Manon Aubry, eurodéputée LFI, co-présidente du groupe de la gauche au Parlement européen et tête de liste LFI est l'invitée de Questions politiques ce dimanche.
Tr.: ...
suspendre l'accord d'association entre UE et Israël ... risque de génocide ... Rima Hassan ... le 9 juin élections européennes ... contre les accords de libre-échange ... 3 victoires - protection sociale des travailleurs ubérisés:déliveroo - devoir de vigilance pour que les entreprises multinationales qui violent les droits humains sur leurs chaînes de production soient rendues responsables - une autorité éthique indépendante pour que enfin toutes les pratiques de corruption au parlement européen cessent ... il y a une dimension nationale dans ce scrutin ... Ruffin ... europe de la défense ... /souveraineté vendue par l'UE ... éoliennes, photovoltaïque ... pol de réindustrialisation planification investissement ... une coopération industrielle militaire ... économie dette recette là où elles sont ultra-riches isf, super-profits taxés, bloquer les profits ... B.Lemaire tue l'état providence massacre social ... obj en finale avec l'extrême droite ... défense du programme de la NUPES son chapitre sur l'UE ...
2ème invité (QUI ??) / Livre de la semaine Préserver la Laïcité /loi sur le voile en 2004 fonctionne bien ... /abayas ... aller vers l'émancipation, penser pour soi-même ...
Invité Clément Beaune, député de Paris de la majorité, après avoir été secrétaire d'État puis 2 fois ministre
Tr.: ... Valérie Hayer portera les couleurs de Renaissance ...
Avec :
- Robin Rivaton, économiste, membre du conseil scientifique de la Fondapol
- Sandra Hoibian, directrice générale du CRÉDOC
- Henri Buzy-Cazaux, présidente fondateur de l'Institut du Management des Services immobilisers
- Corinne Jolly, Présidente de PAP - Particulier à Particulier
57% de propriétaires, ce taux n'a pas changé ... sentiment de déclassement, manque de fludité, manque de mobilité résidentielle, précarisation ... plan de 1 milliard d'€ pour l'habitat intermédiaire pour les classes moyennes ... mobil-home ... secteur victime d'injonctions contradictoires ... inventer de nouvelles solutions que les taux ... 6000 normes (avant 4000) ... recours, attitude des maires ... contrainte environnementales ... 150 000 logements en moins ... dégradation des conditions de logements en vue comme en Grande-Bretagne ... changement du rapport au travail pour meilleure qualité de vie, baisse d'attractivité de l'ile-de-France ... au profit des villes moyennes proches de la mer ... 3,6 millions de résidences secondaires en augmentation ... 3 millions de logements en ruine ... le niveau des impayés n'est que de 2%. Les relations propriétaire-locataire se passent bien ... déconcentrer ... l'Oise 2ème plus fort taux de chômage de France ... les naissances dans les zones urbaines ... développer les réseaux de transport ... clé des inégalités 50% des fr possèdent 95% du patrimoine, 2 fois plus élevé que les revenus ... le DPE de la loi ... et résilience ... changement de mode de calcul ... les diagnostics ne sont pas fiables ... en refaire un ... revoir formation et certification ...
Collectif des Associations Citoyennes
RAPPORT DE L’OBSERVATOIRE CITOYEN DE LA MARCHANDISATION DES ASSOCIATIONS (2023)
#associations #marchandisation #marchandisationdesassociations
Article mis en ligne le 16 mars 2024
dernière modification le 14 mars 2024
MARCHANDISATION ET FINANCIARISATION DES ASSOCIATIONS
Décryptage d’un processus
Coordonné par Marianne Langlet du Collectif des associations citoyennes
Synthèse :
La création de l’observatoire citoyen de la marchandisation des associations répond à un besoin : comprendre les logiques de marché qui traversent les associations pour pouvoir mieux défendre l’un des socles associatifs : la non-lucrativité entendue comme l’absence de marchandisation d’espaces, de liens, de soins, de relations, de culture,
d’éducation qui jusqu’alors échappaient aux logiques de marché, aux impératifs de rentabilité.
Ce premier rapport vise à décrire le paysage associatif dans ce contexte de marchandisation. Qu’entendons-nous par ce terme ? Comment s’articule-t-il avec les constats d’instrumentalisation, de managérialisation et de mise à mal des libertés associatives que constatent nombre d’acteurs associatifs ?
Depuis les années 1980 et l’arrivée du New public management, l’État s’imprègne de logiques venues du privé lucratif qui s’imposent aux services publics et aux associations. La politique européenne construite sur une économie libérale pousse également les associations à se percevoir comme des entreprises.
Faire plus avec moins, appliquer des impératifs de performance, mettre les associations en concurrence via les appels à projet ou appels d’offre devient la règle. La commande publique prend le pas sur la subvention et autorise l’entrée dans des secteurs jusqu’alors préservés de sociétés privées lucratives.
Certaines associations s’inscrivent dans cette nouvelle vision et revendiquent un statut d’entrepreneuriat social. Alors que le système économique actuel fait face à des critiques de plus en plus fortes des mouvements citoyens, ces nouveaux entrepreneurs assurent vouloir changer le monde. Ils portent le récit d’un sauvetage des pauvres et de la planète par le marché. Ils maintiennent se faisant une vision de l’économie axée sur l’impératif de croissance qui aujourd’hui se heurte aux réalités d’un monde qui, pour faire face aux enjeux sociaux et écologiques majeurs, doit revenir dans des cadres socialement et écologiquement soutenables.
Ce discours trouve toute sa force avec la notion d’investissement à impact social qui assure pouvoir faire le bien et du profit en même temps. En France, cette approche prend appui sur un pouvoir en place acquis à cette vision. Cet appui permet de développer notamment les contrats à impact social qui transforment des projets associatifs en produits d’investissements financiers. La France est devenue, derrière l’Angleterre, le pays européen leader en nombre de ces contrats.
Les contrats à impact engagent plusieurs acteurs :
un investisseur privé, une association, l’État ou une collectivité territoriale qui signent, accompagnés par un structurateur, un contrat cadre définissant pour l’association des indicateurs de résultats, des mesures d’impact social à atteindre. Ces indicateurs seront ensuite évalués par un évaluateur indépendant, si les mesures d’impact social sont atteintes, alors l’État ou la collectivité territoriale rembourse l’intégralité du projet (structurateur et évaluateur compris) avec des taux d’intérêt qui peuvent aller jusqu’à 6% en France, beaucoup plus à l’étranger.
Nous proposons un tableau qui recense tous les contrats actuellement signés ou en cours de signature en France et présentons quelques exemples de contrats. D’autres formes d’investissement à impact existent : fonds à impact social, prêts à impact social, contrats à impact de développement.
En parallèle, les entreprises revendiquent des impacts sociaux et écologiques positifs et s’inscrivent comme entreprise à mission, entreprise à impact ou startup à impact avec pour effet un flou grandissant entre ce qui relève de l’entreprise ou de l’association. Le modèle du Social business porté par Muhammad Yunus semble l’apogée de cette disparition des frontières entre entreprise et association.
Le modèle de l’investissement à impact repose sur la notion de mesure d’impact social ou écologique.
Cette notion vient supplanter celle d’utilité sociale, voire d’intérêt général qui guidait jusqu’alors les pratiques d’évaluation des associations. Cette transformation marque un changement profond des pratiques associatives et de ses modes de financement pour aller vers un paiement aux résultats, voire une financiarisation des associations transformées en produit d’investissement financier.
Notre rapport vise à revenir dans une première partie sur le processus de marchandisation des associations pour tenter de dégager les grandes lignes qui le définissent. Une deuxième partie plongera plus spécifiquement sur ce que nous nommons un processus de financiarisation qui augure d’un nouveau type de financement associatif qu’il nous semble urgent de décrypter. Dans ce travail, le sens des mots est essentiel, nous avons émaillé ce rapport de propositions de définition sur certains mots clés, pour en partager notre compréhension.
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ont participé à la réalisation de ce rapport : Martin Bobel, Isabelle Boyer, Sylvain Celle, Michel Chauvière, Eric Denoyelle, Jean-Baptiste Jobard, Luc de Larminat, Jean-Louis Laville, Jean-Michel Lucas, Nicole Picquart, Olivier Picot, Maël Pousset, Gilles Rouby, Pierre Smet, Marion Studer.
Graphisme et Mise en page : Marie-Pierre Mouisset
EXTRAITS SIGNIFICATIFS DU RAPPORT
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Postface à plusieurs voix
Les chapitres auxquels vous avez échappés ou ceux que vous voudriez ajouter
Ce rapport n’est qu’une première marche d’un travail de l’observatoire inscrit dans la durée. Chaque partie de ce rapport pourrait faire l’objet de développement et d’approfondissement. Beaucoup de sujets connexes ou liés sont passés sous silence. Si nous en faisions une liste à la Prévert nous y trouverions : la question de la place des fondations dans ces processus, l’incarnation de la marchandisation et de la financiarisation dans chaque secteur associatif, la place des grandes organisations non gouvernementales... Et vous, quels chapitres viendrez-vous ajouter ? En attendant votre contribution, (qui pourra trouver place sur notre site) nous avons déjà reçu quelques textes pour éclairer ce rapport ou ouvrir de futurs champs de travail.
Qu’est-ce que la chalandisation ? Par Michel Chauvière (1)
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(1) Directeur de recherche émérite au CNRS, CERSA, université Paris 2.
(2) Michel Chauvière, Trop de gestion tue le social. Essai sur une discrète chalandisation, Paris, La Découverte, 2007, seconde édition complétée 2010.
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(3) Henry Joël, Chauvière Michel, « Quel statut pour les services sociaux dans l’union européenne ? Arguments pour des services sociaux non économiques d’intérêt général », RDSS, Revue de Droit Sanitaire et Social, n°6, novembre-décembre2011, pp. 1043-1058 (traduction : “ Public policy standards and regulations. The status of social services in the European union. The case for non-economic social services of general interest ”, pour diffusion dans les instances européennes concernées).
Le contrat à impact social : erreur et faute Par Jean-Michel Lucas (1)
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(1) Membre fondateur du laboratoire de transition vers les droits culturels,
(2) Rapport de Frédéric Lavenir « Pour un développement du contrat à impact social au service des politiques publiques » p. 9, publié par le Haut Commissariat à l’économie sociale et solidaire et à l’innovation sociale, 30 juin 2019.
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Le contrat à impact social organise la disparition de la personne•••
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(6) Rapport Cazenave : « Propositions pour le développement des contrats à impact en France ». Janvier 2022. https://bit.ly/3R3o300
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L’obsession comptable fait oublier que l’être humain est un être de conscience, de sensibilité et de récits qui se raconte des histoires et qui en raconte aux autres. •••
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(7) On reconnaîtra dans cette expression « exprimer son humanité » la définition même de ce qu’est la culture pour le corpus des droits humains fondamentaux (voir par exemple : Jean-Michel Lucas https://bit.ly/3kLMu60
(8) Joseph Wresinski, « Culture et grande pauvreté » voir https://bit.ly/3wsWDax
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(9) Axel Honneth : Le droit de la liberté : esquisse d’une éthicité démocratique, NRF.
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Caractéristiques et effets du néolibéralisme Par Jean-Louis Laville et Anne Salmon
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Connu / https://diaspora-fr.org/posts/10064089
Ndlr : confirme TOTALEMENT mes hypothèses : l'ESS a été canibalisée par l'État néolibéralisé.
Connu / TG le 14/03/24 à 16:34
Climat, la grande affaire locale 1 / 29
Publié le 12/03/2024 à 17h56 / Pascale Tessier
Sujets relatifs :
Dérèglement climatique, Aménagement urbain, Urbanisme
Pierre Moscovici présente le 12 mars 2024 le rapport annuel de la Cour des comptes. © Cour des comptes
Simplification des diagnostics, trajectoires claires et désignation d’un pilote dans l’avion : voilà ce que préconisent les magistrats financiers aux collectivités devant adapter la ville au dérèglement climatique.
Après la crise sanitaire en 2022 et la décentralisation en 2023, la Cour des comptes a choisi comme objet de son rapport annuel 2024 l’action en faveur de l’adaptation au changement climatique. Et au terme d’investigations menées auprès de 19 villes et intercommunalités de plus de 50 000 habitants, le président Pierre Moscovici a mis l’accent le 12 mars sur « l’ensemble des mesures à prendre pour continuer à vivre dans des conditions supportables », dans un contexte où, malgré ce qui a été engagé, le changement climatique reste « inéluctable et irréversible. » Après n’avoir pris, pour certaines, la mesure de l’urgence que face à la multiplication des épisodes météorologiques extrêmes et les implications sur les conditions de vie des habitants, les collectivités se voient rappelées à l’ordre par... des magistrats financiers.
Lire aussi L’heure de l’adaptation au changement climatique a plus que sonné pour les collectivités locales
Pour une simplification drastique
Pour Pierre[…]
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Publié : 10 mars 2024 à 7 h 30 min
Auteur : entreleslignesentrelesmots
Catégories : Colonisation
En juin 2021, le MRAP a adressé une lettre ouverte au Président de la République, Emmanuel Macron, publiée dans le journal L’Humanité et soutenue par plusieurs personnalités et associations, pour demander la création d’un musée national de la colonisation. Pour en favoriser l’émergence, la MRAP a depuis conçu, avec le soutien de la DILCRAH, une exposition pédagogique […]
Ligne de train ANGOULEME- LIMOGES: Tous les élu.es locaux, tous les habitant.es du bassin réclament le financement des travaux de régénération de la ligne de trains Angoulême Limoges. Il faut être présent lors de LA MARCHE DU RAIL organisée par le collectif d'usager et usagères ANGOULIM et les Comités de Vigilance Ferroviaire Limousin et Poitou-Charentes et venir échanger avec les marcheurs et marcheuses du rail et nos élu.es dans les différentes gares traversées : • Mercredi 13 Mars 15h00 17h00 –gare de Chabanais – allocutions – lancement officiel de la marche du rail par Didier Le Reste de Convergence Nationale du Rail • Jeudi 14 Mars 10h30 à 12h30 – gare de Roumazières • Jeudi 14 Mars 17h30 à 19h00 – gare de Chasseneuil sur Bonnieure • Vendredi 15 Mars 10h30 à 12h00 – gare de La Rochefoucauld • Samedi 16 Mars 11h00 à 11h30 gare de Ruelle sur Touvre Et nous vous donnons rendez-vous devant la gare d'Angoulême le samedi 16 mars à 14h pour un grand rassemblement de soutien à la RENAISSANCE DE LA LIGNE ANGOULEME LIMOGES avant de conclure en cortège cette marche en direction de la Préfecture.
Le collectif Angoulim organise une marche du rail du 13 au 16 Mars, entre les gares de Saillat/Chassenon et Angoulême. Les marcheurs demandent la réouverture de la ligne TER Limoges Angoulême alors que les négociations semblent durer entre les collectivités et l’État sur le financement des travaux.
Ecoutez Bernard Puech, président du collectif Angoulim. Il est l’invité de Christophe Gourcerol.
Angoulim ; Charente E Limousin ; Ligne Limoges-Angoulême ; Porte océane du Limousin ; Saint-Junien ; ter ; train
Tr.: ... Déborah Garcia
médiatrice à l'école de l'ADN (Poitiers)
on va parler de la résistance aux antibiotiques ... l'ADN ... impacts physiologiques ... des populations de plus en plus résistantes aux antibiotiques ... apporter des moyens aux collèges ... du matériel pour chaque élève ... utiliser les micro-pipettes ... un génome commun, des différences permettent d'identifier ces individus ... lieu du crime ...
Comment Macron et Attal vont vous rendre encore plus pauvres / Par Lisa Lap - L'instant Porcher - 4 mars 2024 - 20H30
Retraites, chômage, soins, droits sociaux… des domaines bien affaiblis depuis plusieurs années. Et des cibles bien marquées pendant les deux quinquennats Macron. Les pauvres sont de plus en plus nombreux, et de plus en plus pauvres. Les français en général subissent et ressentent un déclassement.
Après 3 réformes en 7 ans, Gabriel Attal a relancé la guerre au chômage, ou aux chômeurs, on ne sait plus. L’exécutif prévoit une nouvelle fois de réduire les droits au chômage. Rien ne semble décidé mais sont dans la ligne de mire, une nouvelle fois, la durée d’indemnisation, les avantages des plus de 55 ans ou encore accentuer la dégressivité des allocations. On vous parlait déjà il y a quelques semaines des révélations de Médiapart : l'exécutif étudierait plusieurs pistes, comme une baisse supplémentaire de 20 % de la durée d’indemnisation (passant de 18 mois à 14 mois, quand c’était 24 mois il y un an), ou encore la suppression des fins de droit.
Gabriel Attal présente plusieurs arguments, notamment, les PME qui auraient du mal à recruter. Ou encore les dernières prévisions de l’Unédic, excédentaire mais à la baisse. Le Premier Ministre maintient l’idée que le travail doit rapporter davantage que de ne pas travailler. Au lieu d’améliorer la situation des travailleurs, ce sont les sans emplois qui seront donc ciblés. “Emmanuel Macron veut mettre fin au modèle social”, explique Thomas Porcher. Lisa Lap et l’économiste détaille comment l’exécutif veut diviser pauvres et classes moyennes travailleuses.
Le salon de l’agriculture a ouvert ses portes il y a une semaine en pleine colère agricole. Le Président, comme à son habitude, a joué au jeu du terrain, manches retroussées et vocabulaire tranché, et a annoncé la mise en place d’un “prix plancher”, revendication principale du syndicat confédération paysanne, qui lutte contre l'agro-industrie. La direction de la FNSEA, elle, juge cette mesure impossible à mettre en œuvre. Une mesure loin d’être soviétique, détaille Thomas Porcher. Mais aussi impossible à mettre en oeuvre avec de tels accords de libre échange actuellement votés, explique l’économiste. Jeudi, deux traités de libre échange avec le Kenya et le Chili ont été votés au parlement européen, avec les voix du camp Macron. Une énième arme donnée aux multinationales, qui va affaiblir tout le reste, selon Thomas Porcher.
Convier l'humanité dans l'histoire naturelle
Marc-André SELOSSE
[Actes Sud] Nature
Hors collection mars, 2024 14.00 x 20.50 cm 448 pages Prix indicatif : 25.00€
Essais, Documents
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Au fil de cette odyssée, profondément humaniste, se dessinent avec clarté l’essence et l’espoir de nos vies : notre lien aux vivants, qui pourrait nous sauver de nos errements.
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Connu / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?lcKYsQ
Nature et préjugés - Mardi 5 mars 2024 / La terre au carré
Comment recréer notre lien aux vivants pour nous sauver de nos errements ? Dans "Nature et préjugés" le biologiste Marc André Selosse propose une balade en histoire naturelle pour déconstruire les idées reçues sur la nature.
"Nature et préjugés" est le titre du dernier essai du biologiste Marc-André Selosse. Il nous invite à replonger dans l'histoire naturelle pour comprendre et ainsi mieux penser la nature. Des idées reçues sur la nature, Il en a glanées lors des conférences et rencontres avec le public... Par exemple “L'intelligence des plantes” ou “la nature est bien faite !”, “l’entraide est une loi naturelle” ou encore “vivre, c’est être autonome ”. Mais cela nous a empêché de voir la nature telle qu'elle est. Dans "Nature et préjugés, Convier l'humanité dans l'histoire naturelle" édité chez Actes Sud, Marc-André Selosse propose d' étonner et d'émerveiller sur le vivant, d'éclairer notre avenir en transcendant des idées reçues et de dessiner l’humanité en filigrane de la nature. " En positionnant les humains dans la biosphère actuelle (grâce à l’écologie) et dans les temps passés et à venir (grâce à l’évolution biologique), je conterai une histoire naturelle qui nous enracine étroitement dans le monde vivant. Je veux montrer comment l’humanité est née en nature et combien cela donne un sens à nos existences" ajoute t il. La nature est une boite à outils dans laquelle il y a toutes les solutions pour vivre mieux en respectant notre environnement.
Il est Biologiste spécialisé en mycologie et professeur du Muséum national d’histoire naturelle, auteur de « Nature et préjugés. Convier l’humanité dans l’histoire naturelle » Actes Sud.
Le 16 mars Marc André Selosse donnera « une leçon de bio écologie "au MK2 Austerlitz à 11H et présentera « Nature et préjugés » » comme une séance de cinéma !
Chroniques Camille passe au vert - 5 min Les chauves-souris et leur pénis surdimensionné en forme de cœur : mystère élucidé ! La sexualité des chauves-souris est mystérieuse pour la science, mais des chercheurs ont découvert comment les sérotines communes se reproduisent, alors que les organes génitaux semblent incompatibles, le pénis des mâles étant énorme, et dispropotionné face à un vagin minuscule chez la femelle.
Clés : Environnement Écologie Biodiversité
L’économiste Guillaume Allègre propose, dans une tribune au « Monde », de modifier les règles de versement du revenu de solidarité active afin d’éviter les pièges qui aggravent la situation des plus vulnérables.
Publié aujourd’hui à 07h00 Temps de Lecture 3 min.
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Connu / https://mastodon.top/@gallegre@mas.to/112042013861151301
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Luc Ⓐ🏴 ⏚ a partagé 6 gallegre@mas.to framasky@framapiaf.org Guillaume Allègre @gallegre@mas.to
Ma tribune dans Le Monde. Mon titre original était : "Juliette ou les malheurs de la vulnérabilité". Celui-ci est plus explicite !
Le Monde · 8 h
RSA : « La spirale de la pauvreté est alimentée par une technocratie qui ne cherche que la fraude et pas le non-recours »
Par Guillaume Allègre
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Caroline Colombier a voté contre ce droit / AFP
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Par Ismaël KARROUM, publié le 5 mars 2024 à 10h34.
Caroline Colombier n’a pas voté comme Marine Le Pen et s’est opposée à l’inscription du droit à l’IVG dans la constitution.
Ce lundi, la France est devenue le premier pays au monde à inscrire le droit à l’IVG dans sa constitution.
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En Nouvelle-Aquitaine, quatre parlementaires ont voté contre ce texte : Caroline Colombier donc ainsi que le député RN de Gironde Grégoire de Fournas, et les sénateurs LR Daniel Laurent de Charente-Maritime et Christine Bonfanti-Dossat du Lot-et-Garonne.
Les sujets associés France Société Politique
Modélisation 3D de la ville de Neom, projet pharaonique de luxe, actuellement en construction au milieu du désert saoudien, 26 juillet 2022. - AFP PHOTO – NEOM
EDF va bâtir une centrale hydroélectrique sur le site de Neom, une mégalopole en construction dans le désert saoudien. Cette cité pharaonique est décriée pour son impact humain et environnemental, et suscite de vives réticences au sein d’EDF.
Avec
- Jacques Monin Directeur des enquêtes et de l’investigation de Radio France
- Géraldine Hallot Journaliste à la cellule investigation de Radio France
Au sein d’EDF, parmi les initiés, on l’appelle le projet Nestor. Il s’agit de concevoir et de construire, au beau milieu du désert saoudien, loin du front de mer et de toute source d’eau naturelle, une centrale hydroélectrique. Un véritable défi technique. Mais s’il enthousiasme les dirigeants de l’entreprise publique, ce projet, que révèle la cellule investigation de Radio France, heurte la conscience environnementale de nombreux salariés. Ils sont abasourdis par la démesure de Neom, la mégalopole saoudienne en construction, au cœur de laquelle cette centrale d’EDF sera implantée.
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Rien que son nom annonce la couleur. Neom est la contraction de Neo (“nouveau” en grec) et de M (la première lettre de Mustaqbal, “futur” en arabe). “Nouveau futur” donc.
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The Line (la ligne, en français) sera une ville de 500m de haut, 200m de large et 170 km de long. Modélisation 3D datée du 26 juillet 2022. - AFP – NEOM
D’après les architectes de renom qui œuvrent à sa conception, The Line sera une ville verticale, avec des modules empilés : appartements, commerces, équipements sportifs... Le million d’habitants qui est attendu (9 millions à terme), se déplacerait davantage de haut en bas qu’horizontalement, grâce notamment à des “taxis volants”, comme dans le film de Luc Besson Le Cinquième élément. Il n’y aura pas de rues, pas de voiture… et aucune émission carbone, promettent les Saoudiens.
C’est là qu’intervient EDF. “The Line est censée fonctionner uniquement avec des énergies renouvelables, le vent et le soleil", raconte un bon connaisseur du projet au sein d’EDF. "Or l’éolien et le photovoltaïque sont des énergies intermittentes. Pour qu’il y ait de l’électricité, même quand il fait nuit ou qu’il n’y a pas de vent, ils ont besoin de notre STEP.”
Derrière cet acronyme, se cache un type particulier de centrale hydroélectrique : une station de transfert d’électricité par pompage-turbinage. EDF en exploite six en France et plusieurs autres à l’étranger. Les STEP permettent de produire de l’électricité (turbinage) et d’en stocker (pompage) grâce à deux réservoirs d’eau, l’un situé en hauteur, l’autre en aval, et ainsi d’ajuster l’offre et la demande d’électricité, sans coupure de courant. Cette technologie est 100% verte et c’est en cela qu’elle intéresse les Saoudiens.
“Ce n’est pas notre EDF”
EDF, via sa filiale EDF Renouvelables, exploite déjà un parc solaire au sud de Jeddah et un parc éolien dans la région d’Al Jouf. Ces deux installations n’ont souffert d’aucune contestation, car elles alimentent en électricité les foyers saoudiens. Ce qui ne semble pas être l’objectif principal de la future STEP. “Le problème, ce n’est pas de construire une centrale hydroélectrique en Arabie Saoudite, c'est de la construire à Neom”, explique Jean-Yves Ségura, représentant du personnel et délégué Force Ouvrière (FO) à EDF Hydro. “Bien évidemment, l’Arabie Saoudite, comme tous les pays, doit se décarboner. Et les centrales hydroélectriques, notamment les centrales de pompage-turbinage, peuvent participer à cette décarbonation", estime le délégué syndical. "Mais Neom nous gêne parce que c'est un projet pharaonique qui ne bénéficiera pas à la population saoudienne. Ce sera pour faire du tourisme de luxe au milieu du désert. Et ça, ce n’est pas du tout durable.”
“Quantité de voyants sont au rouge écarlate”, renchérit Edouard*, ingénieur chez EDF Hydro. Il voit dans Neom un projet “délétère”, “dans lequel on joue au golf et on organise des Jeux d'hiver au milieu du désert. Le tout éclairé par une lune artificielle et où on se déplace en taxi volant”, dénonce-t-il, faisant référence aux annonces les plus osées et sûrement irréalistes de MBS. “Tout cela, ce n'est pas EDF. Ce n'est pas notre EDF. C'est un paradoxe de demander la sobriété en France et de s'impliquer dans un projet à ce point délirant à l’étranger.”
Vue 3D de l’intérieur de Neom (ou The Line), une ville ultra-technologique tout en hauteur, dans le désert saoudien. - AFP PHOTO – NEOM
D’après cet ingénieur expérimenté, “toutes les voies de recours disponibles en interne ont été activées, sans succès”.
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“Management à la France Télécom”
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De l’eau dans le désert
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Le prince saoudien Mohammed ben Salman fait la promotion de son projet titanesque “une ville verte” au milieu du désert : The Line, le 10 janvier 2021. © AFP - Bendar Al-Jaoud
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Selon nos informations, dans un premier temps, EDF ne fera que concevoir cette centrale et supervisera les travaux. Mais elle devrait par la suite l’exploiter et se rémunérer en vendant l’électricité produite. “Si on exploite la centrale, ça rapportera plusieurs milliards. Ce sera une machine à cash”, nous explique-t-on en interne.
L’affaire Khashoggi en arrière-plan
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Le problème, c’est que deux semaines plus tôt, le 2 octobre 2018, le journaliste et opposant saoudien Jamal Khashoggi, était assassiné au consulat d’Arabie Saoudite à Istanbul. Son corps, qui n’a jamais été retrouvé, aurait été démembré. Le renseignement américain considère que le prince héritier en personne a commandité cet assassinat. À cette époque, l’Arabie Saoudite devient persona non grata au sein de la communauté internationale. MBS, lucide, aurait prédit, selon un aveu rapporté dans le Financial Times que “personne n’investira dans Neom pendant des années”. EDF ne semble pourtant pas avoir pris ses distances avec le royaume puisque la note technique d’octobre 2018 est complétée par une autre note datée du 11 février 2019, dans laquelle l’entreprise propose d’étudier les endroits susceptibles d’accueillir une centrale hydroélectrique.
Marche en mémoire du journaliste Jamal Khashoggi devant le consulat d’Arabie saoudite à Istanbul, pour le 2e anniversaire de son assassinat, le 2 octobre 2020. © AFP - Ozan KOSE
Ce positionnement est d’autant plus étonnant que dans le même temps, le PDG d’EDF Jean-Bernard Lévy(1) choisissait de boycotter, comme bon nombre de patrons français et internationaux, le “Future Investment Initiative” (surnommé le “Davos du désert”) organisé par MBS à Riyad. Un rendez-vous auquel le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, avait lui-même renoncé, horrifié par l’assassinat de Jamal Khashoggi.
De nombreuses arrestations
Au-delà du cas du journaliste assassiné, on s’émeut aussi désormais, au sein d’EDF, du sort des populations locales de la province de Tabuk. Dans la tribu des Howeitat, nombreux sont ceux qui refusent de vendre leurs terres à l’État saoudien pour laisser la place à Neom. En avril 2020, Abdul Rahim al-Huwaiti, a été abattu par les forces de sécurité, alors qu’il s’opposait à son expulsion. Depuis, de nombreux membres de la tribu ont été arrêtés, et cinq d’entre eux ont été condamnés à mort, officiellement pour “atteinte à la sûreté de l’État”.
“Des Saoudiens vont se faire couper la tête pour avoir refusé de quitter leur maison. C’est grave”, s’alarme Lina Al-Hathloul, militante saoudienne des droits de l’Homme exilée à Bruxelles, où nous l’avons rencontrée. Avec l’ONG Alqst, elle documente les atteintes aux droits de l’Homme provoquées par la construction de Neom. “Ce projet n’est pas souhaité par le peuple saoudien. Ce n’est pas sa priorité. Nos villes existantes n'ont pas de transports en commun. C'est peut-être là-dessus qu’il faut travailler, plutôt que sur ce projet vaniteux qui se fait sur le sang du peuple saoudien.”
Lina Al-Hathloul insiste sur le climat de “terreur” qui entourerait l’émergence de Neom. “L'Arabie Saoudite s’est transformée en État policier. Tous les procès ont lieu à huis clos, et on ne sait pas ce qu’il s’y passe”, dénonce la jeune femme, dont la sœur Loujain a passé plusieurs années en prison pour s’être opposée au pouvoir(2). “Les gens ont tellement peur, ils sont tellement surveillés que simplement faire passer une information sur Neom peut leur porter préjudice. Ils peuvent être incriminés pour cela.” Lina Al-Hathloul ne demande pas pour autant aux entreprises françaises comme EDF de boycotter Neom. Simplement “d’oser aborder publiquement auprès des autorités saoudiennes les atteintes aux droits de l’Homme”.
1,8 milliard de tonnes de Co2
Dans l’offre qu’elle a soumise à Neom Company, EDF a pris soin d’insérer sa charte éthique. Le groupe s’engage à “promouvoir et respecter la protection des droits de l'Homme” et à “ne pas être complices de violations des droits de l'Homme”. “Pas sûr qu’avec Neom, on coche toutes les cases”, ironise un agent d’EDF Hydro. D’autant que l’impact environnemental de ce méga projet pose aussi question. Certes, une fois construite, la mégalopole doit être “zéro émission nette”. Mais sa construction, tout de béton, d’acier et de verre, -surtout concernant The Line-, sera extrêmement énergivore.
Modélisations 3D de la ville The Line (à gauche) et d’une vue aérienne de l’infrastructure (à droite). - NEOM - AFP
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“La France doit travailler avec l’Arabie saoudite”
Alors pourquoi EDF se lance-t-elle dans un projet aussi contesté ? “Ne pas le faire serait une erreur”, affirme Bertrand Besancenot, ambassadeur de France en Arabie saoudite de 2007 à 2016, avant d’occuper un poste de conseiller diplomatique lors du premier mandat d’Emmanuel Macron. Jusqu’à l’affaire Khashoggi, il communiquait en direct avec MBS via Whatsapp. “Depuis, le prince héritier a changé de numéro”, précise-t-il.
Pour Bertrand Besancenot, “nous sommes dans une période de ralentissement économique mondial, et beaucoup de grands projets aujourd'hui disponibles se trouvent dans le Golfe”. Mais au-delà de ça, l’Arabie Saoudite est redevenue un partenaire fréquentable, surtout depuis le 7 octobre 2023 et le nouvel embrasement au Proche-Orient. “Comment peut-on s'orienter vers la création d'un État palestinien qui permettra de reconstruire ce qui a été détruit ? La première puissance qui sera en mesure de le faire, c'est l'Arabie Saoudite. Si on recherche la stabilisation de la région, on doit travailler avec elle”, estime le diplomate.
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Retrouvez les réponses complètes d’EDF en cliquant ici.
*Prénoms d’emprunt
(1)Jean-Bernard Lévy a été remplacé par Luc Rémont à la tête d’EDF en septembre 2022.
(2)*** Lina Al-Hathloul est l’autrice de Loujain rêve des tournesols, aux Éditions Les 400 coups.
- Chroniques Interview L'activisme des services secrets chinois en France
Nolwenn Le Fustec et Antoine Izambard ont réalisé “Chine : opérations secrètes”, un documentaire qui révèle l’ampleur de l’espionnage chinois.
Clés : Info EDF Mohammed Ben Salman Catastrophe écologique Gestion et accès à l'eau Jamal Khashoggi
Le manque, synonyme d’absence, est-il vertueux ? Débat avec la romancière et philosophe Mazarine M. Pingeot qui signe "Vivre sans - Une philosophie du manque" chez Flammarion.
Avec Mazarine Pingeot Ecrivain
Une année s’est écoulée depuis la mobilisation de mars 2023 à Ste-Soline. Ce week-end ...
"MÉGA-BOUM’s contre les méga-bassines et les violences policières – SOIRÉE DU 25 MARS PARTOUT EN FRANCE
à partir de 19h30 : centaines de MÉGA-BOUM’s devant les gendarmeries et préfectures partout en France.
5000 BOUMS pour 5000 grenades En écho à la pluie de grenades létales des policiers et gendarmes, faisons détoner notre créativité : ballons de baudruche, instruments, chants, pétards, casseroles, méga-enceintes… Comme au lendemain de Ste-Soline, où des rassemblements de soutien avaient fleuri devant de nombreuses préfectures, rassemblons-nous partout en France ! Ces méga-boums seront autant d’occasions de se retrouver, de témoigner, raconter. Nous ne manquerons pas de rappeler que le gouvernement est triplement coupable : d’avoir utilisé des armes de guerre contre des manifestant.e.s, de l’avoir prémédité, et d’avoir ensuite empêché la prise en charge urgente des blessé.e.s. Nous ne manquerons pas non plus de festoyer, danser, chanter ensemble pour démontrer que le feu qui nous habite collectivement n’a été qu’attisé par ces moments d’actions et de solidarités, que la lutte contre l’accaparement de l’eau prend encore de l’ampleur."
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Connu / TG le 26/02/24 à 16:24
Après avoir tiré les enseignements de la crise sanitaire et de ses conséquences budgétaires, financières, économiques et sociales dans le rapport public annuel (RPA) publié en 2022, les juridictions financières ont choisi d’examiner cette année la performance de l’organisation territoriale de notre pays, 40 après les premières lois de décentralisation. La Cour et les chambres régionales et territoriales des comptes ont souhaité dresser un état des lieux de la situation actuelle et confronter les ambitions initiales de la décentralisation à ses résultats sur le terrain, en termes de services rendus à la population et aux entreprises. Les juridictions financières ont ainsi cherché à illustrer leur analyse institutionnelle et financière de la décentralisation par des exemples concrets, tirés de l’examen de sa mise en œuvre dans quelques domaines d’action publique partagée entre l’État et les collectivités territoriales.
Comme chaque année, le présent rapport comporte également un chapitre introductif présentant la situation d’ensemble des finances publiques.
Rapport Lire le document (PDF - 8 MB)
- Synthèses Lire le document (PDF - 3 MB)
- La situation d’ensemble des finances publiques (à fin février 2023)
- La décentralisation 40 ans après, synthèse générale
- Première partie : diagnostic global et principaux enjeux
. La décentralisation 40 ans après
. Les finances locales, un mode de financement à redéfinir
. Réponses au chapitre « La décentralisation 40 ans après » et « Les finances locales » - Seconde partie : analyses sectorielles
. Les compétences de développement économique des collectivités territoriales
. Les politiques sociales décentralisées
. La construction, la rénovation et l’entretien des collèges
. Festivals et territoires
. Les déchets ménagers
. Une organisation inadaptée aux enjeux de la gestion quantitative de l’eau i à https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?a76KLA
. Mieux coordonner et hiérarchiser les interventions des collectivités territoriales dans l’accès aux soins de premier recours - Conclusion générale