41 783 ont signé
SOS MEDITERRANEE FRANCE a lancé cette pétition adressée à Autorités italiennes
Mercredi 22 juillet, les autorités italiennes ont placé en détention, le navire humanitaire Ocean Viking, en invoquant des « irrégularités techniques et opérationnelles ».
Affrété par l’association civile européenne de sauvetage en mer SOS MEDITERRANEE, ce navire-ambulance a secouru plus de 2000 personnes en un an. Depuis sa création en 2015, l’association a porté assistance à plus de 31 000 femmes, hommes et enfants.
Bloqué à quai en Sicile, le navire-ambulance est désormais empêché de mener sa mission vitale de sauvetage en mer, alors que chaque semaine des centaines de personnes continuent de traverser la Méditerranée au péril de leur vie, pour fuir la misère, les violences et l’ “enfer libyen”.
Cette détention est une étape supplémentaire dans le harcèlement administratif incessant que subissent les navires humanitaires en Méditerranée. La manœuvre politique est cynique : elle vise à stopper les activités de sauvetage des ONG, qui comblent pourtant le vide laissé par les Etats européens.
Sans bateaux humanitaires pour secourir les naufragés, le nombre de morts aux portes de l’Europe augmentera encore cet été.
Demandez aux autorités italiennes de libérer l’Ocean Viking, signez cette pétition ! #FreeOceanViking
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https://framasphere.org/posts/9900552
41 185 ont signé
Association Stand Up For The Planet a lancé cette pétition adressée à Ministre de la transition écologique et solidaire et à 1 autre
Lors d’une sortie d’exploration des cétacés en Mer Méditerranée en octobre 2019 à bord du bateau « Santo Sospir » de l’association Sos Grand Bleu St. Jean Cap Ferrat un rorqual commun a été observé au large de Cannes avec la nageoire Caudal déchiquetée.
Les chances de survie avec une telle amputation sont minces.
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Chaque année, une quarantaine de grands cétacés décèderaient des suites d’une collision avec un navire en Méditerranée.
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Avec un trafic maritime annuel estimé annuellement à 220 000 navires marchands, la navigation commerciale est particulièrement intense en Méditerranée occidentale. Le Sanctuaire Pelagos et ses frontières n'y échappe donc pas, avec 2 des 8 « nœuds de concentration du trafic maritime » (Gênes et Marseille) identifiés dans tout le bassin et une trentaine de liaisons par jour assurées par au moins 8 compagnies de transport de passagers entre le continent, la Corse et la Sardaigne.
Vous n’êtes Bien entendu pas sans savoir qu’il existe un système efficace « REPCET » permettant aux navires équipés de s'informer en temps réel de la présence de cétacés dans une zone à risque.
Malgré le faible coût en comparaison des frais des compagnies maritimes, le montant de l'abonnement REPCET reste le principal argument avancé par les compagnies qui ne souhaitent pas s'équiper. Une minorité des bateaux faisant route en Méditerranée aujourd’hui en sont équipés.
En effet, La plus grande hérésie qui soit vient de la loi biodiversité de 2016 qui oblige l’installation du système REPCET pour tous les navires commerciaux de plus de 24 mètres battant pavillon français.
En 2019, 36 navires sont équipés du système REPCET, ce qui correspond à 0,04% du trafic maritime.
C’est presque un déni de se dire qu’on l’oblige au Pavillon Français quand on sait que personne (ou presque) ne bat Pavillon Français non ?
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En plus de cet aspect écologique, les collisions posent un problème de sécurité dans le cas des navires rapides. Un choc avec une baleine à 30 ou 40 nœuds peut causer l'ouverture de brèches sur les coques des navires, et une voie d'eau est alors possible. C'est ce qui s'est passé à plusieurs reprises sur les routes de liaisons avec les îles ces dernières années. Sans compter les problèmes sanitaires, de respect d'horaires, de coûts de réparation et d'image auxquels la compagnie maritime concernée doit faire face en cas de collision.
Madame la Ministre , ne serait t’il pas possible, dans un premier temps, d’imaginer de légiférer pour que 100% des bateaux passant au sein des routes maritimes du sanctuaire Pélagos soit obligatoirement équipées d’un système de localisation des cétacés ?
Dans l’idéal vous devriez légiférer pour qu'aucun navire de commerce ne passe dans le sanctuaire des Pelagos, ce passage est antinomique d'un endroit destiné à préserver la tranquillité des animaux marins.
TOWT - Transport à la Voile @TOWindTransport · 7h
Protection des espèces marines, réduction de l’impact sonore, réduction des émissions de GES, collab scientifique, performance énergétique, sensibilisation des passagers : nous avons signé la #CharteSails !
https://ecologique-solidaire.gouv.fr/charte-sails-bonnes-pratiques-du-transport-maritime-protection-du-milieu-marin-et-du-littoral
cc @Ecologie_Gouv @Elisabeth_Borne @Djebbari_JB Brittany Ferries et 9 autres - 0 - 1 - 5
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Sur les plages de Charente-Maritime, les cadavres de dauphins échoués s'accumulent. L'observatoire Pelagis, un institut scientifique les récupère pour les étudier et comprendre la cause de leur décès. L'ONG Sea Shepherd dénonce une hécatombe dans le golfe de Gascogne.
Et chaque année bat un nouveau record. Alors qu'il ne reste que 500 000 dauphins dans l'ensemble des eaux européennes. En cause des méthodes de pêche industrielles et peu sélectives.
. #Écologie #Océan #biodiversité
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Denis Robert reçoit Léa Rinaldi, réalisatrice du film "Sillages" suivant l'odyssée de Ian Lipinski, vainqueur historique de la Mini Transat. Également productrice et scénariste, Léa Rinaldi nous parle de ses expériences, ses engagements et ses projets.
.#Sillages #Cinéma #ToutPeutArriver
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escoda jordan il y a 1 jour
Excellente interview, c'était rafraichissant ! Ca m'a donné envie de voir le film !
12.517 signatures
Au gouvernement italien
Au Parlement européen, à la Commission européenne et aux gouvernements de l'Europe
A tous les citoyens et citoyennes de l'Europe
Cette pétition prend la suite de l’appel publié les 27 et 28 juin sur Le Monde, Paris, et Il Manifesto, Rome : « Sea-Watch 3 : C’est maintenant qu’il faut inverser la destruction du droit et de l’humanité », avec 700 signataires. Elle est proposée par le Comité Européen contre la Criminalisation du Sauvetage en Mer (CECCSM). ...
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Le secteur maritime est à l’heure actuelle responsable de près de 3% des émissions de GES mondiales, d’après l’Agence Internationale de l’Energie. Si le transport maritime était un pays, ça serait donc le 6ème pays le plus émissif de la planète. Devant la croissance attendue des flux maritimes, des actions concrètes très ambitieuses doivent être mises en place pour réduire l’impact environnemental du secteur. L’IMO (Organisation Maritime Internationale) s’est d’ailleurs engagée début 2018 à réduire les émissions du secteur de 50% d’ici à 2050, comparé aux niveaux de 2008 (à l’instar de l’ambition affichée par le secteur aérien).
Beaucoup de différents leviers seront nécessaires pour cela, avec notamment de nombreuses mesures d’efficacité énergétique et un recours très important à des énergies décarbonées (comme des biocarburants, des carburants de synthèse, de l’hydrogène, de l’ammoniac, etc.). Et aussi surprenant que cela puisse sembler, une mesure volontaire de sobriété apparaît dans le panorama des solutions : il est ainsi question de réduire la vitesse des bateaux, tout simplement.
En effet, une réduction de 12% de la vitesse des bateaux pourrait entrainer une baisse de 27% de la consommation de fioul et donc des émissions de GES [1]. Pour la première fois, plus de 100 industriels du secteur sont d’accord pour appliquer une telle mesure, l’encouragent même … alors que la tendance historique générale des différents modes de transports a plutôt toujours été de rechercher à aller plus vite.
Au-delà de son caractère original, cette mesure se prête tout de même particulièrement bien au transport maritime, pour lequel les temps de transports sont déjà longs, avec « un consentement à attendre » du client plus élevé que pour les autres modes. Par ailleurs, il faut remarquer que réduire la vitesse a aussi une contrepartie économique positive évidente, ce qui n’est pas neutre dans le soutien affiché par les 100 industriels promoteurs de cette mesure. Et ce qui peut aider à convaincre les derniers réticents. Nous suivrons désormais avec attention la façon dont l’IMO va s’emparer (ou pas) de cette proposition …
Enfin, cette actualité suscite une autre interrogation : une telle mesure ne pourrait-elle pas inspirer les secteurs du transport routier ou du transport aérien, puisque là aussi la réduction de vitesse des voitures, camions et autres avions entraînerait à moindre coût la réduction des émissions ? … À méditer !
Sources: [1] Quartz https://qz.com/1608527/the-shipping-industrys-emissions-could-be-cut-by-slow-steaming/
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Ce mercredi 22 mai 2019, suivez le conférence de presse de La France insoumise en direct depuis Marseille sur l'action contre la pollution des bateaux de croisière.
➡️ Toutes les infos sur l’action : https://la-fi.fr/StopPollutionMarseille
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