142 k abonnés - 15k+ - 151 042 vues - 1 328 commentaires #France #Macron #Retraites
Le coup de force institutionnel d’Emmanuel Macron et d’Élisabeth Borne. C’est le sommaire de ce numéro 33 du Bourbon de Serge.
Journaliste : Serge Faubert
Images : Laëtitia Lallement
00:00 Intro et générique
00:47 Macron, 49-3 : le coup d'État permanent
11:47 Conclusion
Connu / TG le 19/03/23 à 12:10
Connue / https://framapiaf.org/@plonivel/108528922292030442
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kerlegars 🔻✌️ 🧹 @plonivel@framapiaf.org
Le problème, c’est qu’Emmanuel Mα¢яσи n’est plus le maître du jeu.
Depuis dimanche 20 heures, le cœur du pouvoir s’est déplacé de l’Élysée à l’Assemblée nationale.
#politique #SergeFaubert
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#Abad #Gouvernement #France - 39 419 vues - 3,6 k - 518 k abonnés - 486 commentaires
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"Qui peut imaginer un seul instant que le président de la République, monsieur Macron, que la Première ministre, madame Borne, ne savaient pas ?"
Le nouveau gouvernement plombé par l’affaire Damien Abad, les véritables raisons de la nomination de Pap Ndiaye à la tête de l’Éducation nationale et les accrocs entre le PS et la Nupes dans la 15e circonscription de Paris. C’est le sommaire du numéro 37 d’un Bourbon Sinon Rien.
Journaliste : Serge Faubert
Reportage : Antoine Etcheto, Laetitia Lallement et Emma Barrier
Montage : Lucie Dulois Images : Arthur Frainet Son : Baptiste Veilhan
Graphisme : Adrien Colrat Diffusion : Maxime Hector Production : Thomas Bornot
Direction des programmes : Mathias Enthoven Rédaction en chef : Soumaya Benaissa
Ndlr : la sortante refuse la décision de la NUPES, le PS la soutient :-(
#Législatives #NUPES #BSR - 51 825 vues - 4,5 k - 512 k abonnés - 405 commentaires
"Pour l’heure, les candidatures dissidentes restent en nombre limité. Elles ne menacent qu’à la marge le résultat des candidats de la Nupes. Mais elles accaparent l’attention et, ce faisant, rendent service aux candidats de la majorité présidentielle et de la droite."
La délicate mise en place des candidatures communes de la Nupes, les macronistes qui s’allient à François Bayrou et Edouard Philippe et les débauchages chez les Républicains. C’est le sommaire du numéro 35 d’un Bourbon Sinon Rien.
Journaliste : Serge Faubert
Montage : Delfina de Oliveira Cézar Images : Arthur Frainet, Laetitia Lallement, Emma Barrier Son : Baptiste Veilhan Graphisme : Adrien Colrat Diffusion : Maxime Hector Production : Thomas Bornot Direction des programmes : Mathias Enthoven
Rédaction en chef : Soumaya Benaissa
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"Cet accord marque un tournant, qu’il débouche ou non sur une victoire électorale. Car la Nouvelle Union Populaire Écologique et Sociale renoue avec les grandes heures de la gauche. Du Front populaire en 1936 à la gauche plurielle de 1997, en passant par le programme commun de 1972. C’est le retour à un périmètre commun."
Le récit des négociations qui ont conduit à la conclusion d’un accord électoral entre le PS, le PC, Europe Écologie Les Verts et La France insoumise. C’est le sommaire du numéro 34 d’Un Bourbon Sinon Rien.
Journalistes : Serge Faubert
Montage : Quentin Bonnet Images : Arthur Frainet, Laetitia Lallement, Antoine Etcheto Son : Baptiste Veilhan Graphisme : Adrien Colrat Diffusion : Maxime Hector
Production : Thomas Bornot Direction des programmes : Mathias Enthoven Rédaction en chef : Soumaya Benaissa
Visibilité Publique Publié originellement 05 mai 2022
Catégorie Actualité & Politique
LicenceInconnu LangueInconnu
Étiquettes blast ; gauche ; législatives ; NUPES ; union populaire
Durée 12min 44sec
Commentaires désactivés
#Mélenchon #Gauche #Présidentielle2022 - 235 784 vues - 14 k - 403 k abonnés - 1 876 commentaires
"Qui a dit que la politique sentait mauvais ? À Nantes, Jean-Luc Mélenchon a fait la démonstration inverse en organisant le premier meeting olfactif et immersif. Vidéos à 360 degrés sur les murs et effluves dans la salle qui accueillait les 3 000 spectateurs. 1 500 suivaient la retransmission à l’extérieur. Une incontestable réussite technique sur laquelle le candidat de l’Union populaire a surfé pour développer sa vision de l’humanité."
Le meeting immersif de Jean-Luc Mélenchon à Nantes et la communication habile de Marine Le Pen. C’est le sommaire du numéro 11 de la Guerre du trône.
Journaliste : Serge Faubert
Montage : Arthur Frainet
Images : Arthur Frainet, Antoine Etcheto
Son : Baptiste Veilhan
Graphisme : Adrien Colrat
Diffusion : Maxime Hector
Production : Thomas Bornot
Direction des programmes : Mathias Enthoven
#Mélenchon #Jadot #Présidentielle2022 - 71 148 vues - 5,7 k - 94 - 328 k abonnés - 659 commentaires
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"De Mélenchon ou Jadot, lequel séduira en premier les électeurs des autres candidats de gauche ? C’est tout l’enjeu de la séquence. Si Jadot parvient à entraîner les socialistes derrière lui, il crée une dynamique qui fragilise Mélenchon. À l’inverse, si Jean-Luc Mélenchon attire à lui l’électorat vert, la candidature Jadot n’a plus de sens. Quant à Arnaud Montebourg et Fabien Roussel, ils n’auront d’autre choix que de s’effacer. Bref, la gauche vient d’inventer la primaire sauvage."
Journaliste : Serge Faubert
Montage : Arthur Frainet Images : Arthur Frainet, Antoine Etcheto, Emma Barrier
Son : Baptiste Veilhan Graphisme : Adrien Colrat
Diffusion : Maxime Hector Production : Thomas Bornot
Direction des programmes : Mathias Enthoven
#Présidentielle2022 #Fauves #BSR - 21 567 vues - 3 k - 32 - 181 k abonnés - 456 commentaires
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"Alors que l’on pensait la présidentielle définitivement confisquée par le duo Le Pen - Macron, voilà que le champ des possibles s’élargit. C’est une bonne nouvelle. Pour autant, la verticalité du pouvoir demeure. Les Français n’aspirent pas seulement à changer de monarque. Ils réclament des institutions qui leur redonnent du pouvoir entre deux élections. Ils l’ont dit en s’abstenant massivement. Doivent-ils crier plus fort pour se faire entendre ?"
La fièvre présidentielle qui gagne les états-majors des partis au lendemain des régionales, on en parle tout de suite dans le numéro 12 d’un Bourbon Sinon Rien.
Journaliste : Serge Faubert
Montage : Arthur Frainet Réalisation : Antoine Etcheto, Arthur Frainet
Son : Baptiste Veilhan Graphisme : Adrien Colrat
Réseaux Sociaux : Maxime Hector Production : Thomas Bornot
Direction des programmes : Mathias Enthoven
#Régionales #Démocratie #Abstention - 53 749 vues - 6,2 k - 72 - 179 k abonnés - 913 commentaires
"L’Élysée a fait savoir qu’aucun remaniement du gouvernement n’était envisagé malgré la disparition tragique du parti présidentiel. Au fond, Emmanuel Macron ne compte que sur lui-même pour être reconduit à l’Élysée. L’abîme qui s’est ouvert entre le pays réel et ses représentants appelle pourtant une refonte profonde des institutions.
Hormis la France insoumise à qui il faut rendre cette justice, aucune force politique n’envisage un début de réforme. Comme si le système, tant de fois rafistolé, pouvait faire un ultime tour de piste. C’est ce déni collectif qui reste le plus effrayant dans le scrutin d’hier. La politique de l’autruche ne conduit qu’au désastre."
Journaliste : Serge Faubert
Montage : Antoine Etcheto - Son : Baptiste Veilhan
Graphisme : Adrien Colrat - Réseaux Sociaux : Maxime Hector
Production : Thomas Bornot - Direction des programmes : Mathias Enthoven
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"Le début de la campagne de vaccination contre la Covid a été désastreux pour l'image de notre pays. Nous apprenons que votre organisation logistique risquait de gâcher jusqu’à 30% des doses réceptionnées et que de nombreux hôpitaux manquaient déjà de seringues pour la vaccination. Les chiffres sont cruels. Même pas 10% des vaccins disponibles sont injectés."
Les ratés de la campagne de vaccination et les grandes manœuvres à gauche pour lancer la candidature d’Anne Hidalgo à la présidentielle. C’est le sommaire du numéro 100 du Pt’it coup de Bourbon.
Police, laïcité : Macron, ce pompier pyromane
C’est le projet de loi qui doit éradiquer l’islamisme. Annoncé le 18 février par le président Macron à Mulhouse, maintes fois remanié dans sa forme et son titre, il s’appelle désormais projet de loi “confortant le respect des principes républicains”, ce texte comporte une cinquantaine d’articles.
Pêle-mêle, on y trouve l’instauration de deux nouveaux délits, la pression séparatiste et l’incitation à la haine en ligne, une charte, encore, qui sera imposée aux associations si elles veulent bénéficier de subventions, l’obligation pour les agents des transports ou de la Sécurité sociale de se soumettre au principe de neutralité des fonctionnaires, l’interdiction des certificats de virginité sans oublier la lutte contre les mariages forcés.
La loi qui prétend conforter les principes républicains, le Beauvau de la police et le démantèlement d’EDF, on en parle tout de suite dans le numéro 98 du P’tit coup de bourbon.
La semaine qui vient de s’écouler restera comme une des plus folles de la vie parlementaire. Jamais dans l’histoire agitée de la Ve République, un président et son Premier ministre n’avaient autant brutalisé les institutions. Surpris par la mobilisation inattendue contre l’article 24 de la loi de sécurité globale, mobilisation qu’est venu renforcer le télescopage des images du tabassage de journalistes et du producteur Michel Zecler, l’Élysée et Matignon cherchent une sortie.
C’est Emmanuel Macron lui-même qui a promis aux syndicats policiers que l’on ne pourrait plus diffuser l’image des forces de l’ordre en action. Prisonnier de cet engagement, le pouvoir ne veut pas retirer le texte. Alors il s’invente des solutions. Des solutions qui remettent de l’huile sur le feu plutôt que de l’éteindre. Voilà que l’article 24 pourrait migrer vers un autre texte législatif. En l’occurrence le projet de loi “confortant les principes républicains” que doit examiner le Conseil des ministres le 9 décembre.
L’exécutif qui piétine allègrement l’Assemblée et le Sénat pour sauver l’article 24, on en parle tout de suite dans le numéro 97 du P’tit coup de Bourbon.
L’explosion de la République en marche, les nouvelles menaces sur la liberté de la presse et les tenues républicaines à l’école, c’est le sommaire du n° 88 du P’tit coup de Bourbon.
Des crises à répétition. Des départs en nombre. Des guerres de clans. Trois ans ont suffi pour que l’entreprise disruptive des débuts s’abîme dans des haines recuites. Vous l’aurez compris, je fais référence au séisme qui a secoué cette semaine la République en marche.
Une crise provoquée par le résultat, ce dimanche, des cinq élections législatives partielles où La République en marche présentait un candidat. Un vrai Trafalgar : les macronistes ont tous été éliminés au premier tour. Avec des scores ridicules.
Fort logiquement, lundi soir, le bureau exécutif du mouvement a tourné à la foire d’empoigne. Le numéro deux du parti, Pierre Person a démissionné de ses responsabilités après une interview fracassante dans Le Monde. Le député de Paris estime que La République en marche n’est pas “en mesure d’affronter la nouvelle étape du quinquennat”.
Dans la foulée, Aurore Bergé, députée des Yvelines, et Sacha Houlié, député de la Vienne, ont également démissionné des instances du parti. Aurore Bergé s’était portée candidate à la présidence du groupe parlementaire, voici deux semaines.
17 septembre 2020 - 20H30 / Par Serge Faubert
5G, vaccins : faut-il avoir peur ?
Connaissez-vous les Amish, cette communauté chrétienne fondée à la fin du XVIIe siècle ? Depuis deux jours, grâce à Emmanuel Macron, ces fidèles qui ont choisi de vivre retirés à la campagne sans électricité, automobile ou téléphone connaissent un regain de notoriété.
Lundi, devant un parterre d’entrepreneurs du numérique, le président de la République a lancé cette pique : « J’entends beaucoup de voix qui s’élèvent pour nous expliquer qu’il faudrait relever la complexité des problèmes contemporains en revenant à la lampe à huile, je ne crois pas au modèle amish. »
Lors de la séance des questions au gouvernement, Clémentine Autain lui a répondu : « La 5G pose des questions sérieuses et nombreuses. Environnementales d’abord puisque cette nouvelle technologie est énergivore. Toute nouvelle voie crée de nouveaux flux et toute nouvelle offre crée de nouveaux besoins. Si on prend au sérieux la crise climatique, on ne balaie pas d’un revers de la main cet argument. Les questions sont aussi géostratégiques puisque face à l’impossibilité de se doter d’un réseau autonome français ou européen, le choix demeure seulement entre une offre états-unienne ou chinoise. C’est enfin un choix d’opportunité alors que tant de Français n’ont accès ni à la fibre ni à la 4G ni même à la 3G, l’effort doit-il se porter sur l’accès à un nouveau réseau ? ».
La 5G, ce n’est pas la 4G améliorée. C’est un basculement dans un autre modèle de production et donc de société. Avec des conséquences sur la santé, l’environnement, l’économie, l’emploi. À tout le moins, on peut prendre le temps d’en parler. Les députés de tout bord réclament donc un débat dans l’hémicycle sur le sujet.
.@LeMediaTV
"Les réticences d’une partie de l’opinion sont légitimes. La #5G, ce n’est pas la 4G améliorée. C’est un basculement dans un autre modèle de production et donc de société. Avec des conséquences sur la #santé, l’environnement et l'économie."
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Le vaccin contre le Covid, la 5G et le rassemblement à gauche, bref, que des trucs qui n’existent pas, c’est le sommaire de ce numéro de rentrée.
8:30 PM · 17 sept. 2020·Twitter Media Studio - 76 Retweets 2 Tweets cités 89 J'aime - 76 - 2 - 89
Un p'tit coup de bourbon
Chaque semaine, Serge Faubert raconte l’actualité française à travers le prisme des délibérations au Sénat et à l’Assemblée nationale. Ce qui perce de l’esprit des lois et de l’équilibre des forces politiques, au-delà du jeu des petites phrases.
Jean-Michel Clément est le premier député à avoir quitté le groupe parlementaire de la République en marche. Cet élu de la 3 e circonscription de la Vienne, avait auparavant siégé par deux fois à l’Assemblée nationale sous l’étiquette socialiste. Dans cet entretien, il revient sur ses désillusions à l’égard des marcheurs et raconte de l’intérieur le fonctionnement du groupe parlementaire. Il revient sur les conditions de son éviction.
Avocat, Jean-Michel Clément pointe les dérives en matière de libertés publiques et de justice. En particulier, le basculement des législations d’exception dans le droit commun au nom de la sécurité. Il estime également que le nouveau Garde des Sceaux, Éric Dupond-Moretti ne pourra pas rester plus de six mois à son poste tant les résistances de la magistrature sont fortes.
Le député de la Vienne – qui siège aujourd’hui au sein du groupe Libertés et territoires – se revendique toujours de la gauche. C’est ainsi qu’il dénonce la politique économique et sociale conduite depuis trois ans qui "facilite l’enrichissement de ceux qui possèdent déjà". Proche du PS – il est membre de Place publique, le mouvement de Raphaël Glucksmann – il prône le rassemblement de toute la gauche sur le modèle du Printemps marseillais pour proposer une alternance en 2022.
Clés : Justice ; Politique
Macron / Kohler : la justice aux ordres du pouvoir
Une fois encore, nos confrères de Médiapart ont fait mouche. Mardi, le site d’investigation a révélé qu’Emmanuel Macron était intervenu, en juillet 2019, pour faire cesser l’enquête que menait le Parquet national financier sur un de ses collaborateurs.
Ce collaborateur, c’est Alexis Kohler, le secrétaire général de l'Élysée. Un des quatre hommes qui dirige le pays. Les trois autres étant le Président, le Premier ministre et le directeur de cabinet de ce dernier.
Alexis Kohler est soupçonné de conflits d'intérêts en raison de ses liens avec l'armateur italo-suisse MSC. Ce groupe est en effet dirigé par des cousins de sa mère.
En 2010 et 2011, alors qu’il siégeait en tant que représentant de l’État au Conseil de surveillance du Grand port maritime du Havre, Alexis Kohler a approuvé des contrats avec MSC.
En juin 2018, le Parquet national financier a ouvert une enquête préliminaire pour conflit d’intérêts et prise illégale d’intérêts.
La suite, c’est Ugo Bernalicis qui la raconte. Le député de la France insoumise interpelle la Garde des sceaux lors des questions au gouvernement. Et rappelle la chronologie ahurissante de l’année 2019 :
« Le 30 juin dernier, Éliane Houlette, procureure nationale financière, part à la retraite. Le 1er juillet, Muriel Fusina est désignée par la procureure générale, madame Champrenault, contre l’avis de madame Houlette pour faire son intérim. Contre l’avis de madame Houlette. C’est la même madame Champrenot qui est mise en cause dans le cadre de l’affaire Fillon pour les pressions hiérarchiques qu’elle a fait subir à Eliane Houlette.Le même 1er juillet, Emmanuel Macron joint au dossier Alexis Kohler une lettre manuscrite de sa part visant à absoudre monsieur Kohler des chefs d’inculpation dont il faisait l’objet dans le dossier MSC. Le 18 juillet, le procès verbal des policiers, le PV de synthèse est modifié en conséquence, et le 21 août alors que nous sommes toujours dans la période d’intérim du Parquet national financier, il y a un classement sans suite alors qu’il n’y a pas d’urgence dans cette affaire et que le nouveau procureur n’est pas nommé.Madame la garde des Sceaux, madame la ministre, du fait des remontées d’informations dans les affaires sensibles,étiez-vous au courant de cela ? Etiez-vous au courant que le président de la République, censé être garant del’indépendance de l’autorité judiciaire au titre de l’article 64 de la Constitution, était intervenu directement dans un dossier individuel. Etes-vous prête à ouvrir une enquête de l’inspection générale de la justice ? »
"Les racines de la France, c'est nous, c'est vous"
Deux manifestations pour une même cause. Rendre hommage à Georges Floyd et dénoncer les violences policières. C’était la configuration étonnante qu’offrait la capitale ce samedi.
Le premier rassemblement – officiellement interdit, mais toléré - s’est tenu place de la Concorde, à proximité de l’ambassade des États-Unis. Le bâtiment était inaccessible, défendu par un mur de grilles mobiles de la police.
Organisé par la Ligue de défense noire africaine, la tonalité était radicale.
Cependant, parmi les participants, le discours était nettement plus mesuré. Certains se sentaient d’ailleurs davantage en résonance avec la manifestation de mardi dernier, porte de Clichy, à l’appel d’Assa Traoré, la sœur d’Adama Traoré.
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Connue / https://twitter.com/LeMediaTV/status/1270016484228521985
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"À partir du moment où les flics sont protégés et qu’il y a toujours des non-lieux, le message il est clair : “On vous tue, on vous violente, on vous humilie et il n’y aura rien d’autre”."
.#BlackLivesMatter #Paris 2,3 k vues 2:47 / 8:17
5:35 PM · 8 juin 2020 41 Retweets 61 J'aime
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2 Channel avatarAccount avatar Un Petit Coup de Bourbon
Incertitudes sur la tenue du second tour, prime aux maires sortants et poussée écologiste : le scrutin a été largement influencé par l’épidémie du Covid19.
Y aura-t-il seulement un second tour ? La perspective d’un confinement général éloigne l’hypothèse. Le gouvernement devrait dire ce qu’il en est dans les heures qui viennent.
Fallait-il, dans ce contexte d’épidémie, convoquer les 47 millions et demi d’électeurs ? La réponse est non, bien sûr. Pour une simple et bonne raison qui n’est pas sanitaire, mais politique : la psychose ambiante a altéré la sincérité du scrutin. À preuve l’abstention record pour ce type de consultation : 56%. Contre 36,45 en 2014.
.#Bourbon #Municipales #Coronavirus
Publié originellement 16 mars 2020
Catégorie Actualité & Politique
LicenceInconnu - LangueInconnu
Étiquettes : bourbon ; coronavirus ; covid19 ; épidémie ; serge faubert
Durée10 min 0 sec Aucun commentaire
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