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Les député·es insoumis·es et écologistes, et des représentants d'associations, vous invitent à une rencontre presse pour présenter nos analyses du projet de loi "Accélération des procédures liées au nucléaire".
Tr.: ... en présence de Pauline Boyer, Greenpeace France, de Julie Laernoes, Ecolo-Nupes et Aurélie Trouvé Lfi, ... indépendance énergétique : Rosatom transporte une énorme partie de l'uranium naturel issu des mines du Kazakhstan et d’Ouzbékistan ... climat : réduire de moitié les émissions de gaz à effet de serre d'ici 2030 ...impact direct et rapide sur les émissions de GES. Construire de nouvelles centrales n'est pas du tout dans le bon agenda climatique. Ça ne répond pas aux appels répétés des scientifiques, alors que l'on a des énergies renouvelables qui mettent un à deux ans à voir le jour. L'urgence est donc de développer des plans de sobriété, de changer nos modes de vies, de développer l'efficacité énergétique et de mettre nos ressources sur le développement des ENR. Enfin, nucléaire et accélération sont des oxymores (mots contraires) ... construire un EPR2 sur le modèle d'un fiasco industriel qui est l'EPR. Il faudrait donc prendre le temps car l'EPR2 n'existe même pas sur le papier. Donc on axe notre politique énergétique sur des modèles qui n'existent même pas aujourd'hui.
Mathilde Amco? pour le réseau Sortir du Nucléaire ... antidémocratique/CNDP pb de partialité avec Maud Regeon? ... 30% de l'eau douce consommée en Fr ... Cigéo entre 200 et 500 m3 d'eau / jour ... le rhône débit réduit d'un tiers d'ici 2045? ... le nucléaire, un ? pour l'eau ...
videos.assemblee-nationale.fr (https://videos.assemblee-nationale.fr/direct.12984122_63fe26cb2f7db)
Commission du développement durable : Accélération des procédures liées à la construction de nouvelles installations nucléaires à proximité de sites nucléaires existants - Mardi 28 février 2023
– Examen pour avis du projet de loi, adopté par le Sénat, relatif à l’accélération des procédures liées à la construction de nouvelles installations
Assemblée nationale (https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/16/dossiers/DLR5L16N46622)
Projet de loi relatif à l’accélération des procédures liées à la construction de nouvelles installations nucléaires à proximité de sites nucléaires existants et au fonctionnement des installations existantes
Dossier législatif sur Projet de loi relatif à l’accélération des procédures liées à la construction ...
Connu / TG le 28/02/23 à 12:59
LOIRE (42)
Par son jugement du 22 décembre dernier [1], le tribunal administratif de Lyon a censuré les dispositifs de démarches exclusivement dématérialisées mis en place par la préfecture de la Loire.
- Vie politique - Lien permanent
Toute force politique qui présente des candidat.e.s aux élections connaît bien la difficulté du choix provoquant souvent des claquages de portes.
Dans les partis traditionnels, cela se règle en général à coup de négociations entre les diverses tendances existantes, chacune essayant d'imposer ses candidat.e.s avec parfois des statuts qui prévoient une répartition à la proportionnelle, voire une instance nationale de négociation, la commission des candidatures, à partir de candidatures proposées à un échelon local.
La France Insoumise, n'étant pas structurée en parti avec tendances constituées, devait inventer un mode de désignation spécifique. La tâche a été confiée à un comité électoral majoritairement tiré au sort avec appel public à candidater sur la plateforme et sans présidence ni tête du comité comme j'ai pu le lire ici ou là. Chacun.e siège à égalité. Si le tirage au sort avait été truandé nous n'aurions pas eu la surprise de voir un de nos membres tiré au sort se répandre dans la presse contre le comité et contre la FI.
Nous avons privilégié le consensus, ce qui nous a amené à tenir beaucoup plus de réunions (12 souvent tout le week-end) que ce que nous avions prévu afin de ne pas trancher au forcing.
Pour la France Insoumise, un appel à candidater a été lancé nationalement par l'intermédiaire de la plateforme. Il a abouti à 637 candidatures. Nous pouvons donc dire que nous n'avons pas manqué de candidatures que ce soit pour les femmes ou pour les hommes.
Il nous fallait définir des critères pour choisir les 79 candidat.e.s. Alors oui il y a un désaccord avec Djordje Kuzmanovic pour qui cela aurait dû être "Le soutien des militants, la compétence et l’ancienneté – trois critères simples de légitimité – ont d’emblée été écartés".
Nous avons effectivement refusé de lancer les Insoumis.e.s dans des compétitions de soutien aux candidat.e.s. Vous imaginez l'ambiance que cela aurait créé ? Et les Insoumis.e.s auraient été les premiers à protester et à juste titre que cela revenait à un résultat connu d'avance : les plus visibles, les plus connus sont celles et ceux qui obtiennent le plus de soutien.
On ne peut pas non plus exiger le renouvellement, se réclamer du dégagisme et prôner une sélection à l'ancienneté. Outre qu'avoir des années de militantisme n'a jamais garanti de faire un bon élu. Enfin pour la compétence, il peut y avoir 36 définitions différentes avec le risque de faire une sélection par les diplômes aboutissant à ne sélectionner que des CSP+. Avec de tels critères combien de nos député.e.s actuels auraient été retenu.e.s comme candidat.es ?
Alors oui le comité n'a pas voulu de cette vision élitiste qui ne pouvait aboutir qu'à désigner des candidat.e.s provenant de partis politiques.
Tous les candidat.e.s ont signé une charte qui précisait notamment « Faire campagne sur la base du programme national « L’avenir en commun » et défendre son programme européen ». A partir de là, le comité n'avait pas à rechercher quelle nuance pouvait défendre l'un ou l'autre. Toutes et tous se sont engagés à défendre le même programme. Le comité électoral a-t-il éliminé « les figures aux convictions républicaines et souverainistes » ? D'abord c'est absurde car dans ce cas aucun des deux n'auraient été retenus sur la liste dès le début. Ensuite c'est totalement insultant vis à vis des autres candidat.e.s car cela revient à insinuer qu'ils et elles n'ont pas de convictions républicaines. Mais c'est aussi nier le fait que le programme de la FI revendique la souveraineté populaire.
Le comité n'a donc relégué personne en position dite non éligible en fonction de nuances politiques qui existeraient entre les membres de la FI. Cette vision, qui voudrait qu'on fasse des quotas en fonction de supposés différends politiques, revient de fait au fonctionnement des partis traditionnels où les chefs de tendances se répartissent les places pour leurs affidés.
Djordje Kuzmanovic et François Cocq, qui avaient tous deux fait connaître leur souhait d'être élus, sont convaincus de détenir la juste ligne politique de la FI et d'en être les garants contre d'autres qui essaieraient de la faire dévier, de la dénaturer. Deux justiciers politiques ? C'est peut-être un peu présomptueux ?
Une campagne se mène collectivement. Je ne connais aucune force politique qui accepte de partir en campagne avec une partie de ses candidat.e.s qui médie sur une autre partie de son mouvement. Nous l'avions dit à tous les deux, une fois candidat et la campagne démarrée, ce qui est le cas, il n'était plus possible de continuer à taper à bras raccourcis. Il y a déjà bien assez de monde hors FI qui se charge de nous invectiver avec vigueur La décision n'a donc rien d'une sanction politique sur le fond. Souverain sur la constitution de la liste jusqu'au vote final, le comité a pris ses responsabilités en constatant qu'aucun des deux n'acceptaient le fonctionnement collectif
Ensuite nous avons choisi de mettre en œuvre le non cumul de mandats pour les candidat.e.s potentiellement éligibles. C'est scandaleux nous dit-on, car cela n'a pas été appliqué au moment des législatives. Outre qu'il faut bien commencer à un moment, le fait d'être candidat.e dans une élection au scrutin uninominal avec une inconnue totale quant au résultat puisque la FI n'avait pas de député sortant, n'a rien à voir avec une position sur une liste donnant l'assurance d'être élu.e. Ainsi l'exemple de Eric Coquerel, conseiller régional d'Ile-de-France au moment de son élection en tant que député est souvent avancé. Mais il n'avait aucune certitude d'être élu (19% au 1er tour), se présentant dans une circonscription historiquement PS et avec un candidat PCF en face. Or nous étions bien incapables de savoir qui passerait devant aux législatives même si nous étions convaincus qu'il y avait une attente politique plus favorable pour la FI que pour le PCF.
Deux candidat.e.s conseillère et conseiller régionaux avaient postulé pour être éligibles :
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Liem Hoang Ngoc, conseiller régional d'Occitanie a été candidat aux législatives dans la meilleure circonscription de Haute-Garonne mais n'a pas été élu
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Corinne Morel Darleux, conseillère régionale Auvergne Rhônes-Alpes.
La 8ème place dans leur genre (femme/homme) leur avait été proposée. Ils ont tous les deux considéré que ce n'était pas à la hauteur de ce qu'ils représentent.
Au final, si nous prenons les personnes qui se sont retirées avec fracas, Liem Hoang Ngoc, Sarah Soihili, François Cocq, Djordje Kuzmanovic, plus Corinne Morel Darleux qui a annoncé quitter la FI, tous les 5 voulaient être dans les 10 premiers. Mais à un moment il faut bien faire un choix. Ces 5 personnes, si elles étaient sûres d'être élues, auraient-elles les mêmes critiques publiques contre la France Insoumise ? Je ne le crois pas.
D'autres aussi auraient bien voulu être dans ces 10 premières places, mais bien que déçu.e.s ne se comportent pas de la même façon et au contraire mènent une campagne très active et très collective. Merci de tout cœur à elles et eux qui font passer l'intérêt collectif avant leur déception personnelle.
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Défendre l'idée que la FI doit rassembler le peuple et qu'elle doit se projeter dans sa capacité à gagner la majorité dans ce pays aurait été contradictoire avec le fait de présenter une liste totalement FI, repliée sur elle-même. Il ne s'agit pas de minimiser la qualité des Insoumis et Insoumises qui avaient candidaté. Il s'agit de construire un collectif tourné vers un objectif commun, porter notre projet au niveau européen dans le cadre de Maintenant le Peuple le 26 mai 2019 et de nous projeter dans les échéances suivantes.
Le directeur général de l'Assistance publique-hôpitaux de Paris (AP-HP) considère que l'émergence du numérique en santé pose la question fondamentale du partage de la valeur" qui déterminera la redistribution du pouvoir.
Le haut fonctionnaire s'exprimait dans le cadre des 6es Rencontres du progrès médical du Syndicat national de l'industrie des technologies médicales (Snitem), le 11 septembre 2018.
Les données de santé nécessitent des protections, des procédures, qui sont plus lourdes que dans d'autres domaines.
Sur la question des pouvoirs de la prise de pouvoir, des enjeux de transformation de pouvoir:
- [...] est-ce que c'est Google qui aura le prix Nobel de médecine 2023 ou le professeur X appartenant à l'hôpital Y?
- ils posent des questions d'indépendance médicale et d'indépendance nationale", a aussi jugé Martin Hirsch.
Les seuls freins : "des problématiques opérationnelles". L'AP-HP est "en train de tester sur plusieurs hôpitaux les meilleures stratégies" pour déterminer à quel stade il est le plus opportun de numériser les données ou s'il faut sélectionner des catégories de malades en particulier.
yb/nc/ab
Connu / #RPM2018 dont https://twitter.com/DocCRD/status/1040178789366542336
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Christophe RICHARD
@DocCRD
Selon @MartinHirsch @APHP, le #numerique en #sante serait le catalyseur d'une "redistribution des pouvoirs". Il appelle à une redéfinition du "partage de valeur" du numérique en santé https://buff.ly/2OmsdPm #RPM2018 @ticsante @Snitem
12:02 - 13 sept. 2018
3 Retweets 4 J'aime
hellocare francis jubert TechniquesHospi SNITEM Alain Tedaldi Isabelle Zablit
0 réponse 3 Retweets 4 j'aime
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https://twitter.com/JulienDelalande/status/1040595130468786176
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En réponse à @DocCRD @MartinHirsch @Snitem @ticsante @APHP
Comment #Garanties(r le maintien de l'#éthique à l'ensemble des #PartiesPrenantes, y compris les #patients et leurs #Familles en terme de procédures, d'outils, etc ?
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