Installée jeudi 21 mars 2024, cette micro-turbine doit produire 50 000 kW par an en utilisant le débit de restitution du captage de Ribou, à Cholet (Maine-et-Loire). Une première en France dans une usine d’eau potable, signée par une entreprise vendéenne.
Connu / TG le 30/03/24 à 16:27
Le gouvernement britannique a soulevé le 7 août les inquiétudes éventuelles pour la sécurité nationale du pays que pourrait créer le rachat par EDF de l'activité de turbine nucléaire de General Electric, demandant aux deux entreprises de répondre à des recommandations sécuritaires.
Avec logo REUTERS - Mis à jour 08 Août 2023 - 1 min. de lecture
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La Grande-Bretagne voit de possibles risques dans l'achat par EDF des turbines Arabelle de GE
© CHRISTIAN HARTMANN
Le logo EDF. /Photo prise le 17 février 2023/REUTERS/Christian Hartmann
L'offre émise par EDF pour acquérir GE Steam Power auprès du conglomérat américain (comprenant les turbines à vapeur Arabelle qui équipent certaines centrales nucléaires françaises et l'EPR de Taishan) a été approuvée en mai dernier par le régulateur britannique de la concurrence à l'issue d'une enquête préliminaire.
...
Le gouvernement britannique a demandé à EDF d'effectuer la transaction via une filiale nommé GEAST UK et au groupe français ainsi qu'à GE de répondre à des normes de sécurité physiques et de protéger les informations sensibles. Il a ajouté qu'un observateur nommé par ses soins devait siéger au conseil d'administration de GEAST UK pour pouvoir assister aux réunions.
Aucun commentaire n'a été obtenu dans l'immédiat auprès d'EDF et de GE.
Avec Reuters (Muvija M, avec Ananta Agarwal à Bangalore; version française Jean Terzian)
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Tempête boursière pour l'énergéticien Siemens Energy, emporté par une débâcle dans l'éolien
... a révélé vendredi que l'ampleur des défaillances d'éoliennes chez sa filiale Siemens Gamesa était bien plus importante et coûteuse que prévu, entraînant un plongeon record de son cours de bourse.
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communiqué jeudi soir dans lequel le groupe de Munich a fait état d'un "taux de défaillance significativement accru" de composants d'éoliennes, avec un coût tel de remise en état que les prévisions de résultats pour 2023 sont obsolètes.
La maison-mère de Siemens Gamesa prévoit en particulier plus d'un milliard d'euros de charges de remise en état des installations. Car un examen technique interne approfondi des parcs d'éoliennes a fait ressortir des résultats qui sont "bien pires que ce que j'aurais cru possible", a déclaré Jochen Eickholt, patron de Siemens Gamesa lors d'une conférence téléphonique au ton particulièrement sombre. Christian Bruch, PDG de Siemens Energy, a parlé d'une situation "amère".
Filiale à problème
Au cœur des problèmes rencontrés, des composants défectueux, principalement liés aux roulements et aux pales de rotor des turbines sur des installations terrestres, a déclaré M.Eickholt. La société n'a certes connu qu'"une poignée de pannes" sur un parc de plusieurs milliers de turbines, a-t-il ajouté.
...
Ndlr : selon https://duckduckgo.com/?t=ftsa&q=actualit%C3%A9+siemens+gamesa&ia=web pb financier pas nouveau...
Nichées dans un écrin de verdure, à Ligugé dans la Vienne, sur une île bordée par le Clain et ses ruisseaux secondaires, Les Usines ont mis le temps de leur côté. Une valeur cardinale pour ses fondateurs. Ce tiers-lieu d’activités, surtout artisanales, s’appuie à la fois sur le passé industriel du site, parie sur le réemploi et la remise en état des équipements d’origine, et donne le temps à cet espace à moitié en friche et à ses résidents de bâtir l’avenir. Un avenir où l’on construit ensemble, y compris avec les autres acteurs du territoire, une économie circulaire à la fois écologique et mutualisée.
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Cyril Chessé et Christine Graval, respectivement régisseur et présidente du Confort Moderne (une friche artistique de Poitiers), ont la sensation d’atteindre un plafond de verre car ils ont envie de casser les codes dictés par ceux qui tiennent les institutions depuis trop longtemps. Ils cherchent un lieu pour y habiter et travailler dans une dimension collective, avec des gens alignés sur une vision écologique et sociale commune. Denis Meunier et Franck Courtioux, amis passionnés par le patrimoine et adeptes du spectacle de rue, cherchent eux aussi un lieu pour « créer un espace de possibles sans le tampon obligatoire de la mairie ». Ces deux binômes ne se connaissent pas, mais partagent les mêmes intentions et sont mis en relation par le propriétaire de l'Usine à l'abandon
... projet de développement local possible ... Une fois le lieu acquis en février 2011 (2 hectares dont 3 000 mètres carrés de bâtiments, obtenus in fine grâce au soutien de la mairie et des habitants de Ligugé), ils doivent faire face à l’état du site, calamiteux ! Celui-ci s’avère en effet inondable, pollué ; il n’y a ni eau potable, ni électricité, ni assainissement ... quelques structures résidentes (la CAE Consortium Coopérative, l'entreprise HVO Conservation-Restauration, l'association Compost’âge et un Fab Lab) ... Financièrement limitée, l’équipe co-construit le développement des Usines avec des groupes d'individus et des projets à géométrie variable, selon les ressources disponibles sur place ou chinées dans le coin, dans le respect du patrimoine existant ... On a sauvé de la démolition un site industriel qui représentait une blessure et nous avons documenté les mémoires ouvrières… Cela a séduit un peu tout le monde ... en 2013, est lancé le Fab Lab ... Leur “Créatorium” a les allures d’une Tour de Babel, avec l’installation d’un tourneur à bois, une brasserie, une designer spécialisée en impression japonaise, trois ferronniers, un spécialiste de l’éco-habitat, une marqueterie, une maroquinière, deux pro de la récup’ et de la valorisation de jouets, un entrepreneur créatif et même un coiffeur écolo ! Toutes et tous valorisent l’autonomie, la mixité et la solidarité ... l’esprit de sobriété et de valorisation de l’existant ... remise en état des deux turbines en fonte de l’époque pour produire de l’hydroélectricité ... rénover l’existant plutôt que de repartir à zéro avec Tamysis ... gouvernance inclusive, pour construire ce site avec tous ses acteurs. En intégrant notamment des jeunes au sein de leur Conseil d'administration (CA). Ainsi, en 2019 le CA est passé à 12 administrateurs – dont 2 représentants des résidents, 2 représentants du Fab Lab, 2 de la commission culture, et le bureau, dont Franck est le seul fondateur présent. Les propriétaires ne sont donc pas les seuls moteurs du projet. Et cette gouvernance veut montrer que l’on peut fort bien développer des communs dans un espace privé.
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Tisser des liens
... mise en place d’un espace-test agricole dédié au maraîchage au sein du jardin partagé, une meilleure valorisation du marché hebdomadaire de producteurs locaux, la restructuration du groupement d’achat et la sensibilisation de tous à la permaculture. D’ici peu, Christophe (l’herboriste-résident) fera sécher ses plantes avec la chaleur résiduelle du four d’Aurélien (futur boulanger installé sur le lieu), Julien (l’apiculteur) et Pascal (qui développe un système innovant de mise sous vide des bocaux en verre) profiteront de la boutique de vente de produits confectionnés sur place, etc.
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Des impacts apparents, mais pas mesurés…
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Connu / https://reporterre.net/Le-tour-de-France-des-ecolieux
Ndlr : semble bien correspondre à l'esprit de arcdev-centre, semblent avoir PLPDLA => vérifier ACT
MHI Vestas Offshore Wind A/S is set to join the giants of the offshore-wind world by building a skyscraper-sized turbine to better compete with other machines in the market.
Connu / https://discord.com/channels/756164133186961578/758318550175318066
msg du 26/10/20 à 15:37 de SraM (livret énergie de LFI)
Général|Commentaires fermés
Dans le cadre d’un projet européen (Hyflexpower), piloté par ENGIE solutions en coopération avec Siemens et Centrax, un démonstrateur de « Power-to-X-to-Power » à l’échelle industrielle va être déployé en France en Haute-Vienne sur 4 ans. L’idée est d’utiliser une turbine à hydrogène sur le site d’une société spécialisée dans le recyclage du papier (Smurfit Kappa). L’hydrogène serait issu d’énergies renouvelables et mélangé à du gaz naturel, en attendant de devenir la source principale d’énergie en 2023.
La turbine en question sera fournie par Siemens, qui fera évoluer son modèle SGT-400 pour qu’elle puisse convertir de l’hydrogène en électricité.
Le projet Hyflexpower vise à utiliser des EnR stockées sous forme d’hydrogène vert pour réduire l’empreinte carbone. Il associe des partenaires exclusivement européens, comme le centre allemand d’aérospatiale, des universités (Athènes, Duisburg-Essen, Londres, Lund) ainsi que la société Arrtic. Il est doté d’un budget de 15,2 millions d’euros, dont 10,5 financés par le programme Horizon 2020.
ENGIE Solutions sera en charge de la production d’hydrogène et du stockage.
À propos de l'auteur : Laurent Meillaud, Journaliste automobile depuis plus de 30 ans, suivant les évolutions technologiques, je m'intéresse aussi aux énergies alternatives. Sur l'hydrogène, j'ai co-écrit un ouvrage en 2007 avec Pierre Beuzit, ancien patron de la R&D chez Renault. Je collabore également à la newsletter de l'AFHYPAC.
Yves Bréchet, membre de l’Académie des sciences, nous livre sa réflexion après la décision de la France d’arrêter la recherche scientifique pour les réacteurs nucléaires du futur. Un texte sans détour, en exclusivité pour la revue Progressistes.
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Une certaine idéologie a voulu sortir de cette dynamique, qui était issue de la nécessité d’un bien commun, et soumettre l’ensemble aux lois du marché selon le dogme que le marché conduit nécessairement à des solutions optimisées.
Il faudra un jour faire un bilan de cette injonction doctrinaire mais une caractéristique des idéologies, quelles que soient leurs couleurs, est qu’elles sont rétives à la comparaison aux faits. Le découplage de la production et de la distribution pour cause de concurrence européenne, la nécessité de donner accès au parc hydroélectrique lors même qu’il est indispensable et tout juste suffisant pour stabiliser le réseau électrique mis à mal par la pénétration à marche forcée des énergies intermittentes, et plus récemment le choix ahurissant de se séparer de notre industrie des turbines, dans un pays ou l’énergie électrique est à 90 % nucléaire ou hydraulique, devraient suffire pour démontrer à quel point l’État a cessé d’être un État stratège pour devenir un bouchon flottant au fil de l’eau, le courant dominant étant la logique budgétaire, et les turbulences les effets de modes et les pressions électorales, ce qui nous amène fort loin des grands noms qui ont réindustrialisé la France dans l’après-guerre. Ces exemples nous montrent aussi, sans que cela puisse nous rassurer, à quel point cette tendance de fond transcende les partis politiques. La récente décision du gouvernement d’arrêter le projet ASTRID de réacteur à neutrons rapides est un cas d’école de démission de l’État, dans une vision court-termiste dont on peut raisonnablement se demander ce qui l’emporte du désintérêt pour l’intérêt commun ou de l’ignorance patente des aspects scientifiques et industriels de la question.
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L’énergie nucléaire nécessite une denrée qui n’est pas inépuisable, l’uranium, et génère des déchets à longue durée de vie. Sur ces deux questions les réacteurs à neutrons rapides apportent une réponse techniquement éprouvée : la surgénération, en permettant d’utiliser le plutonium issu du retraitement des combustibles usés, et l’uranium appauvri, sous-produit de l’enrichissement, diviserait par 10 le volume des déchets produits, et assurerait notre autonomie en matière de ressources en uranium et d’autonomie énergétique pour un bon millier d’années au rythme actuel de consommation.
Actuellement, et contrairement à ce que la doxa verte affirme, personne n’est capable de dire quelle proportion d’énergies décarbonées non nucléaires est compatible avec nos sociétés industrielles. Ce n’est pas une question du coût des renouvelables, qui baisse constamment, c’est une question de physique. On ne sait pas quelles sont les capacités de stockage réalistes, on ne sait pas les modifications indispensables du réseau de distribution, on ne sait pas quelle part de production et de consommation localisées est compatible avec un mix énergétique donné, et enfin la production à partir d’énergies fossiles d’une électricité décarbonée rendue possible par un stockage de masse du CO2 est à ce jour un vœu pieux. Dans cette situation, faire le pari qu’on pourra se passer du nucléaire relève plus de la méthode Coué que de la saine gestion politique. La France devrait rester, au moins pour les décennies à venir, un pays à forte composante nucléaire, et c’est d’ailleurs ce qui avait été maintes fois répété par le président Emmanuel Macron. Mais il ne semble pas évident, au moins au vu des dernières décisions, que la cohérence soit une vertu majeure de l’actuelle politique énergétique.
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les réacteurs à neutrons rapides (RNR) sont capables de brûler tous les isotopes du plutonium, et donc de transformer ce déchet en ressource. Ils peuvent également brûler l’uranium naturel et l’uranium appauvri. Les RNR peuvent donc transformer les déchets, en particulier le plutonium, en ressource, et consommer toutes les matières fissiles issues de la mine. Ce faisant, de facto, les RNR permettent une gestion rationnelle de la ressource « site de stockage profond ». Parmi les différentes possibilités techniques pour réaliser la fermeture du cycle, le RNR à caloporteur sodium est l’option technologique la plus mature. Arrêter le programme des RNR en arguant de solutions de remplacement est au mieux aventureux, au pis malhonnête.
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Garder l’option de fermeture du cycle laisse au contraire possible l’usage du nucléaire dans la proportion qui sera nécessaire car à tout moment le flux de matières entrant et sortant sera équilibré, sans accumulation, comme c’est le cas actuellement de déchets non ultimes. Ne pas fermer le cycle, c’est rendre le nucléaire non durable ni responsable : en faisant ce choix aujourd’hui, on prive demain le politique d’une marge de manœuvre et, de facto, on « décide » à sa place.
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Le GIEC, pourtant peu enclin à tresser des lauriers au nucléaire, déclare en 2018 que dans la lutte contre le réchauffement climatique l’énergie nucléaire jouera un rôle essentiel. Ce chapitre du rapport du GIEC a, semble-t-il, du mal à trouver son chemin jusqu’au bureau où s’écrivent les discours enflammés de nos chevaliers blancs du climat.
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réacteur RNR-Na chinois CDFR-600 (China Demonstration Fast Reactor de 600 MWe) a été coulé le 29 décembre 2017 à Xiapu, dans la province de Fuijan. Ce réacteur est conçu et construit par CNNC (China National Nuclear Corporation) ... mise en service en 2023 ... un RNR-Na de 65 MWt/20 MWe a été construit, et mis en service en 2010. Ce réacteur a été acheté à la société russe OKBM Africantov qui en avait assuré la conception et la fabrication ... CNNC annonce que les RNR-Na seront la principale technologie déployée en Chine au milieu de ce siècle ... le CDFR-600 utilisera du combustible mixte d’uranium et de plutonium (MOx RNR) avec des performances de 100 GWj/t de taux de combustion. Toutes ces informations étaient connues du gouvernement français au moment de sa décision d’arrêter le projet ASTRID ... exemple de la société TerraPower appartenant à Bill Gates ... promeut un concept de RNR-Na appelé Traveling Wave Reactor, dont les dernières évolutions de design sont finalement très proches d’un RNR-Na classique. TerraPower et CNNC ont créé un joint-venture en octobre 2017 pour le codéveloppement du TWR ... Les Japonais eux-mêmes étaient largement partie prenante du programme ASTRID, témoignant là aussi d’un État stratège.
...
Connu / https://www.energiesosfutur.org
16 commentaires DONT https://revue-progressistes.org/2019/09/22/larret-du-programme-astrid-une-etude-de-cas-de-disparition-de-letat-stratege/#comment-4603
"
jnm 22 Oct 2019 à 20:30
Bonjour, merci pour cette intervention. Vous n’êtes pas sans savoir que nous attendons d’ici 20-30 ans, d’après les modèles étudiés par des milliers de climatologues dans le monde entier, des températures estivales supérieures à 40 degrés, puis d’ici 30 ans, des températures jusqu’à 55° en Alsace, 53° en Sud Ouest, Aquitaine, Loire et Région Parisienne. Cet été nous avons eu du 46° dans le Gard. Ces modèles issus d’études publiées entre 2000 et 2014, sont hélas, depuis lors, rendues caduques par de nouveaux modèles bien plus inquiétants, qui nous portent à des températures supérieures bien plus tôt. La filière nucléaire, qui se construit sur du long terme, avec des mises en services hypothétiques vers 2030-2040, n’est elle pas condamnée dans son ensemble, toutes technologies confondues, par la température, le manque d’eau dans les grands fleuves, dont on a pu voir le niveau très bas cet été ou en 2003 ? Sans parler de la paralysie de toute l’économie et les services dès qu’on est au dessus de 45°. Il semble qu’il y ait une omerta totale sur ce sujet dans la filière. Sachant les milliards d’euros d’investissement nécessaire, leur rentabilité à long terme est impossible. Il vaut mieux investir massivement dans la réduction de la consommation (isolation, gaspillage) et les ENR. Merci pour nos enfants.
"
Ndlr :
- solution pour le recyclage des déchets nucléaires ? Douchée par la remarque de jnm ? Le débat ne se ramène-t-il pas au choix de société : une société industrielle est-elle encore possible sous l'anthropocène ou non ? Sinon, quelle société ? ACT
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PME française spécialisée dans la conception, la fabrication, l’installation et la mise en service de turbines hydrauliques à travers le monde depuis 1972.
Louis Tinchant, l’arrière grand-père du propriétaire actuel Pierre Pisterman, a commencé à construire et à opérer des centrales hydroélectriques en 1906.
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