Publié Il y a 3 heures • 88 vues
Bassines Non Merci 63 Par bnm63
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Langue Français Étiquettes Durée 42 s
Tr.: ... maïs population ...
Mégabassines, la guerre de l’eau - 29 commentaires
Plusieurs collectifs, associations et syndicats appellent à une « randonnée festive » samedi 11 mai pour protester contre le projet de construction de deux énormes bassines au sud-est de Clermont-Ferrand, destinées à alimenter la plaine de Limagne.
À l’appel de plusieurs collectifs, associations et syndicats (les Soulèvements de la terre, le collectif Bassine non merci 63, la Confédération paysanne), les opposants aux bassines entendent mobiliser contre le projet de construction de deux énormes ouvrages, au sud-est de Clermont-Ferrand.
Présentées par leurs promoteurs comme une solution aux problèmes récurrents de sécheresse, ces deux « gigabassines », d’une superficie de 14 et 18 hectares, auraient une contenance de plus d’un million de mètres cubes d’eau chacune (deux fois celle de Sainte-Soline). Ce qui ferait de ces retenues puisant dans l’Allier les plus grandes jamais construites en France.
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l’Association syndicale libre des Turlurons, qui représente trente-six agriculteurs, dont beaucoup travaillent pour la multinationale Limagrain, quatrième semencier mondial via sa filiale Vilmorin ... le porte-parole du groupe, Alexandre Poncet ... La présence, dans ce collectif d’agriculteurs, du président de Limagrain, Sébastien Vidal, et de cinq de ses administrateurs, pèse d’autant plus localement que la multinationale exploite 6 100 hectares de maïs semence en Limagne, la moitié de sa production française. ... la majorité du maïs semence, très gourmand en eau, est par ailleurs destinée à l’export ... 25 millions d’euros, financé à 70 % par de l’argent public ...
🔴Dans ce nouveau numéro de Focus sur, je vous présente ma nouvelle proposition de loi visant à protéger la ressource en eau 💦en planifiant l’arrêt de l’irrigation de la culture du maïs 🌽
➡️ Pour consulter ma proposition de loi : https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/16/textes/l16b1422_proposition-loi
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Connu / TG le 08/08/23 à 22:06
🔴Dans ce nouveau numéro de Focus sur, je vous présente ma nouvelle proposition de loi visant à protéger la ressource en eau 💦en planifiant l’arrêt de l’irrigation de la culture du maïs 🌽
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Connu / TG le 23/6/23 à 21:02
LES DÉCODEURS Agriculture & Alimentation - Temps de Lecture 5 min.
L’irrigation du maïs représente-t-elle un quart de l’eau douce consommée en France ?
La députée Aurélie Trouvé (LFI) a provoqué de vives réactions en affirmant que le maïs irrigué consommait 25 % de l’eau douce. Si le chiffre exact est difficile à estimer, l’ordre de grandeur est correct.
Photo Un champ de maïs dévasté en raison de la sécheresse, près de Lyon (Auvergne-Rhône-Alpes), le 24 août 2022. OLIVIER CHASSIGNOLE / AFP
Interrogée, le 14 avril, sur la question du partage de l’eau lors de l’émission « Extra local », sur Public Sénat, la députée La France insoumise (LFI) de la Seine-Saint-Denis Aurélie Trouvé, ingénieure agronome de formation, a critiqué la culture du maïs, en déplorant que « 25 % de l’eau consommée en France est consommée par la culture du maïs ».
Le raisonnement de Mme Trouvé est relativement simple : l’agriculture représente 57 % de la consommation de l’eau en France, et « la moitié des surfaces irriguées le sont pour le maïs ». Ce qui équivaut à un quart de la consommation totale.
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environ 90 % de l’eau consommée par l’agriculture l’est pour l’irrigation. Le reste (10 %), sert à l’abreuvage du bétail et au nettoyage des installations. Le poids réel de l’irrigation dans la consommation de l’eau en France a donc été, en 2019, d’environ 54 %.
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Si les 25 % cités par Aurélie Trouvé relèvent d’un calcul rapide, l’ordre de grandeur est le bon. Le chiffre réel se situe probablement entre 20 % et 24 %, même s’il est difficile de le déterminer avec précision. Et comme l’analyse Marc Dufumier, agronome et professeur honoraire à AgroParisTech, contacté par Le Monde : « Ce n’est pas tant le chiffrage global du litrage qui importe que la question de l’origine de l’eau : est-ce de l’eau de pluie ou est-ce qu’on a été la puiser ? »
Les besoins en eau du maïs concentrés en saison sèche
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Le réchauffement climatique et l’augmentation de la fréquence des sécheresses en France risquent d’aggraver la situation en engendrant des conflits d’usage autour de l’eau douce dans ces territoires si cette irrigation se poursuit au même niveau. La moyenne des ressources en eau douce a déjà décliné de 14 % entre 1990 et 2018, et cette baisse risque de se poursuivre. L’augmentation des températures va favoriser l’évaporation, notamment pendant la saison de recharge des nappes phréatiques qui s’étale de septembre à février, ce qui risque de l’écourter significativement.
De nouvelles projections climatiques parues à l’automne 2022 montrent que le réchauffement pourrait atteindre + 3,8 °C d’ici à la fin du XXIe siècle. « Il est certain qu’un tel réchauffement va entraîner des canicules plus fréquentes, longues et sévères, un assèchement important des sols et une forte baisse des ressources en eau », notait alors Julien Boé, directeur de recherche (CNRS) au Centre européen de recherche et de formation avancée en calcul scientifique, et l’un des auteurs de l’étude.
Lire la synthèse : Article réservé à nos abonnés En France, le réchauffement climatique s’annonce pire que prévu, selon de nouvelles projections
Connu / TG le 24/04/23 à 16:57
Mégabassines, la guerre de l’eau Enquête - 142 commentaires
Mediapart a enquêté sur les douze agriculteurs directement raccordés à la mégabassine de Sainte-Soline. Ces exploitants, qui possèdent de grandes surfaces, veulent coûte que coûte maintenir leurs rendements, en répondant aux exigences de l’agro-industrie.
Vue aérienne de la mégabassine en cours de construction à Sainte-Soline (Deux-Sèvres), le 11 avril 2023. © Photo Damien Meyer / AFP
« Nous faisons face à une opacité totale quant au projet », se désole Julien Le Guet, figure de la contestation antibassine. Membre du comité scientifique qui accompagne le suivi du protocole scellant la création de la retenue de Sainte-Soline, le chercheur Vincent Bretagnolle confirme : « Concernant les exploitants connectés à cette bassine, un diagnostic a été réalisé, mais il n’a pas été communiqué au comité scientifique. Nous ne savons pas ce que cultivent aujourd’hui ces irrigants. Seule la Coop de l’eau 79 a ces données… »
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Des exploitations sous perfusion d’argent public
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les douze agriculteurs connectés à la mégabassine ont une exploitation qui mesure en moyenne 147 hectares. Des tailles d’exploitation plus grandes que la moyenne française, estimée à 69 hectares, et à la moyenne du département, qui est de 89 hectares.
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Sept des douze agriculteurs investis dans la mégabassine de Sainte-Soline sont des céréaliers. Les cinq autres sont éleveurs bovins, caprins ou ovins.
... Aucune en agriculture biologique ... l’objectif de réduction de 50 % des pesticides ne sera pas tenu ... Seuls quatre agriculteurs sur douze, à l’instar de Jany Bordevaire, éleveur de vaches à viande, se sont exprimés dans les médias ... le bénéficiaire du projet Emmanuel Villeneuve
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Aucune mention n’est faite durant ces interventions médiatiques que Jany Bordevaire est le deuxième adjoint au maire de Sainte-Soline. Ou qu’Emmanuel Villeneuve est élu à la chambre d’agriculture des Deux-Sèvres, mais aussi administrateur à la fois d’Océalia, un géant agro-industriel de l’ouest de la France qui a en 2022 engrangé plus d’un milliard d’euros de chiffre d’affaires, et d’une de ses filiales, Alicoop, importante coopérative de nutrition animale.
De l’eau pour maintenir les rendements
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irriguer une surface totale de 847 hectares – l’équivalent de 1 186 terrains de football.
En croisant les futurs points de livraison d’eau connectés à la mégabassine et des bases de données géographiques agricoles de 2020 et 2021, Mediapart a estimé, sur les parcelles dotées prochainement d’une pompe à eau, qu’environ 30 % d’entre elles comportaient du maïs et que deux tiers des parcelles étaient occupées par du blé tendre d’hiver, en rotation avec d’autres cultures notamment du pois et de l’orge – sachant que de ces points de livraison d’eau pourront être tirés des tuyaux pour irriguer d’autres parcelles.
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Porte-parole de la Confédération paysanne des Deux-Sèvres, l’éleveur Benoît Jaumet explique pourquoi ce blé tendre pourrait être irrigué à Saint-Soline. Il précise que l’agro-industrie impose pour ce type de blé une haute teneur en protéines pour être vendu au meilleur prix sur les marchés français et internationaux ... épandent du nitrate ... le blé peut mourir d’overdose d’engrais ... l’eau stockée par la mégabassine de Sainte-Soline servira à répondre aux exigences du marché.
La rentabilité comme boussole
... ils nourrissent avant tout leur portefeuille ...
Connu / TG le 12/04/23 à 19:27
Connu / TG le 19/03/23 à 20:12
Se passer du maïs, plante très gourmande en eau en été et qui sert largement pour l'exportation :
A l'heure où la France connait déjà des restrictions d'eau à cause de la sècheresse, basta! s'est penché sur le maïs, une céréale ...
Manifestation à Sainte-Soline le 29 octobre 2022 - PHOTOPQR/LE COURRIER DE L'OUEST/MAXPPP
Le débat sur la construction des réserves d'eau agricoles enflamme la scène politique depuis quelques jours. Derrière ce sujet, un autre débat, par Hugo Clément, journaliste et présentateur de l’émission « Sur le front » sur France 5.
Ces immenses réservoirs, destinées à l’irrigation, sont soutenues par le gouvernement et combattues par les écologistes. Ce matin Hugo, vous nous dites qu'un sujet se cache derrière ce débat…
Oui, car il y a un éléphant au milieu de la pièce et personne ou presque ne semble le voir
On entend d’un côté les hydrologues, qui doutent de l’efficacité de ces bassines pour lutter contre la sécheresse.
De l’autre, des élus et certains agriculteurs, qui estiment qu’elles sont la solution pour ne pas manquer d’eau.
Mais on ne se pose pas assez la question suivante : comment est utilisée l’eau stockée dans ces réservoirs ? Qui en profite ? Ou plutôt, quelle culture en profite ?
La réponse, je vous la donne : c’est surtout le maïs.
Cette plante est très gourmande en eau pendant l’été, au moment où il fait le plus chaud, et a donc besoin d’être arrosée pour pousser correctement dans certaines régions.
A tel point que le maïs représente à lui tout seul près de la moitié de toutes les surfaces irriguées dans notre pays.
C’est colossal : on arrose CINQ FOIS plus de terres pour cultiver du maïs que pour faire pousser TOUS les légumes frais que nous consommons.
A-t-on besoin de ce maïs ?
C’est ça la question centrale ! En a-t-on vraiment besoin ?
Pour cela, il faut savoir ce que devient ce maïs qui pompe nos ressources en eau.
Si vous pensez qu’on le mange en salade, vous êtes très loin de la réalité.
Moins de 2% des cultures de maïs en France sont du maïs doux, destiné à l’alimentation humaine.
98% sont soit du maïs fourrage soit du maïs grain, qui servent en très grande majorité à nourrir les animaux d’élevage.
Ces animaux nourris au maïs sont principalement issus d’élevages intensifs de porcs et de volailles, mais aussi d’exploitations laitières.
Eh oui, derrière la question de l’irrigation et des méga-bassines se cache en fait l’industrie de la viande et du lait.
Construire de grands réservoirs agricoles permet, à court terme, de perpétuer le règne du maïs et de nourrir les trois millions d’animaux que nous envoyons à l’abattoir chaque jour en France.
Mais à long terme, cela nous conduit dans le mur.
Car la surproduction de viande, rendue possible grâce au maïs, aggrave le changement climatique, qui lui-même aggrave et multiplie les sécheresses… ce qui nous conduit à manquer toujours plus d’eau.
Bref, c’est un cercle vicieux !
Si l’on veut s’adapter efficacement aux sécheresses à venir, la priorité c’est surtout de réduire la part des cultures nécessitant d’être irriguées en plein été, notamment le maïs.
Sauf si on est prêt à fragiliser nos ressources en eau pour soutenir l’élevage intensif…
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Jean-Luc Mélenchon était le dimanche 11 octobre dans les Deux-Sèvres pour participer à lancer l'alerte sur la question des « bassines », ces immenses retenues d'eau destinées à l'agriculture intensive, qui perturbent le cycle de l'eau.
Ce vlog retrace l'ensemble du déplacement de Jean-Luc Mélenchon avec une première étape dans le marais poitevin pour comprendre les effets de ces bassines sur le cycle de l'eau. En effet, le drainage mis en place pour diriger l'eau vers les bassines assèche les sols et diminue la pénétration lente de l'eau dans la terre. En bout de course, c'est le marais lui-même qui s'assèche. Cette séquence du déplacement a également permis de comprendre ce que pourrait produire une importante montée des eaux.
Dans un second temps, Jean-Luc Mélenchon s'est rendu sur le lieu de construction d'une de ces bassines pour en étudier l'étendue. Elles sont utilisées pour irriguer le maïs destiné à l'exportation. L'occasion de questionner en profondeur le modèle agricole français tourné vers la productivité davantage que vers la construction d'une agriculture vivrière permettant de retrouver notre souveraineté alimentaire.
Enfin, Jean-Luc Mélenchon participait à la manifestation contre les « bassines » organisée à Épannes. Le député insoumis a pris la parole, aux côtés d'autres acteurs politiques de cette lutte comme Philippe Poutou, José Bové ou Yannick Jadot. Il a évoqué la question de la reconquête du temps long pour protéger le cycle de l'eau et de la nécessaire planification par l'État et la commune pour atteindre cet objectif. Il a expliqué qu'il faudrait nationaliser Veolia et Suez pour protéger le bien commun qu'est l'eau.
329 commentaires
dominique prochasson il y a 5 heures (modifié)
Les délimitations grillagées de ces "bassines" , à elles seules , constituent une signification symbolique trés forte ....et choquante
147 535 vues - 377 - 25 - 9,37 k abonnés
Plus d'informations: http://www.bioactualites.ch/fr/cultur...
Pour la culture du maïs en agriculture biologique, on a d’ordinaire recours au labour en raison de son effet désherbant. Toutefois, en ce qui concerne l’érosion et le compactage du sol ainsi que le lessivage, l’utilisation de la charrue ne s’avère pas optimale, surtout dans cette culture. Le semis direct du maïs pourrait en grande partie résoudre ces problèmes. Les essais menés par le FiBL ces dernières années ont montré que, dans des conditions optimales, il était possible de réaliser un semis direct du maïs en agriculture biologique.
Catégorie Science et technologie 36 commentaires
rodibremo il y a 3 ans
Voilà comment préserver notre patrimoine: la terre. Magnifique... Il faut pour cela faire preuve d'intelligence et de persévérance: bravo.
Transcription : ... /limaces mangées par les corneilles, le choix du type d'engrais vert peut être une solution comme efb33 ou trèfle ...
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Nectop, le nouveau PC occitan - Mid E-News
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[Rechercher domaine www.midenews.com/2019/01/16/nectop-nouveau-pc-occitan/] https://www.midenews.com/2019/01/16/nectop-nouveau-pc-occitan/
Nectrium - L'ordinateur Français simple, éthique et innovant ...
C'est l'histoire de trois entrepreneurs français qui ont mis au point Nectop, un ordinateur éthique et écologique pour lequel ils lancent une campagne de crowdfunding. Un projet qu'ils veulent concevoir de manière locale en Ariège, un lieu propice aux nouvelles technologies.
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Tech24 - Fun web
Guillaume Grallet présente le Nectop dans l'émission #tech24 sur France24
[Rechercher domaine www.thecicc.com/pages/tech24.html] www.thecicc.com/pages/tech24.html
Adrien Thierry - Perpetual Innovator - Nectrium | LinkedIn
NectarJS / Nectop - Binex - MyFitLab - Expert en cyber-sécurité et architectures distribuées, passionné par l'électronique, l'informatique et la R&D ... Perpetual Innovator chez Nectrium ...
[Rechercher domaine www.linkedin.com/in/adrien-thierry-6448a664] https://www.linkedin.com/in/adrien-thierry-6448a664
Nectop, le nouveau PC Occitan - ToulÉco - touleco.fr
L'entreprise montpelliéraine Nectrium lance le « Nectop », un petit PC fabriqué en Occitanie doté d'un boîtier en amidon de maïs. Pour 2019, l'entreprise s'est fixée comme objectif de vendre 500 Nectop. Pour l'instant, il existe une seule version de la solution, « mais nous ...
[Rechercher domaine www.touleco.fr/Nectop-le-nouveau-PC-Occitan,25966] www.touleco.fr/Nectop-le-nouveau-PC-Occitan,25966
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voir aussi https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?6aeEOQ
Corinne Lepage Compte certifié @corinnelepage 51 minil y a 51 minutes
"L’Obs" a-t-il vraiment écrit n’importe quoi sur le maïs OGM ?une réponse circonstanciée à ceux qui ont tiré un peu vite les conclusions sur l étude @GMOSeralini
1 réponse 5 Retweets 1 j'aime
ndlr :
- comment contribuer à clarifier cette controverse scientifique ? ACT
- cf https://twitter.com/Damkyan_Omega/status/1073882337258156033 /confrontation ACT
Le professeur Séralini, qui étudie depuis des années les effets à long terme des OGM, a publié un article démontrant l’augmentation de la mortalité chez des bovins nourris au maïs Bt176. Ses conclusions mettent en doute la fiabilité du système d’évaluation européen.