Raquel Garrido le 23 septembre 2017 ©Getty - Robert DEYRAIL/Gamma-Rapho
Il ne fait pas bon critiquer Jean-Luc Mélenchon au sein de LFI... Raquel Garrido en a fait les frais.
La députée était convoquée hier soir par le bureau du groupe de la France insoumise pour s'expliquer sur ses mises en causes du leader des Insoumis, et elle a été sanctionnée : elle ne pourra plus s’exprimer au nom de LFI à l’Assemblée pendant 4 mois. Garrido a dénoncé le "verdict de la Cour pénale insoumise", je la cite : "Je suis mise au ban, je suis humiliée, je suis en colère, j'ai honte de voir cette évolution du projet politique auquel j'ai consacré 30 ans de ma vie".
On rappelle que Garrido avait déclaré, au sujet de Jean-Luc Mélenchon : "Il ne fait que nuire depuis dix mois". Alors dans un mouvement habitué à célébrer le génie infaillible de son chef, forcément, ça crispe un peu !
Y a-t-il d'autres voix critiques ?
À lire aussi : Affaire Quatennens : les jeunes Insoumis se rebiffent https://www.radiofrance.fr/franceinter/affaire-quatennens-les-jeunes-insoumis-se-rebiffent-4509335
Raquel Garrido est sans doute la plus tonitruante des rebelles de la France insoumise, mais elle n'est pas seule. Depuis de longs mois, on voit des députés comme François Ruffin, Alexis Corbière, ou Clémentine Autain, qui sera d'ailleurs l'invitée de France Inter à 8h20, se positionner en rupture ouverte avec la direction de leur mouvement…
Ils jugent la ligne politique trop clivante, la gestion de l'affaire Quatennens, la position de LFI sur le conflit israélo-palestinien, ou encore une organisation jugée verrouillée, au service unique des ambitions de Jean-Luc Mélenchon.
Que peuvent-ils faire pour se sortir de ce pétrin ?
C'est là où ça se complique.
D'abord pour des raisons de calendrier : ils voulaient plutôt agir après les européennes en juin prochain, ils n'avaient pas prévu que la NUPES imploserait si tôt.
Ensuite parce qu'il n'y a pas d'instance démocratique pour mener des batailles internes : à la France insoumise, on ne peut pas gagner de congrès, tout simplement parce qu'il n'y a pas de congrès. C'est un mouvement construit par et pour Mélenchon, dépourvu de mécanismes de vote.
Pourquoi ne pas quitter LFI, dans ce cas ?
D’abord parce que l’herbe n'est pas forcément plus verte ailleurs, on ne peut pas dire que le PS ou les écologistes soient dans un superbe état. Il y a aussi le risque de passer pour des diviseurs, alors que les électeurs de gauche aspirent à l'unité. Finalement, nos rebelles préfèrent tenter de renverser le rapport de force en interne, en misant sur l'usure progressive de Jean-Luc Mélenchon. On leur souhaite bien du courage…
Clés : Politique Partis politiques La France insoumise Raquel Garrido
L'équipe Hadrien Mathoux, Production
Un monde nouveau - Cyril Dion - Arte
Un Monde Nouveau est une série de 3 documentaires-événement, réalisé par Thierry Robert, co-écrit par Cyril Dion, qui propose un plan en trois étapes pour lutter contre les bouleversements climatiques : Résister, S’adapter, Régénérer.
La série documentaire est disponible sur la plateforme Arte.tv depuis le 8 novembre et diffusée en direct à 21h sur Arte le mardi 15 novembre.
Un Monde Nouveau est une enquête en trois volets qui s’intéresse aux mouvements de résistance et part à la rencontre de celles et de ceux qui, à l’échelle d’une région ou d’un pays, régénèrent la terre, les océans, créent les écoles de demain et la démocratie du futur. « Un Monde Nouveau est une nouvelle étape dans les différents projets que je porte pour mettre en lumière des initiatives constructives et porteuses d’espoir. J’ai essayé d’y réunir le fruit de mes recherches, de mes rencontres de ces cinq dernières années. Et proposer une trajectoire concrète pour inverser la courbe du changement climatique », explique Cyril Dion.
Clés : Sciences et savoirs Sciences
L'équipe
Mathieu Vidard, Production
Valérie Ayestaray, Réalisation Chantal Le Montagner, Collaboration
Anna Massardier, Collaboration Lucie Sarfaty, Collaboration Thierry Dupin, Collaboration
Camille Crosnier, Journaliste
-> https://rf.proxycast.org/aa66302d-3a20-4799-940a-58dd785c3d86/10212-15.11.2022-ITEMA_23196781-2022F10732S0319-22.mp3
Tr.: ... demain peut être meilleur dans certains aspects ...ce que les êtres humains vont faire pourrait être beaucoup plus intéressant ... comprendre comment les écosystèmes fonctionnent pour inventer des nouvelles façons de construire des bâtiments, d'organiser des villes, de faire de l'agriculture, en s'appuyant plutôt sur les écosystèmes plutôt que sur les profits ... trouver plus de sens à sa vie même si les condditions extérieurs sont plus difficiles ... défi de ne pas être éco-anxieux dans ces conditions ... tristesse et colère sont la moindre des choses sinon psychopathe ... des récits pour embarquer dans l'action ... revigoré et armé pour agir ... communication des cyprès, accusé de charlatanisme, alors que repose sur des travaux scientifiques ... personne n'aime qu'on l'oblige à faire des choses qu'il n'a pas envie de faire ... convention citoyenne proposée à E.Macron ... pas le 110 km/h alors qu'une majorité de fr y est prête ... excuse de pas créer une rupture ... participer à l'élaboration des solutions, équité / grandes entreprises, prêts à faire des efforts énormes ... un des sujets, la démocratie participative ... proposer des récits désirables ... l'écologie politique ne remet pas en question les fondements du récit productiviste/consumériste, sauf qu'on enlève les compensations ... le fondement de notre civilisation : défendre le monde vivant, pas la croissance économique ... des métiers passionnants qui donnent envie de se lever le matin, d'inventer, rend heureux car utiles ... philosophe Jean-Pierre Dupuy - catastrophisme éclairé "nous ne croyons que ce que nous savons" Clyde Hamilton, philosophe australien "on est tous un peu climatosceptiques car la charge émotionnelle du changement climatique est trop dure, tout petits face à cet énorme problème ... déni plutôt que de se confronter à cette tragédie ... Le chef ?? a vraiment expérimenté contrairement au ministère qui n'a pas tenu 15 jours? plusieurs repas végétariens par semaine, bons, parle aux enfants, donne du sens, manger moins de viande a un impact considérable ... et arrêter de prendre l'avion sont sans doute les deux actions qui réduisent le plus vite les émissions de gaz à effet de serre. ... Paul hawken? ... le mouvement climat doit changer sinon échec assuré ... idem André asman? mvt clim assez gentil encore ... non-violence ... oublie les sufragettes, les mvts antiségrégation aux usa, anti-esclavage, la fin de la monarchie en France, ya toujours eu des rapports de forces à chaque fois. Appelle à agir sur les LIEUX DU CRIME. L'AIE "plus une seule infrastructure nouvelle pour rester en dessous de 1,5°C avant la fin du siècle" Donc chaque nouvelle infrastructure fossile potentiellement bombes climatiques qui vont faire dépasser cet objectif et provoquer des morts ... L'énorme pipeline en ouganda, continuer à exploiter énorme mine de charbon en allemagne, ça va créer des morts. Donc qu'est-ce qui est le plus violent ? Les construire ou les saboter ? C'est militant. Légitime défense. Ces entreprises mettent la vie d'êtres humain en danger. LÉGITIMITÉ À LES EMPÊCHER de le faire. Donc à les empêcher. S'interposer entre eux et les écosystèmes. ... S'interposer contre la déforestation en amazonie. Ça va devenir tendu. Tribune de scientific rebellion "1,5°C inaccessible". Dit en off par des climatologues du GIEC ... proba dépasser les 2,1°C en 2040 si pas action déterminée now. On rentre dans une zone d'incertitude profonde. On ne sait pas quels sont les mécanismes qui vont s'activer. Risques d'effets d'emballement incontrôlables.
23:00 Christophe Cassou ... on aura les conséquences avant que prévu. ... engagements pas tenus. La convention citoyenne est allée plus loin que les propositions des politiques ... Mine allemande de charbon bloquée ... risque / investisseurs, name and shame, image de ces grandes entreprises, bad buzz ...
33:00 Macron ne dit pas la vérité ... SUV facteur majeur des ém de GES. ... débunké, merci. ... trumpisme ligth ... invest trop faibles, astreinte financière, argent investi auprès d'acteurs efficaces ... construire quelque chose qui serve vraiment ... plus de DÉMOCRATIE ...
40:00 chercheuse américaine démocratie ouverte accessible à tous de façon égalitaire ... éducation, considérée ... le pb :quelles modalités démocratiques. Soumis à minorité. épatée par irlande mariage homo, droit à l'avortement. référendum voté grace à la préparation dans climat social apaisé. ... victoire à retentissement énorme ... ingénieur, architecte, prof, artiste, agriculteur ... revenu universel ... plus ramasser poubelles ... le plus efficace : fuides frigorigènes, éoliennes, alim végétale, avion ... visio pour réd ém ges ... alternatiba, amis de la terre, participer au pb ou à la solution ? xanax, faire ce que j'aime, rend heureux, l'action, à des endroits où on voit le résultat ... succession de petites victoires, stratégie.
Évènements
Londres, Berlin, Paris, New York, Amsterdam, Madrid, Buenos Aires, Melbourne…
en octobre, le mouvement mondial Extinction Rebellion mènera une rébellion internationale. De nombreuses villes dans le monde seront le théâtre de mobilisations d’ampleur en faveur du monde vivant.
...
nous luttons pour un « nous » plus grand.
Un « nous » qui inclut l’ensemble du vivant, son histoire commune et la Terre qui les relie.
Un « nous » qui inclut les autres mouvements en lutte pour remplacer « l’ancien monde » par un futur souhaitable.
Un « nous » qui inclut les générations passées, présentes et à venir.
Un « nous » qui associe la résistance et la résilience.
Nos modes d’actions, comme nos imaginaires sont divers et multiples.
Ils s’uniront et se complèteront durant cette rébellion.
Chacune et chacun à notre manière nous serons là pour DIRE LA VERITÉ, nous serons là pour AGIR MAINTENANT, nous serons là pour nous réapproprier la construction politique au travers d’ASSEMBLÉES CITOYENNES.
Nous le ferons par des occupations longues, par des performances symboliques, par des perturbations dispersées et coordonnées, par des échanges et par du soin accordé à l’autre.
Mobilisation
Nils Agger, rebelle contre l’inaction
Des militants d’«Extinction Rebellion» manifestent à Londres le 23 novembre. Photo Immo Klink
Mobilisation. Face à l’urgence climatique, le jeune Suédois a lancé à l’automne en Angleterre «Extinction Rebellion», un mouvement de désobéissance civile au succès fulgurant.
Nils Agger a le cœur d’un rebelle. De ceux qui se font traîner par terre et arrêter pour avoir tagué un message contre l’extension de l’aéroport de Londres sur le quartier général du Parti travailliste. Né dans la campagne méridionale suédoise, le militant au chignon de Jedi a quitté le confort de la péninsule scandinave pour s’installer il y a trois ans dans la petite et ancienne cité industrielle de Stroud, dans l’ouest de l’Angleterre. Le Brexit ? Ce casse-tête politique, qui divise le Royaume-Uni, l’Union européenne et monopolise les grands titres des médias britanniques ? Pas son problème. Ce qui occupe son esprit et ses journées depuis presque un an, c’est «Extinction Rebellion».
Pacifique
Le mouvement citoyen de désobéissance civile, qu’il a créé en mai avec une quinzaine de militants écolos, se veut différent de la kyrielle d’autres organisations environnementalistes existantes dans le monde. «Beaucoup d’ONG ne disent pas la vérité sur l’avancement de la crise écologique et climatique pour ne pas faire peur, interpelle le jeune Suédois de 25 ans. Elles craignent que si les gens réalisent l’ampleur de la catastrophe, ils soient paralysés et ne veuillent plus agir. C’est faux. Le succès d’Extinction Rebellion prouve le contraire.» Parler de succès n’est pas un euphémisme. Depuis son lancement officiel le 31 octobre, Extinction Rebellion a fait près de 100 000 adeptes sur les réseaux sociaux, et déborde des frontières britanniques pour voir émerger des branches dans 35 pays, dont la France. «Ce n’est pas juste une énième campagne de sensibilisation ou de mobilisation, reprend fièrement Agger. Nous avons lancé une rébellion contre le gouvernement britannique pour le forcer à négocier avec la population, et à la protéger comme il se doit.»
À lire aussi :Climat : «Quand les gouvernants nous font défaut, nous nous rebellons»
Pour Agger, le déclic a eu lieu début 2018. Installé en Angleterre pour se former à l’agriculture, il a appris le métier sur le tas en traînant ses bottes de ferme bio en ferme bio. Jusqu’à se dire qu’un changement plus radical était nécessaire. «Développer une agriculture sans pesticides et protectrice de la terre est crucial, mais nous devons d’abord changer les modèles industriels et de consommation si on veut prévenir une déliquescence des systèmes agricoles à moyen terme.» Pour lui, l’acteur-clé reste le gouvernement : «Ils ont l’infrastructure nécessaire et les moyens de coercition sur le secteur privé, mais surtout, ils ont la responsabilité d’agir pour prévenir l’effondrement généralisé qui nous guette.»
Certains pourraient le traiter d’écolo radical. Pourtant Agger espère, grâce à la rébellion, éviter un basculement futur dans une «dictature verte». Le mouvement s’est constitué autour de trois piliers : demander aux gouvernants de dire la vérité, mettre en place des mesures contraignantes pour réduire les émissions de gaz à effet de serre à zéro d’ici 2025, et enfin fonder une Assemblée citoyenne nationale avec un réel pouvoir de décision sur la transition écologique. «Une telle forme de démocratie participative peut être un rempart contre les dérives autoritaires», assure-t-il. Pour arriver à ces fins, hors de question de faire usage de la violence. Extinction Rebellion est fondamentalement pacifique. Un enseignement tiré de l’histoire des mouvements écologistes partisans de l’action directe. «Certains ont basculé dans la violence parce qu’ils étaient désespérés, que le changement qu’ils appelaient ne se produisait pas, argumente Agger. Mais plusieurs études ont montré que les groupes non-violents ont plus de succès. Ils obtiennent de meilleurs et plus stables résultats.»
Sablier
Si cette rébellion séduit, c’est aussi grâce à son caractère spirituel et innovant. Ainsi, leur campagne de nouvel an, inspirée des cultures autochtones ancestrales, s’intitulait «Protéger et honorer la vie». Du 1er au 7 janvier, les «rebelles» étaient encouragés à s’engager à «protéger et honorer» la terre, l’eau, le feu, etc. tous les jours, par «des méditations, des cérémonies, de l’art, de l’activisme sacré, des conférences en ligne, etc.» Ambitieux, le mouvement britannique espère mobiliser 3,5 % de la population, une proportion nécessaire et suffisante, selon eux, pour parvenir à un changement systémique. Tout cela en quelques années. La notion d’urgence est d’ailleurs l’élément central de leur symbole : un sablier dans un cercle noir, qu’Agger arbore maintenant où qu’il aille, sur des pin’s, des drapeaux, des tee-shirts.
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Depuis novembre, il a lâché sa bêche pour plancher à temps plein sur Extinction Rebellion. Et prépare maintenant la Semaine internationale de la rébellion, grand raout prévu mi-avril. «Après cela, je n’aurai plus d’économies pour continuer à ce rythme, soupire le Suédois. Je vais devoir me retrouver un emploi.» La rébellion, pour l’instant, ne nourrit pas.
Et toutes les infos sur le festival «A l’école de l’anthropocène»
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Bienvenu-e-s sur le programme de l’Université d’été ! Durant l’événement, différents formats d’activités sont proposés :
- Des « modules » d’une journée de 9 h 30 à 16 h 30 les jeudi, vendredi et samedi, pour apprendre et se former intensément ;
- Des « ateliers » de 2 h 15 le matin, le midi ou l’après-midi, de jeudi à dimanche matin, pour varier les thématiques selon l’humeur et les centres d’intérêt ;
- Des « forums » de 17 h à 19 h pour débattre autour des grands enjeux d’actualité ; ces derniers seront les temps forts de l’événement, à ne surtout pas louper !
- Des « activités Hors-les-murs » vous seront proposées tout au long de l’événement. Ces activités sont diverses et variées, il y en aura pour tous les goûts ! Certaines nécessitent une inscription en amont, alors renseignez-vous bien sur celles qui vous intéressent !
La séance d’ouverture se tiendra amphi Weil le mercredi de 17 h à 19 h et celle de clôture en amphi 1 le dimanche de 14 h à 15 h.
Les enregistrements à cette Université d’été commenceront le mercredi 22 à partir de 14 h ! Un badge vous sera alors remis (indispensable pour accéder aux bâtiments), ainsi qu’une clé pour accéder à votre chambre : Crous, Auberge de jeunesse et internat.
Programme intégral par ici !
Pas besoin de l’imprimer, il vous sera distribué sur place avec votre badge.
Thématique
Type d’activité
Créneau horaire
Modules
Jeudi 23
Ensemble, défendons les droits humains et de l'environnement face au pouvoir des multinationales !
Retraites: comprendre la réforme systémique qui vient pour être prêt-e à se mobiliser
Quelle finance nous voulons ?
Les communs : partager, contribuer et s’organiser
Comment gagner la bataille pour la justice fiscale ?
Quels espaces d'engagement politique pour la jeunesse dans les mouvements sociaux aujourd'hui ?
Crise des progressismes, résistances populaires et tournant à droite en Amérique Latine
Accompagner, défendre et soutenir les lanceurs d'alerte et l'alerte
Autodéfense numérique militante
Migrations : des causes et effets aux mobilisations citoyennes
Vendredi 24
Mobilisations sociales et répressions en Afrique
Ceta, Tafta, Jefta et les autres : nos droits et l'environnement à la poubelle
Face à l'école néolibérale, construire l'école de l'émancipation
Réinventer nos fonctionnements pour créer une utopie vivable
La métropolisation au service de qui ?
La crise systémique : ses causes et son évolution, les contre-réformes de Macron, nos alternatives
Travail et émancipation
Municipalisme, Transition, Communs et Territoires
On y vit, on agit ! Passez à l’action collective et locale pour le climat
Au coeur de nos campagnes : l'agriculture paysanne face à de nombreux défis.
On ne se taira pas ! Stratégies de résistances face à la criminalisation de la société civile
Samedi 25
Défense et alternatives pour les services publics
Les penseurs critiques du capitalisme
Tout va-t-il s'effondrer ? Résistances éco-féministes et construction d'alternatives
Reprendre la main sur la finance plutôt que lui confier la planète et notre avenir
L’engagement social et environnemental : oui ! mais pour qui et par qui? Les enjeux et pratiques des nouveaux publics de l’ECSI
Vivons les jours heureux sans attendre : le Bien Vivre en acte !
Droit à la Ville et luttes dans les quartiers populaires : défendons nos logements !
Armes nucléaires : Aujourd'hui interdites, demain l'élimination
Mouvements sociaux et alternatives systémiques
Comment résister de façon créative ? Formation à l’action et à la désobéissance civile
L’ère de la post-vérité : ce que l’on nous donne à croire.
Ateliers
Jeudi 23
L'éducation populaire en questions 1/4
Pour une gratuité d'émancipation
Des entreprises françaises complices de la colonisation israélienne !
La fabrication des humains ; des GAFA au post-humanisme
Explorer nos pouvoirs et nos privilèges dans nos groupes et au-delà
Comment construire des alliances autochtones/allochtones pour les droits des peuples autochtones, la justice climatique et la Terre Mère ? Stratégies d'action intersectionnelles & distribuées
"Introduction à la thématique de l'alimentation durable et un jeu de l'oie'limentation !"
Eau, sol, agriculture : et si c'était essentiel pour le climat et notre avenir ?
Rendez-vous du changement concret
Cultivons la participation
Le jeu "Vivre la Palestine" : un support pédagogique interactif pour comprendre le quotidien des Palestiniens
Interagir avec les élu.e.s et les journalistes
Recherche responsable et actions citoyennes : pourquoi et comment se renforcer mutuellement pour réussir la transition démocratique et écologique
Stop aux grands projets inutiles, bien vivre dans un monde soutenable
Agriculture paysanne et changement climatique : impact de notre consommation
Eau, climat, biodiversité : et si la gestion du grand cycle de l’eau était la clé ?
La Jai Jagat 2020 : changer le monde en marchant par un Forum social itinérant entre Delhi et Genève
Vendredi 24
#BalanceTonEmpruntToxique !
Reconnaissance de l'expertise de terrain : faire de la recherche participative !
Economie et droits humains
Agir pour la défense du service public, un enjeu particulier pour les femmes et l'égalité !
Comment mettre en liaison les mouvements sociaux ?
Les mouvements sociaux face à la crise des partis de gouvernement et la montée de l'extrême droite
Comment réconcilier les journalistes et les quartiers populaires ?
Alerte scientifique et réforme de l'expertise
L'éducation populaire en pratique 2/4
Du secteur formel au secteur informel : les droits des femmes au travail
Comment enquêter sur les multinationales ? (atelier pratique)
Le rôle des médias dans les mobilisations sociales. Le cas du nouvel outil de comptage des manifestant.e.s.
Atelier / jeu de rôle « Où va l'argent de ma facture d'électricité ? »
25 ans de lutte contre une pollution majeure : l’affichage publicitaire
Impact de l’occupation militaire sur les enfants palestiniens et résilience
Initiatives citoyennes, intérêt général et communs
Un Observatoire et un Laboratoire pour renforcer les acteurs de l'Education à la citoyenneté et à la solidarité internationale
Les guerres de dislocation et la "sécuritisation" du monde
Quels modèles économiques pour les médias indépendants ?
“Thé palabre" : un autre accueil est possible ?
Militant·es : se protéger contre les surveillances illégitimes
L’indépendance : un défi économique pour les médias, un enjeu social pour les journalistes
Avant-Première du Grand Quizz de l'Alter'consommation
Samedi 25
L'éducation populaire en pratique 3/4
Accords et désaccords autour du revenu d'existence
Migrations : quelles solidarités ? Quelle autre politique migratoire ?
Sortir du piège de la dette
En route vers la citoyenneté active
Syrie, revolution et guerres
Jusqu'où faut il changer pour vivre dans une société soutenable ?
Faut-il aller vers un autofinancement des acteur.trices du mouvement social ?
On ne naît pas homme, on le devient
Présentation de OpenStreetMap
Formation « Faire la différence entre électricité verte et électricité verte ! »
En finir avec l'Union européenne néolibérale ! Quelles alternatives ?
Démocratie, citoyenneté, pouvoir d'agir : quels moyens pour quels résultats ?
France / Israël, l'argument sécuritaire en question
Le revenu d’existence et les différentes propositions d’expérimentation, de transition ou d’alternatives
Le libre échange en Afrique, un néocolonialisme économique
Inégalités et justice environnementale : comprendre et agir
Acteurs et actrices de solidarité locale et de solidarité internationale : comment travailler ensemble pour sensibiliser et mobiliser plus largement ?
Résistances à la financiarisation et à la Thatchérisation du logement en France et en Europe
Voix engagées : s’allier pour changer ?
Dimanche 26
L'éducation populaire en pratique 4/4
"Reliance" entre acteurs locaux et nationaux souhaitant s'engager ensemble et durablement pour que prospèrent les initiatives "Municipalisme, Transition et Territoires"
Le FN et les classes populaires
Lutte pour le logement social et public
En route vers le Forum Social Mondial des Migrations de Mexico : Dialogues Europe-Amérique Latine sur les migrations
La crise migratoire des deux côtés de la Méditerranée
Produire des alternatives en coopérative : ils l'ont fait ! et après ?
Synergie numérique
Audit de la dette de l’assurance chômage, luttes, droits et revenus des chômeurs et précaires
Voix engagées : s’allier pour changer ?
Forums
Jeudi 23
Migrations : actions locales et mobilisations collectives aux niveaux national, continental, international
Quelles alternatives face au libre-échange et à la guerre commerciale ?
Faire face aux restrictions de l'espace civique et à la régression démocratique
Vendredi 24
Quand les féministes font bouger les lignes
Libérons-nous du travail ou libérons le travail ?
Penser l’antiracisme, l’inscrire dans la contre-offensive
L’indépendance des médias, un défi politique, économique et citoyen
Samedi 25
Vers la justice climatique
Droit au logement et droit à habiter la ville. Contre la financiarisation du logement
Que faire de l’Europe ?
Quelle stratégie des mouvements sociaux face au pouvoir autoritaire et néolibéral en place ?
Plénières
Mercredi 22
Séance d'ouverture
Dimanche 26
Séance de clôture
Hors les murs
Mercredi 22
Spectacle de Fred Dubonnet : Puisque nous devons vivre ensemble
Jeudi 23
Balade révolutionnaire
Le Cabaret de la Crise
Droit au logement pour touTEs et lutte contre les expulsions
MeetUp Carto
Apéro ATTAC
Françafrique : la France, pompier pyromane en Côte-d’Ivoire
Le Rouge et le vert. Impromptu théâtral et citoyen pour enfin parler de demain !
Vendredi 24
Visite d’un habitat groupé participatif
Déambulaction BDS dans le centre-ville de Grenoble
Vivre et habiter autrement
Promenade sonore : « Afrique-Europe : Le rêve en exil »
Vélorution - Etape du Tour Alternatiba
Soirée festive avec Alternatiba
Conférence : «Climat: est-ce déjà trop tard?» Alternatives et résistances pour agir concrètement.
Le mystère du journalisme jaune
Samedi 25
Parcours « Balade révolutionnaire »
Village des Alternatives d'Alternatiba Grenoble
Exposition « Au fil de l’eau »
Exposition "L'art au flux des migrations : l'aventure"
Sculpteurs de mondes, l’expérience d’un marcheur colporteur
Le Climat est dans l’assiette
Balade du Matrimoine
Formation à l'action non violente
Bien lotis
Festivités militantes au Jardin de Ville !
Avec qui ?
Présentation des organisateurs locaux et nationaux
350.org est une organisation non gouvernementale environnementale internationale, fondée en 2007 aux États-Unis par le journaliste, auteur et militant écologiste Bill McKibben. Son action se concentre sur la lutte contre le réchauffement climatique ; elle est notamment connue pour promouvoir le désinvestissement des énergies fossiles. Le nom de l’association provient du seuil de 350 parties par million (ppm) de CO2 dans l’atmosphère défini notamment par le climatologue américain James Hansen comme taux maximum à ne pas dépasser pour éviter un réchauffement climatique trop important (ce taux a dépassé les 400 en 2014).
https://350.org/fr/
Cette association est laïque, indépendante de tout parti politique, groupement confessionnel ou organisation syndicale et a pour objet de s’opposer au projet de création d’une plate-forme aéroportuaire à Notre-Dame-des-Landes (Loire-Atlantique), d’informer les adhérents et la population des zones concernées par ce projet, y compris sur les équipements connexes nécessaires à cette réalisation (aménagements routiers et ferroviaires, constructions diverses...), de faire prendre conscience de toutes les transformations qui en découlent, aussi bien pour les zones urbanisées que pour les espaces ruraux et de contribuer et de participer à la réflexion sur le développement du transport aérien
https://www.acipa-ndl.fr
Fondée en 1983, la fédération Peuples Solidaires est une association française de solidarité internationale. Elle soutient les femmes et les hommes qui, partout dans le monde, luttent pour leurs droits économiques, sociaux et culturels.
L’association travaille avec des organisations (ONG, syndicats, etc.) du Sud pour dévoiler les exactions commises par les multinationales et les pouvoirs publics. Les missions de Peuples Solidaires sont d’informer le public, de mobiliser les citoyennes et citoyens, d’alerter les médias, de faire pression sur les décideurs pour faire entendre la voix des organisations de la société civile du Sud.
http://www.peuples-solidaires.org/
Créée par des urbanistes, économistes, cadres d’entreprises, juristes…, l’Aitec est une association de solidarité internationale engagée pour la justice économique, sociale et écologique. À travers la recherche, le plaidoyer et l’appui aux campagnes et aux mobilisations des mouvements sociaux et citoyens, l’Aitec participe à la construction d’une expertise ancrée dans la résistance et l’action critique. Elle s’efforce aussi de proposer des perspectives et des politiques alternatives.
http://aitec.reseau-ipam.org
« Alternative », en basque, est un mouvement citoyen de mobilisation sur le dérèglement climatique. Il promeut des initiatives concrètes qui visent à construire une société durable, tout en s’opposant aux projets qui entravent le développement de cette société. Depuis 2013, Alternatiba varie les modes de mobilisation : « villages des alternatives », tour sur des vélos multiplaces pour valoriser les initiatives locales, ou encore actions de désobéissance civile non violente.
En 2018, le mouvement prépare un nouveau Tour Alternatiba de 5800 km et 200 étapes, associant développement des alternatives et résistance non violente, du 9 juin au 6 octobre. Le Tour s’arrêtera à Grenoble pendant l’Université d’été, le 24 août : l’occasion de nous rassembler et de converger !
https://alternatiba.eu/
La fédération des Amis de la Terre a participé à la fondation du mouvement écologiste français et à la formation du premier réseau écologiste mondial Friends of the Earth International, présent dans 77 pays et réunissant 2 millions de membres sur les cinq continents.
En France, les Amis de la Terre forment un réseau d’une trentaine de groupes locaux et de groupes associés autonomes qui agissent selon leurs priorités locales et relaient les campagnes nationales et internationales sur la base d’un engagement commun en faveur de la justice sociale et environnementale.
http://www.amisdelaterre.org
Il est minuit. Le film « Les Jours Heureux » de Gilles Perret vient de se terminer. Nous sommes une douzaine réunis dans un petit coin des Alpes, dans une petite ferme au pied du Vercors, un week-end de décembre 2015 animés par la volonté que notre société s’oriente résolument vers le bien-être de toutes et tous. Nous sommes de toutes les générations, avec une plus grande proportion de jeunes, engagés depuis des années dans la vie associative.
On partage nos ressentis sur les témoignages des résistants. Non seulement, ils ont libéré la France occupée mais aussi ont bâti un formidable projet politique, le programme du CNR (Conseil National de la Résistance) intitulé « Les Jours Heureux ». Ce programme en mettant en place la subordination de l’intérêt particulier à l’intérêt général orientait la société vers le bien-être de tous. Aujourd’hui, cet héritage est d’une grande actualité tant on constate de plus en plus de mal-être, de désespérance, de précarité, d’inégalités et donc la nécessité d’inventer à nouveau un bien vivre ensemble.
http://osonslesjoursheureux.net/
L’Association France Palestine Solidarité œuvre à la réalisation des droits nationaux du peuple palestinien. Elle entend agir pour une paix réelle et durable, fondée sur l’application du droit international.
http://www.france-palestine.org/
Fondée en 1998, Attac (Association pour la taxation des transactions financières et pour l’action citoyenne) est une association qui milite pour la justice sociale et environnementale, et conteste le pouvoir pris par la finance sur les peuples et la nature. Attac mène des actions pour favoriser le développement d’alternatives et pour mettre sous contrôle citoyen les banques et multinationales prédatrices.
Mouvement d’éducation populaire, l’association produit analyses et expertises, organise des conférences, des réunions publiques, participe à des manifestations… En 2018, Attac est présente dans une cinquantaine de pays ; Attac France compte plus de 10 000 membres et une centaine de comités locaux qui agissent partout en France.
https://france.attac.org/
Le Comité local isérois d’Attac France est également impliqué.
https://local.attac.org/attac38/spip/
La batucada est un genre de musique reposant sur des percussions traditionnelles du Brésil dont les formules rythmiques en font un sous-genre de la samba. La BatukaVI est une batukada de jeunes du secteur 6 de Grenoble (Villeneuve-Village Olympique). Elle vise, à travers la pratique musicale à lutter contre les idées reçues, à revaloriser l’image de ces quartiers régulièrement stigmatisés notamment dans les médias, et à renforcer la fierté d’appartenance à ces quartiers chez les jeunes.
Pour lutter contre les préjugés et tisser des liens entre les cultures, la BatukaVI se produit régulièrement à l’extérieur de l’agglomération, et parfois même à l’étranger : le groupe a notamment joué au Burkina, au Maroc, au Brésil, au Portugal et dans de nombreuses villes en France.
La BatukaVI est un projet initié par l’association Afric’Impact.
http://afric-impact.org/BatukaVI/
Le Collectif des associations citoyennes (CAC) est né en 2010 pour lutter contre la réduction des associations à leur seule dimension économique et défendre la contribution des associations à l’intérêt général et à la construction d’une société solidaire, durable et participative. Après avoir déposé un recours en Conseil d’État contre la circulaire Fillon, qui assimilait l’ensemble des associations à des entreprises, le Collectif a développé une analyse globale des difficultés associatives et élaboré des propositions pour une nouvelle politique associative.
http://www.associations-citoyennes.net
Le Comité pour l’annulation de la dette du tiers monde est un réseau international qui milite pour la satisfaction universelle des besoins et le respect des libertés et des droits humains fondamentaux.
Son angle d’attaque est l’annulation de la dette extérieure publique des pays de la Périphérie (tiers monde et ex-bloc soviétique) et l’abandon des politiques d’ajustement structurel imposées par le trio Fonds monétaire internationaI (FMI), Banque mondiale, Organisation mondiale du commerce (OMC). Il s’agit de mettre un terme à la spirale infernale de l’endettement et de parvenir à l’établissement de modèles de développement socialement justes et écologiquement durables.
Le CADTM Isère est le groupe local du CADTM France. Il organise des conférences, des projections ou des mobilisations.
http://www.cadtm.org/
La campagne BDS (Boycott Désinvestissement Sanctions) a été lancée par la société civile palestinienne en 2005, suite à des dizaines d’années de lutte contre Israël et sa politique d’apartheid.
Les Palestiniens font appel aux citoyens de conscience du monde, afin que prenne fin le plus long conflit de l’histoire récente, en leur demandant de boycotter tous les produits israéliens, mais aussi de pratiquer un boycott sportif, culturel et universitaire. De nombreuses associations et organisations françaises ont répondu à l’appel au « Boycott, Désinvestissement et Sanctions » (BDS) lancé par les palestiniens le 4 juillet 2005 et se sont regroupées au sein de la Campagne BDS France.
https://www.bdsfrance.org
Depuis 55 ans, le CCFD-Terre Solidaire lutte durablement contre la faim en s’attaquant à ses causes, des plus locales aux plus globales. Il soutient plus de 697 projets initiés par des acteurs locaux dans 66 pays.
Le CCFD-Terre Solidaire s’appuie sur un réseau de 15 000 bénévoles pour sensibiliser les Français à la solidarité internationale et agit auprès des décideurs par des actions de plaidoyer pour construire un monde plus juste.
https://ccfd-terresolidaire.org
Le syndicalisme fait partie du patrimoine vivant de l’humanité et de la démocratie. Fait social devenu universel, il a d’abord émergé en Europe avec la révolution industrielle, et y est resté depuis profondément enraciné.
L’histoire plus que séculaire de la CGT s’inscrit dans cet ensemble. Née de la volonté des salariés de s’organiser collectivement et durablement pour défendre leurs intérêts face à l’oppression et à l’exploitation, pour conquérir des droits et les faire valoir, pour imaginer un monde plus juste et proposer des voies pour y parvenir, sont le coeur de son action syndicale.
Bâtie selon deux dimensions professionnelles et géographiques, la CGT s’est forgée et constituée au fil de l’histoire autour d’une conception de solidarité entre les salariés qui combine l’ancrage à l’entreprise et à son environnement territorial.
http://www.cgtisere.org/
http://www.cgt.fr/
Centre de documentation interculturel, association de solidarité locale et internationale.Créé en 1980, le Centre d’Information Inter-Peuples (CIIP) est une association de solidarité locale et internationale. Ses objectifs sont de mieux faire connaître les réalités, les cultures des pays et des peuples des cinq continents, de lutter contre les atteintes aux droits de l’Homme, contre toutes les formes de discrimination et de racisme, de promouvoir un monde solidaire et un développement durable.
Le CIIP organise ou co-organise régulièrement des manifestations interculturelles, des festivals, des rassemblements militants.
Il s’agit également d’un centre de ressources ouvert au public avec des périodiques, des journaux militants, des dossiers de presse et de synthèse, une bibliothèque, des usuels, des vidéos, des expos, des valises et jeux pédagogiques sur les problématiques internationales, les rapports Nord-Sud, les cultures du monde.
Le CIIP édite un journal mensuel, Inter-Peuples, avec un agenda militant et interculturel, des informations locales, nationales, mondiales, des récits de voyage… Il est membre du Réseau d’information et de documentation pour le développement durable et la solidarité internationale Ritimo.
http://ciip.fr/
Membre du réseau européen Clean Clothes Campaign, le collectif Éthique sur l’étiquette agit en faveur du respect des droits humains au travail dans le monde et de la reconnaissance du droit à l’information des consommateurs sur la qualité sociale de leurs achats.
https://ethique-sur-etiquette.org/
Le collectif des Associations de Solidarité Internationale du Grésivaudan organise pour la troisième année consécutives des animations lors de la Semaine. Son objectif est de faire connaître les actions des 25 associations membres par le biais de divers événements locaux, en lien avec des établissements scolaires, salles de spectacles, Centre Sociaux, collectivités, en allant chaque année au devant de nouveaux publics.
https://www.festivaldessolidarites.org/acteurs/collectif-asi-gresivaudan
https://www.festivaldessolidarites.org/
Créée en 1997, Commerce Equitable France représente et fédère les principaux acteurs du commerce équitable en France. Défendre et promouvoir le commerce équitable sont nos principales missions.
Instance de concertation et de mobilisation, Commerce Equitable France rassemble plus d’une trentaine d’entreprises et d’associations d’envergure nationale engagées dans le secteur : labels de commerce équitable, fabricants, importateurs, distributeurs, ONGs, mouvements d’éducation populaire, etc.
https://www.commercequitable.org
NAJE est une compagnie théâtrale professionnelle pour la transformation sociale et politique. Elle pratique le Théâtre de l’Opprimé méthode Augusto Boal (théâtre forum, théâtre images, théâtre et thérapie, théâtre invisible, théâtre journal).
Naje intervient dans les champs de la culture, du social, du politique, de la santé, de l’éducation, de la formation professionnelle, de l’environnement, de la justice, de l’habitat, de la citoyenneté, du développement social.
http://www.compagnie-naje.fr/
La Confédération paysanne est, depuis 1987, un acteur majeur du syndicalisme agricole français qui porte des valeurs de solidarité et de partage. Le projet pour une agriculture paysanne qu’elle défend avec constance depuis sa création est cohérent et global. Il intègre pleinement les dimensions sociales, agronomiques et environnementales dans la production agricole. C’est une alternative réaliste à un modèle d’agriculture industrielle qui élimine trop de paysans et de structures agricoles diversifiées.
http://www.confederationpaysanne.fr
Le Centre de recherche et d’information pour le développement (CRID) a été créé en 1976 par 8 associations de solidarité internationale (ASI). Il en compte aujourd’hui une cinquantaine, réunies autour d’une vision partagée de la solidarité internationale, reposant sur le partenariat et l’éducation au développement.
Le CRID cherche à promouvoir des actions de sensibilisation à la solidarité internationale menées en lien avec différents acteurs comme les autres ASI, les Organisations de Solidarité Internationale issues de la Migration (OSIM), les mouvements d’éducation populaire, les associations de l’économie solidaire, les syndicats, les collectivités territoriales, etc.
https://www.crid.asso.fr/
L’association Droit au logement a pour but de permettre aux populations les plus fragilisées d’avoir accès à un logement décent, en exerçant leur droit au logement. Les revendications du DAL sont « l’arrêt des expulsions sans relogement », « le relogement décent et adapté de toute famille et personne mal-logée ou sans logis » et « l’application de la loi de réquisition sur les immeubles et logements vacants ».
http://www.droitaulogement.org/
L’objet de l’association consiste à animer la réflexion collective et l’expression publique des économistes opposés à « l’orthodoxie néo-libérale ». Leur action se traduit par des publications (notes, articles, communiqués, livres) et des interventions lors de réunions publiques dans les médias qui les sollicitent. Ils proposent des alternatives aux politiques d’austérité.
Ils publient en 2010 le Manifeste d’économistes atterrés, dans lequel ils font une présentation critique de dix postulats qui inspirent, selon eux, les décisions des pouvoirs publics partout en Europe, et mettent en débat vingt-deux contre-propositions.
www.atterres.org
Emmaüs est né il y a 66 ans pour trouver, avec les personnes victimes de phénomènes d’exclusion, les solutions qui leur permettent de redevenir acteur de leur vie. Fidèle à la volonté de l’abbé Pierre, Emmaüs est devenu à la fois une fabrique d’innovations sociales et de solidarités pour aider des publics en situation de grande précarité, et un front engagé et militant en faveur d’une société plus humaine et plus juste.
http://emmaus-france.org/
Artisans du Monde est une association française fondée au début des années 1970 et qui défend un modèle basé sur le commerce équitable. Sa spécificité est d’être structurée autour d’associations locales où des militants bénévoles distribuent divers produits, artisanaux ou alimentaires en provenance des pays du Sud, informent sur les règles du commerce mondial et font du plaidoyer pour une évolution de ces règles.
https://www.artisansdumonde.org/
Le slogan de Finance Watch, « Pour une finance au service de la société », résume sa mission. L’association aspire à l’instauration d’un système financier durable et au service de la société, qui favorise l’investissement plutôt que la spéculation. Ils souhaitent un système bancaire résistant et efficace, orientant les crédits vers un usage productif sans pour autant dégager de rentes économiques ou transférer ses risques à la société tout entière, et des marchés financiers qui encouragent l’investissement productif dans l’économie réelle et dissuadent tout type de spéculation excessive ou nuisible.
http://www.finance-watch.org
Depuis sa création en 1995, l’association Finansol a pour objet de promouvoir la solidarité dans l’épargne et la finance.
A travers des actions de sensibilisation et des outils de communication divers, Finansol fait prendre conscience à chacun qu’il peut jouer un rôle dans l’instauration d’une finance utile, équitable et raisonnée.
Ses actions contribuent, notamment à travers la promotion du label Finansol, à faire connaître les différents produits d’épargne solidaire disponibles. Ces placements permettent de faire fructifier son argent tout en soutenant l’accès à l‘emploi et au logement pour les personnes qui en sont exclues, le développement d’activités écologiques avec l’agriculture biologique et les énergies renouvelables, l’entrepreneuriat dans les pays en développement…
https://www.finansol.org/
Focus on the Global South est une organisation altermondialiste, qui d’un côté élabore et diffuse des analyses, propositions et des moyens d’information afin de promouvoir la soutenabilité sociale et écologique de nos sociétés, et qui de l’autre côté multiplie les plaidoyers ainsi que l’organisation d’actions de base, en premier lieu dans les pays d’Asie du Sud. Depuis sa fondation en 1995, Focus on the Global South a développé ses projets de recherche et ses campagnes d’actions en Thaïlande (son quartier général se trouvant à Bangkok), en Inde (à partir de son bureau de New Delhi) et aux Philippines (à partir de son bureau de Manille).
https://focusweb.org/
Depuis 1998, la Fondation Copernic travaille à « remettre à l’endroit ce que le libéralisme fait fonctionner à l’envers ». Soucieuse de son indépendance et restant par principe hors du jeu électoral, Copernic n’est liée à aucun parti politique, aucun syndicat, aucune association, mais s’adresse à toutes les organisations politiques, syndicales et associatives, et surtout à toutes celles et ceux qui ne se résignent pas à l’ordre néolibéral.
http://www.fondation-copernic.org/
France Amérique Latine s’attache à faire connaître l’histoire, la culture, les mobilisations et revendications des peuples d’Amérique Latine et de la Caraïbe dans toutes leurs richesses et diversité. C’est en faisant connaître et en soutenant leurs combats et expériences collectives en faveur du respect des droits humains, de la démocratie sociale et politique, pour le développement économique et le respect du « bien vivre » ou de l’environnement, que nous leur manifestons notre solidarité.
http://www.franceameriquelatine.org/
Créée par Danielle Mitterrand en 1986, France Libertés est une fondation reconnue d’utilité publique, à but non lucratif et dotée du statut consultatif auprès du Conseil Economique et Social des Nations Unies. La Fondation Danielle Mitterrand défend les droits humains, notamment le droit fondamental d’accès à l’eau pour tous, et les biens communs du vivant pour contribuer à la construction d’un monde plus solidaire.
http://www.france-libertes.org
La F.S.U est une fédération de syndicats nationaux de le fonction publique.
Elle rassemble des syndicats regroupant les personnels intervenant dans les champs de l’Enseignement, l’Éducation, la Recherche, la Culture, la Formation, l’Insertion et plus généralement dans deux des trois fonctions publiques.
http://fsu.fr/
Ingénieurs sans frontières est une association française de solidarité internationale créée en 1982.
Si l’association a été initialement créée dans le but de servir d’assistance technique pour des projets de développement dans les pays du Sud et sensibiliser le monde des ingénieurs aux problèmes de ces pays, son projet a largement évolué en plus de 35 ans d’expérience.
Pour construire à l’échelle nationale et internationale une société sans exclusion et ouverte, il faut changer les manières de voir, les habitudes de penser et les façons de faire. Fortes de ce projet et considérant nécessaire de s’inscrire dans une dynamique de changement pour un monde plus solidaire, six associations de solidarité internationale ont décidé de faire converger leurs efforts et de créer le Réseau Initiatives Pour un Autre Monde – IPAM.
http://www.reseau-ipam.org/
La Ligue française pour la défense des droits de l’homme et du citoyen, plus communément appelée Ligue des droits de l’homme ou LDH, est une association (loi de 1901) visant à l’observation, la défense et la promulgation des droits de l’homme au sein de la République française, dans tous les domaines de la vie publique.
https://www.ldh-france.org/
Association créée en 1986. Premier réseau national d‘éducation populaire à la science et par la science. Premier réseau national d’éducation au développement durable.
http://www.lespetitsdebrouillards.org/
En France, l’association à but non lucratif Max Havelaar France se charge de promouvoir et développer une forme de consommation responsable. Elle gère le label Fairtrade / Max Havelaar apposé sur des produits de différentes entreprises engagées. Elle n’achète ni ne vend aucun produit, mais accompagne les acteurs économiques dans leur démarche et sensibilise l’opinion publique.
https://www.maxhavelaarfrance.org/
Le Mouvement Français pour un Revenu de Base (MFRB) est une association créée en mars 2013, à l’occasion de l’initiative citoyenne européenne pour le revenu de base. Le MFRB se donne pour mission de promouvoir le revenu universel dans le débat public, jusqu’à son instauration.
https://www.revenudebase.info
Le Mouvement National des Chômeurs et Précaires est né en 1986. Il est l’héritier du premier syndicat des chômeurs, créé par Maurice Pagat en 1981, quand par le biais d’un article paru dans « Le Monde », celui -ci invitait les chômeurs à se rassembler, jugeant qu’il était « urgent et indispensable d’inviter les chômeurs à refuser la solitude, à résister, à se défendre, à s’organiser et à prendre enfin la parole ».
http://www.mncp.fr/site/
Le Mouvement de la Paix est une Organisation non-gouvernementale créée en 1948 et agréée « Association nationale de jeunesse et d’éducation populaire ». Association loi 1901 à but non lucratif, le Mouvement de la Paix agit pour le désarmement, en particulier nucléaire, mais aussi contre la production et les transferts d’armements, pour la réduction des budgets militaires.
https://www.mvtpaix.org/wordpress/
Le « Mouvement UTOPIA » est une association d’éducation populaire à but non lucratif, qui vise notamment à élaborer un projet de société solidaire, écologiquement soutenable et convivial dont l’objectif est le « buen vivir ».
Le Mouvement Utopia soutient depuis sa création en 2000 la déconstruction des aliénations de nos sociétés : le dogme de la croissance comme solution à nos maux économiques, la croyance en la consommation comme seul critère d’épanouissement individuel, la centralité de la valeur travail comme seul mode d’organisation de la vie sociale.
http://mouvementutopia.org/site/
La Nef est une coopérative financière qui offre des solutions d’épargne et de crédit orientées vers des projets ayant une utilité sociale, écologique et/ou culturelle. Sa mission est de fournir à ses sociétaires et clients les moyens d’être acteurs de la transition écologique et sociale de notre société. Fidèle à son principe fondateur « Pour que l’argent relie les hommes », la Nef crée des outils financiers de participation citoyenne pour mettre en marche et accompagner des nouvelles façons de produire, de consommer, d’entreprendre, d’habiter.
https://www.lanef.com
Notre affaire à tous est une association ancrée dans la lutte pour la préservation de la nature, l’association oeuvre à l’instauration d’une justice climatique. Ses actions doivent permettre de faire face aux changements climatiques, au désastre nucléaire, à la disparition des ressources, etc. L’objectif principal de Notre affaire à tous est donc de faire respecter et améliorer le droit en vigueur, notamment celui de l’environnement.
https://notreaffaireatous.org
No Vox est un réseau d’associations, de mouvements et d’organisations, qui mènent concrètement des luttes sociales sur le terrain. Fondé lors du 1er Forum social européen à Florence, le réseau a pris une dimension internationale lors du 1er Forum mondial de Porto Alegre en 2003. Ces mouvements de lutte sont composés de femmes et d’hommes qui s’auto-organisent pour la défense et l’application des droits fondamentaux définis par la déclaration universelle des droits de l’homme et pour faire naître de nouveaux droits.
http://www.no-vox.org/
Oxfam France est une association de développement qui lutte contre les injustices et la pauvreté.Oxfam France est membre de la confédération internationale Oxfam, un réseau de 20 organisations de solidarité internationale qui travaillent ensemble dans plus de 90 pays pour trouver des solutions durables à la pauvreté.
http://www.oxfamfrance.org
Créée en 1993 dans le contexte des accords d’Oslo, la Plateforme des ONG françaises pour la Palestine a pour objectif de mobiliser pour la reconnaissance des droits des Palestiniens, notamment celle d’un Etat palestinien souverain, sur les lignes dites de 1967.
Aujourd’hui, la Plateforme rassemble 42 associations, dont 29 sont membres et 13 sont membres observateurs.
https://plateforme-palestine.org
Le ReAct est né en 2010 d’une analyse partagée : les injustices sociales et environnementales ont pour cause principale la domination des intérêts des grandes entreprises sur ceux de la majorité des personnes. Pour cela, le ReAct souhaite contribuer à organiser les personnes affectées par ces abus afin de construire un pouvoir social à même de défendre les droits et intérêts du plus grand nombre.
http://www.projet-react.org/fr/
Le Réseau Action Climat est le représentant français d’un réseau mondial et européen d’ONG, qui regroupe près de 1100 membres à travers la planète. Avec pour objectif de parler d’une seule voix pour peser davantage sur les décideurs, le Réseau Action Climat couvre de par son travail l’ensemble des secteurs responsables du dérèglement climatique : les transports, la production d’énergie, l’agriculture et l’alimentation, l’habitat, etc. Il travaille principalement à l’élaboration de mesures alternatives et ambitieuses pour lutter contre les changements climatiques et ses impacts et veille à ce que ses propositions ne portent pas atteinte à l’environnement, à la sécurité et aux droits humains.
https://reseauactionclimat.org/association/
Chercheurs, journalistes et militants peuvent-ils s’essayer, ensemble, à décrire le monde social et contribuer au débat d’idées ? C’est le pari lancé par la revue Mouvements : se constituer en espace d’information critique, d’enquêtes sociales, de travaux théoriques et d’interpellation politique afin d’intensifier les échanges entre travaux de recherche, espaces de résistance et de proposition politique. Ni journal en ligne, ni liste de diffusion partisane, ni blog collectif, mouvements.info est un espace réactif de réflexion politique et théorique.
http://mouvements.info/
Un réseau d’information et de documentation pour la solidarité et le développement durable, Depuis plus de 30 ans, le réseau Ritimo regroupe en France des lieux et des organisations (centres de documentation, lieux ressources, médias et projets documentaires en ligne…) engagés collectivement dans un projet de mobilisation citoyenne pour la solidarité internationale.
Notre mode d’action principal est la collecte, la sélection et la diffusion d’une information critique, plurielle et diversifiée, privilégiant l’expression des citoyens, des associations et des mouvements sociaux de tous les continents.
https://www.ritimo.org/
Sciences Citoyennes a pour objectif de favoriser et prolonger le mouvement actuel de réappropriation citoyenne et démocratique de la science, afin de la mettre au service du bien commun.
https://sciencescitoyennes.org
Le Secours Catholique-Caritas France est une association loi 1901 à but non lucratif, reconnue d’utilité publique depuis 1962. Service de l’Église Catholique, elle fonde son action sur l’Évangile et la doctrine sociale de l’Église.
En France, le Secours Catholique couvre l’ensemble du territoire, grâce à ses 3700 équipes locales réparties en 75 bureaux locaux appelés "délégation".
https://www.secours-catholique.org
Depuis 38 ans, SOL, Alternatives Agroécologiques et Solidaires appuie, sur le long terme, des initiatives créées pour et par des organisations locales en Inde, en France et au Sénégal. L’association a pour objectif de participer à la satisfaction des besoins essentiels des agriculteurs paysans et à la valorisation de leur rôle dans la société. SOL agit sur deux volets d’interventions : l’accès à une agriculture paysanne et la protection des ressources naturelles et de la biodiversité.
https://www.sol-asso.fr/
Starting-Block mobilise les jeunes adultes et les initie à la réalisation de projets collectifs tournés vers les autres et basés sur des méthodes d’éducation active et participative. Elle leur propose des animations, des formations et des outils pédagogiques afin qu’ils deviennent des citoyens engagés, acteurs de la sensibilisation de leurs pairs.
https://www.starting-block.org/
Survie est une association créée en 1984 qui dénonce toutes les formes d’intervention néocoloniale française en Afrique et milite pour une refonte réelle de la politique étrangère de la France en Afrique. Survie propose une analyse critique et des modalités d’actions encourageant chacun à exiger un contrôle réel sur les choix politiques faits en son nom. Elle rassemble les citoyens et citoyennes qui désirent s’informer, se mobiliser et agir.
https://survie.org
Fondé en 1974, le TNI est un réseau international d’experts–activistes engagés à analyser de façon critique les problèmes globaux d’aujourd’hui et de demain, avec l’objectif de fournir un soutien intellectuel aux mouvements qui cherchent à orienter le monde dans une direction démocratique, équitable et environnementalement durable.
https://www.tni.org/en
L’Union syndicale Solidaires est composée de fédérations et syndicats nationaux, et d’Unions locales et régionales. Elle existe depuis 2003 mais a des racines bien plus anciennes dans le syndicalisme.
Elle défend les travailleurs et les travailleuses en France, quelle que soit leur origine et leur culture, et travaille avec les organisations de jeunes, de chômeur et chômeuses, de paysans, d’habitants.
Elle entretient des relations fraternelles avec de nombreuses organisations syndicales et d’associations à l’étranger pour faire vivre la solidarité internationale.
https://www.solidaires.org/
Solidaires 38 est la branche de l’Isère de l’Union Syndicale Solidaires
https://solidaires.org/Solidaires-Isere-38
Un espace des « médias indépendants » sera organisé pendant l’Université d’été, avec :
Politis est un hebdomadaire généraliste indépendant fondé en 1988. Aucun sujet ne lui est étranger : de la politique à la société, de l’économie à la culture. Chaque jour, chaque semaine, Politis revient sur les faits marquants de l’actualité, les commente et les met en perspective. La parole est donnée à des chercheurs, des intellectuels, des artistes, des élus, des acteurs de l’innovation citoyenne et de l’économie sociale et solidaire.
Indépendant, sans publicité, il appartient à ceux qui l’écrivent, le fabriquent et lisent. Il n’est adossé à aucun groupe industriel ou financier.
Basta ! (www.bastamag.net) est un média indépendant en ligne qui publie quotidiennement des enquêtes, reportages, entretiens, sur les questions sociales, environnementales, économiques et démocratiques. Nous souhaitons produire et diffuser une information d’intérêt général, accessible à toutes et tous, qui revient à ses fondamentaux : enquêter, décrypter, raconter et expliquer. Basta ! est animé par une équipe de sept journalistes permanents et propose une information à prix libre, en faisant le pari de devenir un média au financement 100% participatif.
Le « quotidien de l’écologie » veut proposer des informations claires et pertinentes sur l’écologie dans toutes ses dimensions, ainsi qu’un espace de tribunes pour réfléchir et débattre. Dans toutes ses dimensions signifie que pour nous, l’écologie est politique, et ne peut se réduire à des questions de nature et de pollution - même si nous suivons attentivement ces questions vitales. L’écologie engage le destin commun, engage l’avenir, sa situation découle largement des rapports sociaux : c’est donc bien une écologie politique et sociale que Reporterre présente et discute.
Sans Transition ! est une revue bimestrielle consacrée aux alternatives en matières économiques, sociales et écologiques dans les territoires. Son objectif : mettre en lumière des actions concrètes s’inscrivant dans les champs de l’environnement, de l’Économie sociale et solidaire (ESS) et de la participation citoyenne. Agriculture biologique, éco-construction, économie circulaire, insertion des personnes en situation de fragilité, transports doux font partie des thèmes traités par Sans Transition !
Alternatives économiques a pour ambition d’offrir à ses lecteurs, à travers ses différentes publications, une information indépendante et de qualité sur toutes les questions qui sont aujourd’hui au cœur du débat public.
L’indépendance d’Alternatives Economiques à l’égard de tous les pouvoirs s’ancre dans son statut de coopérative (Scop) : Alternatives Economiques appartient à ses salariés et à ses lecteurs. Une exception dans l’univers de la presse.
Cette indépendance lui assure une liberté de ton qui rencontre aujourd’hui un échos de plus en plus important avec plus d’un million de lecteurs par mois
Radio Parleur, c’est le son de toutes les luttes. Un média journalistique libre et indépendant. Un site d’information sonore sur internet disponibles en podcast pour raconter les mobilisations, les actions, les alternatives, les défis qui questionnent notre société et provoquent ces évolutions. A travers nos reportages, nos émissions, nos captations de conférences, nous vous donnons à entendre toutes les personnes qui agissent et se mobilisent pour défendre leur opinions et de leurs convictions. Un cadre pour parler des luttes, de toutes les luttes, qu’elles soient sur le pavé, à l’intérieur des cortèges, ou sur les lieux de vie, de sociabilisation et de travail.
Après avoir existé entre 1885 et 1886, Le Postillon a ressurgi depuis mai 2009, avec pour unique business plan d’occuper le créneau porteur et néanmoins complètement délaissé de la presse locale critique. Devant l’ampleur de la tâche, nous nous concentrons sur des sujets locaux et parlons presque exclusivement de Grenoble et sa cuvette. Aucune association, organisation ou parti politique n’est parvenu jusqu’ici à nous convaincre de devenir son journal de propagande. Et malgré les nombreuses sollicitations, nous avons refusé toute entrée dans notre capital : nous sommes donc complètement indépendants.
Mediapart est un journal numérique d’information politique et générale, d’investigation, indépendant des pouvoirs politiques et économiques, participatif et financé par ses abonnés, sans subventions ni publicité.
Premier pure player indépendant d’actualité de la région grenobloise, Place Gre’net est un média reconnu service de presse en ligne d’information politique et générale (IPG) par la Commission paritaire des publications et agences de presse (CPPAP).
S’appuyant sur un modèle économique mixte (vente d’abonnements et d’encarts de communication), Place Gre’net est indépendant de tout groupe économique ou politique et ne perçoit aucune subvention locale, départementale ou régionale. Il est par ailleurs membre du Syndicat de la presse indépendante d’information en ligne (Spiil).
Radio Campus Grenoble, c’est la radio associative qui se trouve au premier étage du bâtiment EVE et qui émet sur le 90.8 depuis 25 ans, 24h/24h et 7j/7j. La programmation musicale de la radio est éclectique et exigeante. Ses magazines et émissions traitent de manière originale des actualités étudiantes, culturelles, associatives et citoyennes. Un seul mot d’ordre : la découverte !
Radio Campus Grenoble se donne l’exigence d’apporter des compétences et des expériences liées aux pratiques culturelle, à la communication et aux médias, à la gestion de projets pour nos multiples interlocuteurs : bénévoles, salariés, stagiaires... Radio Campus Grenoble est membre du réseau Radio Campus France (http://www.radiocampus.fr/).
TV Bruits est une web-télévision locale, indépendante, à vocation régionale. C’est une structure associative et non commerciale composée de personnes et d’associations. Depuis 15 ans, elle réalise et diffuse, sur internet et en projections publiques, des reportages, des documentaires, des films et des émissions télévisuelles. Elle propose des ateliers audiovisuels auprès de différents publics à Toulouse et en Occitanie. Elle initie et forme toute personne intéressée par le domaine de l’audiovisuel et de l’information, en plus des bénévoles de l’association ou de ses partenaires.
Le Ravi est une mensuel associatif régional d’enquête et de satire basé à Marseille et qui sévit en Provence-Alpes Côte d’Azur depuis maintenant 15 ans.
Un journal qui a envie de faire entendre d’autres voix et de montrer d’autres voies. Un journal qui ne se contente pas de produire de l’information : débats, festivals, éducation aux médias, ateliers de journalisme participatif...
le Ravi, avec la coordination permanente des médias libres et Médias Citoyens Paca, essaye de la jouer collectif pour faire vivre la presse et les médias "pas pareils" en Paca mais pas que. Après 15 ans, il est encore vivant. Et c’est déjà pas mal !
Silence est une association qui publie la première revue écologiste collaborative, indépendante française, créée en 1982 à Lyon. Travaillant principalement autour de trois thématiques : l’écologie, les alternatives et la non-violence, Silence diffuse 11 numéros par an. Écrite par des journalistes professionnel·les et par des bénévoles (plus de 1 000 en 36 ans) la revue Silence est distribué par abonnements, via un réseau de 200 dépositaires, et sur des événements (foires, salon,… ) aux quatre coins de la France. Porteuse des valeurs de l’écologie politique, elle associe dans ses recherches théories, concepts et alternatives pratiques, questions sociales et questions de genre.
Le Media