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Classement des 500 fortunes de Challenges : j’y entre enfin… Aux côtés de mon ami hecto-milliardaire, Bernard Arnault.
Tags Politique Santé
Les mots ont un sens. « La pandémie à laquelle nous sommes confrontés exige des mesures plutôt opposées à un temps de guerre » explique l’économiste et chroniqueur de Basta ! Maxime Combes dans cette tribune.
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Auteur(s) :
Mouvement Utopia
Destinataire(s) :
Edouard Philippe (Premier Ministre)
Emmanuel Macron (Président de la République)
La pétition
Loin de la fiction d'une égalité de tous devant l'épidémie, les preuves s'accumulent d'une surexposition des habitant.e.s des quartiers populaires au covid-19. Les chiffres de la surmortalité en Seine-Saint-Denis sont, par exemple, alarmants. Ils s'expliquent par l'état du logement, le surpeuplement, des facteurs de comorbidité élevés, tels que l'obésité ou le diabète, une renonciation fréquente aux soins pour raisons financières, une offre de soins insuffisante, ainsi que par le fort taux d'ouvriers et d'employés dont les missions ne peuvent être exercées en télétravail.
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Ne faisons pas de cette crise sanitaire une catastrophe sociale qui viendra détruire un peu plus notre idéal d'égalité républicaine. Exigeons des mesures adaptées à la situation spécifique que vivent les habitant.e.s des quartiers populaires au regard de l'épidémie et du confinement.
- Prioriser le rappel à la loi à visée pédagogique plutôt que les sanctions financières et adapter les sanctions financières du non-respect du confinement aux revenus pour les multi-récidivistes
- Autoriser des sorties plus longues aux familles vivant dans des logements insalubres ou surpeuplés, en sécurisant et en balisant l’accès aux promenades et aux espaces verts.
- Livrer nourriture et produits de base aux familles situées sous le seuil de pauvreté, fortement impactées par la suspension de la cantine
- Organiser un dépistage systématique des habitant.e.s des quartiers
- Fournir gratuitement des masques et des gants aux travailleurs dans l'incapacité de télétravailler
- Proposer des cours particuliers à distance ou à l'école, en garantissant la sécurité des enfants, pour les élèves en difficulté
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Tentative de coup d’Etat menée au Vatican par des milliardaires américains climatosceptiques, installation d’ambassades à Jérusalem en dépit des résolutions onusiennes, émergence de phénomènes politiques comme Donald Trump et Jair Bolsonaro... Ces événements ont un point commun. Pour en prendre toute la mesure, il faut avoir à l’esprit la bataille mondiale pour l’âme du christianisme, dont les enjeux sont électoraux certes, mais aussi géopolitiques.
En Europe, dans les Amériques et bientôt au-delà, ils voient s’opposer, autant dans les sphères catholiques que dans les compartiments du protestantisme, le christianisme social hérité des combats du XXème siècle d’une part, et des conceptions identitaires et réactionnaires d’autre part. Ces dernières sont du pain bénit pour les entrepreneurs politiques qui labourent le champ de la droite nationaliste. #Christianisme #Trump #Bolsonaro
Catégorie Actualités et politique
Crédits photo : présidence ukrainienne
Le discours d’Emmanuel Macron à l’École de Guerre a montré son incohérence en matière stratégique.
Il a réaffirmé que l’OTAN et la défense européenne étaient les deux piliers de la sécurité du continent tout en faisant mine de vouloir promouvoir l’autonomie stratégique de l’Union européenne : contradiction patente.
Pour ce faire, il a entériné la dérive doctrinale qui consiste à laisser croire que la dissuasion française pourrait être partagée. L’introduction du concept « d’intérêts fondamentaux » qui seraient en-deçà des « intérêts vitaux », dont l’atteinte est la condition d’emploi de l’arme atomique par la France, montre un grand flou là où devrait régner une grande rigueur. Cette question du partage de la dissuasion a été réglée par le général Lucien Poirier. Elle est un non-sens dans la mesure où la « force de frappe » ne peut être que le corollaire de la souveraineté. Or celle-ci est dans le peuple.
Quoi qu’il arrive Emmanuel Macron se heurtera, comme depuis le début de son mandat, à l’impossibilité de définir un intérêt stratégique européen unique.
Quant à la volonté affichée de renforcer le droit international, elle relève également de l’ incohérence alors que la France ne respecte pas les traités comme le Traité de Non-Prolifération et le Traité sur le Commerce des Armes et se refuse à condamner les actions unilatérales des États-Unis d’Amérique.
La France insoumise constate que l’entreprise d’alignement engagée depuis Nicolas Sarkozy ne connaît pas d’inflexion. Elle appelle à l’adoption d’un nouvel indépendantisme français qui permettrait à notre pays de défendre ses intérêts et la paix mondiale.
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Les départs et les exclusions au sein de La République en marche, le risque d’une scission dans le parti présidentiel et l’éventualité du départ du Premier ministre. Ainsi que le début de l’examen du projet de loi sur les retraites par les députés. C’est le sommaire du numéro 61 du P’tit coup de Bourbon. #Bourbon #Chute #LaREM
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Le 22 janvier 2020, la commission des Affaires étrangères auditionnait plusieurs personnalités spécialistes des questions spatiales, notamment le spationaute Thomas Pesquet et le général Michel Friedling (commandement de l’espace au sein de l’Armée de l’air).
Jean-Luc Mélenchon les a interrogés sur les grands enjeux liés à l'activité humaine dans l'espace : la multiplication des débris en orbite basse, la militarisation de l'espace et sa privatisation possible depuis le SpaceX Act américain.
Catégorie Actualités et politique 603 commentaires
Transcription : ... Général : ... pas militarisation mais arsenalisation de l'espace ...
Ndlr : chercher le lien global sur le site an ACT
27 min
Disponible du 12/10/2019 au 17/10/2020
Prochaine diffusion le dimanche 20 octobre à 00:45
Le danger qui pèse sur l'environnement ne réclame-t-il pas une politique plus offensive que celles qui ont été envisagées jusqu'à maintenant ? Débat avec Delphine Batho, présidente de Génération Ecologie, et Ana Catarina Mendes, secrétaire adjointe du parti socialiste portugais.
Les élections européennes ont été marquées par une forte progression des Verts : dix points de plus par rapport à 2014 en Allemagne, et un succès inattendu en France. Mais si l'écologie devient une cause prioritaire, avec à la clé un greenwashing croissant de la part des autres partis, cette timide réorientation est-elle à la mesure de l'urgence ? La menace d'un effondrement général ne devrait-elle pas plutôt susciter une écologie offensive, qui s'attaquerait au réchauffement climatique au lieu de le subir ?
Pays : France Année : 2019
19 ont signé
Julien DM a lancé cette pétition adressée à Emmanuel Macron (Président de la République française.)
Suite aux exactions perpétrées par l'Armée de la République de Turquie en Syrie à l'encontre de la population kurde ayant entraîné des pertes civiles ainsi que la fuite de prisonniers affiliés à Daech ; nous demandons à ce que le match de football opposant l'Équipe nationale de France et l'Équipe nationale de Turquie organisé au Stade de France le 14 Octobre 2019 soit annulé. En effet, il serait intolérable au vu des circonstances politiques qu'un tel événement est lieu, qu'il s'agisse d'entonner l'hymne d'un État en conflit avec nos principaux alliés dans la lutte contre le terrorisme, ou du comportement que pourraient avoir les supporters de l'Équipe Turque. En soutien à nos alliés kurdes et en opposition avec la ligne politique du Président de la République de Turquie M. Erdogan, nous interpellons les instances politiques et sportives afin d'annuler le match.
Par la voie de la fiction, David Dufresne rend compte du soulèvement des Gilets jaunes depuis novembre 2018 et de la dérive autoritaire du maintien de l’ordre. Un roman très politique, qui donne de grandes claques de réalité.
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.#Macron #Économie #GuerreSociale
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Intervention de Jean-Luc Mélenchon le 18 septembre 2019 à l'Assemblée nationale à propos d'un traité de coopération entre l'Union européenne et l'Afghanistan.
Le président du groupe «La France insoumise» a commencé son exposé par parler de la première cause de la guerre : le pétrole et les pipelines. Il a dénoncé le rôle néfaste des États-Unis qui, après avoir entretenu Al Qaïda, sont intervenus militairement officiellement pour détruire cette organisation terroriste.
Jean-Luc Mélenchon a dénoncé les hypocrisies contenues dans le texte de l'accord de coopération UE-Afghanistan, pointant notamment du doigt la question des droits des femmes ou encore de la liberté de conscience. Il a dénoncé un énième accord de libre-échange prônant par exemple la libre circulation des capitaux dans les échanges avec un pays qui est le premier producteur de drogue.
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Atheos il y a 1 jour
C'est autre chose que les analyses bidons des "journalistes" en général.
La garde nationale et les zapatistes.
Traduction @Romane
Le déploiement militaire en cours est le plus important de l’histoire du pays. Pour le nouveau gouvernement, il est absolument nécessaire. Et pas seulement pour le nouveau gouvernement : pour toute l’oligarchie et ladite « classe politique » constituée par toutes les tendances du spectre électoral. La nouvelle Force Armée a été mise en place avec l’approbation « historique » unanime de tous les groupes parlementaires représentés au Pouvoir Législatif fédéral. Les législatures des 32 Etats de la République ont également donné leur aval immédiat, via lequel le président de la République, Andrés Manuel López Obrador, a décrété la création de la Garde Nationale le 26 mars dernier.
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Il faut reconnaître que le combat contre la corruption n’est pas un combat mineur : il générera d’importantes frictions entre des groupes qui ont abusé jusqu’à l’obscénité des ressources publiques.
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Probablement, dans la vision de López Obrador, tous les territoires doivent être « récupérés ». Et pas seulement ceux qui sont aux mains de la délinquance, mais aussi ceux peuplés par les communautés anti-système, étrangères à ce pour quoi l’État bourgeois mexicain a de la considération. Apparemment, la guerre au Chiapas n’est pas terminée.
Blog : www.revoirleslucioles.org
Instantanés d’un territoire ravagé. Des portraits et paysages légendés pour incarner ce Nord-Est Syrien coincé entre le régime de Damas, l’armée turque et Daech, qui tente malgré tout de s’inventer un avenir. De la commune internationale aux camps de réfugiés, du village de Jinwar à la ville martyre de Kobane, retour sur dix jours au Rojava, le long de la frontière turque, avec France Libertés.
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"LE PEUPLE N'A PLUS ENVIE QU'ON PARLE À SA PLACE"
Prix Goncourt 2017, nous avons reçu Éric Vuillard pour un entretien culturel.
Il revient pour nous sur le rapport intemporel qu'entretiennent les auteurs à la description de la pauvreté, la façon qu'ils ont d'utiliser la fiction pour décrire encore mieux le réel mais aussi le basculement de la position des intellectuels qu'a créé le mouvement des Gilets Jaunes en se réappropriant l'écriture de sa propre histoire.
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C’est le Jour J. Après la cérémonie internationale qui a eu lieu à Portsmouth hier en présence de nombreux chefs d’État, c’est au tour de la France de commémorer le débarquement allié qui se déroulait le 6 juin 1944 sur les plages de Normandie. Emmanuel Macron et Donald Trump ont donc rendu hommage aux milliers de soldats alliés qui ont aidé à libérer le pays du joug nazi. Étaient présents quelque 500 vétérans, pour la plupart centenaires, de cette grande opération militaire. Cependant, si l’heure est au souvenir et à l’hommage rendu à ces héros de la Seconde Guerre mondiale, la visite de Donald Trump en France se déroule dans un contexte diplomatique compliqué. La remise en cause, de plus en plus forte, du multilatéralisme par Donald Trump irrite les chefs d’État européens, Emmanuel Macron compris. Le président américain semble en effet « tourner le dos à l’Europe », comme l’analyse le journal Le Monde. Les deux chefs d’État se sont appliqués à rappeler les liens forts qui unissent les deux pays. « Je tiens beaucoup à cette relation historique » a déclaré Emmanuel Macron, alors que Donald Trump a parlé pour sa part de « liens incassables ». Mais dans son discours de commémoration, Emmanuel Macron a tout de même eu une déclaration lourde de sens dans le contexte actuel d’isolationnisme américain : « L’Amérique n’est jamais aussi grande que lorsqu’elle se bat pour la liberté des autres ». Une réunion bilatérale entre Trump et Macron a eu lieu à la préfecture de Caen dans la foulée de la cérémonie. Le multilatéralisme hérité de la victoire des alliés lors de la Seconde Guerre mondiale est-il en danger ? La commémoration du Débarquement est-elle l’occasion de renouer des liens diplomatiques forts entre la France et les États-Unis ? La France peut-elle se passer de son allié américain dans le contexte géopolitique actuel ?
Invités :
• François Clemenceau - Rédacteur en chef international pour le Journal du dimanche.
• Thomas Snégaroff - Historien.
• Isabelle Lasserre - Responsable des questions de diplomatie et de stratégie pour Le Figaro.
• Jean-Vincent Brisset - Directeur de recherche à l’IRIS et spécialiste des questions de défense
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Le ton monte entre Washington et Téhéran. Un an après la décision de Donald Trump de retirer les États-Unis de l’accord signé à Vienne en 2015, et de rétablir progressivement les sanctions économiques américaines visant l’Iran, Téhéran a décidé de cesser d’appliquer « certains » de « ses engagements » pris dans le cadre de l’accord international sur son programme nucléaire, notamment sur la quantité de ses stocks d’uranium enrichi et d’eau lourde. L’Iran donne également « 60 jours » aux pays encore signataires de ce pacte (Allemagne, Chine, France, Grande-Bretagne et Russie) pour qu’ils respectent « leurs engagements », en particulier en levant les sanctions dans le domaine bancaire et pétrolier. Cette décision iranienne intervient dans un contexte de grande tension avec les États-Unis. Le secrétaire d’État américain, Mike Pompeo, a fait mardi une visite surprise à Bagdad, affirmant disposer d’informations sur « une escalade des activités de l’Iran » qu’il a accusé de préparer des « attaques imminentes » contre les forces américaines dans la région. Et depuis 48 heures, le Pentagone envoie des renforts militaires dans le secteur : un porte-avions a été dérouté, plusieurs bombardiers B-52 et des systèmes de défense anti-missile vont ainsi être déployés. Mais les États-Unis craignent-ils vraiment une attaque de l'Iran ? Que vont décider les Européens, la Russie et la Chine ? La deuxième puissance mondiale, engagée dans une guerre commerciale avec les États-Unis, pourrait-elle ne pas se soumettre aux décisions américaines ? Quels sont les calculs de Trump ? Après avoir décrété un embargo total sur le pétrole iranien à partir du 2 mai, le président des États-Unis a accusé la Chine de revenir sur de précédents engagements et de faire traîner les négociations commerciales en cours. Il a également menacé d'appliquer des droits de douanes supplémentaires sur 200 milliards de dollars de produits chinois d'ici ce vendredi. Coup de bluff ou pas ? Fort d’un contexte économique intérieur florissant, et d’une popularité record, le président des États-Unis semble avoir décidé de renfiler sa tunique de « Monsieur droits de douanes ». Une stratégie qui illustre néanmoins l’impasse dans laquelle se trouve les négociations commerciales entre les deux superpuissances et qui a suscité un vent de panique sur les marchés boursier mondiaux.
Invités :
François Clemenceau - Rédacteur en chef international au Journal du Dimanche
Philippe Dessertine - Directeur de l’Institut de Haute Finance
Thomas Snegaroff - Historien, spécialiste des États-Unis
Valérie Niquet - Responsable du pôle Asie à la Fondation pour la recherche stratégique
Catégorie Divertissement
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Vidéo extraite de DAWLA - Crise capitaliste au Moyen orient
L’État Islamique, ou DAESH, attire tous les regards, mais son image est brouillée. Le reflet qui nous parvient via les médias est celui d’une foire aux atrocités soigneusement mise en scène, ou d’épisodes guerriers choisis en fonction d’obscurs intérêts politico-militaires. Mais parmi les groupes « rebelles » ayant émergé durant le conflit irako-syrien, l’EI tente de mettre en place une structure de type étatique et qui s’appuie sur un projet politique structuré et ambitieux : le rétablissement du Califat disparu en 1258 qui implique une critique du monde, de sa marche, de l’Occident, de la démocratie, du nationalisme, etc. Est-ce à dire une critique du capitalisme ? Certainement pas, mais plutôt celle de certains de ses maux et excès, ceux qui entraveraient le fonctionnement libre et harmonieux d’une société califale rêvée… et surtout de son économie.
Source:
https://www.youtube.com/watch?v=eb1DkqrtVvM
Vidéo soumise à une limite d'âge (conformément au règlement de la communauté)
Catégorie
Éducation
Connue
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https://twitter.com/GDeloison91/status/1069311790364925952
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Guillaume Deloison @GDeloison91
4 hil y a 4 heures
Dernière partie de DAWLA!
DAESH OU LA CONTRE REVOLUTION DE L'ETAT:
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L’Université américaine Brown a publié son rapport annuel sur "Les coûts de la guerre". Ce rapport est un décompte humain et financier de la guerre déclenchée contre le terrorisme après le 11 septembre 2001. Les États-Unis ont dépensé près de 6 000 milliards de dollars dans cette guerre globale. En outre, les chercheurs de la Brown University ont estimé qu'entre 480 000 et 507 000 civils ont été tuées en Iraq, en Afghanistan et au Pakistan.
Désormais, le gouvernement américain mène des activités dites antiterroristes dans 76 pays, soit environ 39% des pays au monde. Elargissant ainsi considérablement la guerre antiterroriste à travers le monde.
Depuis le 11 septembre 2001, Afghanistan, Pakistan, Irak, Libye, Syrie, Yemen, bases américaines de l’Africom en Afrique de l’ouest, bientôt l’Iran si on en croit les dernières déclarations de Donald Trump, la guerre contre le terrorisme, prophétie auto-réalisatrice, est effectivement devenue globale. Et réelle.
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