en 2006
Animé par : le Groupe métiers "développement durable" et "Civisme/Citoyenneté" de l'Association ARC-en-ciel développement - 'vers une vie et un emploi désirés' - arcdev à free point fr - http://arcdev.free.fr
Des spécialistes (agronomes, biochimiste et expert en nutrition) ont rédigé un document visant à déconstruire de trop nombreux mythes qui entourent l’agriculture biologique :
Mythe n°1 : Les aliments bio ne sont pas meilleurs pour la santé que les autres
Mythe n°2 : Les résidus de pesticides dans les aliments sont sans risques pour notre santé
Mythe n°3 : L’agriculture bio n’est pas meilleure pour l’environnement que la conventionnelle
Mythe n°4 : L’agriculture bio réchauffe autant la planète que la conventionnelle
Mythe n°5 : L’agriculture bio ne peut pas nourrir la planète
Mythe n°6 : Manger bio coûte cher
Mythe n°7 : On ne peut pas se passer des engrais chimiques
Mythe n°8 : On ne peut pas se passer des pesticides de synthèse
Mythe n°9 : L’agriculture bio remplace les pesticides de synthèse par d’autres pesticides
Mythe n°10 : Le local c’est mieux que le bio
« Les nombreuses informations erronées qui circulent sur l’agriculture biologique sont en partie responsables de la crise qu’elle vit depuis 2021. Si nous parlons à leur propos de contrevérités, ce n’est pas pour accuser leurs auteurs, mais pour affirmer que relayer des informations inexactes constitue une posture partisane et un refus, même involontaire, de s’informer sur les alternatives existantes.
Il en résulte de sérieuses et multiples conséquences pour l’opinion. En effet vouloir convaincre que tout va bien avec l’agriculture conventionnelle pour la santé et l’environnement, revient à tromper la population. L’agriculture biologique de son côté reste un modèle et un laboratoire en expansion, certes perfectible, d’agroécologie appliquée. » écrivent en avant-propos les auteurs de ce document.
Grâce à ce travail fouillé vous aurez de nombreux arguments en main pour contrer les propos des sceptiques voire des détracteurs de l’agriculture biologique !
Lire le document complet L’agriculture biologique malmenée, 10 mythes à déconstruire
Et si vous voulez aller plus loin vous pouvez retrouver nos dossiers sur ce sujet
- Notre rapport qui compare les pesticides utilisables en bio versus ceux en conventionnel
- Notre fact-checking qui montre que la bio est meilleur pour la santé
Connu / mel Sujet : crieur-libre-expression Compilation du sam., 30 déc. 2023 ( 1 / 1 )
Le Conseil d’État, qui a rendu cette décision jeudi, avait été saisi par plusieurs organisations qui reprochent à l’État de ne pas suffisamment protéger les riverains des épandages de pesticides.
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Le Conseil d'Etat a fixé deux mois au gouvernement pour revoir sa copie, sous peine d’astreinte de 500 euros par jour de retard. (Illustration) LP/Hugues TAILLIEZ
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saisi par plusieurs organisations, dont Générations futures, France Nature Environnement et l’association de consommateurs UFC-Que Choisir, qui reprochent depuis plusieurs années à l’État de ne pas suffisamment protéger les riverains
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substances dites « CMR2 », c’est-à-dire suspectées d’être cancérogènes, mutagènes ou toxiques pour la reproduction. Concernant les produits « CMR1 », dont la nocivité est établie, une distance incompressible de 20 mètres a été instaurée.
Pour les « CMR2 », le gouvernement avait indiqué en janvier 2022 qu’une distance de 10 mètres s’appliquerait par défaut à compter du 1er octobre 2022, sauf si l’autorisation de mise sur le marché de la substance prévoyait une autre distance.
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« L’État a fait miroiter l’adoption de textes (réglementaires) concernant ces CMR2 mais cela n’a pas été fait pour le moment », a pointé auprès de l’AFP l’avocat des organisations requérantes, François Lafforgue.
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"Nous, associations, collectifs et syndicats répondons à l'alerte lancée par l'association Avenir Santé Environnement et unissons nos voix pour exiger ensemble une transition agricole vers un modèle plus résilient, impliquant une SORTIE DES PESTICIDES DE SYNTHÈSE.
Il en va de notre santé collective, de la santé de nos générations futures et de la sauvegarde de notre biodiversité"
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Connu / TG 21/9/22 à 7:57