Dans la nuit du samedi 18 au dimanche 19 février 2023, les militants de Greenpeace et d'Extinction Rebellion ont éteint et recouvert ...
Connu / TG le 20/02/23 à 19:57
Samedi 18 février 2023 des militants de trois organisations ont effectué des opérations visant des éclairages publics jugés inutiles . Il les ont éteints et remplacés par des affichages.
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Alors que la température baisse, l’État se mobilise pour anticiper les possibles coupures de courant. Ce mercredi, des circulaires ont ...
Connu / TG du 02/12/22 à 17:03
⚡️ À l’aube de l’hiver, dans ce contexte de crise énergétique et climatique, notre société est face à un impératif de sobriété, notamment en termes de consommation d’énergie. Alors qu’on demande à tout le monde de faire des efforts pour réduire sa consommation d’énergie et que les factures explosent, il est aberrant que des activités superflues et énergivores soient toujours autorisées.
Selon l’ADEME, la consommation d’un écran publicitaire de 2m² est de 2 000 kWh/an, soit quasiment l’équivalent de la consommation annuelle d’un ménage (hors chauffage et eau chaude) !
📣 Il est inconcevable que les acteurs publics et privés ne mettent pas tout en œuvre pour participer activement à l’effort collectif de sobriété. Il existe une solution simple. Il faut supprimer les écrans et publicités lumineuses dans l’espace public et éteindre les vitrines et enseignes des magasins dès leur fermeture, sans exception.
✊ Toi aussi tu veux agir ?
Rejoins une pétition locale (carte)
Action "coup de poing" de Greenpeace dans le centre-ville d'Antibes (Alpes-Maritimes) mardi soir, pour dénoncer la pollution
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Connu / TG du 30/11/22 à 11:50
Publicités et enseignes lumineuses : des militants de Greenpeace mobilisés contre le gaspillage énergétique à Grenoble
Des militants de Greenpeace ont dénoncé le gaspillage énergétique en éteignant des enseignes
...
Connu / TG du 8/11/22 à 12:32
Ce samedi 5 novembre, Greenpeace a mené une action dans le centre-ville de Grenoble pour lutter contre le « gaspillage énergétique
...
Connu / TG du 8/11/22 à 12:30
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2) Concernant l'éclairage public
A l'heure actuelle, il est techniquement difficile de mettre en place l’extinction de l’éclairage car celui-ci est assuré par des horloges qui sont programmées aux heures selon la saison qu'il faut donc reprogrammer ou il faut intervenir manuellement dans chaque armoire.
Concrètement, mous avons regardé comment participer à la nuit du 15 octobre en voulant agir sur certains parkings (mairie/école, cimetière, face au hameau du Constantin, Eglise …) pour mais le problème quand on coupe cela éteint bien au-delà et met tout un quartier ou un grand linéaire dans le noir.
Sachez que nous étudions avec notre prestaire technique en éclairage public les possibilités qui nous sont offertes pour réaliser de l’abaissement lumineux ou de l'extinction que nous pourrons appliquer dans certains secteurs de la commune. Pour information, il y a déjà de l'abaissement lumineux à 70% pour les installations LED que nous avons dans la commune et il y également de l'éclairage photovoltaïque.
Il y a aussi un aspect réglementaire à prendre en compte.
On peut trouver des informations sur ce sujet au sein du site internet du Territoire d’Energie Isère auquel on adhère :
https://www.te38.fr/dossier-lextinction-de-leclairage-public-pas-a-pas/
Bien cordialement,
Philippe Zuccarello
Adjoint Chargé de l'Environnement et du Cadre de vie
Délégué Territoire d'Energie Isère TE38 (https://www.te38.fr/)
22 rue de la République, 38230 PONT DE CHERUY
Mobile 06.11.61.40.07 Téléphone: 04 72 46 91 90
Territoire d'énergie Isère (https://www.te38.fr/dossier-lextinction-de-leclairage-public-pas-a-pas/)
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Connu / GPP
AGORA Philosophie
Alors qu'ils offraient l'image d'un patrimoine culturel consensuel, incarné par Voltaire et Rousseau, les philosophes des Lumières sont aujourd'hui accusés d'être à la racine de tous nos maux. Deux ouvrages les réhabilitent :
- L'héritage des Lumières, d'Antoine Lilti, Seuil, 416p. 25€
- Les Droits de l'homme rendent-ils idiots ?, de Justine Lacroix et Jean-Yves Pranchère, Seuil, 112 p. 11,8€
...représentation caricaturale ... impossible de réduire les Lumières à une doctrine cohérente, tant ces dernières sont traversées par des tensions profondes. À l'image de la critique rousseauiste de la "civilisation industrielle", ces ambivalences révèlent l'angousse que soulève l'entrée dans la modernité. ... contradictions ... ambivalence entre affirmation d'une singularité européenne et un discours universaliste. ... rendre aux Lumières leur actualité critique plutôt qu'à ériger en dogme une pensée artificiellement homogène.
...
les droits de l'homme représentent la condition nécessaire mais non suffisante d'un monde vivable par tous. Ils aiguisent notre responsabilité politique en y intégrant l'exigence de l'égalité des droits. A la réflexion, laissons encore un peu les Lumières allumées.
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Les images ont fait le tour du monde et la polémique ne faiblit pas. Vendredi 28 juin, alors que le mercure atteignait un record historique, des centaines de personnes s'étaient rassemblées près du pont de Sully qui relie les 4e et 5e arrondissements de Paris, à l'appel du groupe international Extinction Rébellion. Ils souhaitaient alerter sur l'urgence climatique, en usant de méthodes de désobéissance civile non-violente, comme s'asseoir sur la rue. Mais alors que certains ont tenté de bloquer la circulation, des policiers les ont rapidement délogés, en faisant parfois usage de gaz lacrymogène, comme l'ont montré des vidéos prises par des journalistes sur place.
Relayées depuis des milliers de fois sur les réseaux sociaux, ces images ont suscité une vague d'indignation en France, mais aussi au-delà. Greta Thunberg, la jeune activiste suédoise de 16 ans qui a lancé le mouvement « Fridays for the future », a interpellé sa communauté via son compte Instagram, en partageant la séquence. L'actrice Marion Cotillard a également réagi sur son compte, dénonçant des vidéos « insoutenables ». « Cher gouvernement français, pouvez-vous m'expliquer ces images ? », a-t-elle apostrophé. Le réalisateur et militant écologiste Cyril Dion a de son côté indiqué qu'il refusait sa promotion dans l'ordre du Mérite. « Comment accepter d'être décoré par un gouvernement qui fait usage d'une telle violence à l'encontre d'une partie de sa population ? », s'est-il interrogé dans un message posté sur Facebook.
Plusieurs responsables politiques ont aussi dénoncé l'intervention de la police. « Ce ne sont pas des bombes d'eau pour rafraîchir les militants pacifiques venus alerter sur le climat. Ce sont des bombes lacrymo. Ça ne se passe pas dans une dictature. Ça se passe en France », a dénoncé sur Twitter le premier secrétaire du PS, Olivier Faure. « Le seul gaz que le gouvernement connaît c'est la lacrymo contre les jeunes qui demandent des actions contre le réchauffement climatique », a renchéri Manon Aubry, députée européenne La France insoumise. Du côté du gouvernement, Christophe Castaner a demandé un rapport au préfet de police de Paris. « À la demande du ministre, une inspection technique CRS a été déclenchée et un rapport a été demandé au préfet de police sur les modalités de gestion de cette opération de maintien de l’ordre rendue nécessaire pour rétablir la circulation au cœur de Paris », a déclaré la place Beauvau. Le ministre de l'Environnement a reconnu que les images l'avaient surpris : « Quand j’ai vu ça, je me suis posé des questions », a indiqué sur BFM François de Rugy. Pour autant, il dédouane l'action des CRS face à ce qu'il décrit comme « des manifestants très radicaux ».
Cette affaire intervient quelques jours après une autre opération de police controversée lors de la Fête de la musique à Nantes. Ce soir-là, 14 personnes ont été secourues après être tombées dans la Loire et une personne est toujours portée disparue. Une enquête a été ouverte pour disparition inquiétante et le ministre de l’Intérieur a saisi l’Inspection générale de la police nationale (IGPN) pour faire la lumière sur les conditions d'intervention des forces de l'ordre. Violence disproportionnée, absence de matricule, recours abusif aux lanceurs de balles de défense (LBD)... Depuis le mois de novembre, plus de 555 signalements ont été transmis à l’IGPN, donnant lieu à 265 enquêtes. Aucune poursuite n’a encore été engagée.
Alors que s’est-il passé à paris et à Nantes ? Comment fonctionne la « police des polices » ? Quelles sont ses méthodes ? Le maintien de l’ordre à la française est-il à un tournant ? Doit-il évoluer ? Avec quels moyens ? Et avec quelles méthodes ?
Invités :
Yves Thréard - Éditorialiste et directeur adjoint de la rédaction du journal Le Figaro.
Camille Polloni - Journaliste Police-Justice pour le site d’information Les Jours.fr
Jean-Marc Bailleul - Secrétaire général du Syndicat des Cadres de la Sécurité Intérieure (SCSI-CFDT).
Nicolas Chapuis - Journaliste reporter au Monde, chargé de la rubrique Police-Justice.
Production : France Télévisions/Maximal Productions
Catégorie Divertissement 122 commentaires
L’effroi, la catastrophe, la sidération, la tristesse, une part de nous-même, un trésor mondial... les mots et bien d’autres ont été prononcés, et ils sont justes. L’incendie qui a ravagé le toit de la cathédrale Notre-Dame-de-Paris, lundi 15 avril au soir et dans la nuit, a abîmé gravement bien plus qu’un monument : ce drame qui a frappé un des lieux les plus connus au monde a fait vibrer dans l’âme de millions de personnes un sentiment d’effondrement. Comme si une part du monde s’écroulait, comme si un des piliers de l’univers s’était affaissé, comme si l’ordre qui permet à l’humanité agitée de mille tourments et conflits de tenir tant bien que mal était ébranlé.
C’est bien de cela qu’il est question. Et d’une manière très différente de l’effroi que l’on avait ressenti le 11 septembre 2001, quand les tours du World Trade Center s’étaient écroulées sous le choc d’avions terroristes. Ce qui était en cause, alors, c’était la puissance de la nation la plus forte, assaillie par ses adversaires. Quand les flammes ont rugi dans les combles obscurs de Notre-Dame-de-Paris, elles ont altéré une trame indicible qui a à voir avec la spiritualité, si l’on entend par ce mot l’acte créateur qui pousse les humains à se dépasser.
Une métaphore pourrait surgir chez celles et de ceux qui ont en permanence la gravité de la crise écologique à l’esprit : cette catastrophe qui frappe si lourdement une œuvre humaine chargée de sens et de puissance d’évocation, elle est un écho de la catastrophe silencieuse qui ravage les forêts et les savanes, les îles et les montagnes, et qui se traduit partout par un massacre insensé de la vie - ce qu’en termes savants on nomme « extinction de la biodiversité ». Le feu est parti dans une charpente constituée de poutres de chênes vieux de plusieurs centaines d’année ; d’un endroit qu’on appelait « la forêt ». Les forêts du monde brûlent aussi en Amazonie, en Indonésie, en Afrique, et d’une manière indirecte chez nous.
Puisse le sentiment de compassion et d’effroi, mais aussi de souci de préserver un trésor commun, jailli au regard de la catastrophe, nourrir notre attention au monde qui nous entoure, et pas seulement les pierres que nous ont léguées nos ancêtres.
Mobilisation
Nils Agger, rebelle contre l’inaction
Des militants d’«Extinction Rebellion» manifestent à Londres le 23 novembre. Photo Immo Klink
Mobilisation. Face à l’urgence climatique, le jeune Suédois a lancé à l’automne en Angleterre «Extinction Rebellion», un mouvement de désobéissance civile au succès fulgurant.
Nils Agger a le cœur d’un rebelle. De ceux qui se font traîner par terre et arrêter pour avoir tagué un message contre l’extension de l’aéroport de Londres sur le quartier général du Parti travailliste. Né dans la campagne méridionale suédoise, le militant au chignon de Jedi a quitté le confort de la péninsule scandinave pour s’installer il y a trois ans dans la petite et ancienne cité industrielle de Stroud, dans l’ouest de l’Angleterre. Le Brexit ? Ce casse-tête politique, qui divise le Royaume-Uni, l’Union européenne et monopolise les grands titres des médias britanniques ? Pas son problème. Ce qui occupe son esprit et ses journées depuis presque un an, c’est «Extinction Rebellion».
Pacifique
Le mouvement citoyen de désobéissance civile, qu’il a créé en mai avec une quinzaine de militants écolos, se veut différent de la kyrielle d’autres organisations environnementalistes existantes dans le monde. «Beaucoup d’ONG ne disent pas la vérité sur l’avancement de la crise écologique et climatique pour ne pas faire peur, interpelle le jeune Suédois de 25 ans. Elles craignent que si les gens réalisent l’ampleur de la catastrophe, ils soient paralysés et ne veuillent plus agir. C’est faux. Le succès d’Extinction Rebellion prouve le contraire.» Parler de succès n’est pas un euphémisme. Depuis son lancement officiel le 31 octobre, Extinction Rebellion a fait près de 100 000 adeptes sur les réseaux sociaux, et déborde des frontières britanniques pour voir émerger des branches dans 35 pays, dont la France. «Ce n’est pas juste une énième campagne de sensibilisation ou de mobilisation, reprend fièrement Agger. Nous avons lancé une rébellion contre le gouvernement britannique pour le forcer à négocier avec la population, et à la protéger comme il se doit.»
À lire aussi :Climat : «Quand les gouvernants nous font défaut, nous nous rebellons»
Pour Agger, le déclic a eu lieu début 2018. Installé en Angleterre pour se former à l’agriculture, il a appris le métier sur le tas en traînant ses bottes de ferme bio en ferme bio. Jusqu’à se dire qu’un changement plus radical était nécessaire. «Développer une agriculture sans pesticides et protectrice de la terre est crucial, mais nous devons d’abord changer les modèles industriels et de consommation si on veut prévenir une déliquescence des systèmes agricoles à moyen terme.» Pour lui, l’acteur-clé reste le gouvernement : «Ils ont l’infrastructure nécessaire et les moyens de coercition sur le secteur privé, mais surtout, ils ont la responsabilité d’agir pour prévenir l’effondrement généralisé qui nous guette.»
Certains pourraient le traiter d’écolo radical. Pourtant Agger espère, grâce à la rébellion, éviter un basculement futur dans une «dictature verte». Le mouvement s’est constitué autour de trois piliers : demander aux gouvernants de dire la vérité, mettre en place des mesures contraignantes pour réduire les émissions de gaz à effet de serre à zéro d’ici 2025, et enfin fonder une Assemblée citoyenne nationale avec un réel pouvoir de décision sur la transition écologique. «Une telle forme de démocratie participative peut être un rempart contre les dérives autoritaires», assure-t-il. Pour arriver à ces fins, hors de question de faire usage de la violence. Extinction Rebellion est fondamentalement pacifique. Un enseignement tiré de l’histoire des mouvements écologistes partisans de l’action directe. «Certains ont basculé dans la violence parce qu’ils étaient désespérés, que le changement qu’ils appelaient ne se produisait pas, argumente Agger. Mais plusieurs études ont montré que les groupes non-violents ont plus de succès. Ils obtiennent de meilleurs et plus stables résultats.»
Sablier
Si cette rébellion séduit, c’est aussi grâce à son caractère spirituel et innovant. Ainsi, leur campagne de nouvel an, inspirée des cultures autochtones ancestrales, s’intitulait «Protéger et honorer la vie». Du 1er au 7 janvier, les «rebelles» étaient encouragés à s’engager à «protéger et honorer» la terre, l’eau, le feu, etc. tous les jours, par «des méditations, des cérémonies, de l’art, de l’activisme sacré, des conférences en ligne, etc.» Ambitieux, le mouvement britannique espère mobiliser 3,5 % de la population, une proportion nécessaire et suffisante, selon eux, pour parvenir à un changement systémique. Tout cela en quelques années. La notion d’urgence est d’ailleurs l’élément central de leur symbole : un sablier dans un cercle noir, qu’Agger arbore maintenant où qu’il aille, sur des pin’s, des drapeaux, des tee-shirts.
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Depuis novembre, il a lâché sa bêche pour plancher à temps plein sur Extinction Rebellion. Et prépare maintenant la Semaine internationale de la rébellion, grand raout prévu mi-avril. «Après cela, je n’aurai plus d’économies pour continuer à ce rythme, soupire le Suédois. Je vais devoir me retrouver un emploi.» La rébellion, pour l’instant, ne nourrit pas.
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