1,2 M d’abonnés - 1,5k+ - 26 022 vues - 183 commentaires #Ecologie #Capitalisme #Entretien
Comment peut-on encore faire confiance ? C’est LA question qui se pose en cette rentrée alors que des millions de personnes ont le sentiment que leur vote n’a servi à rien, que leur voix et leurs besoins n’ont pas été écoutés, qu’elles ont été tout simplement piétinées, par la décision d’Emmanuel Macron de nommer Michel Barnier, premier ministre, pourtant ultra minoritaire. Cette confiance politique était déjà très abîmée, elle semble aujourd’hui brisée. En février 2024 déjà, l’enquête annuelle du CEVIPOF montrait que 70% des Français n’ont pas confiance en la politique. À cela s’ajoute que nos sociétés sont de plus en plus fragmentées, déchirées par des inégalités sociales et écologiques toujours plus fortes.
Pourtant, et c’est tout le paradoxe, face aux urgences sociales, démocratiques et écologiques, nous avons plus que jamais besoin de coopérer et de nous faire confiance. C’est ce qu'affirme l'économiste Eloi Laurent. Selon lui, la source des multiples crises actuelles est le capitalisme contemporain, qui est totalement irrationnel : il nous divise et nous isole. Il l’écrit : “Nous devons aujourd’hui nous réinventer collectivement pour atténuer les menaces qui grossissent à l’horizon et parer les chocs déjà là. Nous ne pouvons plus les ignorer”. Surtout que la capacité à atténuer ces crises écologiques et sociales déterminera beaucoup le destin de la démocratie en France.
Dans son nouvel essai, il invite donc à imaginer de nouveaux liens sociaux et de nouvelles formes de coopération humaine, de solidarité contre « l’emprise de l’économisme et du tout-numérique », “pour fonder les bases d’une société écologique prenant soin des écosystèmes comme des humains ». Et organiser, enfin, une « économie du bien-être” aux antipodes des politiques d’austérité actuelles…
Alors comment sortir des impasses du néolibéralisme ? Comment la coopération peut permettre de construire une société plus juste et plus écologique ? Et qu’est cela changerait à nos vies ? Réponses dans cet entretien de Paloma Moritz avec Eloi Laurent.
Pour aller plus loin :
Ralentir ou périr : à quoi ressemblerait une société post-croissance ? avec Timothée Parrique • RALENTIR OU PÉRIR : À QUOI RESSEMBLER... https://www.youtube.com/watch?v=bcSvhhOOiug&t=0s
Canicules, santé mondiale : Comment éviter l’ingérable ? avec Eloi Laurent • CANICULES, SANTÉ MONDIALE... : COMMEN... https://www.youtube.com/watch?v=B50R4yEpoJk&t=0s
Effondrement : est-ce que tout est vraiment foutu ? avec Pablo Servigne • EFFONDREMENT : EST-CE QUE TOUT EST VR... https://www.youtube.com/watch?v=hP_mZQy2djg&t=33s
Être lucide face aux défis climatiques. Avec Jean-Baptiste Fressoz • ÊTRE LUCIDE FACE AUX DÉFIS CLIMATIQUES https://www.youtube.com/watch?v=FV_nUNol81M&list=PLv1KZC6gJTFlPcbytdjSxzc1DsUixBnzo&index=8&t=0s
Journaliste : Paloma Moritz
Connue / https://x.com/blast_france/status/1838249297126535483
Tr.: ... nouvel essai "COOPÉRER ET SE FAIRE CONFIANCE d'Éloi Laurent ... urgence du temps court, du quotidien (alimentation, énergie) ... restaurer une stabilité du niveau de vie ... défiance à l'égard des institution puis de la démocratie ... démenti démocratique ... économie au service des gens ... la racine, économie du bien-être, fondée sur les besoins humains (santé et coopération) ... double crise des liens : destruction des liens naturels qui conduit à la destruction des liens sociaux ... coopération, capacité unique des être humains ... processus incertain d'échanges humains ... fondé sur la liberté et la volonté de connaître ... connaître par amour ... la collaboration, faire par le travail ensemble... 5 différences :
- la collaboration, c'est que le travail ; la coopération, mettre en commun toutes les capacités humaines ...
- horizon de temps : collaboration, finie ; coopération sans limites
- vertical / horizontal
- produire, faire / imaginer une société dans laquelle on ne fait pas : la sobriété,
- ?? (non cité :-(
... la sobriété pour ne plus faire ... il y a une immense crise du travail, de son sens ... aucune autonomie ... l'isolement tue ... pandémie de la solitude ... l'isolement social ... la coopération, source de l'économie ... redonne du sens, diminuer les émissions, s'adapter, ... un guide vers la satiété ... revenir à l'origine de LA pensée économique, Épicure ... besoins essentiels ... compatibles avec la biosphère ... USA étude de Harvard 1938 longitudinale sur 70 ans : facteurs d'une vie longue et heureuse ? ... le bonheur tient avant tout à la qualité des relations sociales ... inventer des coopérations aussi contre les institutions ... la satiété ... l'amour, matrice des liens sociaux ... coopération pour la biosphère ... 3 sphères enchâssées : liens intimes (famille), liens sociaux (économie politique), liens vitaux (écosystèmes, espaces naturels) ... libérer du temps pour ... la coopération est la part non reproductible de l'intelligence humaine ... on la substitue à l'intelligence artificielle ...
La définition de la coopération que je propose consiste à dire que l’on coopère par amour et pour savoir (par opposition au fait de collaborer par calcul et pour faire). Cette définition contient une critique radicale de la manière dont on présente l’évolution humaine comme résultant d’un calcul intéressé qui s’est révélé efficace, d’abord entre les groupes puis au sein des groupes.
793 k abonnés - 3,1k+ - 75 110 vues - 332 commentaires #Canicule #Ecologie #Planète
Description : C’est une information qui n’a pas du tout fait la une et qui est pourtant cruciale pour notre avenir. Le 31 mai 2023, 40 scientifiques expliquaient dans la revue Nature pourquoi la Terre pourrait devenir inhabitable. Sur les 8 seuils de “sécurité et justice” indispensables pour « assurer la sûreté des personnes et la stabilité de la planète », 7 ont déjà été dépassés… Ce qui est inédit ici, c’est que les scientifiques ont intégré aux limites de notre planète, la justice et donc la dimension humaine. En montrant les points à partir desquels la déstabilisation du système Terre allaient avoir des effets néfastes pour les êtres humains avec des épidémies, des canicules, des pénuries alimentaires ou encore des migrations forcés.
Johan Rockström qui a piloté l’étude, le dit « Si la planète était un corps, tous ses organes seraient affectés. Ses poumons, mais aussi ses reins, son foie… »
La guérison est encore possible mais elle suppose la révolution d’un système économique qui prospère aujourd’hui sur la destruction de notre santé et de celle des écosystèmes. Cette étude montre une nouvelle fois à quel point nos corps sont éprouvés par l’urgence écologique et le seront encore davantage à l’avenir. Les canicules sont par exemple la plus grande menace sanitaire liée au climat. Si rien n’est fait, des régions entières pourraient devenir inhabitables à cause de la chaleur et 90 000 Européens pourraient mourir chaque année d'ici la fin du siècle. Pour mon invité, l’économiste Eloi Laurent, la pleine santé et l’espérance de vie doivent donc devenir la nouvelle boussole de notre époque. Alors comment la pleine santé pourrait guider l’économie et la politique ? En quoi les canicules sont un exemple marquant de l’impréparation des gouvernements ? Et comment s’organiser pour éviter le pire ? Réponses cet entretien Blast de Paloma Moritz avec Eloi Laurent pour la série écologie et santé.
00:00 : Introduction
1:43 : En quoi l’économie actuelle prospère sur la destruction de la santé ?
8:34 : A quoi ressemblerait une économie du bien être ?
13:33 : Beyond Growth : le point de bascule du combat des idées
17:59 : Canicules : la plus grande menace sanitaire liée au climat
29:29 : La rencontre entre les événements climatiques extrêmes et les inégalités sociales
32:59 : A quoi ressemblerait un plan canicule qui tiendrait la route ?
39:57 : Quelles seraient les pistes pour intégrer la notion de bien être entre économie, écologie et santé ?
Journaliste : Paloma Moritz
Montage : Félix Périer, Julien Bouillet
Images : Arthur Frainet
Son : Baptiste Veilhan
Graphisme : Adrien Colrat
Production : Sophie Romillat
Directeur des programmes : Mathias Enthoven
Rédaction en chef : Soumaya Benaïssa
Directeur de la rédaction : Denis Robert
Connu / TG le 22/06/23 à 04:42
Tr.: ... santé mentale ... la santé, le meilleur indicateur de l'effondrement qui a commencé aux USA ... la post-croissance ... la santé planétaire, une seule santé ... un tableau de bord autour du triptique : santé mentale et biologique, santé écologique (humaine et non humaine) ... intégrer le travail dans la santé ... Beyond growth marque le point de bascule de la bataille des idées ... les modèles économiques fondés sur la croissance ... économie fondée sur les liens? ... >17:26 TERMINER ACT
Opinion - 6 min / Eloi Laurent Economiste, professeur à Sciences Po et à l’université de Stanford
...
après l’hiver de la sobriété énergétique, vient l’été de la sobriété hydrique.
...
à l’été 2022, la France est entrée et pour longtemps dans l’ère des chocs écologiques et des doutes économiques : eau, énergie, climat, alimentation, toutes les ressources essentielles à la vie sont touchées ces derniers mois et toutes sont concernées par la nécessaire réinvention du modèle économique dominant.
Pédagogie de la catastrophe
... l’Ademe indique que « les Français sont désormais 51 % à déclarer avoir subi "souvent ou parfois" les conséquences de désordres climatiques (contre 27 % en 2015) » et que « 93 % désireraient revoir en partie ou complètement le système économique et sortir du mythe de la croissance infinie ». ... expérience intime de la déstabilisation de la biosphère ... d’un côté la sobriété désigne positivement une situation dans laquelle des ressources limitées (limites planétaires) sont utilisées pour satisfaire des besoins raisonnés (l’économie essentielle), ce qui peut se traduire par un état défini normativement comme un niveau de vie universel décent compatible avec les limites de la biosphère ; de l’autre, que les politiques de sobriété sont des mesures visant à assurer cette compatibilité.
https://www.calameo.com/read/000215022b1d91911d274
La sobriété peut ainsi être appliquée à un large éventail de dimensions du bien-être humain (santé, nutrition, éducation, mobilité, etc.) et les politiques de sobriété porter aussi bien sur l’offre que sur la demande ce qui permet de combiner transformations structurelles et conversions individuelles. On comprend immédiatement que cette sobriété-satiété est une sobriété-partage, qui devient d’ailleurs le point de convergence des courants de la post-croissance (décroissance, économie du donut, économie du bien-être) qui se retrouveront en mai au Parlement européen.
Retour à Epicure
... dans sa Lettre à Ménécée ... détournement de pensée qui consiste à présenter l’épicurisme comme une école de la jouissance sans contrainte. Le chercheur Ian Gough a récemment actualisé la pensée épicurienne en définissant trois principes au sujet des besoins humains :
- les besoins humains sont universels ...
- ces besoins universels diffèrent des processus visant à les satisfaire ...
- les « nécessités » désignent alors l’ensemble des biens et services considérés comme un minimum acceptable pour satisfaire les besoins humains dans une société donnée, ce qui les distingue du luxe ...
...
Pour espérer maîtriser nos crises écologiques dans la justice, il nous faudra une débauche de sobriété-partage.
13 minutes
Alors que vient de débuter la conférence de Glasgow en Ecosse sur les changements climatiques, beaucoup d’acteurs du local s’interrogent sur les mesures à prendre et celles-ci ne manquent pas.
Les initiatives qui transitent par les Carnets de campagne y contribuent pour beaucoup avec toutefois ce même sentiment d’une réparation hasardeuse des dégâts causés par les activités humaines. C’est pourquoi nous nous arrêtons aujourd’hui sur le hors-série du magazine Sans Transition! qui apporte sa dose de réflexions et de solutions au nom d’une biodiversité retrouvée. Tous les remèdes sont dans la nature
...
Un petit livre qui vient de paraître aux éditions des petits matins sous la plume de Camille Dorival et sous le titre de « la transition écologique, ici et maintenant » peut être utile pour compléter le dossier du magazine. D’abord il rappelle les faits depuis la Cop21 de 2015 à Paris qui a abouti à la signature par 195 Etats d’un accord sur le climat obligeant chacun à réduire ses émissions de gaz à effet de serre. Une victoire en demi-teinte en sachant qu’aucune sanction n’était prévue en cas de non-application, ce qui fut le cas avec l’administration Trump aux Etats-Unis. Une fois qu’on a passé les bornes, il n’y a plus de limites, selon la fameuse citation d’Alphonse Allais et le dernier rapport du GIEC (le groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) le prouve. A plus 1,5 °C les conditions de vie vont changer au-delà de la capacité de certains organismes à s’adapter. Avec un réchauffement de plus de 2°C, « 80 millions de personnes supplémentaires souffriraient de la faim d’ici 2050, des centaines de millions d’habitants de villes côtières seraient menacés par des submersions et 420 millions de personnes seraient menacées par des canicules extrêmes » Le rapport conclut que la vie sur terre peut se remettre d’un changement climatique majeur en évoluant vers de nouvelles espèces et en créant de nouveaux écosystèmes. L’humanité ne le peut pas ». Face à cette version apocalyptique mais hélas réaliste, 3 grandes propositions se présentent à nous. : La croissance verte (continuer à nous appuyer sur un PIB en croissance tout en diminuant l’impact de nos activités sur l’environnement), la décroissance (consommer et produire moins et rendre nos modèles économiques plus sobres) et la post-croissance (développer des activités à faible empreinte écologique et donnant plus d’importance à la qualité de la vie et au bien-être). Or, c’est bien vers cette troisième solution que tendent les innombrables initiatives dont nous rendons compte : monnaies locales, épargne solidaire, réseau d’échange des savoirs, lieux et tiers-lieux de partage et de constructions communes. Au chapitre de la biodiversité, l’auteur mentionne les exemples de création d’îlots de verdure en ville et dans les zones industrielles et une mobilisation accrue en faveur d’une écologie urbaine. Camille Dorival, La transition écologique, éditions les Petits Matins, préface de Patrick Viveret.
Tr.: ... Éloi Laurent sur la sociale-écologie, les liens d'interdépendance, la coopération des espèces vivantes, des relations, pas des stocks, mais un immense flux ++ ...
diffusé le mer. 27.10.21 à 20h59 - disponible jusqu'au 26.11.21
émissions culturelles
92 min tous publics présenté par : François Busnel
Au programme de La grande librairie :
- Richard Powers, "Sidérations", chez Actes sud
- Jean-Christophe Rufin, "Les flammes de pierre", Gallimard
- Catherine Meurisse, "La jeune femme et la mer", Dargaud
- Cyril Dion, "Animal", Actes sud
Tr.: ... C.Dion ... La santé, le lien social ... Éloi Laurent,
réapprendre à devenir indigène, se réensauvager ... manger, boire, espirer, se reproduire ... /nature Philippe d'Escola ... /ferme du bec élouin ont réensauvagé (plus d'animaux, etc) ... à quoi sert l'espèce humaine ? faire du vivant augmenté, enrichir le vivant ... rachel carson ... le progrès ... quelle est notre intention ? votre livre abat les murs
R.Powers (l'enfant qui voulait sauver la planète) roman
53 minutes
En préférant la santé à la croissance et en respectant les écosystèmes qui nous font vivre, il devient possible de réorienter nos systèmes économiques en faveur d'une véritable transition écologique...
...
Avec les mesures de confinement, la moitié des gouvernements de la planète ont fait le choix de préférer la santé de leurs populations à la croissance de leurs économies. Mais comment en est-on arrivés là?
Pour l'économiste Eloi Laurent, l’origine de la crise sanitaire du Covid-19 symbolise le fait que la priorité à l’économie et à la croissance est suicidaire. En effet, c’est bien la destruction des écosystèmes et de la biodiversité qui rend notre économie insoutenable, au point de nous priver des rapports sociaux et de ce qui constitue notre humanité...
Parce qu’il n’y a pas d’économie en dehors de la biosphère, il est donc urgent de remettre en question nos systèmes économiques.
Dans l'essai Et si la santé guidait le monde? http://www.editionslesliensquiliberent.fr/livre-Et_si_la_sant%C3%A9_guidait_le_monde__-9791020909275-1-1-0-1.html, publié aux éditions Les liens qui libèrent, Eloi Laurent soutient que l’espérance de vie et la pleine santé doivent désormais devenir nos boussoles communes dans ce nouveau siècle.
A l’inverse de la croissance économique et du PIB, l’espérance de vie est un indicateur qui nous permet de voir les inégalités (éducation, revenu, genre, catégorie socio-professionnelles, territoires..), et de prendre en compte la question des crises écologiques.
A l'aide de ce nouvel indicateur de développement, l'enjeu sera de construire un Etat social-écologique calibré pour le 21ème siècle, libéré de la croissance et garant de la pleine santé.
Plus nous apporterons de soin à notre santé, mieux nous saurons affronter les crises qui sont déjà là et devant nous. Et plus nous apporterons de soin aux écosystèmes qui sont la clé de notre santé, plus notre vie sera longue et plaisante ».
dans Auditions 2020, Bifurcation écologique
Audition menée par Mathilde Panot, députée et vice-présidente du groupe parlementaire de La France insoumise, dans le cadre de la proposition de résolution pour une bifurcation écologique.
Avec : Éloi Laurent, économiste, chercheur à l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE)
Et un extrait (teasing) à https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?1LvVCw
Transcription :
... inégalités systémiques. Combiner les inégalités ... neutralité carbone par le stockage du carbone, la géoingénierie, etc. Concept de découplage (croissance / ém de co2 ... en fait, le numérique accélère tous les flux physiques ex amazon ... double dégradation sociale et écologique ...
taille de la boucle de la circularité de l'économie circulaire : idée illusoire. Ce qui compte, réduire les volumes. Taxe carbone indexée sur les volumes ... Baisser les quantités / avoir un découplage absolu entre le bien-être humain et l'impact sur les écosystème. Tout le reste est diversion. ...
Terminer >14:26 ACT
La France insoumise a aimé
Députée Obono @Deputee_Obono · 10h
Gyrophare de police
Globe terrestre Europe-Afrique
Notre proposition de résolution #BifurcationEcologique elle oui. Extrait de notre audition de l'économiste Eloi Laurent
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Transcription :
... en sortir en inventant une nouvelle justice environnementale fondée sur l'idée des inégalités environnementales.
Le monde que l'on veut: les nouveaux indicateurs de bien-être, de résilience et de soutenabilité. Donc c'est sortir de la croissance, le défaut le plus important de tout ce que propose la commission européenne. NON, le green new deal n'est pas une stratégie de croissance. Il est une stratégie de survie de l'humanité, de bien-être humain sous une contrainte écologique.