Économie circulaire / Déchets - juin 2025
Grenoble trace la voie avec son Pôle R, un site totem de l’économie circulaire qui mutualise espaces, acteurs et ambitions pour structurer durablement les 4 R : réemploi, réutilisation, réparation et reconditionnement. Un modèle inspirant pour d’autres territoires engagés dans cette dynamique soutenue par l’ADEME.
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Le dispositif 4R vise justement à accompagner les collectivités qui veulent s’engager dans une démarche coordonnée, mutualisée et ambitieuse
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"Avec l’AAP 4R, l’ADEME Auvergne-Rhône-Alpes souhaite soutenir ce nouveau modèle de projet coopératif et multi-partenariaux autour de l’économie circulaire. Nous pensons que c’est une des solutions pour consolider les acteurs existants, diversifier et développer leurs activités économiques, les flux captés et gagner en visibilité. Ce changement d’échelle répond complètement aux objectifs de réduction des déchets portés par l’ADEME."
Elsa Thomasson, Référente déchets des collectivités / territoires en transition à l’ADEME
En savoir plus
- Découvrir le projet dans le détail
- Le dispositif 4R de l'ADEME en Auvergne-Rhône-Alpes
Sur le même sujet #recyclage #réparation
Ndlr : semble centré sur la performance (AVEC DES MOTS TOUT SAUF SENSIBLES COMME INNOVATION, INDUSTRIE, besoin de solutions locales, structurées et efficaces ; besoin de structuration et d’efficience ; les process sont optimisés ; taux de réemploi porté à de 5 à 30 % ; ...) et non pas la robustesse alors que Grenoble travaille dessus pour 2040 ! :-(
cf https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?kvtw0g
Pourquoi ? ACT
Qu'est-ce que la robustesse permettrait par le sensible, une coopération horizontale inter-acteurs informelle ?
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🔎 En matière de nucléaire, Emmanuel Macron dépense sans compter. La facture se chiffre en dizaines de milliards. Mais qui va payer ? Enquête sur une faillite annoncée.
✅ Un documentaire en accès libre, sans publicité et financé uniquement par les dons.
Soutenez la réalisation de documentaires indépendants : https://reporterre.net/dons
La journaliste Laure Noualhat poursuit son enquête dans le livre : Le nucléaire va ruiner la France. Fruit de six mois d’enquête, il paraît dans la collection Seuil-Reporterre :https://www.seuil.com/ouvrage/le-nucleaire-va-ruiner-la-france-laure-noualhat/9782021587975
156 commentaires dont
- @LebrunDominique il y a 1 heure (modifié) 2+
Approche journalistique beaucoup trop centrée sur les aspects financiers......le vrai problème est ailleurs..... - @francoisbaronnet3000 il y a 1 heure (modifié)
Arrêtez de dire que c'est de la faute de la guerre en Ukraine c'est n'importe quoi.
C'est du aux énergies renouvelables subventionnées par nous.
Cette augmentation n'est pas fini car l'Union européenne a décidé de réaligner la TVA de 5,5 à 20% sur la location du compteur EDF ! c'est pas l'Ukraine ça ! - @francoisbaronnet3000 il y a 1 heure (modifié)
On ne peut pas comparer des prix du kilowatt-heure energie renouvelable et des prix du kilowatt-heure pilotable puisque les énergies ENR ne peuvent pas fonctionner sans les énergies pilotable comme le nucléaire.
Vous parlez de quelqu'un qui a des unités de stockage en batterie ça me fait bien rire essayez chez vous d'avoir une autonomie totale avec vos panneaux solaires et des stock batteries, vous allez voir le nombre de batterie qu'il vous faut sans jamais être sûr d'avoir de l'énergie à portée de main. Je vous passe le coup du kilowatt-heure stocker sur les batteries. - @francoisbaronnet3000 il y a 2 heures (modifié)
Je vous conseille d'aller voir le prix de l'électricité dans les pays baltes comme la Lituanie qui payait 0,10 €/ kilowatt-heure jusqu'en 2018 et lorsqu'elle a décidé de se connecter au réseau européen en 2018, ce même kilowatt-heure est monté pour atteindre désormais en 2025 à 0,24€... ce n'est pas moi qui l'ai inventé ces sources sont à portée de tout le monde - @rthouly il y a 16 heures
Le surcoût de l'électricité du aux réglements européens (aggravé par nos gouvernants) n'est pas abordé, dommage! quand au coût du nucléaire il est essentiellement dépendant des hypothèses prises pour son financement à crédit. Au delà du prix de revient, il faut aussi tenir compte des consommations de matière première. - @bastr6183 il y a 15 heures
Reportage qui manque de détail toujours en défaveur du nucléaire.
Le coût du réseau pour les ENR ?
Les panneaux solaire made in china ?
Le prix au kWh du stockage électrique ?
Pas de détail sur pourquoi l'EPR dépasse le budget. - @jomay6970 il y a 12 heures (modifié)
2:26 78m2 et 190 € mensualisé d'électricité 😵💫 ce montant est dingue ! Je vis en Suisse et pour un 60 m2 (vieil immeuble années 60) j'ai 17€ électricité et 65 € chauffage (mazout). Soit moins de la moitié... - @thierrymoisan2454 il y a 14 heures
Un reportage fait par une anti nucléaire cela manque d'objectivité. Une éolienne, un PV produit de d'électricité et pourtant on continue à critiquer la production d'électricité. Les pro ENRI veulent produire de l'électricité intermittente qu'il faudra compenser par le fossile les jours de non production. Le prix du fossile (g éo -politiquement instable) explosera dans le monde. Ou faire comme l'Allemagne ou le kWh et 2 a 4 fois plus cher suivant les contrat ( réglementé, tempo...) donc un reportage qui ne dit pas tout ! - @gipsydangers3932 il y a 4 heures
Merci pour ce travail. C'est un angle assez absent du débat publique, et qui a l'air (a mon humble avis), plus tangible et important que l'éternel débat sur les déchets et les accidents.
Sans forcément critiquer le documentaire, je pense qu'il laisse plein de questions en suspend qui mériterai d'être creusées, et notament concernant les ordres de grandeurs : - Quelles économies envisager en injectant 100Md dans la sobriété ? Est-ce que ce serait suffisant ?
- est-ce qu'il faut malgré tout garder un socle nucléaire minimal, et notament pour notre défense ? Et si oui, comment cela peut s'integrer dans un mix plus durable financièrement ?
- "On peut stoker l'energie" : Certes, mais jusqu'a quel point ? Assez pour tenir les intermitances hivernales ?
- @mathismercier2165 il y a 11 heures
Merci pour le documentaire de qualité avec divers intervenants. J'aimerai cependant apporter un peu de nuance car il est difficile de se rendre compte des échelles quand on parle du nucléaire et les prix peuvent paraître enorme. Il est dommage de ne pas les comparer par rapport aux revenus des ventes d'électricité. Avec un rapide calcul d'ordre de grandeur on obtient que la vente d'électricité du parc nucléaire français rapporte environ 23 milliards par an ( 60€/MWh, 62 GW installé, facteur de disponibilité 70%) qui permet de relativiser avec les 200 milliards à depenser sur 40+ années. De plus la france est relativement souveraine sur le nucléaire (à part matière première qui est "presque" un cout marginale du nucléaire) ce qui signifie que l'on va retrouver l'investissement dans l'économie française. Alors que pour des technologie comme les panneaux solaires que l'on achète à l'etranger même si elle était moins cher l'argent sortirait de la france et n'irriguerait pas le commerce intérieur. - @scooter98760 il y a 49 minutes
"Oubli" supplémentaire : Le solaire émet 2 à 3 fois plus de CO2 que le nucléaire !
Remplacer toutes les centrales par des panneaux solaires augmentera drastiquement les émissions de CO2 de la France - @EmileChevets il y a 2 heures
Reportage uniquement à charge. Regardez les chiffres : Le mégawattheure nucléaire sort entre 40 € et 70 €. L'état s'engage à acheter le mégawattheure des éoliennes en mer à 200 €. Ajoutons que l'un est pilotable et l'autre pas. Baladez vous en Espagne : le paysage est saccagé par les champs de panneaux solaires, les éoliennes et les lignes électriques qui les connectent au réseau. - @etudiantsup5749 il y a 3 heures
Je trouve qu'il y a beaucoup trop de raccourcis. Par exemple pourquoi on ne parle pas de tout les autres problèmes des éoliennes comme la quantités de matériaux nécessaire. La quatrième génération, de ITER... Du fait tout simplement que l'électricité française est presque décarboné et que mettre en priorité le démantèlements des centrales alors que tout le reste n'est pas décarboné ( parc automobiles, chauffages, certaines industries) est un petit peu contre productif pour réduire les émissions. Perso j'ai vu ce doc, il a plus de contrastes https://www.youtube.com/watch?v=yNUIaqCPttc&ab_channel=DocumentaireetV%C3%A9rit%C3%A9
...
Résumé des commentaires : À FAIRE
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AFFIRMATIONS DES OPPOSANTS OU CRITIQUES :
/reportage :
2 occurrences : manque d'objectivité, des manques
2 occurrences : des questions en suspend à creuser notamment les ordres de grandeur, le stockage de l'énergie en cycle annuel
/économie :
1 occurrence : balance commerciale
/financement du nucléaire :
1 occurrence : pas dû à la guerre en Ukraine mais aux subventions des ENR et à l'augmentation de TVA décidée par l'UE
1 occurrence : Le vrai problème n'est pas financier mais ailleurs
1 occurrence : dû aux règlements européens et aux consommations de matière première ??
1 occurrence : dû au raccordement au réseau européen ex Lituanie
1 occurrence : causes du surcoût de l'EPR manquent
/coût des ENR :
2 occurrences : coût du réseau pour les ENR, photovoltaïque chinois, prix du stockage électrique
/énergie pilotable
1 occurrence :
/ coût du stockage de l'électricité
1 occurrence : trop de batteries nécessaires pour un particulier sans assurance d'avoir assez d'électricité
/ coût de la facture d'électricité :
1 occurrence : bien moins élevé en Suisse
/émissions de gaz à effet de serre :
1 occurrence : le photovoltaîque émet plus de CO2 que le nucléaire
/esthétique des ENR, saccage des paysages :
1 occurrence : ex de l'Espagne
"
Connu / TG le 16/06/25 à 8:14
Tr.: ... Philippe Huet, membre du comité exécutif d'EDF de 2008 à 2010 ...
Thomas Picquemal, ancien directeur financier d'EDF ...
Stephen Thomas, économiste, université de Greenwich / Hinkley Point de 22 à 34 Milliards d'euros ... 70 € le MWh mais EDF paiera tous les dépassements ... peut-être 56 M€ ... rapport cour des Comptes 23,7 Milliards filière EPR non rentable ... EPR2 déjà 1 millions d'heures d'ingénierie ... 67 milliards les 6 EPR2 ... Gravelines ...
Nicolas Fournier, FNE (Fr Nature ENvi) ...
Antoine Ménager, directeur du Débat Public EPR2 pour EDF ...
Laure Noualhat, juornaliste indépendante ...
Aubert Le Brozec, direction interministérielle du nouveau nucléaire (DINN) ...
siège du MEDEF en février 2025 : Xavier Ursat, directeur exécutif du groupe EDF ... aujourd'hui le design est terminé ...
SUD RADIO 19/2/2025 : Marc Ferracci, ministre de l'industrie et de l'énergie ... 100 milliards d'euros ...
Maxime Laisney, député de Seine-et-Marne LFI ... EPR2 reste un prototype ...
Raphaël Lance, pdt du fond Mirova Banque Natixis ... 2% n'est pas suffisant
ML ... le contribuable et le consommateur paieront ... avance remboursable, EDF ne rembourserait jamais
...
la cour des Comptes demande de reporter la décision
...
la Fr a pris beaucoup de retard dans les ENR ... intermittentes ... stockage par batteries ...
Alexandre Thiery, ingénieur stockage à Valorem ... à 130 km de Paris ...
Jean-Yves Grandidier, pdg de Valorem ... Fr pays béni des dieux de l'ENR ...
projets citoyens ... boucle d'autoconsommation collective de 10 km de diamètre, ouverte à tous ...
Yves Dieulesaint, coopérative CitoyENergie ... pas réservé aux propriétaires de maisons ex le boulanger ...
Maxime Lenne, boulanger à Lucinges (74) ... sa facture a baissé de 30% ... il économiserait 15 000 €/an ... le maire a accepté que le toit d'école soit couvert de panneaux photovoltaïques ...
Jean-Luc Soulat, Maire de Lucinges (74) ... intéressé ... boucle d'autoconsommation, circuit court, voire très court d'électricité ... à réinjecter dans l'école et les autres bâtiments communaux ...
ÉCONOMISER L'ÉLECTRICITÉ ... réseau de transport de plus en plus coûteux va plomber nos factures ...
Michelle Pappalardo, présidente de l'ADEME de 2003 à 2008 ... coûts vont augmenter avec le réchauffement climatique ... apprendre à être plus sobres ... que donnerait d'y consacrer les 100 milliards prévus pour les EPR2 ?
Reporterre a commandé une étude au cabinet Virage énergie ...
Barbara Nicoloso, directrice de Virage Energie ... on peut faire sortir des millions de français de la précarité énergétique en rénovant plusieurs dizaines de milliers de bâtiments, on peut également accompagner les mobilités décarbonées (vélo, renforcer le train et autres transports en commun) ... on sous-investie les changements de comportements, on a une tendance à financer des technologies, des moyens de production. On plaide pour que la sobriété et l'efficacité energétique soient financées et subventionnées pour réduire nos consommations d'électricité et d'énergie et qui en corrolaire, nous permet de ne pas développer certaines technologies de production d'énergie, dont le nucléaire. Donc c'est tout gagné.
Pourquoi on ne le fait pas ?
certains groupes d'intérêt ne s'y retrouvent pas. La sobriété, c'est mieux consommer mais c'est aussi moins consommer. Ça veut dire "changement de modes de vie" et donc ça va impacter certains secteurs économiques. L'autre volet, c'est que la sobriété est un PROJET POLITIQUE.
C'est un autre rapport à la démocratie, c'est collectivement comment on se met d'accord sur les besoins, quelle quantité d'énergie, quels modes de production aussi ? Qui sont aujourd'hui des questions que l'on ne pose pas du tout quand on parle de transition énergétique. On se projette tout de suite dans le nucléaire sans s'interroger sur les besoins, sur ce qu'on peut faire en terme de sobriété et d'efficacité. Est-ce qu'on a finalement besoin de ce nucléaire là ?
BONNE QUESTION !
A-T-ON BESOIN DE CE NOUVEAU NUCLÉAIRE HORS DE PRIX ? NE PEUT-ON PAS FAIRE AUTREMENT ?
L'énergie est devenue aussi précieuse que l'eau ou l'air. Et demain, l'électricité sera BEAUCOUP PLUS CHÈRE.
Pratiquer la sobriété sera la meilleure façon de préserver nos ressources ainsi qu'un certain avenir.
Car souvenons-nous : on n'a jamais besoin de produire ce qu'on ne consomme pas.
Remerciements :
Stephen Thomas, Sue Aubrey, Allan Jeffery, Jo Smoldon, Maika Nuti, Camille Girard, Julien Arnaud, Jean-Claude Delalonde, Bernard Norlain, Yves Marignac, Hélène Gassin, Thomas Dossud, Benoît Biteau, Camille Girard, Fanny pour le canoë, Energie partagée pour ses multiples contacts, Les centrales villageoises, l'ANCCLI, Greenpeace, Stop Hinkley.
Connu / TG le 16/06/25 à 8:14
Un plateau en public enregistré pendant le Maquistan avec Laure Ducos, autrice du livre Les frites viennent des patates. Une plongée dans les coulisses de notre alimentation, et plus particulièrement dans les rouages de l’agro-industrie, pour comprendre les rapports de force qui régissent ce système. Et pour poser les bases d’une action collective et politique !
Avec Greg de la Ferme de la Plaine (polyculture élevage bio en Dordogne), qui lance un appel à financement participatif pour rebondir suite à une épreuve financière directement liée à ce modèle agro-industriel. Pour en savoir plus, Greg explique la situation à 06:00.
Pour en savoir plus sur les fondements coloniaux, patriarcaux et capitalistes de l’agro-alimentaire, n’hésitez pas à vous procurer le livre de Laure : Les frites viennent des patates, publié aux éditions Grasset.
Pour réécouter la présentation des différents “ateliers” proposés tout au long de l’évènement, enregistrée par AIR DWA, c’est ici.
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Connue / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?RVlTCQ
Tr.: ...
à 6mn : Greg ... / SAFER : AU bout de 5 ans modifier les taux d'intérêt soit 14%?
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BIGAR a le monopole des abattoirs en France ... la FNSEA, verrouillage du monde actuel ... propose des services aux agriculteurs ... la bd et le film "algues vertes" ... autre ? ... guerre en ukraine ... faire sauter obligations jachères, mares, etc ... supprimer les normes environnementales, désarmer l'OFB ... le prix de la tonne de céréales a doublé / spéculation ... la stratégie du choc de Naomi Klein? ... le paysan impossible de Yannick Aubeur?? ... ya des leviers d'action ... des failles :
- le vote : aller voter ! les forces de gauche. Rêve d'un monde anarchiste mais on a trop besoin du vote.
- la ss de l'alimenation, solidarité, réseaux de soutien aux agriculteurs, des néoruraux qui reviennent à l'agriculture, cantines solidaires, légal teams
- sa consommation alimentation locale et bio 18% des riches consomment bio, ça pourrait être plus pour soutenir les éleveurs
- la publicité, le marketing : bloom, foodwatch, etc (Greenpeace pas cité)
- les interventions dans les écoles
arrivé en tête, le syndicat a la moitié des sièges des chambres agriculture, financement assuré par l'état ... la Coordination Rurale n'a pas que des gens du RN, ils prennent mieux en compte la lutte des classes que la FNSEA ... LA Conf n'a que 10 000 adhérents ... pdt alliance opposants à la chasse : il n'y a pas de police de la chasse ... membre de l'OFB ... anarchiste mais vote ...
par Marie-Claire Tartarin et Grégory Orticoni
Don avec contrepartie
Née il y a 5 ans, notre ferme biologique en polyculture élevage a besoin de votre aide pour continuer à avancer.
Nouvelle-Aquitaine
Bussière-Badil, France
61 Contributeurs pour 9 680 €
Projet financé !
Le 10 juillet 2024
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Sécurité et souveraineté alimentaire ; Biodiversité ; Emplois et territoires
Projet
Contributeurs 61
Communication 2
Commentaires 3
Lecture 1 min - Mis à jour le 21/06/2024 à 20h41
Accueil Économie Agriculture
Un couple d’agriculteurs de Dordogne lance un appel à soutenir son « modèle paysan » - Publié le 21/06/2024 à 11h07 / Par Virginie Desmet - SudOuest.fr
Grégory Orticoni et Marie-Claire Tartarin élèvent des chèvres rustiques et bariolées en bio et en semi-liberté, à Bussière-Badil. © Crédit photo : Irène Tartarin
Leur exploitation agricole, qui est « à l’image des anciennes fermes vivrières », fait face à un imprévu financier. Ils viennent de lancer une cagnotte participative
Marie-Claire Tartarin est de Charente-Maritime, Grégory Orticoni de Corse. Elle était ingénieure, lui, a toujours été éleveur et fromager. Ensemble, la cinquantaine approchant, ils ont créé une ferme en polyculture et élevage bio en Dordogne, à Bussière-Badil, « un peu à l’image des anciennes fermes vivrières ». Ils s’y occupent, entre autres, de 80 chèvres rustiques et bariolées.
À VOIR AUSSI
Aujourd’hui, cinq ans après son installation, la petite entreprise paysanne est en proie à des difficultés d’ordre pécuniaire. Le financement d’une partie de l’exploitation a été modifié sans qu’ils puissent rien y faire et, cause à effet, « une banque a décidé de ne plus [les] suivre ».
Sur le même sujet
Vidéo. Un élan de solidarité se crée pour un Périgourdin victime d’escroquerie
Le malheureux a vu arriver une aide inespérée autour de sa triste situation
Dernière chance
Résultat : un manque à combler de 15 000 euros. « On a vendu une partie de notre matériel, mais ça n’a pas suffi », témoigne Marie-Claire Tartarin. En guise de tentative de la dernière chance, ils ont lancé un appel à financement participatif via la plateforme miimosa.com, en espérant que les internautes seront nombreux à vouloir soutenir leur « modèle paysan durable et soucieux de l’environnement social, paysager et écologique ».
-> https://miimosa.com/projects/nos-troupeaux-en-foret-a-la-ferme-de-la-plaine/articles
Sur les terres de leur ferme de la Plaine (c’est son nom), située en plein cœur du Parc naturel régional Périgord-Limousin, les troupeaux vivent en semi-liberté, ayant accès à 60 hectares de prairies et forêts. Avec leur lait, le couple élabore des fromages « les plus naturels possibles, sans ajout de ferments chimiques ».
« L’endroit était cultivé en agriculture conventionnée autrefois, raconte Grégory Orticoni. Quand on est arrivé, il était en friche, abandonné depuis une dizaine d’années. » Ils ont reboisé le site, planté des pins et un peu plus de 2 km de haies « pour créer de la biodiversité ». Ils ont aussi planté des vergers de noyers et châtaigniers.
« Si nous n’avons pas réuni la somme avant le 30 juin, nous ne pourrons plus exploiter notre ferme, et tout notre travail acharné, effectué depuis cinq ans, sera alors perdu », déclare le couple d’agriculteurs.
Les sujets associés Agriculture Solidarité Bussière-Badil Virginie Desmet Economie Société Dordogne Périgueux
3 Commentaires
L'essayiste Jean-Louis André est notre invité du grand entretien ce dimanche. - FPA
Jean-Louis André : "Il va falloir trouver des formes de logement qui sont entre le collectif et l'individuel" - Dimanche 15 juin 2025 - L'invité de 8h20
L'invité du grand entretien de ce dimanche est Jean-Louis André, réalisateur de documentaires et essayiste, auteur de “Notre chez-soi. La maison des Français depuis les Trente Glorieuses” (Odile Jacob).
La France connaît une pénurie de logements, constate Jean-Louis André qui constate une contradiction "qui crée des tensions chez les gens" entre "l'injonction" à faire de son logement un "showroom personnel" et "en même temps, beaucoup de choses standardisées. En plus, il
il y a une inflation sur les prix qui fait qu'on a de moins en moins accès au logement qu'on voudrait", note le réalisateur.
L'arrivée des grands ensembles
Jean-Louis André retrace l'évolution du logement en France depuis les Trente Glorieuses avec l'apparition des grands ensembles dans les années 1960. À l'époque, il y a "une vraie concurrence" entre les "vrais mal logés", issus des bidonvilles "qui regardent pousser ces bâtiments-là avec envie" et "la classe moyenne qui est toujours logée dans les centres-villes dans des appartements où les toilettes sont sur le balcon". "Ces deux publics se font concurrence pour le HLM de l'époque qui passe pour une promotion", rappelle l'auteur de “Notre chez-soi. La maison des Français depuis les Trente Glorieuses” (Odile Jacob).
Au début des années 1980, la France va "se pavilloniser", relate encore Jean-Louis André. Mais le rêve de maison individuelle n'est pas sans conséquences. "Ça prend beaucoup plus de place donc ça prend plus de services publics, plus de routes", liste l'essayiste. Ce modèle est "écologiquement, difficilement soutenable donc il va falloir trouver des formes qui sont entre le collectif et l'individuel".
Clés : Arts et Divertissement Livres Arts visuels Essais – Livres d'art Architecture
En bref — Nucléaire - Durée de lecture : 1 minute
Le cauchemar se poursuit pour EDF. Des débuts de corrosion sous contrainte — des fissures minuscules dans le métal — ont été détectés à deux endroits sur le réacteur 2 de la centrale nucléaire de Civaux (Vienne), d’après une révélation de La Tribune, le 10 juin. Pire, ces anomalies ont été découvertes sur des tronçons de tuyauterie en coude récemment changés à cause de ce même souci.
...
Outre la production d’électricité, la centrale nucléaire de Civaux fait l’objet depuis mars d’une collaboration entre le ministère des Armées et EDF pour la production de tritium, un gaz rare utilisé pour la fabrication d’armes nucléaires.
Connu / TG le 12/06/25 à 19:05
Connu / TG le 12/06/25 à 16:45
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Merci et bravo à BNM79 d'avoir si bien évoqué le rapport sur la gestion de l'eau de GPF !
🕵️♀️ Inspiré·es par le récent rapport explosif de Greenpeace « Démocratie à sec » qui a révélé bon nombre de dérives de la gouvernance de l’eau en France et qui a notamment mis en lumière la mainmise des lobbies agricoles productivistes, en particulier la FNSEA et les irrigants sur les CLE, nous souhaitions interpeller sur le manque de transparence et les conflits d’intérêts qui minent ces instances.
En ce sens, nous avons remis aux membres de la CLE le rapport de Greenpeace et avons également mené “l’enquête” sur place en les interrogeant avec bienveillance sur leurs liens avec le monde agricole, la FNSEA, l’agro-industrie.
☔ Malgré la pluie et une mobilisation restreinte de cinq militant·es face à une préfecture sous présence policière – nous avons pu échanger brièvement avec M. Fetet, nouveau préfet des Deux-Sèvres, en poste depuis avril. Ce dernier, qui ignorait l’existence du rapport de Greenpeace, a écouté les remarques de Julien Le Guet sur la nécessaire transition de notre gestion de l’eau.
Elmano Martins, président de la CLE, lui, a fait preuve d’une attitude autoritaire et méprisante. Il a limité l’accès à la réunion à seulement deux membres de notre collectif alors que nous étions 5 (sic!), nous refusant l’émargement et déclarant, de manière incorrecte : « Vous n’avez qu’à prendre un avocat ». Voilà comment gère le président de la CLE dont l’ouverture au public est laissée à son unique appréciation, à savoir la confiscation de la démocratie locale. Or, rien n’interdit que les réunions de la CLE soient publiques et donc ouvertes à tou-tes !
🌊 Alors que l’eau est un commun et que de nouvelles restrictions de prélèvements d’eau vont entrer en application ce lundi 9 juin y compris dans le niortais, nous refusons qu’elle soit gérée dans le dos des citoyen·nes. Ce combat continue. Nous allons poursuivre notre enquête et vous révèlerons nos analyses prochainement ! Et nous serons là, encore, pour exiger transparence, diversité et véritable participation citoyenne dans les instances de décision. On ne lâche rien !
🗞️ La presse en parle :
- Courrier de l'Ouest : https://www.ouest-france.fr/environnement/eau/le-porte-parole-des-anti-bassines-interrompt-la-pause-du-nouveau-prefet-des-deux-sevres-51b7453c-42aa-11f0-b321-9f4333574570
- Nouvelle République : https://www.lanouvellerepublique.fr/niort/deux-sevres-bnm-denonce-la-forte-presence-de-la-fnsea-dans-les-instances-de-l-eau-1749200921
i à https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?KKDWmg
"
Connu / TG le 16/05/25 à 11:30
... exprimer mon opposition au projet de conversion d’un élevage caprin en ferme industrielle de 150 000 poules pondeuses à Celle-Lévescault.
Je m’inquiète notamment des impacts suivants :
- Nuisances pour les habitants (odeurs, bruit, trafic routier)
- Pollution des sols, de l’eau et de l’air
- Conditions d’élevage incompatibles avec le bien-être animal
- Modèle agricole destructeur pour les petites exploitations locales
Connu / https://poitiers.demosphere.net/rv/4230 puis par https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?T3yHsA
Rapport
Qui dans la société doit payer les coûts d'une aggravation du changement climatique et de ses évènements extrêmes ? Quels mécanismes de solidarité à l'égard des plus exposés ou des plus vulnérables ? Comment financer et déclencher les actions de prévention pertinentes ? Quels rôles de l'Etat et du secteur assurantiel ?
Fruit d’un travail original ayant mobilisé un groupe de travail pluridisciplinaire pendant près de deux ans, ce rapport du Haut-commissariat à la Stratégie et au Plan questionne les fondements et les limites du système actuel de mutualisation des risques climatiques. Il dresse un parallèle avec la mutualisation des risques sociaux et la construction des assurances sociales au XIXe siècle, et la nécessité, aujourd’hui, de réinventer notre solidarité collective face aux aléas naturels.
En regard, les autrices proposent trois scénarios de réformes, qui diffèrent selon l’ampleur de la couverture et la place de l’Etat dans cette nouvelle protection climatique. Ces scénarios sont détaillés, d’un Etat régulateur du secteur de l’assurance à une socialisation plus large des risques climatiques, sur le modèle de la protection sociale.
Publié le : 12/06/2025
Temps de lecture 7 minutes
Télécharger l'édito de Clément Beaune, Haut-commissaire à la Stratégie et au Plan
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Autrices
- Mathilde Viennot, Cheffe de projet, Coordonnatrice
- Marine de Montaignac, Cheffe de projet, Autrice
- Alice Robinet, Cheffe de projet, Autrice
Le système en vigueur de mutualisation des risques climatiques est-il efficace ?
En comparaison internationale, le modèle français d’indemnisation des risques climatiques (assurance habitation doublée du régime « Cat Nat ») apparait particulièrement mutualisé et solidaire. Toutefois, le système de mutualisation dans son ensemble, incluant aussi la prévention, présente des limites, en particulier pour les ménages, telles que :
- Une indemnisation partielle des dommages, une non-couverture de certains risques (trait de côte) ou une couverture incertaine (sécheresse), une couverture assurantielle inégale sur l’ensemble du territoire (forte non-assurance en Outre-mer)
- Une politique de prévention inégale en matière de financement, de risques couverts, de soutien à la prévention individuelle, qui est distincte de l’indemnisation.
En considérant les projections d’aléas naturels pour les 25 prochaines années, le rapport questionne l’assurabilité globale des risques climatiques (la soutenabilité́ environnementale du système), la pertinence du régime « Cat Nat » (sa soutenabilité financière), et la capacité de ce système à fournir une solidarité collective face aux aléas naturels (sa soutenabilité sociale).
Le changement climatique, source de vulnérabilité du système actuel
Le réchauffement climatique se traduit par une intensification des phénomènes extrêmes et des dommages qui en découlent. Entre 2019 et 2023, le coût total de la sinistralité (pour les biens particuliers et professionnels) liée aux événements naturels s’est élevé en moyenne entre 4 et 4,5 milliards d’euros par an – des niveaux déjà supérieurs de 10 à 20% à la sinistralité moyenne depuis 40 ans (3,7 milliards d’euros).
Ce coût total moyen dissimule une variabilité importante. A titre d’exemple, la sécheresse de 2022 a coûté – à elle seule – entre 3 et 3,5 milliards d’euros. Il masque aussi une incapacité à projeter ces coûts dans un futur proche. L’analyse du système français de mutualisation des risques climatiques, hérité des années 1980, questionne sa capacité à répondre aux défis posés par l’intensification des aléas climatiques.
Trois scénarios pour adapter le modèle de mutualisation des risques climatiques
Afin de repenser la solidarité et la couverture des risques climatiques face à leur intensification, le rapport verse trois scénarios au débat. Ils diffèrent selon le rôle de l’Etat dans la gestion du risque, selon le niveau de solidarité que l’on souhaite atteindre (entre zones à risque et non à risque, entre propriétaires et locataires, entre ménages aisés et précaires), et selon les évolutions à venir du risque climatique.
- Le premier scénario offre un socle minimal de couverture et des garanties supplémentaires face aux évènements climatiques, en conservant le partage de risque entre le marché de l’assurance et l’État. En intervenant sur le marché de la réassurance et en régulant celui de l’assurance, l’État maintient l’assurabilité des risques climatiques sur le marché.
- Le deuxième scénario élargit la réassurance publique à l’ensemble des risques climatiques, en supprime le caractère exceptionnel et confie à l’État la couverture de la sécheresse. La gestion des risques climatiques s’accompagne d’une politique d’adaptation des logements plus volontariste, en offrant notamment des subventions à la prévention ou en incitant les habitants à sortir des zones à haut risque.
- Le troisième scénario socialise les risques climatiques, c’est-à-dire qu’il propose une couverture universelle et unifiée des risques climatiques. Il présente à la fois une dimension réparatrice, avec la création de branches d’indemnisation, et une dimension préventive renforcée, avec la création d’un circuit de prévention des risques et d’adaptation des logements aux risques climatiques. Des cotisations climatiques viennent remplacer les primes d’assurance.
« Ce rapport affiche des montants, de dépenses et de contributions, qui sont élevés. Ils doivent être bien entendu évalués, maîtrisés, discutés. Mais soyons clairs : c’est avant tout la facture du changement climatique ; la question clé est celle de sa prise en charge, publique ou privée, individuelle ou solidaire. Toute action qui permet de réduire ce dérèglement, d’en diminuer la vitesse, l’ampleur ou les impacts, en abaisse le coût pour la société. Et le coût de l’inaction est très supérieur au coût de l’action. »
Clément Beaune, Haut-commissaire
Connu en cherchant à partir de https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?LPkLRQ
Ndlr : amélioration ? propositions pertinentes ? Approfondir ACT
Remarques :
- la grèle absente de la synthèse alors que présente dans le rapport complet !
- quid de faire payer les principaux responsables : l'industrie fossile ?
- résilence mais pas robustesse, sauf à propos de la sécurité sociale :
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La Sécurité sociale, qui fête ses 80 ans à l’automne 2025, trouve ses racines dans des débats anciens sur la responsabilité, la solidarité et la place de l’État dans la protection contre les aléas de la vie. Dès le XIXe siècle, les risques liés notamment à l’industrialisation (accidents du travail, chômage, maladie, vieillesse) apparaissent comme trop lourds pour être assumés par les seuls individus ou la bienveillance patronale. Des dispositifs d’assurance mutuelle émergent, d’abord dans les milieux ouvriers, avant d’être institutionnalisés sous l’impulsion de l’État. Le système de Sécurité sociale en 1945 incarne un tournant fondamental : celui d’une prise en charge publique, universelle et obligatoire de risques jusqu’alors laissés à l’initiative privée. Cette construction s’est faite sur la base d’un compromis entre plusieurs logiques : l’assurance (cotisation contre protection), l’assistance (solidarité nationale financée par l’impôt), la mutualisation (redistribution entre les assurés) et la régulation étatique (définition des règles, collecte, contrôle). Elle repose également sur des tensions durables, entre logique contributive et logique redistributive, entre public et privé, entre prévention et réparation, entre équité et incitation. Ces tensions ont structuré durablement les politiques sociales françaises, mais elles n’ont pas empêché la constitution d’un système robuste, suscitant une large adhésion et capable d’évoluer avec le temps.
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13/06/2025
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Inondations, cyclones, sécheresses... Les récents "événements d'ampleur exceptionnelle" amènent à s'interroger sur "la capacité du système assurantiel à prendre en charge les dommages", observent les autrices du rapport.
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s'interroger sur "la capacité du système assurantiel à prendre en charge les dommages", observent les autrices du rapport.
"C'est une question qu'on se posera à chaque catastrophe naturelle, donc c'est un débat qu'on doit avoir dès maintenant. C'est pour cela qu'on propose une conférence nationale sur le changement et les risques climatiques", a déclaré Mathilde Viennot, l'une des autrices du rapport, lors d'un point presse.
Pour le régime "catastrophes naturelles", le coût cumulé des sinistres a oscillé entre 1,8 et 2,3 milliards d'euros par an en moyenne entre 2019 et 2023, et pourrait atteindre jusqu'à 4 milliards d'euros par an en 2050.
Dans ce dispositif, qui couvre les inondations, sécheresses et ouragans, l'État prend en charge la moitié des dommages, alors que ceux liés aux tempêtes, à la grêle et à la neige sont couverts par les assureurs.
Ce système d'indemnisation, même s'il est globalement protecteur et solidaire, recouvre cependant des disparités territoriales (avec une faible couverture dans les territoires ultramarins) et des inégalités de prise en charge.
Ce rapport propose donc trois scénarios pour faire évoluer l'assurance habitation, "des pistes que nous mettons dans le débat public", a déclaré Alice Robinet, seconde autrice du rapport, lors du point presse.
"Dans le premier scénario, l'État va jouer un rôle de régulateur du marché de l'assurance. Dans le second, il est garant de l'ensemble des risques climatiques et dans le troisième, qui prévoit la socialisation des risques climatiques, il est assureur", a-t-elle poursuivi.
À lire aussi : Le coût des catastrophes naturelles exceptionnellement élevés l'an dernier
Cette dernière proposition correspond à une "Sécurité sociale climatique", avec une "branche sécheresse" et une "branche météo", comme la Sécurité sociale comporte déjà une branche retraite et une branche famille.
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Connu / TG le 13/06/25 à 17:45
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L'assurance habitation doit s'adapter à l'évolution des risques climatiques, selon un rapport / linfodurable.fr
Il faut ouvrir le débat sur le système d'assurance des logements des Français face à l'évolution des risques climatiques, conclut un rapport publié jeudi par le Haut-commissariat à la Stratégie et au Plan (HCSP).
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Du vendredi 23 mai 2025 14:00 au dimanche 28 septembre 2025 18:00
- 63 Boulevard Besson Bey Angoulême
Le Frac Poitou-Charentes et l'Instituto Tomie Ohtake présentent l'exposition collective « Eaux souterraines : récits en confluence », qui s’inscrit dans la programmation de la saison Brésil-France 2025.
L'exposition propose une multiplicité de regards d’artistes contemporains autour des cours d’eau douce et les récits culturels, historiques et environnementaux qui les traversent.
Conçue comme un dialogue imaginaire entre le fleuve Charente et les rivières de São Paulo comme le Tietê
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À l’ère du changement climatique, les oeuvres présentées explorent les thèmes de la pénurie d’eau, de la relation de l’eau avec les histoires coloniales et extractivistes, des questions d’infrastructure et des futurs possibles. « Eaux souterraines : récits en confluence » donne à voir des pratiques artistiques qui reconnaissent les cours d’eau comme des êtres vivants dotés de droits intrinsèques, mais aussi en tant que témoins ancestraux, participants de l’histoire humaine, porteurs de transformations et de rencontres.
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VISITES ACCOMPAGNÉES DE L’EXPOSITION LES PREMIERS DIMANCHES DU MOIS : 6 JUILLET / 3 AOÛT / 7 SEPTEMBRE
Le premier dimanche de chaque mois, nous vous donnons rendez-vous à 16h au Frac pour une découverte de l’exposition en cours accompagnée d’un·e médiateur·ice.
Gratuit et sans inscription.
David Gourion, Amine Benyamina et Sabine Duflo sont nos invités de ce vendredi à 8h20. ©AFP - Leemage / AFP – Philippe Lavieille – PhotoPQR Le Parisien / MaxPPP – photo perso
Le médecin psychiatre David Gourion, la psychothérapeute et spécialiste des écrans Sabine Duflo et le psychiatre Amine Benyamina, spécialisé en addictologie, étaient les invités de France Inter ce vendredi. Ils échangent sur l'impact des écrans sur la santé mentale des adolescents.
L'accès des plus jeunes aux réseaux sociaux est porteur d'"épidémies de violences" qu'il faut "absolument réguler", a déclaré mercredi le président de la République Emmanuel Macron. Il a promis leur interdiction prochaine aux moins de 15 ans, après qu'une surveillante a été mortellement poignardée mardi par un élève de 14 ans à l'entrée d'un collège à Nogent, en Haute-Marne.
"C'est un fait que les jeunes, les adolescents vont mal, très mal. Près de la moitié souffre de troubles anxieux, dont 8% de troubles anxieux généralisés", indique Sabine Duflo, psychothérapeute et spécialiste des écrans. "On sait que classiquement, le mal-être chez les garçons s'exprime plutôt sous forme d'agressions, de colère. Et chez les jeunes filles, sous forme d'une violence internalisée, on a une augmentation énorme des punitions auto-infligées, scarification, tentatives de suicide, ingestion médicamenteuse, etc."
Il y a effectivement "une dégradation d'une population de jeunes particulièrement vulnérables, en particulier des jeunes filles", abonde le médecin psychiatre David Gourion. "Mais il y a aussi des jeunes qui vont très bien", souligne-t-il.
À écouter
Surveillante poignardée en Haute-Marne : quel rôle jouent réellement les réseaux sociaux dans la violence ?
L'info de France Inter
7 min
"C'est multifactoriel"
"À chaque fois qu'il y a un drame, on a une série de propositions et d'explications ultra-simplistes", déplore David Gourion. "Honnêtement, qui peut croire qu'un adolescent ou une adolescente qui va bien irait d'un seul coup, parce qu'il ou elle a vu sur son écran une vidéo violente, prendre un couteau et planter des gens ? Bien sûr que non." Il interroge davantage sur ce qu'il se passe "dans le cerveau d'un ado", évoquant des "tempêtes" "multifactorielles" et citant ce qu'il se passe à la maison, à l'école ou encore "ce que le système de santé n'a pas vu". "C'est multifactoriel, ce n'est pas qu'une histoire d'écrans, de parents, de harcèlement scolaire ou sexuel, d'addictions. C'est un tout, c'est une société, c'est un état d'esprit", insiste le spécialiste.
À écouter
Sécurité et santé mentale à l'école avec Johanna Dagorn et Audrey Chanonat
Le 13/14
59 min
"Il n'y a pas de lien direct entre la consommation des écrans et les passages à l'acte", abonde Amine Benyamina, co-président de la commission qui a remis le rapport au président de la République sur les écrans. "En revanche, on peut avoir des thématiques d'inspiration, des phénomènes de condensation et de précipitation à un moment précis." Dans le rapport, les spécialistes ont fait une série de 29 propositions, qui "sont interdépendantes", avec notamment "un questionnement sur l'adolescent dans notre société et sur la présence des écrans".
Clés : Société Santé Santé psychologique – Psychiatrie Adolescence
Energy Observer 3 - Energy Oberver
lancé en 2017, un mix unique d'énergies renouvelables, durant 7 ans, 68 miles nautiques (122 400 kilomètres) à travers la planète, 50 pays visités. Victoria Erussard, Président fondateur et Capitaine d'Energy Observer présente les nouvelles expéditions d'Energy Observer...
"Très heureux d'annoncer ces nouvelles expéditions. Il y aura Energy Observer, EO3. Même taille, cinq fois plus volumineux, il a une chaine énergétique qui est très innovante avec l’ammoniac, ce nouveau navire d'expédition pour explorer toutes les solutions énergétiques qui permettent de réduire notre empreinte carbone, notamment dans le secteur maritime." Victorien Erussard
Clés : Monde Outre-mer – DOM-TOM
601 signataires
Alice LEBRAUD RAYMONDAUD a lancé cette pétition il y a 2 mois
Le problème
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La Région Nouvelle-Aquitaine (autorité organisatrice des transports) avec la complicité de la SNCF, poursuit une politique de casse du service public ferroviaire : fermeture progressive des guichets, réduction des horaires d’ouverture des gares.
Ces décisions, unilatérales des autorités organisatrices sans concertation avec les usager.e.s, ont des conséquences concrètes :
- Suppression d’un accompagnement humain indispensable dans la préparation d’un voyage comme pour l’après-vente ;
- Diminution de l’accès à l’information et à l’achat de billets pour les personnes âgées, en situation de handicap ou sans accès au numérique ;
- Dégradation de la sécurité dans les gares désertées par le personnel ;
- Fragilisation de la vie locale et de l’aménagement du territoire.
Les usager.e.s ont besoin d’un service complet au guichet.
Avec la CGT cheminots, exigez :
- Le maintien des guichets dans toutes les gares;
- Des horaires d’ouverture adaptés aux besoins des usager.e.s;
- Une présence humaine dans les gares pour garantir l’accueil, l’information et la sécurité;
- Un service public de qualité, complet, accessible à toutes et tous, sur tout le territoire.
Ensemble, faisons entendre notre voix contre la désertification des gares !
Connu / TG le 26/04/25 à 1:25
Connu / TG le 27/03/25 à 13:25
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Bienvenue à bord du Train de la Colère, qui partira de Cahors et Clermont-Ferrand le 15 avril 2025 pour exiger des engagements fermes en faveur des lignes ferroviaires régionales.
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et
https://actu.fr/occitanie/cahors_46042/le-train-de-la-colere-est-parti-ce-matin-de-cahors_62511237.html#m9i49aspkb1kygvh24
Webinaire "Créer et restaurer des mares pour favoriser la biodiversité dans nos fermes" - Diffusée en direct le 26 mai 2025 / Terre de Liens
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Depuis les années 1950 et le remembrement agricole, on estime que la moitié des mares en France ont disparu. Pourtant, elles sont indispensables à nos écosystèmes, notamment agricoles, et nous rendent de nombreux services. Réserves d’eau, ilôts de fraicheurs, lieux d’accueil de la biodiversité auxiliaire (insectes, amphibiens, oiseaux…), elles sont une aide précieuse pour les agriculteur·rices dans leurs activités.
Pour en savoir plus, nous vous donnons rendez-vous le 26 mai à 12h pour notre webinaire “Créer et restaurer des mares pour favoriser la biodiversité dans nos fermes” ! Nous recevrons Jean-Baptiste Decotte de la Ligue pour la Protection des Oiseaux qui nous parlera des bénéfices apportés par les mares pour les agriculteur·rices et de tout ce qu’il faut savoir avant de se lancer dans un projet de restauration/création de mares. Nous écouterons également le témoignage d’un paysan engagé pour la préservation des mares.
Tr.: ...
Fondation Terre de Liens ... Ferme du Mont-d'Or en Charente-Maritime et ferme ? dans la Drôme
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La LPO ... ya pas de poissons, ce n'est pas un étang, ni un lac ... nappe d'accompagnement ... mares-libellule site internet ACT
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15:00 terminer ACT