53,1 k abonnés - 458+ - 9 432 vues - 325 commentaires #LaMidinale
Après avoir souhaité ses vœux entourée, une fois n'est pas coutume, par une gauche politique et associative réunie, Lucie Castets, économiste et fonctionnaire, est l'invitée de #LaMidinale.
Personnes mentionnées 4 personnes
Marine Tondelier
François Ruffin
Michel Barnier
François Hollande
Tr.: Regard/Politis ... la société civile ... candidature commune à la présidentielle ... budget pire pas acceptable ... censure inévitable ... on ne peut se satisfaire de moindres reculs, lignes rouges ... mobiliser autour du rôle central des services publics ... /élue : rester à équidistance entre les partis et la société civile ... libre dans son expression ... qui sait ? ... ex. Arras, militants électrons libres ... partenaires exigeants ... la gauche a le privilège ... Villeneuve-Saint-Georges et union ...
Nous, organisations citoyennes, environnementales et paysannes, dénonçons fermement l’amendement qui vient d'être adopté ce jour en commission des finances sur le PLF, qui vise à supprimer les avantages fiscaux accordés aux associations dont les militants se rendraient coupables d'intrusion sur des sites agricoles et industriels [1]. Si cet amendement était réellement voté en plénière, il toucherait de plein fouet l'ensemble des organisations qui dénoncent les dérives de notre système agricole et industriel, notamment via des actions de désobéissance civile. Nous appelons donc les députés à rejeter cet amendement lors du passage du texte en séance plénière.
Cet amendement est une nouvelle preuve de l’acharnement des pouvoirs publics envers les organisations de la société civile, et une nouvelle étape pour entraver nos associations qui œuvrent pour l’intérêt général.
...
Pour rappel, la loi “séparatisme”, votée en 2021, ouvre un champ large de restrictions imposées aux associations, remettant notamment en cause de possibles actions en justice des associations de défense de l’environnement et de lutte contre la corruption. Il y a deux semaines, c’est cette même loi qui a été évoquée par le Préfet de la Vienne pour revenir sur la subvention de la Mairie de Poitiers à un festival proposant des ateliers de désobéissance civile.
Quant à la cellule Demeter, cellule de renseignement de la gendarmerie nationale, créée en 2019 sous la pression de la FNSEA, elle est toujours bel et bien active pour “lutter contre les atteintes au monde agricole”, et en réalité museler toute voix critique du système agro-industriel.
Face à cette nouvelle tentative d’intimidation de la société civile, nous continuerons de défendre sans relâche nos libertés d’opinion et de manifestation, si essentielles face aux épreuves que nous traversons et pour la démocratie, et d’alerter les citoyennes et citoyens sur ces dérives sécuritaires.
Organisations signataires (par ordre alphabétique) :
Action Non-Violente COP21 - Agir pour l’Environnement - Aitec - Alofa Tuvalu - Alternatiba - Altrimenti - Amis de la Terre France - APESAC - ASPAS - Association Végétarienne de France - ATTAC
Bio consom’acteurs - BLOOM
CFDT-Journalistes - CIWF France
foodwatch France - FNH - France Nature Environnement
Générations Futures - Greenpeace France
Humanité et Biodiversité
Les Ami.e.s de la Confédération paysanne - L214 Éthique & animaux - LPO
Maison des Lanceurs d’Alerte
One Voice - Oxfam France
Réseau Action Climat
SNJ-CGT - SOL, Alternatives Agroécologiques et Solidaires - Sud Recherche EPST - Solidaires
Terre & Humanisme
Virage Energie - VRAC France - WECF France - Welfarm
...
Note aux rédactions
[1] L’amendement stipule que “le bénéfice de la réduction d'impôt est exclu pour les dons aux associations dont les adhérents sont reconnus coupables d'actes d'intrusion sur les propriétés privées agricoles et établissements industriels ou d'actes de violence vis-à-vis de professionnels.”
Contacts presse
Mélanie Veillaux - Greenpeace France - 06 42 64 83 76
Virginie Boquin - France Nature Environnement - 06 07 69 27 10
Muriel Arnal - One Voice - 06 79 83 16 61
Barbara Boyer - L214 - 06 50 35 57 48
Connu / TG 7/10/22 à 12:15
Larzac : 50 ans de luttes et d'inventions (2/6) Reportage
Mots-clés agriculture brebis Chantal Alvergnas Christian Roqueirol fermage Justine Wojtyniak La Cavalerie Larzac Marion Renoud-Lias Mathilde Schlaeflin Patrick Mayet Paule Finiel Pierre Bruguière SCTL
C’est un cas unique en France : sur le Larzac, paysannes et paysans peuvent lancer une activité agricole sans être propriétaires des terres ni des outils de production. Ce système de bail attire de nombreuses candidatures. A contrario d’un monde agricole qui se vide partout ailleurs.
...
la SCTL, la Société civile des terres du Larzac. Fondée en 1985, cet office foncier gère les 6 300 hectares de parcelles qui avaient été rachetées par l’État pour l’extension du camp militaire. Elles sont attribuées, sous la forme d’un « bail de carrière », à une paysanne ou un paysan, pendant toute la durée de son travail sur place. À sa retraite, les parcelles sont remises dans le circuit.
...
Connu / https://twitter.com/TrouveAurelie/status/1421149074611376138
"
GCO NON MERCI a retweeté Aurélie Trouvé @ · 30 juil.
En ces temps de moisson, rappelons que la destruction du monde paysan n'est pas une fatalité. La preuve avec la Société civile des terres du Larzac (propriété collective des terres et moyens de production), issue des luttes du Larzac. Un très bel article ! - 2 - 30 - 66
"
Arrivés en nombre au Parlement européen en mai 2019, les élus écologistes n’ont pas encore marqué de leur empreinte la législature débutée cet été. Les vieux partis font de la résistance alors que les sujets climatiques ne manquent pas, à l’instar du fameux « Green Deal » promis par la nouvelle présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen.
...
Pour renforcer leur ancrage, les Verts pourront cependant toujours compter sur la pression de la société civile. Les marches pour le climat, et les mouvements populaires de désobéissance civile permettent, comme c’est le cas depuis un an, de mettre la pression sur les décideurs européens. Les scores des partis Verts lors de scrutins locaux seront aussi scrutés de près par la bulle bruxelloise.
Classé dans : Carnets, Contributopia
Clés : Association, coalition, Contribution, contributopia, Politique, répression
... « L.A. Coalition » (« L.A. » signifiant « Libertés Associatives »), dont l’objectif est d’une part de comprendre et identifier ce qu’on appelle le « rétrécissement de l’espace démocratique » en France ; et d’autre part d’outiller la société civile pour qu’elle se retrouve moins démunie face à ce phénomène.
...
Dans la plupart des pays de l’Union européenne, dont la France, la liberté des citoyennes et citoyens de se mobiliser pour agir est remise en cause. L’action des sociétés civiles est sous le feu de nombreuses attaques politiques, financières, judiciaires et policières.
Les exemples sont, malheureusement, innombrables : élection de Viktor Orbán, interdisant les associations « non approuvées par le gouvernement », procès baillons, coupe des subventions, fermeture programmée d’observatoires au travail reconnu (celui des prisons, celui de la pauvreté, etc.)…
Face à cette réalité, seize fondations européennes se sont réunies, en 2018, pour lancer le programme Civitates https://civitates-eu.org/
...
le projet de coalition française vise à démontrer qu’il existe en France aussi diverses formes de pressions sur la société civile. ... à l’initiative de VoxPublic, huit associations (Action Droits des Musulmans, Agir pour l’égalité, Alliance citoyenne, la Cimade, le Collectif des Associations Citoyennes, Tous Migrants , VoxPublic et Framasoft) se sont réunies fin 2018 pour proposer des stratégies de riposte contre les répressions subies par le secteur associatif. La coalition a établi un plan d’activités au niveau national ainsi que dans deux régions : Auvergne-Rhône-Alpes et PACA, où les exécutifs régionaux exercent de fortes pressions sur les acteurs de la société civile.
En mars 2019, huit organisations ont rejoint la coalition : ATTAC, CRID, Fédération des Arts de la Rue, Génération avisée, La Quadrature du Net, React, RITIMO, Sortir du Nucléaire, Vent d’assos.
...
quatre types d’attaques et pressions subies actuellement par la société civile en France :
- politiques. Ex : critique de l’action associative pour la dévaloriser ;
- juridiques et policières. Ex : poursuite contre les citoyens solidaires des personnes migrantes (délit de solidarité), ciblage de personnes de confession, réelle ou supposée, musulmane ;
- contre la capacité d’agir des citoyens. Ex : dénigrement par les autorités du pouvoir de pétition, pressions pour limiter l’organisation des citoyen.ne.s dans les quartiers populaires ;
- financières. Ex : baisse drastique des subventions et des emplois aidés.
... décloisonner les différents secteurs associatifs afin de créer les conditions d’un dialogue inter-acteurs et d’imaginer la possibilité de ripostes collectives. ... L.A. Coalition travaille actuellement à l’élaboration d’un programme de formations, de campagnes de plaidoyer à l’échelle municipale et nationale, à l’organisation d’événements locaux ou nationaux. L.A. Coalition développe aussi une stratégie de communication et sera très prochainement visible sur le web.
Elle travaille étroitement avec l’Observatoire des répressions des libertés associatives, créé début 2019 à l’initiative de l’Institut Alinsky, pour documenter un large éventail d’expériences d’acteurs de la société civile, victimes de répression.
Le programme d’action de la Coalition s’étale pour l’instant, jusqu’à juin 2020.
...
rôle de Framasoft
... outiller numériquement ... Le second plutôt stratégique, concerne la campagne « Contributopia ». Sur la page d’accueil de Framasoft, nous annonçons vouloir « changer le monde, un octet à la fois ». Sur celle de contributopia.org il est inscrit que nous voulons « explorer les mondes numériques où l’humain et ses libertés fondamentales sont respectés ». Il s’agit donc de sortir du logiciel libre et de sa communauté plutôt privilégiée pour nous confronter aux réalités d’autres associations de terrain qui, elles aussi, font de leur mieux pour changer le monde. ... dernier aspect est lui clairement politique ... Sans rejeter les modèles entrepreneuriaux (SAS, SARL,… ou même les modèles coopératifs tels que les SCOP/SCIC), nous pensons que la liberté de « faire association », la possibilité de s’organiser et de mettre en œuvre des actions collectives dans un cadre qui soit volontairement non-marchand est absolument fondamentale. Nous n’avons jamais caché être très critique de l’archétype de la « startup nation », non seulement parce qu’il renforce le modèle du capitalisme de surveillance, mais aussi parce qu’en se voulant un modèle dominant, il écrase de fait les autres modèles possibles. Un exemple ? Quand la French Tech se voit offrir un cadeau de 5 milliards d’euros, le « grand plan pour les associations » annoncé par le président est lui de …28 millions d’euros (mais pas sous forme d’aides, on vous laisse lire l’article pour découvrir le tour de passe-passe visant à faire des associations des « sous-entreprises »). ... nous constatons autour de Framasoft une très alarmante multiplication des répressions, parfois violentes, parfois beaucoup plus insidieuses (comme la fin des emplois aidés, les procès baillons, etc.). ...
A l’occasion d’une réunion des ministres européens de l’énergie, 19 organisations de la société civile, parmi lesquels l’Aitec, Attac France, les Amis de la Terre France ou le CCFD-Terre Solidaire, ont appelé les États membres de l’UE à quitter le Traité de la Charte de l’énergie. Initié dans les années 1990, longtemps laissé dans l’oubli, ce Traité qui regroupe plus d’une cinquantaine d’États, est aujourd’hui utilisé par les multinationales de l’énergie pour attaquer les pouvoirs publics lorsque ces derniers prennent des mesures, notamment en matière de transition énergétique, qui contreviennent à leurs intérêts.
...
notamment celles des énergies fossiles, et donc d’aller à l’encontre des objectifs de lutte contre les dérèglements climatiques.
Connu / https://twitter.com/StopTAFTA/status/1177105561881632768
"
Maxime Combes a retweeté
Stop TAFTA/CETA @StopTAFTA · 26 sept.
19 organisations de la société civile appellent les pays de l’UE à quitter le Traité sur la Charte de l’énergie
Ce traité est aujourd’hui utilisé par les multinationales de l’énergie pour attaquer les politiques de transition énergétique
Image
Rules For Corporations et 9 autres
"
«Agir avant qu’il ne soit trop tard» : le manifeste du nouveau mouvement Place publique - Libération
Appel
«Agir avant qu’il ne soit trop tard» : le manifeste du nouveau mouvement Place publique
— 6 novembre 2018 à 19:05
Les fondateurs du mouvement Place publique Jo Spiegel, Claire Nouvian, Raphaël Glucksmann, Thomas Porcher et Diana Filippova, à Paris, lundi. Photo Boris Allin. Hans Lucas pour Libération
Les fondateurs de Place publique, parmi lesquels Raphaël Glucksmann, Claire Nouvian et Thomas Porcher, veulent proposer, à l'aune des élections européennes, une offre politique égalitaire et antiautoritaire. «Libération» publie en exclusivité leur manifeste.
«Agir avant qu’il ne soit trop tard» : le manifeste du nouveau mouvement Place publique
L’essayiste Raphaël Glucksmann, l’économiste Thomas Porcher, la militante écologiste Claire Nouvian, l'entrepreneuse Diana Filippova et d’autres personnalités de la société civile lancent ce mercredi un nouveau mouvement, baptisé Place publique, qui veut «répondre à des urgences», démocratique, écologique, sociale et appelle au rassemblement pour les européennes. Ci-dessous, retrouvez en exclusivité le manifeste de ce mouvement qui joue la carte de la «société civile».
Agir pour lutter contre le réchauffement climatique et préserver le vivant. Agir pour empêcher que la montée des inégalités ne disloque nos sociétés. Agir pour endiguer la vague identitaire et autoritaire qui s’abat sur nos démocraties. Agir pour construire une Europe démocratique, solidaire et écologique. Agir pendant qu’il est encore temps.
Nous avons entendu les cris d’alarme des scientifiques sur le dérèglement climatique et nous avons pris acte de la date de 2030 comme le moment de bascule dans l’irréversibilité de la catastrophe. Nous voyons ces millions de vies brisées par le chômage et la précarité, nous voyons la colère monter contre la sécession sociale en cours, nous voyons notre démocratie kidnappée par des lobbys qui dévoient chaque jour un peu plus nos institutions. Nous avons été ébranlés par le Brexit, par les triomphes d’Orbán, de Trump, de Salvini, de Bolsonaro et, surtout, par l’absence de remise en cause de nos élites. Nous ne pouvons laisser celles et ceux qui nous gouvernent continuer les mêmes politiques jusqu’à l’effondrement final.
Agir politiquement. Partout en France, et bien au-delà, des millions de citoyennes et de citoyens se mobilisent déjà et prennent en charge à leur échelle les transformations vitales que nos gouvernements refusent d’assumer. Coopératives paysannes sur les circuits courts, associations se battant pour préserver les solidarités sociales ou lutter contre les discriminations qui défigurent la République, tiers lieux réinventant l’espace public, collectifs œuvrant à un accueil digne des exilés ou s’opposant aux projets climaticides, élus locaux mettant en place la démocratie participative, ONG luttant contre l’évasion fiscale, tous essaient, à leur niveau, d’infléchir le cours des choses. Mais sans prolongement politique, ces luttes, ces engagements, ces espérances, ces succès ne suffiront pas à enrayer notre marche collective vers l’abîme. «Politique» : nous assumons ce mot. Nous venons d’horizons différents, nos votes ne furent pas toujours identiques, nos opinions peuvent diverger sur certains points, mais nous sommes toutes et tous d’accord sur l’essentiel et nous avons toutes et tous conscience de vivre un moment de bascule.
Voilà pourquoi nous lançons Place publique. Ce mouvement, construisons-le ensemble. Sans exclusive. Nous ne sommes pas des professionnels de la politique, mais nous avons la volonté, par-delà nos divergences, d’unir nos forces pour remettre les citoyens au cœur de l’action publique, pour reprendre la maîtrise de notre destin, pour renouer avec la promesse républicaine d’égalité si souvent trahie, quelles que soient nos origines, nos croyances ou notre lieu de résidence. En partant des idées, des solutions, comme des mobilisations de terrain, nous devons construire un mouvement ouvert à toutes celles et tous ceux qui partagent les principes de solidarité sociale, de respect du vivant, de renforcement de la démocratie et de promotion des droits humains. Organisée autour de causes communes et animée par des porteurs et porteuses de cause, Place publique se fixe comme mission d’accueillir les luttes et les expérimentations existantes, de les mettre en relation les unes avec les autres, de forger à partir d’elles une vision du monde et de porter un projet alternatif à l’atomisation sociale et aux passions autoritaires. De partir du terrain et des idées pour produire une nouvelle offre politique. À toutes celles et tous ceux qui chaque jour font plus que leur dû pour faire bouger les lignes, à toutes celles et tous ceux qui sont désireux de s’engager mais ne savent ni où ni comment le faire, nous lançons un appel : regroupons-nous avant qu’il ne soit trop tard. Il ne s’agit pas là d’un énième appel à sauver le monde, mais de l’acte de naissance d’un mouvement qui a vocation à se structurer sur tout le territoire français et au-delà, à travers l’Europe, à multiplier les réunions publiques, à contrer les lobbys et à bouleverser le champ politique. Retrouvons-nous et, ensemble, investissons la place publique !
Signataires : Judith AQUIEN dirigeante et fondatrice d’organisations pour la dignité des personnes en exil, Nayla AJALTOUNI militante associative, Farid BENLAGHA chef d’entreprise, Saïd BENMOUFFOK professeur de philosophie, Charles BRAINE militant associatif, ancien marin pêcheur et co-fondateur de la plateforme Petite Pêche, Pierre-Natnaël BUSSIÈRE étudiant, Lucas CHANCEL économiste, Vincent CARRY acteur culturel européen, Olivier DUBUQUOY géographe, universitaire et militant écologiste, Diana FILIPPOVA chef d’entreprise, auteure, Laure FOURTEAU-LEMARCHAND consultante en responsabilité sociale des entreprises, Raphaël GLUCKSMANN essayiste, Aziliz GOUEZ chercheuse, militante européenne et ancienne plume du président irlandais, Caroline KAMAL juriste, Jérôme KARSENTI avocat, Thierry KUHN responsable associatif, Dan LERT adjoint au maire du XIXe arrondissement de Paris, juriste, Claire NOUVIAN fondatrice et présidente de l’association Bloom, Thomas PORCHER économiste, Jo SPIEGEL maire de Kingersheim, Rui WANG responsable associatif, cofondateur de l’association des jeunes Chinois de France, André ZAJID essayiste, enseignant.
partager
tweeter
Laurent Joffrin
La lettre politique
de Laurent Joffrin
Recevez tous les jours le billet politique de Laurent Joffrin
Après cet article
Politique
A gauche, des nouveaux dans la Place
partager
tweeter
Contenus sponsorisés
Contenus sponsorisés
Portrait
Frédéric Chevallier, droit de suite
L’avocat général du procès de Jacqueline Sauvage redit son refus de faire une héroïne de cette femme, coupable d’avoir tué son mari violent.
06.11.18
Politique
A gauche, des nouveaux dans la Place
Fondé notamment par Raphaël Glucksmann, le mouvement «Place publique», qui appelle à un large rassemblement pour les européennes, joue la carte de la «société civile».
05.11.18
Tribune
La réforme des Sciences économiques et sociales au lycée interdit toute éducation à la démocratie
En imposant une seule vision du monde économique, néoclassique et micro-économique, les nouveaux programmes en SES évitent tous les débats actuels et ne formeront pas de futurs citoyens.
07.11.18
libé matin
Midterms, effondrements à Marseille... Le point sur l'actu de ce mercredi matin
L'événement Les démocrates ont engrangé une précieuse victoire dans les élections américaines de mi-mandat, en prenant le contrôle partiel du Congrès, mais la...
06.11.18
Récit
Place publique : un chemin semé d’embûches pour former des alliances
Entre l’incompatibilité avec La France insoumise et la fin de non-recevoir des Verts, le mouvement Place publique aura du mal à rassembler. Seul Benoît Hamon lui fait les yeux doux.
04.11.18
Tribune
Populisme et démocratie par Jean-Luc Nancy
Sans «peuple», pas de démocratie, et il serait vain de réduire le «peuple» à une identité.
02.11.18
Tribune
Stop au séparatisme entre écologie et économie
Il y a urgence à intégrer les objectifs démocratiques et sociaux aux enjeux écologiques.
06.11.18
Tribune
Conseil de lecture à Emmanuel Macron : Karl Polanyi sur les années 30
Le Président devrait s'inspirer de «la Grande Transformation», une critique du libéralisme économique publiée en 1944 par l'économiste hongrois.
05.11.18
Chronique «Economiques»
Etats-Unis : un revenu universel contre l’abstention
Une étude menée dans une réserve cherokee de Caroline du Nord montre que le versement d’un revenu universel augmente la participation politique parmi les pauvres Indiens d’Amérique.
06.11.18
Chronique «La cité des livres»
Mauvaise nouvelle : le monde progresse !
Steven Pinker a déjà démontré, dans un best-seller mondial, que la violence recule dans nos sociétés. Il ajoute aujourd’hui avec un nouveau livre que le progrès est continu depuis les Lumières, et que la condition humaine ne cesse de s’améliorer.
06.11.18
Politique
Acteurs de la société civile et professionnels de la politique, des liaisons tortueuses
Même si l’initiative est plutôt rare à gauche, la création de Place publique interroge une nouvelle fois le rapport des acteurs de terrain aux partis plus traditionnels.
Le premier numéro de notre dossier est consacrée à la décision publique et au rôle de la société civile dans la démocratie.
Quels changements à venir à l’aube de ce nouveau quinquennat ?
Comment la décision publique est-elle amenée à se transformer et quelle part prendra la société civile ?
La décision publique de demain se construit aujourd’hui.
...
Page 16 démocratie participative
Page 17 droit à la participation citoyenne ?
page 22 Le CESE hors les murs
la plateforme rse
Installée au sein de France Stratégie en juin 2013, la Plateforme nationale d’actions globales pour la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) est une instance de dialogue et de concertation placée auprès du Premier ministre. Entrent dans sa composition des représentant.e.s du CESE. Elle est présidée par Hélène Valade.
Créé en avril 2013, en présence de Jacques Delors, et présidé par le député Dominique Potier, cercle politique à l'interface de la société civile et des décideurs politiques, il réunit des élus, des personnes engagées dans le mouvement social et dans le monde de l'entreprise.
Héritier à gauche de la tradition du christianisme social, est ouvert à tous ceux qui, dans la diversité de leur sensibilité, de leur croyance ou de leur non-croyance, partagent la culture humaniste inspirée du personnalisme. Dans le sillage de la pensée de Mounier, Levinas et Ricoeur.
espritcivique@gmail.com
Bureau 7646, 126 rue de l’Université 75355 PARIS SP07