Suite à la comdamnation de 125 000 € pour dénigrement de Valérie Murat pour avoir démontré au niveau des vins de Bordeaux certifiés HVE (Haute Valeur Environnementale), certification ministérielle, que ceux ci étaient chargés en pesticides, il s'est tenu ce matin à Bordeaux un rassemblement pour la demande de renvoi en appel. Le conseil interprofessionnel des vins de Bordeaux s'y oppose. La décision de la cour sera rendu le 10 novembre prochain.
76 162 ont signé (167 275 au 19/5/19)
Rémy BOSSERT a lancé cette pétition adressée à Corinne Orzechowski, Préfète d'Indre et Loire et à 1 autre
Sébastien David, vigneron en Loire connu et reconnu, conduit sa vigne et ses vinifications en bio et en biodynamie pour produire des vins rouges qui se retrouvent tant sur la table des plus grands restaurants que chez les amateurs du monde entier. Des vins gourmands, vivants, des vins d’émotion, à mille lieux des vins industriels aux 100 intrants. Il n’est clairement pas dans la norme.
Connue / https://www.change.org/p/soutenons-le-paysan-beno%C3%AEtbiteau-et-demandons-le-r%C3%A8glement-des-primes-aux-agriculteurs-bio/u/24526259
ndlr : pétition reprise par Association Internationale pour une Santé Naturelle, Scientifique et Humaniste (AISNSH) À https://www.soutien-vigneron-bio.com pour quoi faire ? Q ACT
Avec les fêtes, des centaines de milliers de bouteilles de vin, de bière ou de champagne vont se vider. Et chaque année, un Français consomme en moyenne près de 35 kg de bouteilles en verre. Or, bien qu’en grande partie réalisée à partir de verre recyclé, leur fabrication reste très énergivore. Depuis 2015, dans le Jura, le projet « J’aime mes bouteilles » cherche à relancer la pratique de la consigne, plus écologique que le recyclage, qui a disparu du paysage depuis une trentaine d’années. Son objectif : revaloriser les bouteilles de vin jurassien pour recréer une filière de réutilisation. Reportage.
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Les tests menés par Clus’ter Jura ont conclu qu’utiliser la consigne plutôt que la refonte de bouteilles permettrait de baisser massivement les rejets de dioxyde de carbone, d’environ deux tonnes annuelles à l’échelle du département, en réutilisant toutes les bouteilles de vin jurassien en circulation. Pour créer une activité lucrative, ces bouteilles ont dans un deuxième temps vocation à être revendues moins chères aux vignerons.
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« Je propose deux types de bouteille. Celles en meilleure état sont vendues 20% moins chères que le prix du neuf. Nous avons aussi une entrée de gamme 40% moins chère ». Une bouteille neuve coûte 24 centimes à un viticulteur. En choisissant une bouteille revalorisée, le prix peut donc descendre à 20, voire 18 centimes d’euros pour une entrée de gamme.
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D’ici décembre, elle espère signer une dizaine de commandes supplémentaires, et ainsi de suite jusqu’en août 2018, quand l’association « J’aime mes bouteilles » se transformera en SCIC.
Ndlr : fait ? ACT