l’exécutif sur la nécessité d’adapter les comportements individuels aux enjeux climatiques.
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Pour un aller-retour à Nantes, le bilan carbone du jet mobilisé par le premier ministre est de 2 300 kg de CO2. S’il avait pris le TGV, ce bilan aurait été de 1,336 kg de CO2 par personne.
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Sur un an, Mediapart a ainsi recensé pas moins de 16 allers-retours particulièrement étonnants.
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Connu / tg 9/2/22 à 14:19
55 minutes #ledebatdemidi
Bien sûr, l'oreiller est trop mou, le lit trop étroit... Mais qui n'a jamais été bercé par le roulis du wagon ? Alors qu'il n'y a plus que deux lignes en France, les usagers le réclament : le train de nuit doit-il revenir dans les gares ?
Nos invités :
- Baptiste Roux, professeur de lettres en classe préparatoire à Meaux, auteur du livre La Poésie du rail, Petite apologie du voyage en train (Editions Transboréal)
- Stéphane Coppey, secrétaire de l'association Objectif train de nuit
- Georges Ribeill, historien spécialiste des chemins de fer et fondateur de l'association Rails et histoire
- Philippe Duron, ancien député, président du Conseil d’orientation des infrastructures, sous la tutelle du secrétariat d’Etat aux transports
- Anne-Marie Ghémard, présidente de la Fédération nationale des associations d'usagers des transports (FNAUT) Auvergne –Rhône-Alpes, vice présidente du bureau national.
Connu / https://twitter.com/ValentinDesf/status/1271376236896550914
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ValentinDesfontaines @ValentinDesf
Bonjour @Gemenne, le TdN a un potentiel kilométrique bcp plus important que le TGV. Plus de 1000/1500km contre 250/750km pour le TGV.
Il est donc d'autant plus pertinent lorsque l'on parle de liaisons transeuropéennes
François Gemenne @Gemenne · 17h
J'avoue que je ne comprends pas bien cette fixation sur les trains de nuit : si on veut supprimer les vols de courte distance, ce qui est absolument nécessaire, mieux vaut les remplacer par des trains à grande vitesse, non ? A quand un vrai réseau TGV européen ? twitter.com/MdM_LeSoir/sta…
11:38 AM · 12 juin 2020·Twitter Web App 1 Retweet 6 J'aime
ValentinDesfontaines @ValentinDesf · 17h
En réponse à @ValentinDesf
2ème argument non négligeable pour le TdN : il est beaucoup moins coûteux en infrastructures puisqu'il utilise le réseau ferroviaire déjà existant. Avec l'avantage d'une mise en service plus rapide car pas des grands travaux nécessaire et donc moins artificialisation des sols
Visage légèrement souriant
ValentinDesfontaines @ValentinDesf · 17h
Et côté réseau ferroviaire déjà existant nous sommes plutôt bien fournis avec par exemple plus de 40 000km en Allemagne ou encore 30 000km en France
Wagon
Drapeau de l'Union européenne
ValentinDesfontaines @ValentinDesf · 17h
Le collectif @ouiautraindnuit développe très bien tous ces arguments dans son excellent dossier d'investigation sur le TdN
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Pour un Iranien, un Chinois ou un Saoudien, voyager en Occident peut être un véritable casse-tête. Dans son 50e numéro, la revue « XXI » dévoile comment les plus riches s’offrent un monde sans frontières : ils s’achètent une autre citoyenneté, vendue comme un produit de luxe par des États des Caraïbes et même de l’Union européenne. Un marché en pleine expansion, légal, transparent… enfin presque.
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Revue XXI, no 50, Printemps 2020, 16 euros. Envois possibles à la fin de la période de confinement, parution en librairie le 29 mai.
Voyager autrement :
- OsmAnd.net : alternative à googlemaps et citymapper (application androïd ou ios, de navigation à pied, vélo, voiture, etc. Sur la base de cartes provenant de OpenStreetMap.
- MagicEarth.com idem plus limitée mais avec une meilleure ergonomie
- transportr.app évaluer l'itinéraire optimal en transports en commun
- mobicoop.fr alternative covoiturage à blablacar
- fairbooking.com réservation d'hôtel, chambres d'hôtes, gîtes, lieux insolites, en direct, alternative à booking
- wikivoyage.org : le wikipédia du tourisme
- accueil-paysan;com alternative à airbnb pour les voyages nature
POUR ALLER PLUS LOIN
Déclic, de Maxime Guedj et Anne-Sophie Jacques - Les arènes 19 € http://www.arenes.fr/livre/declic/
30 070 vues - 3 k - 60
Premier vlog d'une série de quatre sur le déplacement de Jean-Luc Mélenchon au Mexique. Abonnez-vous pour ne pas manquer les suivants !
Dans cette première partie, tournée dans la ville de Mexico, Jean-Luc Mélenchon explique les raisons qui ont motivé ce déplacement au Mexique. Il dit notamment pourquoi l'élection d'Andrés Manuel López Obrador (AMLO) est un évènement qui marque l'aboutissement d'une phase dégagiste et la victoire d'une révolution citoyenne passant par les urnes.
Jean-Luc Mélenchon revient également ici sur plusieurs conférences qu'il a réalisées dans la ville de Mexico et notamment celle sur l'exposé de la théorie de «L'Ère du peuple» à l'Institut de Formation Politique de Morena, mais aussi sur celle réalisée avec l'écrivain Paco Igniacio Taibo II.
Jean-Luc Mélenchon évoque aussi la question, majeure au Mexique, de la lutte contre le narcotrafic après l'arrestation d'El Chapo et son jugement aux États-Unis. Il parle aussi du débat «parti ou mouvement ?» qui a en ce moment lieu chez Morena et que les insoumis ont pour leur part tranché avec le choix du mouvement.
Bon visionnage !
Catégorie Actualités et politique 447 commentaires
Le mouvement « Oui au train de nuit » prend de l’ampleur. Une pétition de 100 000 signataires réclame un réseau plus ambitieux d’Intercités de nuit. Il s’agit de promouvoir le désenclavement des territoires ruraux et des villes moyennes qui ont peu accès à la Grande Vitesse.
...
se révèle aussi un outil efficace pour réduire l’impact climatique des déplacements longue distance de 800 km à plus de 1200 km, aujourd’hui trop souvent effectués en avion. Cette solution émergente se développe déjà dans plusieurs pays d’Europe, comme la Suède, la Finlande ou l’Autriche.
Le Sénat s’est lui-même mobilisé avec plusieurs amendements proposés lors du vote de la future Loi d’Orientation des Mobilités (LOM). Un amendement adopté engage l’État à étudier comment « développer l’offre des trains de nuit au regard de leur intérêt pour la réponse aux besoins et leur faible empreinte écologique. »
Mme la Ministre des Transports Élisabeth Borne a exprimé lors des débats qu’elle « partage totalement la conviction que le train de nuit est une bonne réponse » pour certains territoires, tout en précisant qu’elle s’est « rendue en train de nuit au congrès des maires ruraux ».
Le financement reste actuellement toutefois trop limité : le gouvernement prévoit le remplacement de rames neuves pour un montant de 3,7 milliards d’euros pour tous les Intercités, mais uniquement ceux de jour. Pour les Intercités de nuit, il faudra se contenter de 30 millions d’euros pour prolonger la durée de vie d’une petite partie du parc existant. Pourtant celui-ci est déjà âgé de près de 40 ans. L’État n’a donc toujours pas réussi à sortir de la logique de sous-investissement qui grève le fonctionnement des trains de nuit depuis des années.
Une stratégie ambitieuse en faveur des mobilités compatibles avec le climat est pourtant indispensable au 21ème siècle. Des Sénateurs ont donc proposé 1,5 milliard d’euros d’investissement pour lancer 15 lignes nationales et 15 lignes internationales d’ici 2030 – pour l’instant sans succès. Dans les prochains mois, la Loi LOM – censée orienter les Mobilités pour les prochaines décennies – continuera à être débattue. Alors les parlementaires donneront-ils aux trains de nuit les conditions favorables dont ils ont besoin pour leur renaissance ?
110 556 ont signé
De nombreux trains de nuit ont été démantelés ces dernières années. L'activité demanderait au contraire à être relancée. Le train de nuit est un service efficace et pertinent pour l'avenir :
Il permet de relier les territoires périphériques et les régions éloignées les unes des autres.
Voyager pendant notre sommeil, permet d'arriver tôt le matin, sans (demi-)journée perdue dans les transports.
Le train de nuit est une alternative moins énergivore aux transports aériens et routiers. Il est compatible avec la Transition Écologique.
Les trains de nuit ont une forte capacité (jusqu'à 800 places), et ils affichent de bons taux de remplissage. La "baisse de fréquentation" qui sert de prétexte au démantèlement provient d'abord d'une diminution du nombre de trains.
L'Autriche relance les trains de nuit en Europe centrale et elle a montré qu'ils peuvent s'autofinancer. Le "déficit supposé" des trains de nuit en France provient en premier lieu des nombreux dysfonctionnements (absence de promotion commerciale, trains invisibles à la vente, fréquentes annulations, etc).
Nous souhaitons donc dès aujourd'hui :
- qu'un bilan moins caricatural des trains de nuit soit publié.
- que le service public des trains de nuit soit relancé pour qu'il reprenne sa place dans l'offre de mobilités.
Le tramway avait lui-aussi disparu au 20ème siècle, et désormais de nombreuses villes en rêvent. Le vélo n'était plus utilisé comme moyen de déplacement dans les années 1990, il est également de retour. Les trains de nuit ont besoin de vous pour revenir eux-aussi !
Infos, idée d'actions et investigations sur le potentiel des trains de nuit / https://ouiautraindenuit.wordpress.com
groupe international dont l'objectif est de réduire ou même d'éliminer l'utilisation de l'avion. Ce concept novateur lancé par un scientifique de Los Angeles vise à diminuer l'empreinte carbone des universitaires du monde entier.
CF POUR PLUS DE DÉTAILS https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?Z5u1Fw
915 soutiens
vernon audrey a lancé cette pétition adressée à Tout le monde.
Le changement climatique nous menace tous. Les avions en sont un des symboles. Nous trouvons normal de trouver des billets d'avions à 10 euros.
Anne Hidalgo veut interdire les diesels à Paris mais les avions déversent du Kerosène non taxé et personne ne trouve criminel de prendre l'avion.
Les pauvres ne volent pas ils sont donc implicitement avec nous.
Nous devons prendre une décision radicale et promettre de ne plus prendre l'avion par plaisir ou par devoir jusqu'à ce que le réchauffement climatique soit derrière nous.
C'est un acte simple. Promettre de ne plus voler, s'opposer aux entreprises qui imposent l'avion à leurs employés, faisons de ce moyen de transport un écocide.
Il ne s'agit pas de condamner un moyen de transport mais de l'utiliser comme un levier afin de montrer aux entreprises et aux dirigeants que la chose la plus importante pour nous est que la destruction s'arrête maintenant, nous devons commencer quelque part, poser un geste et décider de le tenir tous ensemble.
Moi je promets. Promettez aussi. Et faisons de l'avion le symbole de notre résistance.
Montrons aux peuples qui sont victimes du capitalisme meurtrier que nous sommes solidaires par ce geste simple, facile, non violent, ne plus voler pour rien, pour notre plaisir, notre confort ou soi disant pour notre travail. Rien ne justifie de participer encore à ce système qui met en péril la vie sur terre.
Ce n'est pas un geste compliqué, ce n'est pas dangereux, ce n'est pas faire sauter des trains, c'est juste montrer que nous n'acceptons plus.
Si nous ne faisons rien, si nous ne commençons pas quelque part il ne se passera rien, plus jamais rien.
Gandhi a demandé aux africains du sud de commencer par coudre leurs propres vêtements. La résistance est une question d'organisation et de décision inflexible.
Il va nous falloir tenir cette décision simple suffisamment longtemps pour que les gouvernements décident que le réchauffement est prioritaire sur le profit et l'économie.
Plus d'avion tant que le réchauffement climatique n'est pas derrière nous.
That's all.