1,02 M d’abonnés - 7,7k+ - 147 563 vues - 1 508 commentaires - #Antisémitisme #SciencesPo #Palestine
Le 12 mars, des étudiants de Sciences Po ont occupé un amphithéâtre pour y organiser des conférences dans le cadre de la"Journée de mobilisation européenne pour la Palestine".
Le soir-même et sur son compte Twitter, l'UEJF a déclaré que des étudiants y avaient été "pris à partie parce que juifs et sionistes".
Sans vérifier auprès des organisateurs, le président de la République, la ministre en charge de la lutte contre les discriminations et plusieurs médias ont relayé l'information.
L'emballement du gouvernement dans la condamnation sans preuves de l'exclusion d'une étudiante lors d'un rassemblement à Sciences Po, continue d'entretenir un récit où la défense des Palestiniens ne se fonderait que sur des idées antisémites.
Le Premier ministre Gabriel Attal a annoncé mercredi 14 mars que le gouvernement allait saisir la justice "pour contribuer à l'enquête et à la mobilisation des services afin de déterminer ce qu'il s'est passé" sur le campus de Sciences Po Paris.
Cette action leur permettra peut-être de faire la lumière sur les faits de discrimination rapportés depuis plusieurs années par de nombreux étudiants.
Blast était sur place ce jour-là et s'est procuré des documents exclusifs qui mettent à mal la version du gouvernement.
Journaliste : Ibrahim Benaissa
france-5 Interviews 1 h 8 min Français tous publics Vidéo sous-titré - Disponible jusqu'au 29/03/2024
Une question qui provoque des débats enflammés en France : “faut-il mourir pour le Donbass ?”
Malgré les critiques de la quasi totalité des dirigeants européens et occidentaux, Emmanuel Macron persiste et signe : la France est favorable à l’envoi de troupes sur le sol ukrainien pour assurer certaines missions dans sa guerre face à la Russie…
Avec nos invités, nous allons essayer de mieux comprendre à la fois les raisons et les conséquences d’un changement de stratégie, entre ceux qui ne veulent pas “mourir pour le Donbass” et ceux qui pensent que la confrontation avec Vladimir Poutine est inévitable… Alors comment gagner la guerre ? Comment gagner la paix ?On en débat avec :
- Pierre Haski, Chroniqueur géopolitique sur France Inter
- Nathalie Loiseau, Députée européenne Renew, présidente de la sous-commission sécurité et défense du Parlement européen
- Marie Mendras, Politologue au CNRS, professeure à l’Ecole des relations internationales de Sciences Po, autrice de "La Guerre permanente : l'ultime stratégie du Kremlin" aux éditions Calmann-Lévy (21.02.2024)
- Léon Deffontaines, Porte-parole du PCF, tête de liste du PCF pour les élections
- Nicolas Quénel, Journaliste, auteur de "Allô, Paris ? Ici Moscou" aux éditions Denoël (08.11.2023)
- Jean De Gliniasty , Ambassadeur de France en Russie (2009-2013), directeur de recherches à l’Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS)
Présenté par : Karim Rissouli, Camille Diao
Chroniqueurs : Laure Adler, Arthur Chevallier
Maison de production : France Télévisions / Together Media
03 m 52
... On ne lui reproche même pas d'avoir scolarisé ses enfants dans un établissement privé catholique, Stanislas, ouvertement conservateur et réactionnaire (""Français sans peur, chrétien sans reproche"" est encore aujourd'hui la devise de Stanislas, voir ces enquêtes de Mediapart et du "Monde"), où sont tolérés des comportements homophobes de l'encadrement. C'est son droit. Elle n'est pas la première. De ses deux prédécesseurs, l'un (Pap Ndiaye) avait aussi scolarisé ses enfants dans le privé, dans le même quartier (à l'Ecole alsacienne, établissement privé "laïque" sous contrat). L'autre, (Gabriel Attal), sans enfants, a fait lui-même sa scolarité dans la même Ecole alsacienne.
...
Il y a tout, dans cette histoire. Le sabordage de l'école publique, bien sûr. La consanguinité des élites politiques, économiques et médiatiques (la ministre est la nièce d'Alain Duhamel (BFM) , ainsi que de Nathalie Saint-Cricq (France 2), et la cousine de Benjamin Duhamel (BFM). Le glissement de la haute bourgeoisie libérale, celle des 0,01%, de l'Alsacienne vers Stanislas -dix minutes à pied entre les deux, selon Google Maps-, comme un symbole du racornissement du recrutement des élites à un micro-quartier de la capitale. La désinvolture décomplexée. Dix fois de quoi déclencher une révolution.
François Ruffin ©Maxppp - Olivier Corsan
8h20 - Baddou - L'hour
Le député LFI de la Somme François Ruffin est l'invité du Grand Entretien.
Avec François Ruffin Député LFI de la Somme
Alors que le débat se focalise contre la loi immigration : "Normalement, Emmanuel Macron était là pour faire barrage et à la place, et il sert de marche pied, il ouvre la porte tout grande aux idées de l’extrême droite", estime le député LFI : "c’est à ça que j’ai assisté à l’Assemblée Nationale, c’est une défaite pour la République".
Pour François Ruffin, cette loi manque ostensiblement sa cible : "Quand se met en oeuvre la préférence nationale, quand ce sont des vies déjà dures qui sont frappées…Là, on n’est pas 'méchant avec les méchants', là on est méchants avec tout le monde, on fait des lois pour pourrir la vie de gens qui ne demandent qu'à travailler, c’est séparer les étrangers de la République".
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"Le pouvoir d'achat s'améliorerait, parce qu'on priverait d'APL ces familles ? L'hôpital irait mieux parce qu'on empêcherait de soigner comme il faut les étrangers ? On devrait avoir un président de la République qui doit être le gardien de ces valeurs, et qui, à la place, les brade pour de petits calculs cyniques. Je vois le chemin sur lequel il nous entraîne, la pente sur laquelle on glisse".
La pente glissante de l'extrême-droite
Pour François Ruffin, la menace de l'extrême-droite est plus que jamais présente avec la bascule politique qu'a constitué le vote de cette loi immigration : "On voit dans les sondages Marine Le Pen qui avance, qui chemine tranquillement vers l’Élysée, y compris chez les diplômés, les installés, on se dit 'c'est son tour' et on s’y accoutume, avec une forme d’abandon, de mollesse, de lâcheté". Pour autant, le député estime qu'"il n’y a pas de fatalité" : "L’histoire reste ce que les hommes et les femmes en font, il faut se réveiller maintenant (...)"
L'union de la gauche, condition "nécessaire mais pas suffisante"
Pour autant, faire barrage nécessiterait désormais une union de la gauche : "Il faut arrêter les conneries : si non veut arrêter cette pente, il faut que les chefs de partis cessent l’étalage de leurs rancoeurs sur Twitter" estime François Ruffin qui rappelle que "l'union de la gauche, c’est une condition nécessaire mais pas suffisante". Mais déjà ça passe par "enterrer les haches de guerre". "On a une sorte de responsabilité", reconnait-il aussi face au passage de cette loi , "il faut qu'on sorte du ton d'acrimonie, de rancoeur, pour aller vers quelque chose qui respire la joie".
Il faut surtout traiter les difficultés des Français, analyse le député qui avance que la suppression des lits en milieu hospitalier "va deux fois plus vite" qu'avant la crise Covid": "Refaire le coup d’utiliser Marine Le Pen et son père comme des repoussoirs, ça ne suffit pas ; Il faut résoudre la question de l’hôpital : est-ce la faute des étrangers que l’hôpital va mal? Non, c’est la faute d’Emmanuel Macron : c’est lui le problème de la France".
Alors que 32 régions de gauche ont annoncé qu'elles n'appliqueront certaines mesures de la loi sur l'immigration, l'élu LFI rappelle que "Emmanuel Macron qui passe à la télé reconnait que des pans entiers de la loi" ne sont pas constitutionnels : "Ce qu’il faut ce n’est pas avoir des terres de résistance, des bastions qui se refusent, c’est se demander comment on fait pour gagner le pays, le faire respirer".
Des "soucis de ton" pour LFI
Alors que son parti, La France Insoumise, est sous le coup des attaques, François Ruffin reconnait que "les Français, il faut les rassurer (...) aujourd’hui il y a des soucis de ton, des invectives . Simplement, on attire pas parce qu’on n’est pas uni". Alors que la priorité serait d'offrir les "garanties que demain sera meilleur". Il reste choqué par les propos présidentiels, après l'interview donné cette semaine à la télévision : "Les 'salaires ont plutôt suivis', selon Emmanuel Macron, ce sont des mots prononcé sous les dorures de la République. En vérité, c’est plutôt - 5% de consommation en moins dans les produits alimentaires des supermarchés".
"Ce sont les classes moyennes inférieures qui décrochent, une famille sur 2 avec enfants a réduit ses portions dans son assiette, alors que + 13% de dividendes pour les grandes entreprises : les 2/3 vont au 0,1% les plus riches, cette injustice là, le Président de la République ne l’affronte pas", rappelle François Ruffin.
Quand un auditeur demande le départ de Jean-Luc Mélenchon de la tête de LFI, l'élu répond se défend de toute polémique : "Si la gauche, ça avait été Francois Hollande et son fils spirituel Macron, la gauche serait dans la tombe".
"La France est un pays riche, un gâteau qui est énorme (...) On nous amuse, mais le phénomène Macron, c’est le mouvement massif du gavage" martèle François Ruffin qui dit vouloir, lui, "descendre le plafond et relever le plancher".
Clés : Info Société Immigration François Ruffin Rassemblement national Emmanuel Macron
L'équipe Marion L'Hour Production ; Ali Baddou Production
Hier soir, Emmanuel Macron est revenu sur la cérémonie de Hanoukka qui s’est tenue en sa présence à l’Élysée début décembre.
Clés : Politique Vie citoyenne
Tr.: ... modestie ... principes ...
Signer la pétition À Emmanuel Macron, Olaf Scholz et tous les dirigeants européens:
Tout rapport sexuel non consenti est un viol. En tant que citoyens de toute l'Europe, nous vous demandons de vous tenir du côté des victimes. Faites du consentement un principe fondateur de la législation sur la violence de genre dans l'UE.
243 094 signatures
En Europe, nous sommes 9 millions de femmes à avoir été violées au moins une fois au cours de notre vie. Et nous gardons bien souvent ce lourd secret enfoui. Beaucoup d’entre nous ont envisagé le suicide.
Si nous ne pouvons pas nous confier à notre famille, à nos amis et encore moins aux autorités, c’est parce que la société nous renvoie que nous sommes en partie responsables. Au traumatisme de l'agression s'ajoute alors celui de la culpabilité.
Pourtant, voici notre message pour les survivantes: nous n'y sommes pour rien. Tout rapport sexuel non consenti est un viol.
Aujourd’hui, le Parlement européen et la Commission veulent ancrer ce principe fondamental dans la loi. Cela changerait tout: pour les victimes, la possibilité de se faire entendre, pour la société, plus de justice. Mais la France et l’Allemagne font honteusement blocage.
Soyons nombreux à dénoncer publiquement leurs fausses excuses avant la discussion du Conseil le 14 novembre. Ensemble, faisons pression pour une justice qui permette aux victimes de se reconstruire et interpellons directement les décideurs français et allemands.
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1 h Mediapart @Mediapart@mastodon.social
La chercheuse Héloïse Fayet revient sur la proposition d’#EmmanuelMacron de bâtir une coalition internationale contre le #Hamas, à l’instar de celle qui combat les djihadistes de l’organisation État islamique. Elle en pointe l’imprécision et le manque de pertinence stratégique.
À Hébron, le 22 octobre 2023, un palestinien brandit un drapeau du Hamas lors d'un rassemblement contre les frappes militaires israéliennes sur la bande de Gaza. © Photo Hazem Bader / AFP
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Le député LFI de la Somme François Ruffin réclame également une indexation des salaires sur l’inflation et souhaite aussi un blocage des prix temporaires.
Avec François Ruffin Député LFI de la Somme
11.000 migrants sont arrivés sur l’île italienne de Lampedusa en Italie ces trois derniers jours, à bord de 200 bateaux. "Si la France prenait sa part, ça ferait aux alentours d'un millier de personnes : je pense qu'on peut le faire sans parler d'invasion ou de submersion !", réagit le député de La France insoumise de la Somme François Ruffin. "Si on fait ça, il ne faut pas le faire dans le bizarre ou la pagaille, mais de manière encadrée, organisée". L’élu demande une formation à la langue et une formation à un métier, "pour que ces personnes puissent travailler, et faire ensemble notre pays de demain".
La lutte contre le Rassemblement national
"La responsabilité de Macron dans la montée du Rassemblement national est majeure : il y a une inversion de la diabolisation contre laquelle on doit lutter", affirme le député de La France insoumise François Ruffin. "Une victoire majeure du RN est possible", estime l’élu de Picardie.
Des mesures pour aider contre l'inflation
Les prix alimentaires ont augmenté de 11% en août. La Première ministre s’engage à lutter contre la shrinkflation. Le gouvernement compte aussi lancer un projet de loi permettant de vendre du carburant "à perte" pendant quelques mois.
Ces mesures sont "nulles et ridicules", rétorque François Ruffin. Il réclame une indexation des salaires sur l’inflation. Le député souhaite aussi un blocage des prix temporaires et lutter contre "l’hyperconcentration des dividendes versés aux actionnaires". "Il faut passer du grand gavage au grand partage".
Clés : Politique Partis politiques Assemblée nationale Nupes (Nouvelle union populaire écologique et sociale) La France insoumise
44,5 k abonnés - 717+ - 9 295 vues - 99 commentaires #macron #politique #manifestation
"On demande aux policiers de régler un problème fondamentalement politique."
Sources :
Boulo sur Elucid • CETTE CASTE D’INCOMPÉTENTS IGNORE LA ... https://www.youtube.com/watch?v=luwmXjNxxrY&t=0s
Réponses au quizz de fin :
/!\ Description à ne pas lire avant d'avoir vu la vidéo entièrement
1) Liberté de la presse, liberté d'expression et liberté de manifester.
2) Constater les abus et les manquements, les signaler aux policiers à l'instant t et les rapporter au juge.
3) Trouble à l'ordre public.
#boulo #démocratie #macron #elucid #berruyer #ilnousfautunplan #macrondemission #extrait #politique #police #manifestation
Connu / https://mastodon.top/@plonivel@framapiaf.org/111058980162634262
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Luc Ⓐ🏴 ⏚ — The A(dminsys) team a partagé 21 h
plonivel@framapiaf.org framasky@framapiaf.org
𝕜𝕖𝕣𝕝𝕖𝕘𝕒𝕣𝕤 🔻🧹 @plonivel@framapiaf.org
↪️ 𝕩 de Hadrien Clouet :
L'Union européenne lance la grande offensive libérale contre le fret SNCF, avec la complicité d'Emmanuel Macron.
Le transport de marchandises le + écolo démantelé : 62 locomotives cédées, des bâtiments abandonnés, 500 cheminots "reconvertis
Leurs histoires, touchantes, révoltantes, édifiantes ou inspirantes, nous disent quelque chose de notre actualité. Ils ont accepté de venir face à la caméra du Média pour les partager, et si possible nous bousculer et modifier nos perceptions.
Le Média est plus que jamais le Média des luttes, de celles et ceux qui luttent !
Dans le cadre d'une démarche unitaire portée par plus de 100 organisations, Le Média diffuse leur appel à reprendre la rue, partout en France, le 23 septembre contre les violences policières, le racisme systémique et pour les libertés publiques ! Rendez-vous à Paris, Gare du Nord, à 14h30, le 23 septembre 2023.
Plus d'info sur les rassemblements partout en France sur http://marchespourlajustice.fr
Julia Cagé et Thomas Piketty : "Le vote Macron est le plus bourgeois de l'Histoire !" / France inter
Julia Cagé et Thomas Piketty co-signent "Une histoire du conflit politique" au Seuil. Ils insistent sur l'importance des facteurs socio-économiques
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Connu / TG le 7/09/23 à 11:12
L'actu
Notre regard singulier sur l'état de la France et la marche du monde. Au-delà des faits, le sens de l'actualité.
Une nouvelle étude vient entacher le bilan du président en matière d'emploi et de jeunesse...
Qui se souvient de l’année 2017 et l’élection du plus jeune président au monde à la tête de la France ? 39 ans seulement, une énergie, une fraîcheur qui avaient emballé beaucoup de jeunes gens à l’époque. Enfin, s’étaient-ils dit. Enfin un président qui nous ressemble, qui nous comprend et qui mènera une politique en notre faveur.
A l’époque son projet, ou plutôt son programme, ne comporte pas moins de 19 propositions pour les jeunes. Mais combien se sont réellement montrées efficaces ? Quel impact ces dernières ont-elles eux pour la jeunesse ? Eh bien six ans plus tard c’est toujours la même galère ! Et si ce n’est pas Parcoursup ou le stress climatique, ce ne sont pas non plus les emplois précaires qui les sauvent. En effet et nous allons le voir une nouvelle étude vient entacher le bilan du président en cette dernière matière.
Outre les impacts négatifs du quinquennat Macron sur la jeunesse nous évoquerons la situation du collectif des Soulèvements de la Terre en attendant que le Conseil d’État se prononce sur son sort, ainsi que la demande de dissolution de l’association catholique d’extrême droite que représente Civitas.
Nous reviendrons ensuite sur le nouveau record historique de chaleur qu’a été ce mois de juillet, avant de partir pour Italie où nos voisins se sont enfin décidés à taxer les superprofits des banques.
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Jean-Luc Mélenchon revient sur les propos d'Emmanuel Macron du 24 juillet 2023.
Il dénonce la sédition dans laquelle s'est placé une partie de la police nationale suite aux évènements de Marseille. Il dénonce la gravité de la situation et appelle à ne pas sous-estimer ses conséquences. Il critique la méthode choisie par la police pour exprimer leur mécontentement, considérant qu'elle est illégale et inacceptable.
Jean-Luc Mélenchon reproche au président de la République de ne pas avoir pris de mesures concrètes face aux problèmes existants et de ne pas avoir manifesté de compassion pour la famille de Nahel. Il affirme que l'absence de réactions et de sanctions entraîne une escalade des comportements, mettant en danger la République. Il demande que des décisions soient prises, qui impliquent les causes et non les effets.
Il souligne le rôle crucial du président dans la protection de l'indépendance de la justice et le maintien de l'ordre républicain, rappelant des exemples historiques où des mesures ont été prises pour défendre la démocratie. Il appelle ainsi à des sanctions appropriées pour rétablir l'équilibre dans le fonctionnement de la République et donc de la défense de notre liberté.
Ndlr : REMARQUABLE STATURE PRÉSIDENTIELLE. Valoriser ACT
Pour tenter de faire oublier les deux ans de retraite volée et se poser en défenseur des classes populaires, Emmanuel Macron répète que l’industrie française ...
Connu / TG le 16/05/23 à 11:13
Tweet épinglé François Ruffin @Francois_Ruffin · 4 mai
Alors, levez les barrières ! Et qui, derrière les barreaux ? Qui affrontera un procès ? Borne, Macron, Kohler, Le Maire ? Ce sont eux qui ont organisé ce pillage géant.
4:58 - 520 - 3657 - 8617 - 408,7k
52:12 - 63 k vues
336 k abonnés
63 475 vues - 158 commentaires
Février 2022. A Belfort, le président Emmanuel Macron officialise la nouvelle stratégie énergétique française. Avec l'annonce de la construction de 6 réacteurs EPR nouvelle génération, c'est le grand retour de l'atome. Mais la France a-t-elle encore les moyens humains et les compétences techniques pour réaliser ces ambitieux chantiers ? C'est la question que pose ce 52 minutes en allant à la rencontre des industriels de la filière, des jeunes ingénieurs et soudeurs, de l'autorité de sureté nucléaire mais aussi des opposants.
Car il y a urgence. Pour tenir les chantiers à venir, il faut recruter dans les 5 ans qui viennent 50% des besoins de la filière. L'enjeu de la relance du nucléaire, c'est donc aussi celui de la réindustrialisation de la France.
145 recommandés, 24 commentaires
Ruffin François, Député de la Somme
« Tous les surprofits ont été repris. » C’est Emmanuel Macron qui déclare ça, dans Le Parisien. Eh, oh, les « factcheckers », vous roupillez ? Y a une démission collective ? Vous avez fermé boutique ?
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Pourquoi prendre le contre-pied de la vérité ? Pourquoi réécrire l’histoire, de façon aussi grotesque ?
Parce que, lui le sait : c’est plus que son talon d’Achille, c’est une béance, une plaie ouverte, ce sentiment d’injustice. Et pas seulement pour lui, pour son image, d’un évident « président de ses amis les riches », mais pour la France : le pays en est miné.
Pourquoi nous, nous devrions payer ?
Pourquoi nous accepterions des efforts, des sacrifices, si les « gros » en haut n’en font pas ?
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plus que jamais, nous avons besoin de justice : le défi climatique réclame, à tout le pays, et à vrai dire à tous les pays, des changements gigantesques. Ils ne seront pas acceptés, car pas acceptables, si une partie de nos concitoyens y échappent, s’ils ne participent pas à l’effort commun : tous, alors, toutes, voudront y échapper, demanderont une « dérogation », grugeront dans leur coin.
La justice, sociale, fiscale, environnementale, est impérative pour l’unité de la Nation. Sans cela, nous n’affronterons rien ensemble.
Voilà qui me rappelle un échange avec Pablo Servigne, à propos de son livre (à lire absolument) L’Entraide, l’autre loi de la jungle
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Nous vivons ce temps, sans sanction, où les tricheurs, loin d’être punis, sont célébrés, récompensés. D’où le dégoût qui se répand dans les cœurs. D’où les refus de participer au « pot commun », par son argent, ou par son temps.
Contre les égoïsmes, il faut des sanctions.
Pour surmonter, ensemble, de formidables défis.
Pour refaire société.
Où alors, le chacun pour soi l’emportera. Qui mènera à la défaite de tous.
Nucléaire - Mis à jour le 25 avril 2023 à 15h51 - Durée de lecture : 6 minutes
Clés : Nucléaire Eau et rivières
Pas de réelles économies d’eau, travaux trop longs et coûteux : le projet d’Emmanuel Macron de passer les réacteurs nucléaires en circuit fermé n’est pas une solution miracle.
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laisse supposer une énième décision unilatérale du président de la République concernant la relance du nucléaire en France.
Connu / https://twitter.com/Reporterre/status/1650794316300689408
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Reporterre | Le média de l'écologie @Reporterre · 9h ☢️
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Tambours, casseroles étaient au rendez-vous ce lundi 17 avril.
photo Quentin Petit
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Par Baptiste Raclot, publié le 17 avril 2023 à 22h44, modifié le18 avril 2023.
Alors qu’Emmanuel Macron s’adressait aux Français à 20h, des rassemblements bruyants étaient prévus partout dans le pays. Ils étaient 300 manifestants à Angoulême ce lundi 17 avril.
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Connu / TG le 19/04/23 à 15:23