346 ont signé (623 au 5/6/23)
Solidarité Paysans Jura a lancé cette pétition
Depuis plus de 30 ans, les bénévoles et salariées de Solidarité Paysans Jura accompagnent et défendent les agriculteurs en difficulté qui font appel à l’association.
Jusqu’en 2022, cette mission réalisée en partenariat avec les acteurs de terrains (Mutualité Sociale Agricole, Chambre d‘Agriculture, Tribunaux) était soutenue financièrement par le département.
Le Président du Conseil Départemental, sans débat ni consultation de l'assemblée, a décidé de ne plus verser la subvention qui maintenait l'équilibre de l'association et représentait seulement 0,45 % de l’ensemble des subventions versées aux associations par le Département.
Nous ne pouvons accepter cette décision qui va mettre fin à l'accompagnement de 80 familles et supprimer 2 emplois !
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- Pour vivre ou revivre la mobilisation que nous avons organisé le 27 février 2023 devant le Conseil Départemental : vidéo https://youtu.be/s7GhLriI-nw
- Pour faire un don à l'association, vous pouvez vous rendre sur notre page Hello Asso : https://www.helloasso.com/associations/solidarite-paysans-jura
Connu / TG le 17/04/23 à 13:35
Face à l'explosion de nombre de cas positifs, les Français se ruent sur les tests antigéniques. Les communes rurales peinent particulièrement
Connu / tg 8/1/22 15h53
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Comprendre notre futur énergétique et climatique est une conférence en 4 parties:
- Les énergies fossiles
- La Géopolitique
- L'Effet Papillon: les paramètres mondiaux
- Le futur vue du Corona
présenté par Laurent Horvath, Fondateur 2000Watts.org
Dans la Part 3: Quels secteurs consomment quelles énergies?
Toute la difficulté d'ajuster les critères (croissance, économie, climat, social, etc) et de voir leurs impacts entre eux.
Pourquoi la crise du climat et de l'énergie sont si difficile à résoudre.
Ndlr : accessible par le téléchargement, sinon il faut être abonné.
Sur le fond, est-ce difficile parce qu'il raisonne dans le paradigme d'avant l'anthropocène ? ACT
Ex. créer une monnaie des communs pour sortir de la dépendance financière et de la création d'emplois quels que soient leur "poids" en impact sur le climat, la biodiviersité, le social, etc ? ACT
Catégories Ressources naturelles
... l’ingénieur pétrolier Jean Laherrère, connu pour avoir popularisé la notion de pic pétrolier, s’est attaqué à l’épineuse question du pic des métaux. Ses conclusions, admet-il lui-même, doivent être manipulées avec prudence, parce que les réserves mondiales de métaux demeurent mal connues et que les rares sources disponibles tendent à se contredire. Le principal intérêt de cette étude consiste au final à voir l’auteur confronter les données et les soumettre à son jugement critique.
...
Dans le cas de l’uranium, l’ultime varie énormément selon les sources, mais le pic de 1981 ne semble pas devoir être dépassé et selon Laherrère, l’offre d’uranium ne répondra vraisemblablement plus à la demande dès 2040.
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On penserait qu’il existe de solides statistiques mondiales sur un enjeu aussi sérieux, mais ce n’est hélas pas le cas. Un effort international pour combler cette lacune serait très utile.
Source : Jean Laherrère, World Metals peaks, 22 mai 2021 https://aspofrance.files.wordpress.com/2021/05/metalpeaks22may.pdf.
Remédiations, (le blog des), par . Cédric Mattescot, pour partager des ressources, des informations afin de mieux comprendre les publics qui rencontrent des difficultés ou des troubles dans les apprentissages. ; une publication sous licence CC by nc nd.
Connu / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju/?DVuB4w
- Vie politique - Lien permanent
Toute force politique qui présente des candidat.e.s aux élections connaît bien la difficulté du choix provoquant souvent des claquages de portes.
Dans les partis traditionnels, cela se règle en général à coup de négociations entre les diverses tendances existantes, chacune essayant d'imposer ses candidat.e.s avec parfois des statuts qui prévoient une répartition à la proportionnelle, voire une instance nationale de négociation, la commission des candidatures, à partir de candidatures proposées à un échelon local.
La France Insoumise, n'étant pas structurée en parti avec tendances constituées, devait inventer un mode de désignation spécifique. La tâche a été confiée à un comité électoral majoritairement tiré au sort avec appel public à candidater sur la plateforme et sans présidence ni tête du comité comme j'ai pu le lire ici ou là. Chacun.e siège à égalité. Si le tirage au sort avait été truandé nous n'aurions pas eu la surprise de voir un de nos membres tiré au sort se répandre dans la presse contre le comité et contre la FI.
Nous avons privilégié le consensus, ce qui nous a amené à tenir beaucoup plus de réunions (12 souvent tout le week-end) que ce que nous avions prévu afin de ne pas trancher au forcing.
Pour la France Insoumise, un appel à candidater a été lancé nationalement par l'intermédiaire de la plateforme. Il a abouti à 637 candidatures. Nous pouvons donc dire que nous n'avons pas manqué de candidatures que ce soit pour les femmes ou pour les hommes.
Il nous fallait définir des critères pour choisir les 79 candidat.e.s. Alors oui il y a un désaccord avec Djordje Kuzmanovic pour qui cela aurait dû être "Le soutien des militants, la compétence et l’ancienneté – trois critères simples de légitimité – ont d’emblée été écartés".
Nous avons effectivement refusé de lancer les Insoumis.e.s dans des compétitions de soutien aux candidat.e.s. Vous imaginez l'ambiance que cela aurait créé ? Et les Insoumis.e.s auraient été les premiers à protester et à juste titre que cela revenait à un résultat connu d'avance : les plus visibles, les plus connus sont celles et ceux qui obtiennent le plus de soutien.
On ne peut pas non plus exiger le renouvellement, se réclamer du dégagisme et prôner une sélection à l'ancienneté. Outre qu'avoir des années de militantisme n'a jamais garanti de faire un bon élu. Enfin pour la compétence, il peut y avoir 36 définitions différentes avec le risque de faire une sélection par les diplômes aboutissant à ne sélectionner que des CSP+. Avec de tels critères combien de nos député.e.s actuels auraient été retenu.e.s comme candidat.es ?
Alors oui le comité n'a pas voulu de cette vision élitiste qui ne pouvait aboutir qu'à désigner des candidat.e.s provenant de partis politiques.
Tous les candidat.e.s ont signé une charte qui précisait notamment « Faire campagne sur la base du programme national « L’avenir en commun » et défendre son programme européen ». A partir de là, le comité n'avait pas à rechercher quelle nuance pouvait défendre l'un ou l'autre. Toutes et tous se sont engagés à défendre le même programme. Le comité électoral a-t-il éliminé « les figures aux convictions républicaines et souverainistes » ? D'abord c'est absurde car dans ce cas aucun des deux n'auraient été retenus sur la liste dès le début. Ensuite c'est totalement insultant vis à vis des autres candidat.e.s car cela revient à insinuer qu'ils et elles n'ont pas de convictions républicaines. Mais c'est aussi nier le fait que le programme de la FI revendique la souveraineté populaire.
Le comité n'a donc relégué personne en position dite non éligible en fonction de nuances politiques qui existeraient entre les membres de la FI. Cette vision, qui voudrait qu'on fasse des quotas en fonction de supposés différends politiques, revient de fait au fonctionnement des partis traditionnels où les chefs de tendances se répartissent les places pour leurs affidés.
Djordje Kuzmanovic et François Cocq, qui avaient tous deux fait connaître leur souhait d'être élus, sont convaincus de détenir la juste ligne politique de la FI et d'en être les garants contre d'autres qui essaieraient de la faire dévier, de la dénaturer. Deux justiciers politiques ? C'est peut-être un peu présomptueux ?
Une campagne se mène collectivement. Je ne connais aucune force politique qui accepte de partir en campagne avec une partie de ses candidat.e.s qui médie sur une autre partie de son mouvement. Nous l'avions dit à tous les deux, une fois candidat et la campagne démarrée, ce qui est le cas, il n'était plus possible de continuer à taper à bras raccourcis. Il y a déjà bien assez de monde hors FI qui se charge de nous invectiver avec vigueur La décision n'a donc rien d'une sanction politique sur le fond. Souverain sur la constitution de la liste jusqu'au vote final, le comité a pris ses responsabilités en constatant qu'aucun des deux n'acceptaient le fonctionnement collectif
Ensuite nous avons choisi de mettre en œuvre le non cumul de mandats pour les candidat.e.s potentiellement éligibles. C'est scandaleux nous dit-on, car cela n'a pas été appliqué au moment des législatives. Outre qu'il faut bien commencer à un moment, le fait d'être candidat.e dans une élection au scrutin uninominal avec une inconnue totale quant au résultat puisque la FI n'avait pas de député sortant, n'a rien à voir avec une position sur une liste donnant l'assurance d'être élu.e. Ainsi l'exemple de Eric Coquerel, conseiller régional d'Ile-de-France au moment de son élection en tant que député est souvent avancé. Mais il n'avait aucune certitude d'être élu (19% au 1er tour), se présentant dans une circonscription historiquement PS et avec un candidat PCF en face. Or nous étions bien incapables de savoir qui passerait devant aux législatives même si nous étions convaincus qu'il y avait une attente politique plus favorable pour la FI que pour le PCF.
Deux candidat.e.s conseillère et conseiller régionaux avaient postulé pour être éligibles :
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Liem Hoang Ngoc, conseiller régional d'Occitanie a été candidat aux législatives dans la meilleure circonscription de Haute-Garonne mais n'a pas été élu
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Corinne Morel Darleux, conseillère régionale Auvergne Rhônes-Alpes.
La 8ème place dans leur genre (femme/homme) leur avait été proposée. Ils ont tous les deux considéré que ce n'était pas à la hauteur de ce qu'ils représentent.
Au final, si nous prenons les personnes qui se sont retirées avec fracas, Liem Hoang Ngoc, Sarah Soihili, François Cocq, Djordje Kuzmanovic, plus Corinne Morel Darleux qui a annoncé quitter la FI, tous les 5 voulaient être dans les 10 premiers. Mais à un moment il faut bien faire un choix. Ces 5 personnes, si elles étaient sûres d'être élues, auraient-elles les mêmes critiques publiques contre la France Insoumise ? Je ne le crois pas.
D'autres aussi auraient bien voulu être dans ces 10 premières places, mais bien que déçu.e.s ne se comportent pas de la même façon et au contraire mènent une campagne très active et très collective. Merci de tout cœur à elles et eux qui font passer l'intérêt collectif avant leur déception personnelle.
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Défendre l'idée que la FI doit rassembler le peuple et qu'elle doit se projeter dans sa capacité à gagner la majorité dans ce pays aurait été contradictoire avec le fait de présenter une liste totalement FI, repliée sur elle-même. Il ne s'agit pas de minimiser la qualité des Insoumis et Insoumises qui avaient candidaté. Il s'agit de construire un collectif tourné vers un objectif commun, porter notre projet au niveau européen dans le cadre de Maintenant le Peuple le 26 mai 2019 et de nous projeter dans les échéances suivantes.
Jubilation malsaine face aux difficultés de l'école - mercredi 14 décembre 2016 | Jean-Luc Mélenchon
La primaire « de la droite et du centre » s’est délectée des mauvaises nouvelles qu’elle répandait sur les performances de l’école publique républicaine. D’une séquence à l’autre le tableau se noircissait de surenchères. On est passé de 20% d’une classe d’âge « qui-ne-sait-ni-lire-ni-écrire-ni-compter » à 40 % selon les délires. Sans oublier les 150 000 jeunes qui « quittent-le-système-scolaire-sans-aucune-qualification ». Le tout répété en boucle pourrait passer pour des évidences admises par tous. D’autant que les bons esprits de « gôche » répètent à l’envie la ritournelle.
Non tout le monde n’est pas d’accord avec ce « diagnostic » !