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Tout juste 10 jours après avoir débuté le chantier de notre QG éphémère à Pontivy, nous avons reçu la visite en voisin de Nicolas Hulot qui voulait comprendre ce que nous manigançons.
Nous lui avons expliqué le pari que nous nous apprêtons à relever : créer les conditions idéales pour faire travailler ensemble des volontaires (étudiants, chômeurs, retraités,...) et des organisations engagées dans la transition.
Chaque groupe de travail réunira ainsi des personnes/structures référentes sur un domaine (voir liste des GT plus bas) et des bénévoles de la Bascule prêts à donner de leur temps pour catalyser les actions existantes, les démultiplier, leur donner vie(s) sur les territoires.
Vous avez envie de changer le monde mais ne savez pas par où commencer ?
On a plein d'idées, et si vous avez un mois ou plus devant vous, venez participer à un groupe de travail...on vous nourrit et on vous loge à Pontivy, the place to be.
Si vous n'êtes pas disponible avant août...no stress, on n'a pas prévu de s'arrêter en si bon chemin : nous avons déjà d'autres pistes de lieux prêts à nous accueillir le temps qu'il faudra pour faire émerger demain.
Une césure d'un an dans une vie pour participer à la transition démocratique, ça ressemble presque à un service universel d'intérêt général, et si c'était ce genre d'idées concrètes et applicables dont la République avait besoin pour se remettre dans le bon sens ?
On vous attend.
Groupes de Travail
[Politique] Propositions politiques - Chiffrage - Lobbying législatif - Municipales 2020
[Nouveau récit] Cellules territoriales - Outils numériques - Entreprises de demain - Après août 2019 - International
[Gestion] Coordination - Gouvernance - Financement - Gestion des bénévoles - Logistique
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Catégorie Actualités et politique 0 commentaire
37 minutes
Journée spéciale, le plastique, non merci! sur France Inter. Donnez nous toutes vos recettes et astuces pour nous libérer du plastique!
Comment réduire notre production et notre consommation de plastique?
Comment réduire notre production et notre consommation de plastique? © AFP / Chris STOWERS
Une journée normale c'est donc une journée plastique!
La votre, la mienne, ça ressemble à quoi ? Tous les jours?
Pour la douche, j'adore le savon. Donc tout va bien! Au passage il parait que c'est pas forcément bon pour la peau. Sinon, le Shampoing est dans un bouteille plastique. -1 point.
Le dentifrice. Dans un Tube en plastique. -2 points
Le déodorant. Personnellement. J'ai un truc à bille. En plastique. -3 points.
Le petit déjeuner. Quand vous achetez du pain frais la veille, ça va. + 1 point.
En revanche, le pain de mie pour les jours où vous n'avez eu le temps de rien. Dans du plastique. -4 points
Un yaourt. En plastique. -5 points.
Un café. Une dosette. -6 points. Si on ajoute un peu de lait dans le café: la bouteille. -7 points
S'habiller avant de partir : le synthétique c'est du plastique. -8 points
Au boulot. Encore un café. Chez nous c'est encore une dosette. Et on est 5. - 9 points.
Heureusement on a des verres et des tasses en verre quand même . +1 points
A midi, pour ceux qui vont à la cantine, on veut pas savoir ce qui se passe dans les cuisines et les contenants des produits. Mais si on va en face dans un magasin dont on ne dira pas le nom, les sandwich sont sous plastique. - 10 points
Le bar à salade a des récipients en carton depuis très peu de temps. Sinon, plastique. -11 points. D'ailleurs les couverts aussi ! -12 points
D'ailleurs les sacs en papier ont aussi un peu de plastique pour qu'on voit ce qu'il y a à l'intérieur, ce qui est quand même un comble. -13 points!
Et le soir. Rebelote. Là dedans, il y a beaucoup chose dont on peut se passer, si on fait un peu d'effort. Sans pour autant aller jusqu'à des sacrifices et des fabrication de produits chronophages. Et c'est pour ça qu'on est là ce soir.
Pour partager nos solutions simples. Le plastique, non merci!
Les invités
Muriel Papin Déléguée générale de l’association No plastic in my sea
Jean Reverault Vice-président de l’association Amorce
Christophe Viant Président de la FEDEREC Plastique
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un des interlocuteurs : "l'écoconception est la base de tout"...
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Je ne suis pas d'accord. Si on n'utilise QUE des produits bruts, le concept d'écoconception n'existe pas. D'autre part, sans nier la nécessité d'écoconception pour les produits industriels, ce qui me semble tout autant nécessaire, c'est un service de déconstruction de micro-proximité (dans chaque quartier, chaque village) en poussant l'expérimentation zéro chômeurs de longue durée TZCLD et en l'association à un projet que je porte : la maison des humanités, qui intègre les métiers de l'accompagnement et de la médiation.
Déjà été expérimenté en région havraise pendant 13 ans et qu'il suffit de pousser afin de viser le zéro déchet non recyclé ou réemployé. Je suis ingénieur, médiateur et au rSa alors que j'ai un projet d'intérêt général.
Merci de m'aider pour mieux nous aider ENSEMBLE.
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Rép donnée ? ACT
Bonjour,
merci pour cette note et sa promesse d'innovation low-tech :
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... elle pourrait être un véritable accélérateur de la nécessaire transition écologique et énergétique, basée sur une technique au service de l’homme, créatrice d’emplois locaux, participant à la résilience des territoires et porteuse d’un nouveau récit positif.
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Cependant, en première lecture, je suis surpris que :
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dans :
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« Cour de défense du bien commun »
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il n'est en fait pas question de "commun" ni de "bien commun". Ne vouliez-vous pas dire plutôt "intérêt général" ? -
dans
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Notre système technique et économique se heurte aux limites de la planète, qui n’a plus la capacité de lui fournir les ressources nécessaires et d’en absorber les rejets, comme le démontrent le changement climatique et la pollution généralisée irréversibles.
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vous éludez l'extinction massive des espèces et les risques pour l'homme lui-même. -
dans
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E- Proposition 2 : Faire de la France la première « low-tech nation », championne de la réparation, du réemploi et du zéro déchet
Nous proposons d’impulser une véritable dynamique en soutenant les démarches low-tech, en en faisant la promotion et en en mesurant les progrès, à toutes les échelles territoriales : quartiers, communes, métropoles, régions 57.
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vous n'avez pas inclus "aller vers le zéro fossile VITE" qui me semble bien plus majeur que "zéro déchet"...
Cela me semble contradictoire avec
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concept de low-tech – ces technologies qui se veulent plus sobres, plus résilientes, plus autonomes –
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Nous le savons désormais, notre système technique et économique se heurte aux limites planétaires à double titre d’une part, la capacité limitée des écosystèmes à absorber ses conséquences (émissions de gaz à effet de serre et changement climatique, effondrement de la biodiversité, déchets et polluants persistants, dégradation, destruction ou artificialisation des sols...) ; d’autre part, le fait que ce système repose encore essentiellement sur la consommation de ressources non renouvelables (énergies fossiles, métaux, minéraux...) avec un risque, difficile à évaluer mais indéniable, de pénurie à plus ou moins long terme, car la production issue de l’exploitation d’un stock fini ne peut se maintenir en croissance exponentielle, elle doit nécessairement passer par un maximum puis décliner.
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Il me semble que les éléments suivants sont erronés :
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la phrase suivante est erronée :
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ou la manière « d’atterrir » vers un système soutenable, un nouvel « âge » qui ne soit pas celui de l’Anthropocène, où l’humanité est devenue une force géologique.
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En effet, ne laisse-t-elle pas entendre que nous pourrions sortir de l'anthropocène, ce qui est bien sûr impossible avant très très très longtemps... -
mauvaise formulation à mon sens de " mobilité électrique ou hydrogène... " car la mobilité hydrogène EST AUSSI électrique donc je dirais plutôt "mobilité électrique avec vecteur hydrogène ou non".
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sur "les logiciels libres sont bien meilleurs que les logiciels propriétaires car ils consomment moins de ressources de calcul donc provoquent moins d’obsolescence « systémique » entre software et hardware (ils sont aussi plus « appropriables » et vont donc dans le sens d’une plus grande autonomie et d’une certaine résilience)" :
bien qu'étant un inconditionnel des logiciels libres, cette affirmation est fausse :
le fait qu'un logiciel soit libre n'amène pas en tant que tel de garanties sur sa qualité en terme d'usage, de performance ou autre.
En d'autres termes, il y a de bons et mauvais logiciels, qu'ils soient libres ou privateurs. Par contre, un logiciel libre défini par quatre libertés, donne des propriétés supplémentaires que n'aura pas un logiciel privateur comme la possibilité d'étudier le code, de le modifier et même de le redistribuer. Par contre, consommer moins de ressources de calcul est lié à la manière dont le code est écrit et au système matériel et logiciels qui va l'exécuter, et non pas au fait qu'il soit un logiciel libre ou privateur. Sur l'autonomie, rendre disponible le code source d'un logiciel offre une potentialité d'appropriation. Mais pour qu'elle soit effective, il convient d'avoir le bagage suffisant.
Quant aux notions d'obsolescence systémique, d'appropriabilité, de résilience, elles me semblent si complexes qu'on ne peut rien déduire à priori lorsqu'elles s'appliquent à un logiciel libre ou privateur car elles sont multifactorielles et il faudrait donc faire des études singulières pour isoler chacun des facteurs, voire faire un plan d'expérience. Donc, à vous de préciser votre pensée afin que le lecteur comprenne mieux.
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je n'ai pas fini, je vous adresse donc cette première réaction et la compléterai dès que possible .
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Avant de conclure, si je réfléchis à votre note, au fond, j'ai le sentiment qu'elle est destinée à ménager les susceptibilités, voire à amener des propositions pré-établies. Je le ressens dans un certain délayement de formules alambiquées ou de quelques lieux-communs ou formules toutes faites. Ne le prenez pas mal car votre démarche est à encourager. C'est pourquoi je vous invite à chercher une méthodologie, un fil conducteur, afin de pousser la confrontation des idées, de mettre à distance les idéologies sous-jacentes. Et je me tiens à votre disposition pour y contribuer dans la limite de mon temps et de mes capacités.
J'en viens maintenant à ma conclusion personnelle directement inspirée de ce que j'ai compris de votre note et de tout ce que j'avais déjà travaillé notamment dans le billet cité ci-après où j'avais intégré les travaux de Philippe Bihouix notamment :
Si nous voulons sauver un maximum des apports scientifiques et technologiques de la période "industrielle", notre seule chance est de minimiser nos besoins à l'essentiel et de nous focaliser d'abord sur la sobriété , ensuite sur l'efficacité et enfin, sur les énergies renouvelables. Dans ces trois domaines, les "low_tech" que je traduis par "approche à basse intensité technologique" me semble un élément clé, mais pas le seul et moins important que l'approche "zéro fossile" et/ou la médiation, pour garantir que le meilleur de nos acquis sera transmis à nos descendants sur le très long terme. Dit autrement, le low-tech est une condition nécessaire à un développement VÉRITABLEMENT durable . Et plus nous sommes capables de convaincre les citoyens du monde de prendre des mesures conservatoires radicales (en intensité et en vitesse), plus nous réussirons à sauver l'essence des high-tech pour les générations futures. Il me semble que nous avons là LE MESSAGE À FAIRE PASSER AUX ENTREPRISES ET AUX INNOVATEURS DE TOUS POILS...
C'est exactement ce que propose l'approche PRENDRE LE PARTI DE L'ANTHROPOCÈNE dont la première opération aura lieu à Lyon les 27 et 28 octobre 2018. Il serait important qu'une personne vienne parler des low-tech ou réponde aux questions, voire tenir un stand. MERCI vive des low-tech CO-CONSTRUITES !
Jean-Luc Poitoux il y a 21 heures
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ndlr :
- pour PLPDLA LYON voir
http://mediation.internetrie.fr/spip.php?article78 - pour accéder en ligne au commentaire :
http://www.lafabriqueecologique.fr/notelowtech
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