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Chargé de développement à l’association PiNG, Nantes
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Pourquoi est-ce nécessaire de s’approprier les technologies ?
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Notre vision du monde passe de plus en plus par le prisme du numérique, notre monde se transforme petit à petit en données binaires avec lesquelles nous sommes invités à interagir.
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La théorie de l’information de Claude Shannon [1]
[1] http://centenaire-shannon.cnrs.fr/
met en avant la « discrétisation » du vivant, une forme de simplification par la transformation de l’analogique en tranches de 0 et de 1, qui induit une transformation de notre paysage intellectuel et imaginaire. La suprématie d’une vision scientiste [2]
[2] https://fr.wikipedia.org/wiki/Scientisme
, la représentation du monde à travers la science et la technique ainsi que l’efficacité de la preuve par l’expérience et la technique (en) « marche » s’imposent comme vision du monde au détriment d’une approche sensible et plus proche du fonctionnement de la nature. D’un point de vue logique, la question de la possibilité de s’approprier les techniques est première par rapport à celle de la nécessité. Il faut de la médiation. Ainsi la technique sans médiation n’est qu’un aspect du grand « bluff technologique [3]
[3] Charbonneau B., Ellul J., 1999, « Directives pour un...
», une sorte de culture technique industrielle-consumériste-marketing qui formate les usages et peut (doit) être combattue par une culture technique critique.
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À qui profitent les lieux de… « médiation » ?
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Dans quelle mesure, à travers les lieux de médiation, sommes-nous des agents de promotion de ces objets techniques et méthodes ? De façon presque involontaire, nous sommes des facteurs de validation de ces progrès techniques, et ce malgré une posture critique. À travers les arts numériques notamment, nous sommes amenés à utiliser les « dernières technologies » et à en faire ainsi la promotion.
Nous sommes également parfois, contre notre volonté, complètement parties prenantes dans « l’écosystème » créatif et innovant : les labs (fablab, medialab, hacklab, etc.) comme avant-garde de l’innovation (avec, par exemple, la récupération des hackatons [5]
[5] Marathons informatiques pratiqués par des développeurs...
par les démarches entrepreneuriales), nous sommes parfois défricheurs de futurs terrains fertiles mais dont les légumes et les fruits seront récoltés par des start-up à la pointe de l’intégration capitaliste de ces dynamiques créatives et de partage.
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L’association PiNG
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Nous défendons, au-delà de l’usage des logiciels libres, une culture libre pour des raisons éthiques et pratiques et pour concilier le fond à la forme : si nous voulons ouvrir le capot des technologies (logiciel), encore faut-il avoir accès au moteur (code source). Cette démarche à présent appliquée au matériel électronique ou au design d’objet croise des problématiques politiques et économiques fortes (propriété industrielle, brevets, corps, etc.).
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Les lieux de médiation sont donc des lieux de tension, de conflit entre des injonctions à l’innovation industrielle et des appels à un mouvement d’une culture critique. Ces lieux ne peuvent éviter (même placés sous le signe de la culture libre) d’être intégrés, à un degré ou à un autre, à l’économie de l’attention [6]
[6] Citton Y., 2014, Pour une écologie de l’attention,...
. Dans le modèle du double-sided market (ou marché à double face, façon Google), ils figurent sur le premier côté, parmi toutes sortes de têtes de gondole. Le conflit des attentions croise et renforce le conflit des cultures techniques.
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Cela ne signifie pas que les lieux de médiation soient condamnés à être instrumentalisés. Le seul fait d’ouvrir la question de la culture technique constitue un début de résistance (voire de sagesse).
Comment et où produire des éléments de médiation vecteurs de transformation sociale ?
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Tout en prenant en compte les éléments évoqués précédemment, il convient de faire œuvre de médiation pour aussi tenter de développer un esprit critique et distancié face à ces évolutions sociétales technologiques.
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Si l’on ne veut pas connaître le même échec que la décentralisation culturelle (fonds régionaux d’art contemporain [FRAC], scènes nationales dont le public s’est finalement cantonné à quelques catégories socioprofessionnelles, etc.), il convient de renouveler, de réinventer nos modes d’intervention, d’animation et de médiation.
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Pour cela, il est nécessaire d’appréhender au plus près les évolutions des pratiques, notamment chez les jeunes, afin de situer un point de départ pertinent pour cet échange de connaissances, de savoirs, de savoir-faire et de savoir penser. Le principe du « lieu de médiation » pose question : le « lieu » constitue une base arrière, socle au développement structurel d’un projet afin, notamment, de développer des formes d’intervention salariées ou bénévoles et d’assurer ainsi une certaine stabilité au projet. Néanmoins, il constitue également un facteur de conservatisme : une certaine inertie face à de potentielles évolutions dans les modes d’intervention, au cœur des « formes de vie [7]
[7] Agamben G., [1993] 2002, « Forme-de-vie », Moyens sans...
».
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Il pourrait s’agir d’articuler des modes d’intervention « hors les murs » et « dans les appareils » des gens à partir de cette base, d’un lieu physique, et donc de penser cette action de médiation pour développer le sens critique, le libre arbitre, l’autonomie face aux technologies, au plus près des usagers. Il pourrait s’agir de « s’intercaler » dans la vie numérique des gens afin de se donner plus de sens et de distance : on peut ainsi imaginer des moyens d’intervention mobiles qui se déplacent sur un territoire au gré des besoins. Il pourrait également s’agir de développer des applications qui contribuent à ces souhaits et qui s’intercalent dans le processus informationnel quotidien afin de mieux le gérer, voire le contrôler.
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En considérant le stade d’avancée de « l’économie de l’attention [8]
[8] Citton Y., 2014, op cit.
», il faut réussir à détourner, à capter une partie de cette attention pour créer des zones d’échange et de médiation. Pour ce faire, des démarches ludiques peuvent être déployées tout en tentant d’esquiver les travers de la « gamification » de nos existences, c’est-à-dire l’usage excessif de dispositifs propres aux jeux vidéo pour jouer avec nos quotidiens. Le hack, le canular, l’humour peuvent également être des leviers pour grignoter des bribes d’attention et opérer parfois des changements d’échelle.
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La palette des outils au service de la médiation critique vis-à-vis du numérique peut et doit donc s’étendre et se diversifier pour atteindre ses objectifs dans un monde qui glisse pour l’instant de façon inexorable vers une emprise hégémonique de ces entités numériques sur nos quotidiens.
Comment objectiver nos limites ?
...lister sous forme d’items les points à mettre en relation.
dehors/dedans - prévisible/désiré - transparence/alternative - économie/emploi - éducation/populaire - transmission/savoirs - institution/autonomie - Il s’agit de « s’auto-instituer [9] [9] Castoriadis C., 2003, « L’imaginaire radical », Revue... » - subjectif/objectif - limites/pluralité : si tout a lieu, il y a un point où nos démarches s’arrêtent. Nos limites sont, ici, plurielles : limite de territoire, limite d’échelle, limite d’action. Quelle alliance privilégier pour dépasser une fonction d’éclaireur ? Profiter d’une forme d’organisation prônant une pluralité radicale.
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conclusion
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se référer aux nombreux écrits sur « l’associationnisme » de Jean-Louis Laville qui décrit parfaitement cette irruption asynchrone, ces formes d’économie et de pratiques populaires.
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Cette recherche inductive, qui dessine des réponses à partir d’expériences vécues comme un pendule entre émancipation et transformation sociale, produit des connaissances situées, durables et soutenables, imagine une citoyenneté sociale dans un environnement numérique.
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Présentation
Les contributeurs de ce Cahier de l’action, responsables associatifs ou de collectifs, dont certains sont animateurs de réseaux régionaux, développent des expériences sur le territoire métropolitain dont le point commun est une pratique des « tiers-espaces » : espaces de réalisation collective, lieux en retrait ou délaissés, comme les friches et les squats, en dehors des grands pôles d’attractivité régionaux. Ce numéro vise à valoriser les savoirs issus de l’expérimentation sociale auprès de minorités actives et des groupes les plus marginalisés de la population. Il s’organise autour de trois problématiques : leur rapport au travail, leur rapport au territoire et leur rapport à l’organisation de l’espace.
Un des éléments structurants de ces contributions est une démarche de recherche-action qui s’appuie sur une écriture collective et réflexive dépassant la fonction habituelle de s’exprimer, de témoigner, de transmettre ou de laisser une trace. Les auteurs de ces articles se sont aussi construits en tant qu’acteurs- chercheurs susceptibles d’élaborer leurs propres référentiels d’analyse et dispositifs d’action : savoirs généralisables issus de l’expérimentation, validation d’expertise et d’acquis d’expérience, auto-analyse des pratiques et analyse critique des rapports sociaux… Ils ont provoqué ainsi des relations inédites qui sont une autre manière de nommer une intelligence collective que ce cahier souhaite valoriser et partager.
Sommaire
Avant-propos
Emmanuel Porte
Page 5 à 5 Avant-propos
Introduction
Hugues Bazin
Page 7 à 17 Récit d’une recherche-action en situation
I. Un autre rapport au travail qui nous travaille
Anne Meyer
Page 19 à 27 Éducation populaire et action syndicale : un espace expérimental pour se reconnaître, apprendre les uns des autres en faisant un pas de côté
Anton Quenet-Renaud
Page 29 à 35 L’Atelier : beaucoup avec pas grand-chose
Premières lignes Version HTML Version PDF
Nicolas Guerrier
Page 37 à 45 Dénouer le travail. L’expérience du Cycle travail comme recherche et autoformation collective
Jeanne Guien, Maëlle Cappello, Hugues Bazin
Page 47 à 53 Recherche-action avec les récupérateurs-vendeurs de rue
Laurent Ott
Page 55 à 66 Pédagogie sociale et appropriation du territoire
II. Un autre rapport au travail qui transforme
Christine Balaï
Page 67 à 78 De l’imaginaire au réel, lien entre tiers-espaces, collectifs et territoire
Arthur Bel
Page 79 à 86 Les squats, une alter-urbanité riche et menacée
Julien Bellanger
Page 87 à 95 Lieux numériques : entre pratiques populaires et réappropriation des technologies ?
Victoria Zorraquin
Page 97 à 103 Du bidonville au « lieu de vie » : la redéfinition de l’espace du bidonville à travers les arts politiques et la pédagogie sociale
Éric Sapin
Page 105 à 112 Un centre socioculturel embarqué sur une péniche « pour la paix » ou les singularités de l’espace fluvial
III. Un autre rapport à l’organisation de l’espace qui émancipe
Camille Arnodin
Page 113 à 121 Debout éducation populaire : la circulation de la parole et le partage des savoirs dans l’espace public
Élisabeth Sénégas, Marie-Françoise Gondol
Page 123 à 130 La Chimère citoyenne, espace ouvert à tous, qui ne propose rien et où tout est possible
Christophe Giroguy, Le collectif des utopien·ne·s du quartier de l’Ariane à Nice
Page 131 à 141 Des tiers-espaces d’émancipation par l’action
Lakdar Kherfi, Propos recueillis par Hugues Bazin
Page 143 à 147 « La nuit nous appartient » : médiation nomade dans les quartiers populaires
Simon Cobigo
Page 149 à 156 La méthode Système Bulle
Conclusions
Hugues Bazin
Page 157 à 162 Les enjeux d’une science citoyenne au cœur de la société
Page 163 à 169 Retours sur l’expérience d’écriture collective
Ressources
Page 170 à 171 Ressources
Page 172 à 173 Répertoire des sigles
Pour le meilleur ou pour le pire, les diaporamas, slides et autres présentations font partie de notre quotidien. Quitte à devoir en faire et en voir, seul·e ou en groupe, autant disposer d’un outil en ligne pratique et respectueux de nos vies numériques, non ?
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(résumé)
sur l'utilité d'employer le mot juste sans anglicismes ni marques (surtout venant des GAFAM...)
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les langages qui permettent de faire des sites web (le HTML, bien sûr, mais aussi ses copaings CSS et Javascript), permettent de produire et de lire hyper facilement des présentations (même complexes), sans toucher à une seule ligne de code, sans installer de logiciel ni d’application, juste à l’intérieur de nos navigateurs web.
C’est justement, ce que permet le logiciel libre Strut. C’est donc à ce logiciel que nous avons contribué afin qu’il ait toutes les fonctionnalités dont nous rêvions pour mieux vous proposer Framaslides !
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Framaslides, un service collaboratif : Mode d'emploi
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Pour aller plus loin :
Essayer Framaslides
Découvrir Strut, la brique logicielle originelle
Participer au développement de Framaslides
Un service proposé dans le projet Dégooglisons Internet
Son développement a été financé grâce à vos dons.
Classé dans : Dégooglisons Internet, Libres ServicesDegooglisons, Framaslides, GAFAM, Google, Microsoft, Planet, PlanetEdu, Powerpoint, RezoTIC
ndlr : /i cf https://my.framasoft.org/u/mediationpourtous/?TNhI8w
excellent annuaire open source que nous vous recommandons
A propos
Toutes les études le confirment, l’open source est présent dans la plupart des entreprises, grandes et petites. Et ceci, qu’elles l’aient voulu ou non. Ce n’est pas très étonnant tant l’offre open source est riche et variée.
Depuis 2004, environ, Smile publie régulièrement des livres blancs pour présenter l’extraordinaire richesse de cette offre :la gestion de contenus en 2004, les portails en 2005, la business intelligence en 2006, la virtualisation en 2007, la gestion électronique de documents et les PGIs/ERPs en 2008, les VPN open source et les Firewall en 2009, l’ecommerce et les Réseaux Sociaux d'Entreprise en 2010, NoSQL en 2011, Mobile et Recensement/audit open source en 2012, etc.
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Méthodologie
http://www.open-source-guide.com/Presentation/Methodologie-d-analyse
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Qui est Smile ?
le premier expert des technologies open source en France, mais aussi en Europe. Maîtrisant un très large spectre de produits, composants et frameworks open source. Plus de vingt années d'expérience dans la réalisation de plateformes hautes-performances, la livraison de projets clés en mains, et l'apport d'expertises ciblées.
Smile accompagne ses clients dans le déploiement de solutions open source en proposant une large gamme de services : conseil, AMOA, ergonomie, création graphique, conseil éditorial, référencement, développement et direction de projets, formation, tierce-maintenance applicative et support open source, hébergement. ...24 % de croissance en 2012, 45,8 M€ de chiffre d'affaires, et 700 collaborateurs répartis sur 17 agences dans 8 pays : Paris, Lyon, Nantes, Bordeaux, Montpellier, Marseille, Lille, Grenoble (France),
Barcelone, Madrid (Espagne), Kiev (Ukraine), Genève (Suisse), Casablanca (Maroc), Amsterdam, Utrecht (Pays- Bas), Bruxelles (Belgique) et Abidjan (Côte d’Ivoire).
https://www.smile.fr / Pour nous suivre : Twitter @GroupeSmile
Quels experts ont travaillé sur ce support ?
Grégory BECUE - Benoît JACQUEMONT - Maxime BESSON - Patrick KOUASSI - Alexandre NION - Philippe DE OLIVERIA - Frédéric DE GOMBERT - Patrick NERDEN - Thomas CHOPPY - Jean-François BOSSARD - Régis DAMONGEOT - Thibaut DEMARET - Julien BAGARIE - Sébastien GIRAUD - Alain ARDITI - Patrice BERTRAND - Barthélémy VESSEMONT - Eric DRIER DELA FORGE - Guillaume MAISSA - Eric PLAQUEVENT - Allaedine EL BANNA - Jérémy SUBTIL - Marc GIBERT GINESTA - Sylvain TACQUET - Badr CHENTOUF - Hélène ZYSMAN - Philippe BRIERE - Sébastien MAULION - Aurélien LEMAIRE - Aurélien FOUCRET - Marc MAURICE - Sylvain BANNIER - Fabien GASSER - Vincent SPRIT - Nicolas PAILLOUS - Cyril QUINTIN - Michaël BRARD - François-Xavier BONNET - Laury MAGNE - Yanick DELARBRE - Pierre FROUGE - Pierre BARTHELEMY - Cedric DEFORTIS - Agnés FARAL - Simon ROY - Boudjema LARID - Adrien FUTSCHIK - Alexis TRINQUET - Mohand LARABI - Florent BERANGER - Elise BRIET - Pierre-Antoine MARC…
Grégory BECUE, Directeur Avant Vente Stratégique de Smile
@becueg
Il existe d'autres excellents annuaires open source que nous vous recommandons : Pack Logiciels Libres de l’entreprise, Projet Plume, Annuaire Framasoft
Dans un billet de blog publié le 25 novembre dernier, l’association explique les motivations dans ce choix. L’entrisme des GAFAs et le mutisme de l’administration face aux sollicitations de Framasoft sont au cœur de cette décision.
La charge du billet est musclée, c’est le moins que l’on puisse dire. Dénonçant la démagogie d’un ministère qui se voulait « technologiquement neutre » et rappelant que tout choix technologique est en soi une forme d’aliénation, le billet charge la ministre de l’Éducation Nationale. En clair, si ce n’est par incompétence, c’est une « stratégie réfléchie et partisane » qui est à l’œuvre au sein de l’Éducation Nationale.
Microsoft au cœur de la discorde
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En clair, l’association est lasse devant un temps et une énergie déployée en pure perte.
Les choix de Framasoft
Dénonçant aussi la réunionite à l’œuvre, Framasoft préfère revenir vers les acteurs. L’association a, depuis ses toutes premières actions, privilégié les partenariats avec des structures solidaires et relevant de l’éducation populaire et c’est vers ces derniers qu’elle compte bien prolonger son action.
Dans ce secteur aussi, il y a fort à faire : Framasoft dénonce ici aussi l’entrisme des GAFA et le « libre washing » dont fait l’objet l’ESS. L’association prend en exemple la SocialGoodWeek, avec pour partenaires MS et Facebook, ou ADB Solidatech qui équipe des milliers d’ordinateurs pour associations avec des produits MS à prix cassés.
Dégooglisons Internet !
Degooglisons Internet est le nom du projet porté par Framasoft visant à déconcentrer les services disponibles sur internet en mettant en valeur des solutions libres dans lesquels il n’est pas fait commerce des données privées de l’utilisateur. La liste des services est impressionnante et donne espoir sur l’indépendance que nous pouvons conserver dans nos usages numériques quotidiens.
L’association française pour le développement de logiciels libres Framasoft lance une plate-forme de vidéos, qui doit encore faire ses preuves si elle veut, à terme, attirer le grand public.
C’est fait. Avec 53 100 euros récoltés en quarante-deux jours, le projet PeerTube a pulverisé son objectif de financement participatif. Le principe a de quoi intriguer : une version totalement décentralisée de YouTube, dont le code informatique est librement accessible et modifiable, et où les vidéos sont partagées entre utilisateurs sans dépendre d’un système central. En ligne depuis mars 2018 dans une version bêta, le projet devrait prendre définitivement son envol d’ici à octobre, en s’appuyant sur l’argent récolté.
A l’origine de PeerTube se trouve l’association française Framasoft, l’une des principales associations militant pour le développement de logiciels libres en Europe. Avec sa stratégie de développement et de centralisation tous azimuts, Google, qui possède YouTube, est vite devenu un symbole dans la lutte orchestrée par Framasoft — qui a lancé il y a quatre ans une campagne baptisée « Dégooglisons Internet ».
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« Les Gafam nous placent dans une position de consommateurs », explique Pouhiou, chargé de communication pour Framasoft. « Certes, ils ont les moyens de créer des logiciels extraordinairement pratiques qui amènent beaucoup de confort à l’utilisateur. Mais bien souvent, ce gain de confort s’accompagne d’une perte de contrôle de nos données. Si l’on veut reprendre le pouvoir, il faut prendre aussi les responsabilités qui vont avec. »
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Modération autogérée
D’autres questions risquent, à terme, de faire débat. Les contenus pornographiques, autorisés par certaines instances à condition d’afficher d’un label « Not safe for work » et de flouter la miniature, sont tout de même déjà présents parmi les vidéos les plus populaires de PeerTube. L’organisation en fédérations peut également ouvrir la porte à la création d’instances acceptant des vidéos extrémistes ou appelant à la violence.
Là encore, Framasoft compte sur sa communauté pour empêcher les débordements et conserver la fraîcheur originelle : « PeerTube fonctionne un peu sur le même principe que Twitter, explique Pouhiou. On peut suivre et ajouter des vidéos sur son instance mais ça n’est pas automatiquement réciproque. Une communauté peut donc être ostracisée si ses actions sont jugées néfastes par les autres. »
Comment évoluera PeerTube ? Deux ans après sa création, son « grand frère » Mastodon se porte plutôt sainement, et a dépassé le million d’utilisateurs. Il y a donc de l’espoir pour une alternative aux grosses machines de la Silicon Valley. D’autant qu’en accumulant ces derniers mois les problèmes de modération et de monétisation, YouTube s’est mis à dos une partie de ses utilisateurs, qui pourraient bien voir d’un bon œil l’émergence d’une alternative.
Profil :
compétences en communication, gestion de projet et animation de communauté, ainsi qu'une aisance relationnelle, permettront au chargé e de communication et partenariats de représenter l’association auprès du public et des partenaires.
Poste :
Poste à pourvoir en CDD d'un an.
Salaire :
2 600€ bruts pour 35 heures hebdomadaires
Spécificités :
L’équipe des huit salarié e s de Framasoft est répartie en plusieurs lieux géographiques. Le poste est prévu pour être basé à Lyon (69007). Cependant, il pourra, au terme d’une période de formation et
en discussion avec la direction et le comité Ressources Humaines de l'association, être effectué en télétravail avec des points de coordinations réguliers. De fréquents déplacements, en France ou à l'étranger sont à prévoir pour représenter l’association, ainsi que pour des événements et réunions. Le poste est placé sous l’autorité du directeur délégué général de l’association.
Prise de poste :
début décembre 2018 (pourra être ajusté avec le ou la candidat e)
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Activités
Communication externe
• rédaction de contenus pour le Framablog et autres médias de l’association ;
• adaptation et mise à jour des supports de communication ;
• communication et médiation sur les réseaux sociaux ;
• veille autour de l’activité publique de l’association ainsi que veille prospective des sujets traités par celle-ci, y compris à l'international ;
Représentation et interventions extérieures
• interventions publiques : ateliers, débats, conférences, stands (nombreux déplacements à prévoir) ;
• représentation officielle auprès des partenaires ;
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Source :
https://contact.framasoft.org/recrutement/
ndlr : téléversé
Un drôle de Dimanche Bourvil Belmondo 1958 complet - Ajoutée le 24 déc. 2013 / willy jesse - YouTube
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un bon film avec les débuts de Jean Paul Belmondo et le grand Bourvil
Catégorie
Films et animations
242 commentaires
magazines d'actu | 115 min | Déconseillé aux -12 ans
Au sommaire : L'ours de la discorde. Alors que dans les Pyrénées, les éleveurs se mobilisent aujourd'hui contre le lâcher d'ours, les Français sont 84% à souhaiter cette réintroduction. - Jambon de Parme, une vie de cochon ! Le jambon de Parme est soumis à un cahier des charges très strict. Mais rien n'est prévu pour le bien-être des cochons. - Bishnoïs, les messagers de la terre.
En inde. Des martyres il y a 300 ans
Essaimage
Transmettre les savoir-faire
Bienvenue dans un monde où le cloud éthique devient à la portée de tou·te·s !
Pour 2018 et 2019, Framasoft désire favoriser des actions qui encouragent l’autonomie numérique, pour mettre à la portée du plus grand nombre un hébergement de confiance solidaire de nos vies numériques.
Un processus d’essaimage déjà entamé et que l’on doit affiner pour proposer une alternative concrète et locale aux entreprises-silos moissonnant nos données.
Des CHATONS pour un hébergement local, éthique et solidaire
Né en octobre 2016 à l’initiative de Framasoft, le Collectif des Hébergeurs Alternatifs, Transparents, Ouverts, Neutres et Solidaires est à la fois un label auto-géré et un outil d’entraide.
Pour le public, ce label CHATONS sert à pouvoir identifier près de chez soi un hébergeur à qui confier ses données, à qui faire confiance. Cette confiance repose sur des engagements stricts, autour de valeurs proclamées telles que l’ouverture, la transparence, la neutralité et le respect des données personnelles.
Pour les membres du collectif, CHATONS est un outil commun où l’on s’entraide, entre autres, par le partage des savoirs juridiques, techniques et relationnels qui permettent de rester dignes de cette confiance accordée par les bénéficiaires des services.
Framasoft veut pouvoir prendre le temps de se mettre à disposition du collectif. C’est ce dernier qui décidera des actions à mener ensemble pour se développer. Ceci dans l’espoir d’arriver à ce que, un jour, chacun·e puisse trouver un CHATON près de chez soi !
YUNOHOST, l’auto hébergement facile
projet libre ayant pour but de permettre à quiconque d’auto-héberger ses services avec un minimum de connaissances techniques. Emails, partage de fichiers, agendas, outils de création et d’organisation collaborative : tout cela s’installe en quelques clics afin d’avoir chez soi le serveur (et les données) de ses proches, son association, son entreprise, son collectif…
Depuis janvier 2017, Framasoft consacre du temps salarié au développement de ce projet afin de s’assurer qu’un maximum de services libres présentés dans la campagne « Dégooglisons Internet » puisse être disponible dans la solution YUNOHOST.
C’est dans l’esprit de cette collaboration avec YUNOHOST que Framasoft souhaite accompagner et promouvoir cette solution afin qu’elle remporte une adhésion massive…
Internationalisation : partager l’expérience hors des frontières
Avec la campagne « Dégooglisons Internet », Framasoft propose plus de trente services web éthiques et alternatifs à un public francophone. Il est hors de propos de traduire les services hébergés par Framasoft : cela ferait beaucoup trop de monde et donc de poids sur les épaules d’une petite association française !
Néanmoins, parce qu’il propose une solution (presque) complète, une expérience (relativement) aboutie et qu’il a remporté une adhésion (modestement) remarquable, le projet Dégooglisons Internet semble quasiment unique au monde… et cela pourrait changer !
Il y a là un magnifique chantier à défricher ensemble, celui de partager ces années de dégooglisation pour que d’autres puissent s’en inspirer et l’appliquer dans leur langue, en l’adaptant à leur propre culture.
Bref, il s’agit juste de transformer, ensemble, l’histoire de « Dégooglisons Internet » en un commun international. Rien que ça !
Framasoft Winter of code: winter is coding
Avec le Google Summer of code, le géant du web est bien malin : financer les projets open source de développeurs et développeuses lui permet à la fois de choisir les codes qui vont dans son intérêt, mais aussi de séduire des talents, de les formater à sa culture d’entreprise tout en redorant son blason !
En outre, le monde des libertés numériques devient de plus en plus dépendant des contributions financées par Google et autres géants du Web pour perdurer, et c’est inquiétant.
En proposant le Winter of code, Framasoft désire faire sa part dans l’inversion de cette tendance. L’idée maîtresse est de mettre en relation les communautés de logiciels libres ayant besoin de talents et les stagiaires des métiers numériques cherchant une formation qui ait du sens, et d’apporter un soutien administratif, voire financier.
Tout ceci reste à imaginer avec les parties concernées, mais une chose reste sûre : Winter is coding !
Campagne commencée le 09/10/2017
Dernière modification le 01/09/2018
Illustrations de David Revoy - Licence : Creative Commons By 4.0
Tipeee c'est quoi ?
nouvelle forme de financement participatif basée sur la philosophie du «Tip» (le pourboire).
/créateurs passionnés fournissent des contenus réguliers & gratuits à destination de leurs communautés, sollicitent leurs fans pour qu'ils les soutiennent dans ce qu'ils font déjà !
Comment ça marche ?
1 fiche présente son travail, sa démarche, le type de contenu qu'il fournit et à quel rythme il le fait. Pour devenir Tipeur d'un projet, l'internaute doit indiquer un montant (à partir de 1€) qu'il souhaite donner au créateur de contenu. Et pour rester dans des montants raisonnables, l'internaute peut indiquer dans tous les cas un maximum mensuel à ne pas dépasser.
Ex humoriste / youtube donner 3€ / nouvelle vidéo réalisée, dans une limite de 9€/mois.
/1 streamer donner 5€ par mois
1 Tipeur peut à tout moment modifier ou annuler ses promesses de Tips. ni obligation d'achat, ni objectif à atteindre, ni durée de collecte. chacun participe à hauteur de ce qu'il souhaite, s'il le souhaite et pour la durée qu'il souhaite.
Pourquoi donner pour un contenu gratuit ?
le créateur le mérite, vous souhaitez l'encourager à continuer et lui donner les moyens de le faire dans de bonnes conditions. Les contenus de qualité demandent de la motivation et du temps. Les promesses de Tips sont une excellente motivation face à ces deux contraintes :)
être intéressé / contreparties que le créateur propose. En effet, quand un créateur crée une page Tipeee, il construit une liste de contreparties exclusives et originales à destination des Tipeurs qui le soutiennent. Cela peut aller du simple remerciement nominatif à un concert à domicile ou un contenu artistique dédié. Fédérer & remercier sa communauté/son soutien.
Finalement, pourquoi utiliser Tipeee ?
En tant que Tipeur :
- vous soutenez concrètement des créateurs qui le méritent
- vous contribuez à faire d'internet un espace de création, de liberté et d'indépendance
- vous favorisez les contenus de qualité en valorisant les créations pour ce qu'elles valent, et pas uniquement pour l'audience qu'elles font
- vous avez accès à des contreparties exclusives
- vous rencontrez des gens qui ont la même passion que vous
En tant que créateur de contenu :
- vous êtes rémunéré pour ce que vous aimez faire
- vous valorisez la qualité de vos contenus au-delà de l'audience qu'ils génèrent
- vous créez un lien unique avec vos plus grands fans, grâce aux contreparties
- vous profitez de Tipeee pour vous faire connaître par de nouveaux internautes
J'ai une question, qui contacter ?
/Comment ça marche d'abord
Sinon posez-nous votre question directement
Le financement participatif, législation ?
/ordonnance n°2014-559 du 30 mai 2014+Le 30 septembre 2014, guide d'information AMF & ACPR
Comment Tipeee se rémunère ?
commission d’un montant standard de 8% TTC soit 6,66% HT prélevée auprès du Créateur de Contenus par TIPEEE en contrepartie du Service d'intermédiation rendu.
+ frais conditionnels de paiement en ligne
(extrait de https://fr.tipeee.com/terms du 20 aout 2015)
Découvrir les créateurs
Arts & Culture Autre BD/Comics Cinéma Cuisine Fashion & Beauté Geek
Histoire Humour Jeux-vidéo Journalisme Littérature Musique Nature
Photo Santé & Bien-être Sciences & Technologies Spectacle & Live Sports & Loisirs Streaming Vlog
Qui sommes-nous ?
L'équipe
Michaël Goldman PDG
Samuel Nomdedeu Directeur Général
Jean Hennequin Directeur administratif et financier
Laurent Rousselet Directeur Technique
Andry Rasoahaingo Développeur
Florian Hermann Chef de Projet Allemagne
Anthony Cresson Développeur
Yoan Martinez Développeur
Milena Cazade Chef de Projet
Raphaël Farina Chef de Projet
TIPEEE
20, rue du Sentier
75 002 PARIS
01 40 13 16 15
RCS N° 529 108 334 Paris
SAS au capital de 183 230 euros
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nouvelle édition des logiciels libres recommandés par les services de l'État, pour ses administrations
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Quand tu sais que ton yaourt a fait 9000 km, que 25% des fermes françaises ont fermé en 10 ans, que 40 % de nos fruits et légumes sont importés, tu te dis que peut-être on peut faire vraiment mieux.
▶️ Le HighKick à l'Agro-Industrie, c'est par ici : http://miramap.org/-Trouver-une-AMAP-...
J'ai eu le plaisir de travailler avec Rémy Watrigant sur cette vidéo, d'où un montage un peu différent de d'habitude !
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Avec le soutien du Centre national du cinéma et de l’image animée - CNC TALENT. Le Réseau des AMAP Auvergne Rhône-Alpes est soutenu par la Région Rhône-Alpes et Grand Lyon - La Métropole.
Crédits musique :
"June" and "New horizons" by Benjamin Banger
From Free Music Archive - License CC BY-SA 4.0
http://smarturl.it/hjfi20
Instagram@BenJaminBanger
"Something Old" and "Feel Good" (Instrumental) by Broke for free
From Free Music Archive - License CC BY-NC 4.0
"Too complex instrumental" by 6th Sense
From Free Music Archive - License CC BY-SA 3.0
"1.26 beat1" by BOPD
From Free Music Archive - License CC BY 3.0
"Floss Suffers From Gamma Radiation" by Blue Ducks
From Free Music Archive - License CC BY-SA 3.0
"L'ouverture de Guillaume Tell" by Rossini
FREE MUSIC ARCHIVE : http://freemusicarchive.org/
Catégorie
People et blogs
71 commentaires
Réalisation : Vincent Verzat, Rémy Watrigant
ndlr : comment traduire le titre ? ACT
spécialisé dans le dépistage, le diagnostic et la prise en charge des troubles de l'audition et de l'équilibre. Il prend en charge les patients de tous âges souffrant de baisse de l'audition, de vertiges ou d'acouphènes.
Baisse de l’audition
Afin d'en déterminer la cause et le degré de sévérité, les spécialistes réalisent des mesures auditives (audiogramme,...
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Chef de service
Professeur
Hung
THAI VAN
Coordonnées du service
Hôpital Edouard Herriot
Pavillon U
5 Place d'Arsonval
69003 Lyon
04 72 11 05 03
Visites autorisées dans le service de 8h30 à 18h.
Pathologies prises en charge
Baisse d’audition
Surdité
Troubles de l’audition centrale
Vertiges
Troubles de l’équilibre
Acouphènes
Hyperacousie
Paralysies faciales
Allergies ORL
Troubles de l’odorat et du goût
Traitements proposés
Audiométrie (test tonal et vocal)
Tympanométrie
Potentiels évoqués auditifs (PEA)
Otoémissions acoustiques (OEA)
Posturographie
Video Head Impulse Test (VHIT)
Potentiels évoqués myogéniques vestibulaires
Kinésithérapie Vestibulaire
Traitement des Vertiges Positionnels
Acouphénométrie
Evaluation psychologique
Evaluation audioprothétique
Réglage des Implants Cochléaires
Tests cutanés et olfactifs des allergies ORL
Equipe
Professeur Hung THAI VAN Chef de service
DocteurEugen IONESCU Chef de service adjoint
Dr. Jean-Louis DEGRAIX
Dr. Nathalie GIRARDON
Dr. Xavier PERROT
Dr. Jennifer PETROSSI
Dr. Catherine SEILLER
ndlr : référent conseillé au tél.
Docteur
Eugen IONESCU
Chef de service adjoint
Une connaissance fiable de l'espace est une condition indispensable pour y agir efficacement, et seule l’expérience sensible donne, sans y suffire, accès à la connaissance du réel. Toutes les modalités sensorielles contribuent à donner sens à cette construction mentale, mais les informations visuelles sont dominantes lorsque celles-ci sont disponibles. Cette construction d'une image mentale de l'espace visuel est comme l'assemblage d'un puzzle dont chaque pièce doit être informative, correctement positionnée et orientée. Ceci requiert l’actualisation constante de la connaissance de la position dans l’espace, et de la direction du regard au moment de l'acquisition des images.
Sensible aux accélérations angulaires et linéaires, le système vestibulaire agit comme une base inertielle qui encode une trace du déplacement du sujet dans un référentiel allocentrique**, stabilise et caractérise la direction du regard. L’inversion de la fonction de cette base permet d’en évaluer la qualité par celle des images acquises, leur stabilité, leur orientation correcte, et leur localisation spatiale.
Cliniquement, les pertes d'efficacité de la base inertielle, donc des labyrinthes ou de leurs connexions, prennent la forme de dérives des yeux, et de la représentation mentale de l’espace avec conflits intersensoriels. La première est à l’origine de nystagmus, oscillopsies, désalignements oculaires verticaux, déviations latérales des yeux à la fermeture des paupières, ou trajectoire convexe des saccades oculaires verticales. La seconde crée vertiges, illusions de translation, erreur de l’intégration des trajets, perceptions « insensées » de soi dans l’espace.
Toute fragilisation de nos rapports avec l'espace est génératrice d'anxiété probablement en raison de son caractère vital et induit progressivement des comportements d'évitement par anticipation, qui peuvent considérablement dégrader la vie sociale et professionnelle.
Cette sémiologie s’avère quelquefois plus sensible que l'imagerie médicale la plus pointue actuellement disponible. Des outils récents d’explorations fonctionnelles permettent d'étendre le spectre des fréquences testées aux mouvements rapides de la tête qui surviennent lors de la marche ou d'activités de la vie journalière, mais identifier les altérations perceptives du « soi dans l’espace » relève toujours pour le médecin d’une écoute rationnelle et de compétences transdisciplinaires.
Conférence présentée à l'Académie Royale de Médecine de Paris le 17 juin 2014 par Ch. Van Nechel
lire le texte complet...
http://www.academie-medecine.fr/articles-du-bulletin/publication/?idpublication=100335
ndlr: dans le cadre de l'otoneurologie ORL