La France et l’Europe dans son ensemble sont aujourd’hui au cœur d’une crise énergétique mondiale majeure. Le conflit ukrainien mais aussi plusieurs décennies d’inaction face à la dépendance vis-à-vis des énergies fossiles et la surconsommation rendent la situation particulièrement tendue. Au-delà des risques de coupures ou de pénuries, le continent européen est aujourd’hui confronté à des défis sociaux, économiques, géopolitiques et environnementaux immenses. Les réponses qui y seront apportées auront un impact très concret sur notre quotidien et notre avenir. Voici plusieurs pistes pour y faire face, de toute urgence.
1 - Économiser l’énergie dans les bâtiments et l’industrie
2 - Économiser l’énergie dans les transports
3 - Aider les ménages vulnérables à mieux se loger, se nourrir et se chauffer
4 -Taxer les pollueurs et cesser de financer la guerre
Clés : #Changement climatique #Climat #Conflits sociaux #Dividendes climaticides #Energies fossiles #inégalités #ISF climatique #Justice sociale #Paix #Plus jamais ça #Sobriété #Sobriété énergétique #Superprofits
Connu / TG le 04/02/23 à 11:07
Connu / TG le 02/02/23 à 16:51
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Ma position sur le choix de l'incinération des ordures ménagères avec production de vapeur et d'électricité (appelé pudiquement UVE pour Unité de Valorisation Energétique) est résumé dans ce texte issu du site du CNIID (Centre National d'Information Indépendante sur les Déchets) :"www.cniid.org
Le choix politique et industriel de l’incinération
Moduloo.net
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La France accueille sur son territoire un tiers des incinérateurs européens. Le développement de la filière industrielle d’incinération des déchets y a été permis grâce à un soutien politique affiché.
Le soutien politique à l’industrie française d’incinération des déchets
L’incinération est le mode de traitement des déchets le plus couteux parce que le plus complexe. L’infrastructure elle-même est déjà très coûteuse, mais depuis la mise en place de normes d’émissions de polluants au début des années 2000, les exploitants ont été obligés d’équiper leurs incinérateurs de technologies de contrôle et de traitement des fumées qui ont fait grimper l’addition. Dans un même temps, cela a largement bénéficié au secteur industriel en charge de la production de ces équipements.
Pour conforter la place de leader sur les marchés mondiaux des deux géants français des déchets (Veolia et Suez), les gouvernements successifs ont introduit et maintenu des avantages financiers pour encourager les collectivités à faire le choix de l’incinération :
• des tarifs de rachat préférentiels de l’électricité produite par les incinérateurs
• la mise en place tardive d’une Taxe générale sur les activités polluantes (TGAP) sur l’incinération, dont les montants restent trop faibles pour être dissuasifs
• des subventions au titre de production d’"énergie renouvelable" pour des projets d’incinérateurs déguisés
De même, toute demande de moratoire sur l’incinération a systématiquement été rejetée, notamment celle portée par le Cniid pendant le Grenelle de l’environnement.
L’incinération, présentée par les politiques français et les industriels comme LA solution de traitement des déchets, s’est donc imposée aux collectivités sans réelles possibilités de remise en question.
Un choix irréversible pour la collectivité
En France, la compétence de gestion des déchets est attribuée aux collectivités. C’est donc elles qui choisissent les solutions de traitement pour leur territoire et qui en assument les coûts, même si la construction et l’exploitation sont le plus souvent déléguées à des entreprises privées.
La construction d’un incinérateur, dont on estime la durée de vie à 20 ans minimum, est un engagement financier de long terme pour les collectivités. En effet, elles doivent non seulement rembourser les crédits contractés pour la construction de l’infrastructure, mais aussi assumer les coûts d’entretien et de mise aux normes régulières. De plus, les incinérateurs sont de véritables aspirateurs à déchets qui sont construits pour fonctionner avec une quantité de déchets constante. Sans quoi, les coûts de fonctionnement augmentent et l’exploitant répercute ce manque à gagner sur la facture de la collectivité. C’est la première irréversibilité que pointait déjà en 2006 un rapport du service d’études économiques du ministère de l’environnement [1].
Ce rapport met également en évidence une seconde irréversibilité de l’incinération, qui "réside dans la contrainte qu’impose la durée de vie d’un incinérateur sur les choix futurs de la combinaison des options de traitement des déchets dans zone concernée" [2]. Par l’engagement financier de long terme qu’elle implique, l’incinération constitue de fait un frein à la mise en place de politiques volontaristes de réduction des déchets, et de développement de modes de traitement alternatifs (compostage, méthanisation, extension du recyclage)."
44239 signatures - Texte législatif
Savez-vous qu’une personne handicapée vivant en couple doit demander l’accord et le financement de son conjoint pour payer chacune de ses dépenses de la vie quotidienne ? En effet, une loi française calcule le versement de l’Allocation Adulte Handicapée (AAH) sur les revenus du ménage.
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Le jeudi 13 février 2020, l’Assemblée nationale a adopté une proposition de loi supprimant la prise en compte des ressources du conjoint, concubin ou pacsé pour le calcul de l’AAH. Mais, dans les faits, les choses ne sont pas aussi simples et le chemin reste long et sinueux avant l’entérinement de cette loi.
Pour nous aider à clarifier cette situation qui pèse énormément sur le moral des personnes handicapées vivant en couple, merci de bien vouloir soutenir notre pétition pour demander au législateur de prononcer dès que possible une nouvelle loi pour mettre fin à cette incongruité et injustice fondamentale.
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Vous savez à quoi on reconnaît un riche ?
C'est quelqu'un qui ne nettoie pas ses toilettes lui-même.
Et le plus souvent, c'est une femme, précaire, qui le fait.
Retrouvez mon discours de défense de la proposition de loi du PCF contre la précarité des femmes, la Journée des Droits des Femmes, à l'Assemblée nationale.
Catégorie Actualités et politique 716 commentaires
Greg N'Fresh il y a 1 an
Le faible taux d'applaudissement à la fin en dit long sur le menfoutiste des intéressés !
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Shanna Krezc il y a 1 an
Discours magistral, bravo Mr Ruffin et merci pour toutes ces femmes
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mireille giralt il y a 1 an
Merci François de parler de nous à l' assemblée
26 787 ont signé
Institut National de la Consommation a lancé cette pétition adressée à DGCCRF et à 25 autres
L’Institut National de la Consommation (INC) éditeur du magazine 60 Millions de consommateurs demande la mise en place d’un Ménag’Score, étiquetage simple et clair sur les produits ménagers.
Les étiquettes des produits ménagers sont illisibles pour les consommateurs !
Pour faciliter cette information, les équipes de l’INC ont développé un système d’étiquetage clair et immédiat en s’appuyant sur la base de référentiels scientifiques qui vise à établir une note : un Ménag’Score.
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Signez la pétition de l’INC pour la mise en place d'un étiquetage "Ménag'Score" sur les produits ménagers.