https://twitter.com/AndreJoffre2/status/1340950377244585985
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Andre Joffre🎗@AndreJoffre2 · 1h
Mégaprojet industriel photovoltaïque en vue à Hambach en Moselle. Le norvégien @RECGroupMedia compte implanter l'une des plus grosses usines de panneaux d'Europe. Investissement 1Mrd € / 2.500 emplois. Confirmation en mars 2021.
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Les communs constituent aujourd’hui un champ de recherche et un lieu de débats dynamiques et importants.
Introduite d’abord dans l’axe de recherche « Mondialisation, régulation, innovation », la thématique des communs irrigue désormais les autres axes : « Arts, industries de la culture, création » ; « Corps, santé et société » ; « Penser la ville contemporaine ».
Les communs, entendus comme la gestion partagée de ressources communes (forêts, chemins, eau, connaissances, numérique…), prennent de multiples formes : logiciel libre, gestion partagée de friches urbaines, accès aux médicaments… Objets interdisciplinaires par excellence, ils soulèvent des questions juridiques, sociologiques, historiques, politiques… Ils accompagnent des problématiques prioritaires pour notre institution : écologie, santé, création, espace public.
Le colloque proposera une première journée animée sous la forme de quatre tables rondes :
1- Communs, bien communs, quels contenus, quels enjeux ?
2- Communs et numérique,
3- Les communs dans la cité,
4- La santé comme ‘communs’ ?
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Contacts
- Marianne Hérard, responsable des programmes scientifiques et de la valorisation pour la MSH Paris Nord marianne.herard@mshparisnord.fr
- Flavie Jeannin, responsable de communication pour la MSH Paris Nord flavie.jeannin@mshparisnord.fr
Colloque organisé avec le soutien financier du CNRS.
La mise en données de la ville s’est accompagnée d’un récit fédérateur construit autour de l’intraduisible terme de « smart city », apparu depuis une quinzaine d’années. Ce récit s’est écrit sous le signe d’une promesse aux multiples visages : une ville plus facile à vivre, plus durable, plus résiliente, plus efficace, plus… etc. Nous avons tous voulu croire à cette promesse et nous sommes nourris de cette vision d’une ville du futur « disruptée » par le numérique.
Il y a loin de la promesse aux réalités. Plus encore, on est en droit de se demander si, dans sa mise en œuvre actuelle appliquée à l’urbain, le numérique, loin d’être « disruptif », n’est pas, à bien des égards, éminemment conservateur.
L’exemple de la congestion urbaine https://www.lafabriquedelacite.com/publications/pour-en-finir-avec-la-fin-de-la-congestion-urbaine/ est frappant : le « smart » devait résoudre ce problème inhérent à l’existence même des villes ; en réalité, il l’aggrave. Comme l’illustrent les études menées à New York ou Boston, il a ajouté de nouvelles formes de mobilités qui, loin de remplir les voitures particulières, c’est-à-dire de lutter contre l’autosolisme, ont vidé les transports en commun ou remplacé des modes actifs (vélo, marche). Osons la question : jusqu’à quel point le numérique dans nos villes ne se nourrit-il pas des failles et dysfonctionnements de nos systèmes urbains ? Or, quand on se nourrit d’un système, a-t-on intérêt à le changer ?
Conservateur, le numérique l’est aussi au regard des enjeux environnementaux. Curieusement, le récit autour de la « smart city » a postulé d’emblée qu’elle serait durable. Tel n’est pas du tout le cas aujourd’hui. D’une part, l’infrastructure physique du numérique, d’autre part la collecte des données, leur traitement et leur stockage requièrent des quantités d’énergie non seulement colossales mais surtout en croissance constante et forte, comme l’a rappelé le Shift Project https://theshiftproject.org/wp-content/uploads/2018/10/R%C3%A9sum%C3%A9-aux-d%C3%A9cideurs_Pour-une-sobri%C3%A9t%C3%A9-num%C3%A9rique_Rapport_The-Shift-Project.pdf. Le numérique consomme plus, bien plus d’énergie que le transport aérien et la croissance de sa consommation est à deux chiffres. La donnée est souvent qualifiée de « nouvel or noir » : le fait est que nous avons pris au mot cette analogie avec le pétrole et avons une approche très XXe siècle du numérique dans la ville. De même que l’économie des énergies fossiles requiert toujours plus de prospection, de forage et de mise en exploitation, de même, nous acceptons benoîtement l’affirmation selon laquelle il faudra toujours plus de données au numérique pour fonctionner. Ce au nom des fameuses « lois » de Moore qui, en fait de lois, sont des conjectures. « Le smart a capturé le green », nous dit Antoine Picon dans La ville rêvée des philosophes, ouvrage co-édité par La Fabrique de la Cité et Philosophie Magazine.
L’écologie du numérique reste à construire, et, avec elle, celle de la « smart city ». Attelons-nous à la tâche ! Le temps est venu d’assigner un défi au numérique, et en particulier à ses applications urbaines, alors que nos villes sont les principaux lieux de consommation d’énergie et d’émissions de CO2 : soigner son addiction au « toujours plus » – de bien-être, d’inclusion… : en un mot d’urbanité – avec moins de données. Utopie ? Pas vraiment ! D’une part, le principe de minimisation de la collecte de données est au cœur du régime de protection des données personnelles dès sa conception, repris depuispar le RGPD, qui pourrait devenir un outil de « soft law » hors de l’Union européenne si l’on en croit la stratégie d’entreprises mondiales notamment américaines. D’autre part, au-delà des données personnelles, il existe aujourd’hui un courant de recherches en intelligence artificielle sur la minimisation des données qui en souligne l’intérêt tant sur le plan économique que de la sécurité.
Pour s’urbaniser, le numérique doit travailler sur ses addictions. Et nous avec, qui avons voulu en faire un produit pour simplifier la ville, là où l’objectif est d’en faire un allié, l’indispensable outil au service de l’indispensable et riche complexité urbaine. La justification ultime du « smart » n’est pas de faire toujours plus. C’est de faire en sorte que l’on puisse se déplacer sans dégrader l’environnement pour remplir son programme d’activités quotidien à Los Angeles, Paris, Pékin ou Bogota, de faire accéder les villes indiennes à l’eau potable, de mettre fin à l’étalement urbain dans les pays occidentaux et d’électrifier sur un mode durable les mégalopoles africaines qui se développent sous nos yeux.
Connu / https://twitter.com/FabriquelaCite/status/1298268370400235525
Ndlr : la promesse de la fin est-elle réaliste ? on peut avoir des doutes... => questionner ACT
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La Fabrique de la Cité @FabriquelaCite · 25 août
La ville intelligente a-t-elle tenu ses promesses ? @CcilMaisonneuve faisait passer la #SmartCity sur le divan ce dimanche sur @franceinfo !
Casque audio
Découvrez le podcast ici Index pointant vers la droite https://bit.ly/32sYiNM
Page recto
Retrouvez également son édito Index pointant vers la droite https://bit.ly/39ZyCf2
Une ville ultra-connectée mais pas forcément plus facile à vivre
francetvinfo.fr - 0 - 8 - 6
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6 085 ont signé
Serge LE QUÉAU a lancé cette pétition adressée à Tous les citoyen.nes de notre pays.
Pour sauver des vies, fabriquons des masques
Après la crise sanitaire du coronavirus, il nous appartient toutes et tous ensemble d’inventer le monde d’après .
Dans cette perspective, nous soutenons la réalisation du projet de création de la SCIC « Fabrique de santé », où se trouvait l'ex-usine Honeywell/Spérian.
L’affaire Honeywell raconte le désinvestissement tragique de l’État dans la production de matériels de protection ainsi que la désindustrialisation du territoire dans un marché mondial de moins en moins régulé, où la recherche du profit maximum prime avant toute autre considération, en particulier sanitaire ou sociale.
Huit jours après le début du confinement décrété par Emmanuel Macron pour lutter contre la pandémie de coronavirus Sras-Cov-2, l’Union syndicale Solidaires des Côtes-d’Armor publie un communiqué « Que se cache-t-il derrière la fermeture de l’usine Honeywell de Plaintel ? Un scandale d’Etat ! » Elle propose de redémarrer une production locale et industrielle de masques respiratoires grâce aux compétences locales en créant une Société coopérative d’intérêt collectif (SCIC). la proposition est rapidement défendue par l'intersyndicale CGT, FSU et Solidaires des Côtes-d'Armors
Aujourd'hui, elle peut être appliquée.
Les collectivités locales (région Bretagne, département des Côtes-d’Armor, ville et agglomération de Saint-Brieuc) discutent du montage d’une Société coopérative d’intérêt collectif, dans laquelle d’ancien·nes salarié·es d’Honeywell Plaintel pourraient de nouveau exercer leurs compétences.
La société coopérative d’intérêt collectif permet d’associer tou·tes les acteur·ics du territoire régional et de la filière. Salarié·es, collectivités locales, associations et groupements d’acheteurs siègent à son conseil d'administration.
Ces coopératives savent combiner de meilleures conditions de travail, la stabilité de l’emploi et la qualité de la production. Nous défendons l’idée d’emplois utiles, relocalisés et où les travailleuses et travailleurs ont leur mot à dire sur leur travail.
Dans ce cadre la concurrence faite au projet par un investisseur “classique”, milliardaire qui cherche le profil et non l'intérêt général doit être repoussée.
La situation de la SCIC de Plaintel est un symbole de la situation et des choix de société que nous devons aujourd’hui mener.
Connue / https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?Oiw8sw
Alain Rousset, président de Région, en visite à l'usine de Condat le 13 février aux côtés d'Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Economie et des Finances (à gauche). (Crédits : Région Nouvelle-Aquitaine)
C’est un dossier symbolique pour le président de la Région Nouvelle-Aquitaine. Après avoir été menacé de fermeture, la papeterie de Condat en Dordogne, du groupe espagnol Lecta, se repositionne sur un marché d’avenir, à savoir la fabrication de papier autocollant. Un investissement de 60 M€ est prévu pour la construction d’une nouvelle ligne, soutenu par la Nouvelle-Aquitaine à hauteur de 19 M€ en avance remboursable. Une chaudière biomasse sera également installée avec l’aide de l’Ademe. En tout, 90 M€ seront investis dans cette usine qui est l'une des plus grosses industries de papier en France et fait travailler 460 personnes.
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"C'est un dossier symbolique, d'un point de vue économique et écologique. Des entreprises qui réinvestissent à ce niveau là, il y en a peu. Mais c'est finalement, aussi, un dossier classique dans la mesure où la vie d'une entreprise suppose d'être à l'affût de nouveaux marchés, d'investir dans la R&D. Ce qu'il faut retenir c'est aussi une coopération publique privée remarquable. Enfin, cela permet de mettre le doigt sur l'importance d'avoir, au sein des services de la Région, des compétences sur le monde de l'entreprise. Et je veux rappeler que la Région n'investit jamais sans garantie. L'emploi sera notamment préservé. C'est l'aboutissement d'un projet de recapitalisation du groupe Lecta et d'investissement", commente Alain Rousset.
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Playing the CYBER BASS
This Custom Bass guitar for the Marble Machine X is a 4 string bass built on a 5 string neck, 4 Mics (one per string) and today I am adding the FUNKALIZER. An adjustable felt pad that can be pushed onto the strings and dampening the sound. This is designed to shorten the notes when the Cyber Bass is played by the Marble Machine X.
Take care and Good luck with everything you are doing! Martin
The 3d printed Metal Wings/marble guides you can see is printed by Desktop Metal and designed by Phillip Brown, i will cover them more in upcoming episodes!
https://www.desktopmetal.com/
Special thanks to Carlos Montoro & Tim Keller for this collaboration: #marble #machine #4K
Catégorie Musique 1 667 commentaires
Connu / https://mastodon.potager.org/@lunar/103845671034744154
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9 h Lunar @lunar@mastodon.potager.org
On est mercredi !
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coopérative (SCIC SARL). Nous accompagnons les agriculteurs et agricultrices dans la conception et la fabrication de machines et de bâtiments adaptés à une agroécologie paysanne. En remobilisant les producteurs et productrices sur les choix techniques autour de l’outil de travail des fermes, nous retrouvons collectivement une souveraineté technique, une autonomie par la réappropriation des savoirs et des savoir-faire.
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Depuis 2009, nous développons une démarche innovante de réappropriation de savoirs paysans et d’autonomisation dans le domaine des agroéquipements adaptés à l’agriculture biologique. Nous nous sommes dotés en 2011 d’une structure adéquate, un temps sous statut associatif (ADABio Autoconstruction), qui puisse réunir ce qu’il faut d’expertise pour valoriser des inventions fermières, co-développer avec des groupes de pratique agricole de nouvelles solutions techniques adaptées, et rendre accessibles ces connaissances par des documents didactiques papiers ou numériques et des formations à l’autoconstruction.
Nos salarié-e-s sont basé-e-s en Rhône-Alpes, et sur une antenne dans le Grand Ouest. L’acquisition de deux camions transportant machines, matériaux et consommables nécessaires à l’autoconstruction, nous permet aujourd’hui de conduire des chantiers d’autoconstruction en atelier ou « de fermes en fermes ». Partout où la demande s’exprime, nous souhaitons que l’Atelier Paysan puisse accompagner les agriculteurs et les agricultrices de toutes les filières de production, dans leurs cheminements et leurs tâtonnements, individuels et collectifs, autour des agroéquipements adaptés aux pratiques techniques et culturales de l’agriculture biologique.
Education
L'école parisienne s'associe au groupe Sopra Steria, partenaire important du ministère des Armées, pour lancer une chaire dédiée aux concepts de gouvernance et souveraineté numériques.
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articuler ce projet autour de trois axes principaux: le droit du numérique, la régulation et le rôle du digital dans la fabrication de l'opinion, précise Floran Vadillo, directeur défense et sécurité chez Sopra Steria et ancien conseiller de l'ex-Garde des Sceaux Jean-Jacques Urvoas. Cette chaire s'intéressera ainsi aux questions liées au Cloud Act (loi fédérale qui permet au gouvernement américain d’avoir accès aux données stockées dans des datacenters appartenant à des sociétés d’origine américaine, Ndlr), à la fiscalité des Gafam ou à l'utilisation des réseaux sociaux comme outils politiques."
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le député Raphaël Gauvain, auteur d'un rapport étayé sur la souveraineté de la France et l’extraterritorialité des lois américaines, la patronne du digital chez Carrefour, Amélie Oudéa-Castera, l'ex-président du conseil italien, Enrico Letta, ou encore le chef du service d'intelligence économique de Bercy (Sisse), Joffrey Célestin-Urbain.
Par l’association du Manifeste pour l’industrie :
- Pierre Agha Membre,
- Gabriel Colletis Economiste, Président de l'association et animateur du site Manifestepourlindustrie.org
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quelques intentions louables, il repose sur des constats erronés, des méthodes d’inscription politique critiquables et, en définitive, prône des actes qui vont aggraver la situation économique de notre Pays.
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Ce Pacte procède d’une technique politique de fabrication du consentement de validation par élimination des alternatives
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Chers amis, revenons à l’essentiel et mettons nos pas au service du bien commun : décidons ensemble, travaillons, produisons, échangeons pour nos besoins essentiels et notre intérêt supérieur, le tout en cessant de prélever un butin sur la nature.
"Michel Desmurget, chercheur au CNRS dénonce « la fabrique du crétin digital »: « la multiplication des écrans engendre une décérébration à grande échelle » assure-t-il. Lisez son itv et supprimez les écrans de vos enfants (et les vôtres)! https://t.co/bkJkrcAIzB"
Le projet CampOSV a pour objectif de concevoir et prototyper des véhicules libres de source et leurs services associés, en cohérence avec leur écosystème.
Description : Le projet CampOSV a été lancé en 2015 le LabFab de l'Université de Rennes 1 qui le pilote en partenariat avec l'IETR-UMR CNRS 6164 et l'IMT Atlantique. Au niveau du territoire de Rennes Métropole, ce projet concerne de nombreux partenaires et contributeurs : l'EESAB, l'INSA, l'IRISA, l'IPR, le CREM-UMR CNRS 6211, l'ISTIC, l'UFR SPM, le Pôle Mécanique et de Technologies,le LabFab Rennes, la Pf MobBI, l'association My Human Kit, l'association Levita.... Les contributeurs travaillent principalement sur le modèle Tabby d'OSVehicule.
Site internet : http://camposv-labfab-ur1.ietr.fr
Organisations intéressées pour contribuer ou qui contribuent déjà : Université de Rennes1
Organisations utilisatrice ou intéressée par utiliser la ressource :
Contributeurs : GUICHON Valérie
Tags : voiture, véhicule, hardware, Open Source, TwizyContest
Catégories : Logiciel, Données, Connaissance, Matériel, Communauté
Thème : Open HardWare, Voiture Connectée, Données ouvertes, Voiture électrique et charge
Défi auquel répond la ressource Abaisser les barrières pour innover sur le véhicule, Améliorer les solutions et développer de nouvelles solutions de mobilités pour tous
Personnes clés à solliciter : GUICHON Valérie, COVAL philippe, MUSQUET Gael
LaFabriqueEcologique @LaFabriqueEcolo 2 juil.
@LaFabriqueEcolo agrandit son CA:
- @M_Orphelin député non-inscrit, engagé sur les sujets écologiques
- @morganeollier1 , Vice-présidente de l'association @CliMates_intl
Nicolas Fourmont et Benjamin Thibault,membres associés sont devenus membres titulaires.
Morgane Ollier et Matthieu ORPHELIN
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Cette technologie de rupture est à trouver dans la « fertilité des convergences » dixit Daniel Lincot. L’Hétérojonction, car c’est d’elle qu’il s’agit, est née de l’association du silicium amorphe des couches minces utilisé pour passiver les défauts de surface du cristallin. Ces cellules tandem pourraient atteindre des rendements de 30% d’ici à quelques années. « Aujourd’hui, de nombreuses solutions émergentes naissent d’association et de rapprochement de technologies éclectiques. Des mondes, des communautés qui s’ignoraient se parlent et font fructifier ensemble leur savoir faire. Les cellules PV à pérovskites sont par exemple nées de la rencontre entre l’imprimerie et la chimie. Il existe 23 catégories différentes de techno et donc un large foisonnement possible. Là où le rendement théorique du silicium seul plafonne à 29%, ces nouvelles combinaisons ouvrent les champs des possibles de rendement à 40 ou même plus de 50% » poursuit Daniel Lincot.
« Une gigafactory à technologie hétérojonction dans deux ans en France »
... la France est plutôt bien positionnée avec l’INES et son allié industriel Photowatt qui porte ses efforts spécifiquement sur sa technologie d’hétérojonction Monolike assisté par l’équipementier grenoblois ECM Greentech.
... La première ligne de 200 MW de capacité en hétérojonction a été installée par la société italienne 3Sun à Catane via un investissement de 50 millions d’euros. Mais il ne faut pas s’arrêter là. Il y a même un caractère d’urgence. Nous disposons d’une vraie avance à l’échelle de quelques années. Nous devons la mettre à profit pour aller vite. Il nous suffit aujourd’hui d’appuyer sur le bouton pour viser dans deux ans un premier step, une gigafactory à technologie hétérojonction pour 200 millions d’euros en France.
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L’association TRIPALIUM a pour but de diffuser les moyens et les savoirs faire techniques nécessaires à l’auto construction d’éoliennes individuelles. www.tripalium.org
La société Ti’éole soutient la communauté d’auto-construction, organise des formations, distribue les matériaux pour les auto-constructeurs. www.tieole.com
En France, la Foire Eco-Bio d’Alsace est la plus grande manifestation du type organisée uniquement par des bénévoles.
www.ecobio.alsace
Nombre de participants : entre 10 et 15
Renseignements sur le contenu du stage et inscriptions :
Dominique JAEGLE (06 33 55 73 19 ou jaegledominique@hotmail.fr)
->
https://reporterre.net/IMG/pdf/autoconstruction-colmar2019.pdf
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Au programme de l'Autre 20h présenté ce soir par Dolores Bakèla :
⏩ SANTÉ : LES SOIGNANTS AU BORD DU GOUFFRE
En France, 62 services d'urgence hospitalières sont en grève. Les soignants n'en peuvent plus, Filippo Ortona leur a donné la parole.
⏩ STYLOS ROUGES : COMMENT BLOQUER BLANQUER
Mobilisés depuis plusieurs mois contre les réformes Blanquer, les stylos rouges ne désarment pas. Notre correspondant citoyen Korri a suivi leur manifestation de samedi.
⏩ LYBIE : FEMMES DE FOOT
Le film de Naziha Arebi, freedom fields, parle de foot au féminin, mais pas que, dans sa dimension internationale. On a pu lui demander, entre autre choses, pourquoi son film n'était pas dans les salles de cinéma françaises, alors que début juin, commence la coupe du monde dans notre pays.
⏩ FRANCE : COMMENT UN PAYS SI RICHE FABRIQUE-T-IL AUTANT DE PAUVRES ?
Maxime Renahy, ancien espion dans la finance, a écrit "Là où est l'argent", un bouquin passionnant avec des révélations explosives sur la manière dont se constituent les richesses dans les paradis fiscaux. Il se met à table devant Denis Robert cf aussi https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?O6RsgQ
Catégorie Actualités et politique 17 commentaires
46 minutes
Et si contre le chômage, on n'avait pas tout essayé ? Depuis bientôt deux ans, dix "Territoires zéro chômeur longue durée" expérimentent un nouveau concept de lutte contre l'exclusion. Le principe : réaffecter à la création d'emplois ce que coûte le chômage, notamment en prestations sociales. Économiquement viable ?
A la recyclerie de Prémery (Nièvre), une des activités créées dans le cadre de l’expérimentation "Territoires zéro chômeur longue durée" © Radio France / Hélène Fily
Emmanuel Macron l'a annoncé en septembre, dans le plan de lutte contre la pauvreté : l'expérimentation "Territoires zéro chômeur longue durée" sera étendue. Depuis bientôt deux ans, dix zones rurales ou urbaines, testent ce dispositif imaginé par ATD Quart Monde. Sont but ? Sortir durablement de la précarité toutes les personnes sans emploi depuis au moins un an sur un périmètre donné.
La méthode ? Proposer des CDI, à temps choisi, payés au SMIC. L'idée est de partir des compétences des chômeurs, d'étudier les besoins du territoire et de mettre en place des activités qui correspondent. Cela peut aller de l'épicerie ambulante à l'aide aux démarches administratives, en passant par l'entretien d'espaces verts. Des activités qui ne doivent pas entrer en concurrence avec les entreprises locales. Plus de 600 emplois ont ainsi été créés depuis début 2017.
le presse-papier
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Et si contre le chômage, on n'avait pas tout essayé ? Depuis bientôt deux ans, dix "Territoires zéro chômeur longue durée" expérimentent un nouveau concept de lutte contre l'exclusion. Le principe : réaffecter à la création d'emplois ce que coûte le chômage, notamment en prestations sociales. Économiquement viable ?
A la recyclerie de Prémery (Nièvre), une des activités créées dans le cadre de l’expérimentation "Territoires zéro chômeur longue durée"
A la recyclerie de Prémery (Nièvre), une des activités créées dans le cadre de l’expérimentation "Territoires zéro chômeur longue durée" © Radio France / Hélène Fily
Emmanuel Macron l'a annoncé en septembre, dans le plan de lutte contre la pauvreté : l'expérimentation "Territoires zéro chômeur longue durée" sera étendue. Depuis bientôt deux ans, dix zones rurales ou urbaines, testent ce dispositif imaginé par ATD Quart Monde. Sont but ? Sortir durablement de la précarité toutes les personnes sans emploi depuis au moins un an sur un périmètre donné.
La méthode ? Proposer des CDI, à temps choisi, payés au SMIC. L'idée est de partir des compétences des chômeurs, d'étudier les besoins du territoire et de mettre en place des activités qui correspondent. Cela peut aller de l'épicerie ambulante à l'aide aux démarches administratives, en passant par l'entretien d'espaces verts. Des activités qui ne doivent pas entrer en concurrence avec les entreprises locales. Plus de 600 emplois ont ainsi été créés depuis début 2017.
Dans la métropole lilloise, l’expérimentation "Territoires zéro chômeur longue durée" a permis l'embauche de 120 personnes en CDI
Dans la métropole lilloise, l’expérimentation "Territoires zéro chômeur longue durée" a permis l'embauche de 120 personnes en CDI © Radio France / Hélène Filly
La grande originalité réside dans le financement du système. Le principe est de réaffecter à la création d'emplois ce que coûte le chômage (RSA, CMU, manque à gagner fiscal...), soit environ 18.000 euros par an et par personne. Des ressources complétées par les revenus tirés des activités mises en œuvre. Au delà des subventions, il y a une vraie logique d'entreprise.
Presque deux ans après le lancement de l'expérimentation, quel premier bilan en tirer ? Le modèle est-il économiquement viable ? Permet-il une réinsertion durable des exclus du marché du travail?
"Territoires zéro chômeur, la fabrique de l'emploi", c'est un reportage d'Hélène Fily.
Prise de son : Fabien Gosset
Réalisation : Violaine Ballet assistée de Stéphane Cosme
Mixage : Benjamin Orgeret
► POUR ALLER PLUS LOIN
- Sur le site Territoires zéro chômeur de longue durée
- Sur le site de l'hebdomadaire Alternatives Economiques : Vers la fin du chômage de longue durée ?
- Le document "Un quartier délaissé fabrique son emploi" sur la métropole lilloise
L'équipe
Jérôme Jadot journaliste
Vanessa Descouraux Journaliste
Géraldine Hallot Journaliste
Violaine Ballet Réalisatrice
Stéphane Cosme Attaché de production
Mots-clés : Société chômage exclusion
territoire_zéro_chômeur_de_longue_durée-TZCLD
Depuis
http://www.lafabriqueecologique.fr/notelowtech
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Cette note est actuellement ouverte au débat collaboratif. Ceci signifie que chacun(e) peut contribuer à son amélioration en faisant des commentaires et surtout en proposant des amendements précis, soit ci-dessous ou par email à l'adresse contact@lafabriqueecologique.fr. À l'issue de cette période collaborative, le groupe de travail qui a rédigé le document initial se réunira une dernière fois pour retenir les amendements jugés pertinents. Leurs auteurs seront dans ce cas sollicités pour que leur nom figure, s'ils le souhaitent, dans la fiche de présentation de la note en tant que contributeur. La version définitive sera ensuite publiée.
Note : tous les commentaires sont soumis à modération avant d’être publiés.
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Signataires
- Philippe Bihouix, Président du groupe de travail, ingénieur et essayiste, administrateur de l’Institut Momentum
- Emeline Baume de Brosses, Conseillère déléguée à l'Economie circulaire et la Prévention des déchets, Métropole de Lyon
- Geneviève Besse, Politiste
- Fabrice Bonnifet, Directeur Développement Durable & Qualité, Sécurité, Environnement du Groupe Bouygues
- Marc Darras, Président du Groupement professionnel Centraliens « Ingénieur et Développement Durable »
- Thomas Désaunay, Administrateur de La Fabrique Ecologique
- Jean-Marc Gancille, Co-fondateur de Darwin
- Amandine Garnier, Chargée de développement, Low-tech Lab
- Thierry Groussin, Créateur de perspectives, ingénierie de formation
- Thomas Guillermou, Entrepreneur, délégué national « Planète » au Centre des Jeunes Dirigeants d’Entreprise
- Arthur Keller, Spécialiste des vulnérabilités des sociétés industrielles et des stratégies de résilience, administrateur du Comité Adrastia
- Catherine Lapierre, Economiste, ingénieure
- Sandrine Roudaut, Editrice, prospective, conférence, auteure « L’utopie mode d’emploi », « Les suspendu(e)s »
- Agnès Sinaï, Journaliste et enseignante à Sciences Po, fondatrice de l'Institut Momentum
- Mathilde Soyer, Sociologue, chercheure associée au LEESU, Ecole Nationale des Ponts et Chaussées
- Bruno Tassin, Directeur de recherche à l’école des ponts ParisTech, co-resonsable scientifique du Labex Futurs-Urbains
- Arnaud Vanhove, Etudiant HEC Paris au sein du master « Sustainability and Social Innovation »
- Dominique Viel, Présidente du groupe de travail Prévention des déchets du Ministère de l’Ecologie
Conformément aux règles de la Fabrique Ecologique, seuls les signataires de la note sont engagés par son contenu. Leurs déclarations d’intérêts sont disponibles sur demande écrite adressée à l’association.
Membres du groupe de travail
• Guillaume Duval, Journaliste
• Laurence Medioni, Directrice communication et RSE, Ubitransport.
Relecture
Cette note a été discutée par le comité de lecture de La Fabrique Ecologique, composé de Nicolas Blanc, Guillaume Duval, Marianne Greenwood, Géraud Guibert, Catherine Husson-Traoré, Joël Roman, Guillaume Sainteny et Lucile Schmid.
Elle sera relue et fera l’objet de suggestions de la part des personnalités suivantes :
• Michel Gioria, Directeur régional de l’Ademe Ile-de-France
• Olivier Rey, Philosophe
Elle a enfin été validée par le Conseil d’administration de La Fabrique Ecologique.
ndlr :
Ours Noir
about 23 hours ago
Entretien avec Stuart Ewen au sujet des ressorts de la propagande, de la manipulation de l’opinion, en particulier du livre Propaganda de Edward Bernays, dans l’émission La grande Table sur France culture (≈35’).
.#société #propagande #manipulation #opinion #manipulation_de_lopinion #manipulation-de-lopinion #manipulationdelopinion #fabrique_du_consentement #fabrique-du-consentement #fabriqueduconsentement #démocratie #edward_bernays #edward-bernays #edwardbernays #bernays #adam_curtis #adam-curtis #adamcurtis #curtis #stuart_ewen #stuart-ewen #stuartewen #ewen #franceculture #2018 #fr
https://www.franceculture.fr/emissions/la-grande-table-2eme-partie/quelle-fabrique-du-consentement-en-democratie
Pour parler de la fabrique de l'Opinion à l'ère de Trump et des réseaux sociaux, Olivia Gesbert accueille Stuart Ewen, historien des médias.
1 tik - 1 Julien Delalande
2 commentaires :
Celine M
Merci pour le lien !
Il y a qques temps j’ai amorcé un article sur ce sujet, peut-être qu’il vous intéresera !?
https://www.mapao.net/security-site/fr/blog/fabrication-de-l-opinion
il y a environ 8 heures
Ours Noir
Merci.
il y a environ 7 heures
aleo fabrique ses panneaux solaires en Allemagne depuis 2001.
Nous sommes en mission : nous voulons que vous ayez confiance dans l’énergie solaire photovoltaïque. Nous voulons vivre dans un monde durable. Nous voulons combattre le changement climatique. Nous voulons commencer dès aujourd'hui. Et nous voulons vous montrer comment vous pouvez faire partie intégrante de la solution. Rejoignez nous pour changer le monde.
aleo est une filiale du groupe SAS
2014 a été une étape cruciale dans l’histoire d’aleo, car nous avons uni nos forces avec Sino American Silicon Products Ltd. En tant que troisième plus grand fabricant mondial de wafers pour l’industrie électronique, SAS fabrique les composants des ordinateurs, téléphones, appareils photos, voitures, objets connectés…que vous utilisez au quotidien.
- hot desking -> partage de bureau (euphémisme?! j'aurais dit "siège éjectable" on trouve aussi "bureau mobile ;-)
- fablab -> atelier collaboratif (laboratoire de fabrication labfab)
- social learning -> apprentissage par les réseaux (collaboratif)
- MOOC -> cours en ligne ouvert à tous (massivement)
- think tank -> laboratoire d'idées (réservoir)
- brainstorming -> remue-méninges
- geek -> technophile
- GIF -> image animée
- troll -> semeur de trouble
- bad buzz -> idem ! (polémique ?)