Publié Il y a 5 heures • 52 vues
“Pas de retraite, sans planète”, “le futur sera vert ou ne sera pas”, “travailler moins pour polluer moins”. Voilà le genre de messages que l’on a pu voir dans les manifestations massives contre la réforme des retraites ces dernières semaines. La construction d’une réforme des retraites revient en réalité à proposer une projection dans l’avenir, une vision de la société. Et une chose est claire, la réforme des retraites promise par le gouvernement en propose une vision libérale et productiviste. Elle est symptomatique de son incapacité à considérer l’urgence écologique comme de nouvelles lunettes à adopter pour penser chaque nouvelle loi ou réforme à l’aune des limites de notre planète et de la nécessité de ralentir.
Car le monde tel qu’on le connaît est en train de se transformer profondément qu’on le veuille ou non. C’est une certitude, les effets du dérèglement climatique et de l’extinction de la biodiversité bouleversent notre société, nos emplois, notre rapport au temps. Si l’on parle beaucoup dans les médias de la nécessité de travailler plus longtemps, de l’allongement de la durée de vie, il y a un sujet dont on parle moins, ce sont les conditions dans lesquelles nous allons vivre dans les années qui viennent, mais aussi tous les métiers qui vont devoir disparaître ou se transformer pour décarboner notre économie ou encore tous les impacts négatifs que vont avoir cette réforme face au défi écologique. En premier lieu, parce que travailler plus revient à polluer plus. Mais aussi parce que la réforme des retraites pèse sur les catégories les plus précaires qui sont déjà les plus vulnérables face aux effets du dérèglement climatique mais aussi les plus exposées aux pollutions.
Plus généralement, à travers la mobilisation contre la réforme des retraites, ce qui se joue, c’est le partage de notre temps, entre vie professionnelle et vie privée, entre travail et temps libre. Alors pourquoi cette réforme est-elle anti-écologique ? Comment changer notre rapport au travail ? Doit-on travailler moins pour polluer moins ? Décryptage
Pour aller plus loin :
Article de André Gorrz https://www.monde-diplomatique.fr/1993/03/GORZ/45105
https://bonpote.com/votre-retraite-vous-la-voulez-bien-cuite/
https://reporterre.net/La-reforme-des-retraites-un-non-sens-ecologique
https://www.lemonde.fr/idees/article/2023/01/31/reforme-des-retraites-le-cout-de-la-transition-ecologique-sera-porte-une-fois-de-plus-par-le-travail_6159918_3232.html
https://www.mediapart.fr/journal/economie-et-social/180123/la-generation-climat-se-convainc-de-l-urgence-de-mobiliser-aussi-pour-les-retraites
https://www.mediapart.fr/journal/economie-et-social/180123/ce-futur-productiviste-l-heure-du-desastre-climatique
Rapport du Shift sur l’emploi TSP-PTEF-Emploi-moteur-transformation-bas-carbone-RF-V4.pdf (theshiftproject.org)
Journaliste : Paloma Moritz
Montage : Camille Chastrusse Images : Arthur Frainet
Son : Baptiste Veilhan Graphisme : Adrien Colrat
Diffusion : Maxime Hector Production : Sophie Romillat
Directeur du développement : Mathias Enthoven Rédaction en chef : Soumaya Benaissa
Directeur de la rédaction : Denis Robert
Visibilité Publique
Publié originellement 06 février 2023
Catégorie Divertissement
LicenceInconnu LangueInconnu
Étiquettes blast ; écologie ; futur ; réforme retraites
Durée 18min 50sec
Commentaires désactivés.
Connue / https://mastodon.top/@blast@video.blast-info.fr/109819149923254208
"
𝕜𝕖𝕣𝕝𝕖𝕘𝕒𝕣𝕤 🔻🧹 a partagé 5 h blast@video.blast-info.fr
plonivel@framapiaf.org
"
Tr.: ... Denis Maillard, consultant en relations sociales du travail : Les retraites et le rapport au travail, le travail de moins en moins prioritaire pour les français ... Quelle vie voulons-nous ? La réforme des retraites en propose une vision libérale et productiviste (Médiapart, Amélie POInssot 18/01/23 ... urgence écologique ... TRAVAILLER PLUS => POLLUER PLUS ... partage de notre temps entre vie professionnelle et vie privée ... croissance ... Sophie Taillé-Polian, députée NUPES l'avenir basée sur une hausse infinie du PIB est un leurre parce que la planète, elle, n'est pas infinie. ... Patrice Maniglier, philosophe (Le coût de la transition écologique sera porté une fois de plus par le travail) ... La réforme des retraites est donc une répétition discrète de la politique qui a conduit le gouvernement à l'insurection des gilets jaunes ... rediriger les subventions aux activités polluantes vers d'autres activités (67 milliards d'euros néfastes pour le climat et la biodiversité en 2023 dans le budget de l'État - Réseau Action Climat) ... espérance de vie en bonne santé inégalitaire ... avec l'urgence écologique, c'est la double peine ... Barbara Stiegler, philosophe ... événements météorologiques extrêmes ...
Chap II - Une réforme des retraites qui ignore les défis à venir
... marché des plans épargne-retraite ... auprès d'acteurs qui investissent encore massivement dans les énergies fossiles ... choix assumé du gouv, dans la continuité de la loi PACTE selon ?? Et aucun des grands acteurs de l'épargne en vue de la retraite n'a adopté d'engagements mettant fin au développement des projets de production et de transport du pétrole et du gaz, ni permettant une sortie progressive du secteur. ... L'ALLIANCE ÉCOLOGIQUE ET SOCIALE propose de taxer les superprofits ... un métier qui a du sens ... impensé par la réforme des retraites ... un salaire continué tout au long de la vie ... ex. REVENU DE TRANSITION ÉCOLOGIQUE expérimenté sur 4 territoires en France (Grande-Synthe 59, Communauté d'agglomération d'Épinal 88, Haute Vallée de l'Aude 11, Écosystème coopératif TERA 82) ... impact écologique ou sociétal, accompagnement sur mesure, pour le moment pas retenu par l'État, mais c'est une piste comme le revenu de base pour sortir de l'aliénation du travail, choisir leur vie, avoir du temps pour soi ...
Chap IV - Retrouver du temps : travailler moins pour polluer moins
... Sandrine Rousseau députée NUPES de Paris ... droit à la paresse ...un revenu social en plus du travail, réduction du temps de travail (André Gorz) ... offrir une large gamme de modalités ... permettre une autogestion, arbitrage entre avoir et être ... ainsi pourra naître l'abondance frugale, civilisation qui, tout en garantissant à tous une autonomie et une sécurité existentielles croissantes, élimine progressivement les consommations pléthoriques, soruce de manque de temps, de nuisances, de gaspillages et de frustrations, au profit d'une vie plus détendue, convivale et libre ... étude démontre que la semaine de 4 jours réduit déplacements donc émissions carbones, conso de plats transformés ... cuisiner plus, travailler moins vie décente, retraite valorisée ...
810 k abonnés - 2,9 k+ - 44 845 vues - 447 commentaires
Retrouvez l’intervention de Jean-Luc Mélenchon en conclusion de l’événement organisé par l’Institut La Boétie sur les retraites le 16 janvier 2023.
Pour voir l’événement en intégralité : https://youtu.be/AQ-z2VnLFbQ
Jean-Luc Mélenchon explique tout d’abord pourquoi la majorité des Français ne croient pas à la légitimité de la réforme des retraites du gouvernement. Il démontre pourquoi l’argument sur le nombre d’actifs et de retraités n’est pas un bon argument puisque les gens produisent trois fois plus qu’un actif en 1979. La vraie question est celle de la répartition de ce que produisent les gens. En effet, Jean-Luc Mélenchon indique qu’il est temps que la richesse soit davantage partagée du côté des gens qui produisent réellement des choses plutôt que des actionnaires qui ne produisent rien et ne prennent aucun risques.
Le co-président de l’Institut La Boétie revient ensuite sur la diminution du temps de travail dans la vie et la répartition entre temps contraint et temps utile. Il explique que le temps utile socialement ne doit pas être réduit au seul temps contraint, celui du salariat.
Il pointe du doigt le fait que le gouvernement voulait faire rentrer les 330 milliards du système des retraites dans la capitalisation en poussant les gens à chercher des régimes complémentaires, surcomplémentaires ou assurantielles dans le privé.
Il explique que la question qui est posée avec la réforme des retraites est la même que pour l’inflation, c’est-à-dire qui va payer à la fin : est-ce que c’est le capital ou le travail ?. En effet pour l’instant c’est toujours le travail et les plus pauvres qui sont impactés. Jean-Luc Mélenchon revient notamment sur le dernier rapport d’Oxfam dont les chiffres sont terrifiants concernant la répartition de la richesse. Il suffirait par exemple d’une taxe de 2% sur les 42 milliardaires Français pour résoudre le “problème” des retraites qui va pourrir la vie de millions de personnes.
Jean-Luc Mélenchon a conclu son intervention en soulignant à quel point la réforme du gouvernement sur les retraites serait un recul social immense. Il démonte l’argumentaire : “il faudra travailler plus parce qu’on vit plus” alors que justement les gens vivent plus longtemps puisqu’ils travaillent moins.
Tr.: ... André Gorz ...
Politique La France insoumise
La députée La France insoumise de Seine-Saint-Denis, qui a récemment assumé « avoir de l’ambition » pour la présidentielle de 2027, discutait du thème de l’écosocialisme, mercredi, avec le président du Parti socialiste belge.
Temps de Lecture 2 min.
La députée du parti de gauche La France Insoumise, Clémentine Autain, devant l’Assemblée nationale, à Paris, le 21 juin 2022. JULIEN DE ROSA / AFP
A l’heure où La France insoumise (LFI) verrouille sa communication autour de l’affaire Quatennens, rares sont les « insoumis » à se risquer en dehors des frontières du mouvement. Il y a François Ruffin, en train de se mettre à dos le cœur de l’appareil mélenchoniste, avec ses déclarations d’amour à la social-démocratie. Et la députée de Seine-Saint-Denis, Clémentine Autain, qui, tout en affichant sa fidélité au mouvement, s’autorise, comme à son habitude, un pas de côté. Celle qui a récemment assumé « avoir de l’ambition » pour la présidentielle de 2027 a participé à un débat sur le thème de l’écosocialisme, mercredi 30 novembre, dans la salle de La Bellevilloise, à Paris, avec Paul Magnette, le président du Parti socialiste belge.
Ecosocialisme, le mot est à la mode. Olivier Faure estimait, samedi, dans un entretien au Monde que « le socialisme écologique est la réponse aux grands dérèglements ». Le terme serait presque devenu mainstream, loin de ses origines révolutionnaires, quand le philosophe André Gorz théorisait la jonction de l’écologie et de l’anticapitalisme. Longtemps, Jean-Luc Mélenchon en avait fait un élément de discours. En 2012, le Parti de gauche avait organisé les assises de l’écosocialisme, voyant ce concept comme « une ligne d’horizon commune qui nous permet de venir, d’arriver de tous côtés et de converger » entre forces de gauche. En 2017, le terme avait été au centre de la campagne de M. Mélenchon. Moins, en 2022.
Le mouvement d’origine de Clémentine Autain, Ensemble, s’est en partie refondé en Gauche écosocialiste en juin, en s’ancrant dans LFI. A l’heure où les socialistes « bougent » sur la question écologique, où l’enjeu climatique rend plus poreuse la frontière entre « réforme et révolution », l’élue de Seine-Saint-Denis a donc mis en valeur, sur un terrain politique apaisé par la distance entre Paris et Bruxelles, ses convergences avec les socialistes.
Lire aussi : Article réservé à nos abonnés Clémentine Autain, le goût de l’union libre
« Produire un imaginaire autre »
D’habitude, les « insoumis » affectionnent plutôt les discussions avec le Parti du travail de Belgique (PTB) mais l’accord de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes) a rebattu les cartes. « Ton livre montre à quel point nous parlons la même langue. Pendant longtemps, avec les socialistes, j’ai eu le sentiment que ce n’était pas le cas », a-t-elle lancé en introduction. « Est-ce que c’est un tournant ? Il est trop tôt pour le dire mais je sens qu’il se passe quelque chose, dans la famille socialiste, entre les Allemands, les Nordiques, les Espagnols et les Belges, sur la question de l’urgence climatique, il y a un vrai consensus qui se crée », a estimé M. Magnette, professeur de science politique, pour qui « oui, aujourd’hui, l’adversaire c’est le capitalisme ».
Il vous reste 38.84% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
« Autant vous faire à l’idée tout de suite : ce que nous appelons la « civilisation industrielle » ne passera pas le cap de ce siècle. Pendant une à deux décennies encore, elle vous procurera des jouissances douteuses et des privilèges qu’il vous faudra payer de plus en plus cher. … Plus vite cela cessera, et mieux cela vaudra ; […]
28 vues - 0 - 0
Confinés mais pas isolés !
Pendant le confinement, Place Publique Paris organise une série de débats en ligne, accessible à tous. Vous n'avez pas pu y participer ? Retrouvez-les en podcast sur notre chaîne.
avec Enzo Lesourt, docteur en philosophie politique, diplômé de Sciences Po et conseiller spécial d'Eric Piolle, maire écologiste de Grenoble.
Il a publié "Survivre à a l'anthropocène" (PUF, 2018) et "André Gorz, portrait du philosophe en contrebandier" (L'Harmattan, 2011).
Au moment où la puissance des hommes percute les équilibres de la biosphère, où les catastrophes et les chocs se diffusent avec la rapidité d'un virus à l'ensemble de la planète, l'écologie politique d'André Gorz fait de lui l'un des premiers penseurs de l'anthropocène.
En effet, l'écologie politique d'André Gorz (1923-2007) éclaire nos temps de veille de catastrophes globalisées. Communément, l'écologie prend pour point de départ la sauvegarde de la biosphère et la préservation du climat.
André Gorz retourne la focale : elle commence, pour lui, au plus profond de l'intimité de l'individu et veut lui permettre de (re)construire étape par étape sa place dans son corps, dans sa ville, dans sa société. De disposer les gardes fous éthiques, les nouvelles formes économiques, les nouveaux rapports à la technologie qui, in fine, lui permettent de dire "Je", d'habiter le monde et d'être autonome.
.#Debat #Confinement #Productivité #Capitalisme #PlacePublique #Citoyen
Catégorie Actualités et politique 0 commentaire
Transcription : ... dominique bourg définit l'anthropocène comme la bascule du risque à la menace. ... comment vivre dans le chaos ? pb du capitalisme, donc capitalocène ... ce serait une tendance à l'accumulation chez l'humain qui serait la cause et pas le capitalisme. le libéralisme a été un extincteur des guerres civiles. donc le capitalisme pensé comme une réponse. Comment on gouverne entre guerre civile et effondrement. Début : james scott 3 dates : hiroshima 2è guerre mondiale ; révol indust / én. fossiles ; avec l'invention du feu (anthropocène faible) déjà impactant pour l'environnement. POint commun : notre façon d'habiter notre terrain de jeu, quelle que soit sa taille. toucher les limite du décor. relation habitat/décors. Le confinement en est aussi une ! Travailler cette relation entre moi et mon décors. Action localisée. Peut nous guider pour les autres échelles. /émergence prise de conscience.
J
joséphine Conche : thèse géographique / tourisme /espace-temps requestionné
seule chez elle, règle tout ce qui avait été mis de côté.
Mr ? : prise de conscience de l'interdépendance annecy & 2è niv dépendant de ce qui se passe en moi (croyance, vision du monde, émotions)
Sophie St-Denis, Place publique : du rythme, des rites rassurent, exp de la pénurie connue à cuba, source d'angoisses
Gaël à la campagne : ça change pas grand chose. juste plus de voitures sur les routes. /anthropo faible, qu'est-ce que ça amène ?
Karine : a exp confiné avec un inconnu à la rue, invivable car besoin de son espace perso y vient d'où ce besoin? /ctrl des passions guerres civiles ou de religion clair pour l'état, mais /l'individu ?
Maxime : /virginie marie l'homme à la hauteur du géologique, valide une super puissance de l'homme
Enzo
/bascule des passions et des intérêts d'Albert Hirschman bascule culturelle à l'accumulation tranquille, système industriel état providence, instinct de survie de la société. /domicile lieu de passage à lieu d'habiter /anthropo faible le dév de l'humanité l'a mis en germe -> outil et échelle ratio entre moi/mon outil/mon échelle. dim globale du giec retournée par gorz départ au monde vécu de l'individu, éthique personnelle/mon domicile perso.
André gorz juif échappe de peu à la Shoah, n'a plus rien, se recrée en créant des outils /existentialisme de sartre se sculpter soi-même ses outils ? l'oeuvre crée son auteur ! réduire espace individu/société => politique : changer la règle de la mégamachine qui exproprie. écolo politique défense du monde vécu. situe son domicile au niveau de l'intime. Pt de départ anthropocène intime. irréconciliabilité puis côtoie ivan illich : société conviviale et contre-productivité. Changements d'échelle-> changements de nature. Passé un seuil, ça devient pervers. ex de l'école ++ idem /santé dépossédé de notre corps. idem /voiture ++ maintenir un certain niveau pour société convivale. /nucléaire /état policier contrôle total donc design de la société. La technologie pousse à un modèle totalitaire
/relation de rose comment on dit je à plusieurs ? pensée par cercles concentriques à partir de l'individu.
3 activ : - domestiques - économiques - autonomes (autoprod de soi) ++
le capitalisme étouffe les deux autres dim. Comment on les sanctuarise ?
But société : dév. l'autonomie en compressant les deux autres.
Le politique régule les tensions entre ces 3 sphères
déf du bon gouv : permanence et franchise de l'affrontement
le confinement = école pratique de l'anthropocène ++
53:56 éric piolle : pj pol mélange pensée, agir, pensée rusée collective et conduite du changement
parti de réintroduire du spirituel dans la politique parti de georges bataille
mêler pensée et action, combiner imaginaires, fil conducteur abandonner le dd
basculer /triptique où l'ensemble de nos actions ont pour objet ou sont à la fois un labeur et une oeuvre qui visent à garantir des sécurités, chérir des biens communs et nourrir notre désir de sens. Et que choisir des fils qui parlent à tous donc on a travaillé en 1er sur des Q d'espace public, d'éducation populaire dont culture et sport, de santé, d'alimentation, de mobilité. On tire ces fils transversaux pour venir incarner à un moment et se faire déborder par nos actions avec cet espace là. C'est pour ça qu'on a arrêté notre contrat de pub avec DECAU pour réaffirmer cette suprématie du politique sur la sphère économique. Nous auto-organiser pour recontenir et la remettre comme n'importe quelle activité dans ce triptique commun, activité, garantie et sécurité, chérir les communs et nourrir le désir de sens.
On avance là dessus dans une organisation politique où on pense finalement chaque citoyen comme étant à la fois un individu qui a un rôle et qui est membre constituant de la communauté. Donc en revenant aux critique d'edgar morin, qui approche notre humanité, on est à la fois un animal, un individu et un membre constituant de communauté.
QUESTIONS
Mme de place publique à montpellier : n'est-ce pas conservateur ? et genré ?
marchandiser ou non ? ya des digues. 1000h de trav / an -> revenu universel garanti. nécessité / autonomie
Claire : des ex+concrets /gratuité ou progressivité, bien commun/marchand
Catherine : manque rel entre personnes, comment ça s'organise ?
Sophie : /dim collective comment ? et pensée de gorz /état se transforme dilemme entre émancipation des gens et attente/nécessité de l'état ?
Medi : /capitalocène penser la société d'après /valeur se fabrique par mesure de la quantité mais de moins en moins de travail => produire de +en+ l'agent n'a plus de valeur, ni réalité concrète
ENZO ET ÉRIC RÉPONDENT
gorz était un pseudo et au nouvel obs en tant que journaliste avec autre pseudo était proche cfdt, psu, michel rocard, n'est pas un organisateur.
a pj à l'échelle de la ville. Bien sûr que le capitalisme est un pb mais archéologie de l'accumulation amène des éléments ++
L'écologie relève d'abord de l'anthropologie. Contenir la logique d'expansion. éloigner le capitalisme du pouvoir + maintenir l'économie dans un espace acceptable. état qui régule, donner de la valeur au bien commun. ex eau municipale, parkings, clinique mutualiste, fait mobiliser les gens ; la ville aussi un lieu à vivre, autonomie alimentaire, stratégie agricole, ferme urbaine, saveurs, fruits de saison, zones d'ombre, fraicheur devient stratégique,
ÉRIC PIOLLE : individus organisés en collectif ou en institution ni fossile, ni nucléaire, coopérative d'énergie, réseau de complices du changement, plan canicule, ouvrir musées sous canicule, politique de santé,chantiers participatifs habitants se rapproprient l'espa public, produire ensemble, les droits fondés sur la connexion avec la caf, articuler court terme/long terme,