Politique Rassemblement national
Le député européen Hervé Juvin et l’ancien « insoumis » Andrea Kotarac (et tête de liste RN à la métropole de Lyon aux municipales) affirment que leur initiative n’est pas dirigée contre « contre le RN mais à côté, en complément » du parti de Marine Le Pen.
Le Monde avec AFP modifié le 16 décembre 2020 à 15h25 - Temps de Lecture 1 min.
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fonder en janvier 2021 « le parti localiste », pour mettre l’accent sur l’écologie, l’identité, ou les territoires, en « complément » du RN, traditionnellement plus centralisateur.
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promouvoir « une décision au plus près des territoires, l’écologie authentique ou les circuits courts », et publient un long manifeste, intitulé « Chez nous ! », qui estime que les « Français n’ont plus leur mot à dire » face à une « technocratie parisienne hors sol », et qu’ils ont un « sentiment de dépossession et de colère ».
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« le renouveau du localisme et des identités est un facteur d’intégration ». « Chez nous ! c’est l’inverse de vivre seul avec son écran, c’est ensemble au café du coin, à la sortie de l’école ou au match de football », fait valoir Hervé Juvin ... Le RN, qui est culturellement « très exigeant sur les fonctions régaliennes, sur la centralisation et la verticalité, a besoin de transformer sa vision du pouvoir en intégrant ce besoin d’horizontalité et de différenciation locale »
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« C’est parce qu’on est fier de la petite patrie », c’est-à-dire le village ou la région, « qu’on peut défendre la grande patrie », ajoute Andrea Kotarac, qui défend un « renforcement d’idées, de crédibilité » sur l’intelligence artificielle, la subsidiarité, l’Europe ou encore la justice sociale « que le RN ou d’autres partis ne portent pas assez ».
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Il a réalisé une étude prémonitoire au sein de “mondes qui se parlent encore trop peu” (défense, agriculture, sécurité, alimentation, risques, société civile, collectivités locales, monde associatif, consommateurs).
Il a analysé un impensé, formulé des pistes de réponses à la question relative au « plus vieux sujet du monde » qui est le lien essentiel, mais désormais oublié, entre l’alimentation et la sécurité.Il s’attache en particulier à articuler, depuis plusieurs années, les thèmes des ressources, du continuum sécurité-défense, de la gouvernance et des adaptations, sous le prisme des priorités d’engagement et de la saturation des infrastructures de sécurités.
Il a ainsi publié en juin 2019 un livre-enquête issu d’un mémoire de recherche de Mastère spécialisé en gestion des risques sur les territoires, intitulé « Résilience alimentaire et sécurité nationale » https://www.thebookedition.com/fr/resilience-alimentaire-et-securite-nationale-p-367243.html, lauréat du prix « Information préventive et résilience des territoires » au Forum national sur les Risques Majeurs et a directement inspiré au Sénat.
Concepteur de la première formation de Mastères Spécialisés de France « Risques d’effondrements et adaptations », inspirateur et consultant sur l’intégration du risque de rupture d’approvisionnement alimentaire dans les Plans Communaux de Sauvegarde, il pointe la nécessité de préparer les populations et d’enrichir et d’élargir la Loi de Modernisation de la Sécurité Civile, afin de contribuer à ce que tous les acteurs, citoyens et consommateurs compris, soient co-producteurs de sécurité collective. Il considère que la double contrainte carbone (climat et énergie) nécessite une préparation active des populations et les sensibilise, à partir de la nourriture, aux grands défis de l’Anthropocène.
PLUS: écologie ; tribune ; Rassemblement national ; Marine Le Pen ; lfi
Jean-Luc Mélenchon, Président du groupe France insoumise à l'Assemblée nationale et candidat à la présidentielle
Quelle est l’écologie du Rassemblement national? Coucou, revoilà l’ancien naturalisme identitaire de la vieille extrême droite.
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Marine Le Pen parle à l’Assemblée nationale ... d’écologie https://www.huffingtonpost.fr/entry/loi-climat-castex-exclut-toute-approche-ayatolliste_fr_603e595cc5b6ff75ac3f9adf ... Écologie de bonnes intentions, écologie de rupture avec le système économique dominant, écologie d’accompagnement, il y a mille variations sur ce thème ... revoilà l’ancien naturalisme identitaire de la vieille extrême droite. Ça s’appelle: le “localisme” https://www.huffingtonpost.fr/entry/a-frejus-marine-le-pen-lisse-son-discours-avant-les-municipales_fr_5d7e40e6e4b03b5fc8854973 ... conformisme. Elle y travaille de longue main par d’importantes cotisations au système dominant. Comme Macron, elle cultive le double langage sur les traités de libre-échange
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Un accompagnement hargneux du macronisme
Ce mardi, ... présentation d’un “contre-projet” https://www.lejdd.fr/Politique/ecologie-marine-le-pen-presente-son-contre-projet-de-referendum-4030232 ... pronucléaire et obsession anti-éoliennes ... elle commence par écarter tous les sujets qui fâchent. Et ce sont précisément ceux qui comptent. Que pense Marine Le Pen de la précarité énergétique? Du manque d’investissement dans le ferroviaire? Du fléau du plastique? De l’omniprésence de la publicité? Rien. Absolument rien. 5000 amendements ont été déposés en commission sur le projet de loi Climat. Mais il n’y en a pas un seul de sa part ... en appui au Président, il n’y a aucune question sur les pesticides. Elle fuit le sujet avec constance ... En 2020, elle a voté pour la réautorisation des néonicotinoïdes ... pas concernée par les ravages de l’agro-industrie ... malgré ses mièvreries sur les réseaux sociaux en compagnie des chats, elle était absente lors de l’examen du projet de loi contre la maltraitance animale ... aux côtés des députés LREM ... nouveau modèle: l’écologie d’évitement
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si rien n’est fait pour réduire drastiquement nos émissions de gaz à effet de serre, un seuil climatique décisif sera franchi. Et près de la moitié de la population mondiale vivra dans des régions en situation de stress hydrique. De même, si la température augmente de 2°C, 280 millions de personnes seront déplacées par la seule montée des eaux.
Ainsi, là aussi, 2022 est la dernière station avant le désert. Il faudra donc bien choisir son écologie. Marine Le Pen et Emmanuel Macron sont les deux visages d’un même aveuglement où rien ne change sinon la teinture verte du vieux libéralisme. Et comme chacun le sait, dans le capitalisme vert, le problème ce n’est pas le vert. On ne règle pas un problème dans le cadre des règles qui l’ont produit.
LIRE AUSSI
- Après l'euro et le Frexit, nouveau revirement européen de Marine Le Pen https://www.huffingtonpost.fr/entry/marine-le-pen-ne-veut-plus-suspendre-les-accords-de-schengen_fr_60141c35c5b653f644d31836
- Pour Marine Le Pen, les éoliennes valent bien quelques arrangements avec la réalité https://www.huffingtonpost.fr/entry/marine-le-pen-eoliennes_fr_5ca89692e4b047edf95ada62
Elodie Ferra a partagé un post dans le groupe Agriculture, Élevage & Alimentation
Des impacts positifs en terme d'emploi, d'économie, de réduction de déchets, de découverte gustative...
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Tr.: ... 2 repas végétariens par semaine ...
Ndlr : commune française située dans le département des Alpes-Maritimes
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vidéo à https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?qT_NIA
Problématique Centres adaptation appareillage
Notre projet Le Problème
Comment mettre en place des centres d'appareillage low-tech en Afrique?
Notre solution unique
Afin de faciliter l'accès aux prothèses et réduire les coûts de production, on propose de mettre en place des centres d'appareillages basés sur les principes du Low-Tech. Pour cela nous souhaitons mettre en place un nouveau modèle de centre d'appareillage moins énergivore et produit à partir de matériaux sourcés localement.
Notre équipe Marie Buon Porteur d'idée Elloise Coyle Ingénieur Meriel HART Expert UX/UI Laurie Lacorre Porteur d'idée Amicie Rérolle Développeur Porteur d'idée Augustin Raynaud Développeur Alberic Thord Ingénieur
Connu / https://twitter.com/groupeinsa/status/1329844976306581508
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Groupe INSA @groupeinsa Cette année 2 prix du jury: le premier attribué à Low Tech Team dont le projet eco-responsable et low-tech dans sa globalité à impressionné le jury
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Citer le Tweet Groupe INSA @groupeinsa · 20 nov.
Le prix coup de coeur du jury pour cette 2ème Nuit de l'innovation solidaire est attribué par Jérôme Chevalier, enseignant @insadelyon twitter.com/groupeinsa/sta…
41 Ko 6:52 PM · 20 nov. 2020·- 1 Tweet cité 2 J'aime
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L'arnaque de la décentralisation dans un monde globalisé
Format 11X16 cm, 192 pages, 10 Euros, version numérique: 5,99 Euros. Collection «Ruptures»
Rapprocher le pouvoir du citoyen , instaurer la « démocratie participative, soutenir le développement territorial et l'économie « de proximité…
A l’approche des élections municipales, on assiste à une surenchère des mots d’ordre localistes et décentralisateurs. On les retrouve dans tous les discours politiques, de la gauche à l’extrême-droite en passant par la droite et les socio-démocrates.
La participation des habitants et les promesses de changement « par en bas » sont dans tous les programmes. Les démarches et les listes « citoyennes », plus ou moins instrumentalisées par les partis traditionnels, se multiplient. Même le président de la République s’affiche localiste : en réponse à la crise de « Gilets jaunes », il promet une nouvelle phase de décentralisation pour la deuxième moitié de son mandat. A en croire nos élites, c’est donc par l’action municipale ou régionale que les problèmes économiques, sociaux, environnementaux ou démocratiques pourraient être résolus...
Ce livre s’attache à déconstruire ce mensonge. Car la mondialisation, elle, ne rapproche pas le pouvoir du citoyen, mais l’éloigne considérablement. Les décisions économiques sont concentrées aux mains des grandes firmes et de leurs actionnaires, et s’imposent aux peuples par delà les principes démocratiques. Les droits sociaux sont en régression permanente à cause de la concurrence internationale. Et la classe politique n’en finit plus de se discréditer en obéissant aux injonctions des marchés.
La « mondialisation heureuse » ayant fait long feu, c’est le « localisme heureux » qu’à présent on cherche à nous vendre. Le terroir et les circuits courts pour compenser les ravages de la mondialisation. Le régionalisme pour masquer le désengagement de l’État, la destruction ou la privatisation des services publics.
Cette « illusion localiste » doit être dénoncée. Non pas que l’action de proximité soit négligeable, car s’engager dans la vie locale est tout à fait nécessaire. Mais pour sortir du piège de la mondialisation, cela ne suffit pas. Plutôt que d’opposer l’action locale et celle de l’État, mieux vaudrait les articuler.
Lire un extrait L'illusion localiste http://www.editions-utopia.org/wp-content/uploads/2019/11/Extraits-A.-Bernier.pdf
Lire l'ITW dans Socialter http://www.editions-utopia.org/socialter-1/
Utopia, 2020
Description
« Rapprocher le pouvoir du citoyen... instaurer la démocratie participative... soutenir le développement territorial et l'économie de proximité... »
Ces mots d'ordre localistes et décentralisateurs se retrouvent dans tous les programmes politiques, plus encore à l'approche des élections municipales ou régionales.
Si l'on s'en tient au discours officiel, l'action locale, les circuits courts, le régionalisme... permettraient de résoudre les problèmes économiques, sociaux, environnementaux ou démocratiques bien mieux que l'action nationale.
Même de grandes en treprises et des institutions comme l'Union européenne vantent les avantages de la proximité. La « mondialisation heureuse » ayant fait long feu, c'est le « localisme heureux » qui doit maintenant nous faire rêver.
Ce livre s'attache à déconstruire cette illusion.
Avec la mondialisation, les décisions économiques sont concentrées aux mains des grandes firmes et de leurs actionnaires : leur pouvoir s'impose aux peuples par- delà les principes démocratiques, réduisant considérablement la liberté des citoyens et des territoires.
En parallèle, une certaine décentralisation transfère des pouvoirs aux élites locales mais organise le désengagement de l'État et le recul des services publics.
Sans discréditer l'action de proximité et l'engagement citoyen, l'auteur dénonce cette arnaque politique. Au lieu d'opposer l'action locale et celle de l'État, il propose de les articuler.
Aurélien Bernier
Utopia, Paris, 2020, 192 pages, 10 euros.
Après avoir déconstruit la fable de la « mondialisation heureuse », Aurélien Bernier s’attaque dans son dernier essai à celle d’un « localisme » tout aussi béat. L’idéologie a imprégné le Parti socialiste au cours des années 1970, à la faveur de son repli électoral sur les mairies, de l’essor de la question écologique et de l’émergence d’une « deuxième gauche » antiétatiste. Bernier pointe les faux-semblants des lois de décentralisation de 1982 et 1983, qui amorcent en fait un processus de regroupement forcé des collectivités. Or cette régionalisation, favorisée par l’Union européenne, étouffe l’économie locale, l’éligibilité aux fonds structurels européens étant conditionnée au respect de la libre concurrence et de l’ouverture aux investissements privés. L’exemple de l’annulation d’un référendum prévu par le Gers sur les organismes génétiquement modifiés au motif que le département n’est pas compétent pour interdire une expérimentation autorisée nationalement illustre l’« arnaque » consistant à faire passer la « proximité » administrative pour de la démocratie.
plateforme internet trouver les fruits et légumes cultivés localement près d’un code postal, qu’ils soient en provenance des producteurs locaux mais aussi des jardins ou vergers de particuliers. L’objectif étant d’arriver à consommer local et donc responsable mais aussi de lutter contre le gaspillage alimentaire et de (re)créer des liens entre personnes d’un même quartier ou d’un même village.
Les producteurs eux aussi ont la possibilité de vendre leurs déclassés et surplus afin de lutter contre le gaspillage.
Comment soutenir cette démarche?
– Proposer vos surplus de jardins et arbres fruitiers, vous ferez des heureux(ses) c’est certain ! (si vous n’êtes pas intéressé(e) par l’aspect pécunier, vous pouvez reverser les gains générés à une association qui lutte pour la protection de l’environnement).
– Achetez les fruits et légumes sur Le Potager d’à côté c’est participer à la lutte contre le gaspillage alimentaire, consommer de bons fruits et légumes locaux et soutenir un producteur qui dédie son énergie et son temps à mieux vous nourrir.
– Parlez de la plateforme et motivez vos proches de passer à l’action 🙂
En 5 mois, près d’une tonne de fruits et légumes locaux vendus et 200 kilos de surplus pas allés à la poubelle
22 place du champs de mars Ruelle sur Touvre ( itineraire )
Taillecavat (Gironde), reportage
Au cœur de la campagne bordelaise, une famille d’éleveurs laitiers a décidé de ne plus fournir l’industrie agroalimentaire et de nourrir les vaches intégralement à l’herbe. Ce changement de modèle de production vaut au Château Le Pis de produire aujourd’hui un lait d’exception.
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Dans les années 1980, il y avait 2.500 éleveurs laitiers en Gironde, il n’en reste que 63 aujourd’hui. ... la famille Mazière fait reproduire une race ancienne, la bordelaise, autrefois réputée pour les qualités gustatives de son lait. Dans les années 1890, elle est élue meilleure laitière de son époque. ... seule exploitation du département à pratiquer la monotraite, c’est-à-dire une seule traite par jour contre trois ailleurs. Nos vaches n’en ont pas besoin. On ne les pousse pas. On ne leur donne pas d’ensilage, ni de soja, pour qu’elles produisent plus », explique Lysiane Mazière. Les premières années, l’exploitation a vu ses chiffres chuter. La production moyenne par vache en Aquitaine est de 8.000 L par an et par vache , au Château Le Pis, c’est 3.600 L. « Si on parle quantité, on est les plus mauvais élèves d’Aquitaine ; en qualité, on est les meilleurs ! » assume fièrement Lysiane Mazière. Pour s’en sortir économiquement, la famille est passée à la vente directe et valorise par ailleurs son lait en fabricant des desserts. ... lait dit « cru » est en effet un lait simplement réfrigéré à 4 °C après la traite. Il ne se conserve que trois jours ... L’ensilage acidifie le lait. Quand les éleveurs ont commencé à nourrir leurs bêtes avec cet aliment (ici, c’était dans les années 1980), le lait est devenu imbuvable ... selon le docteur Dominique Angèle Vuitton, de l’Institut national de la recherche agronomique (Inra), le risque de contracter ces maladies est aujourd’hui quasi nul en raison des nombreux contrôles vétérinaires et de l’amélioration des conditions d’hygiène dans les élevages. La présence d’une flore lactique est en revanche nécessaire pour la santé. Par ailleurs, c’est aussi elle qui donne au lait ses qualités gustatives. ... L’exploitation est en conversion bio. Les résultats d’analyse sont tellement bons que l’organisme de certification leur a permis de gagner une année ...
L’esprit d’initiative
"Stop aux kilomètres dans mon assiette"
Par Emmanuel Moreau
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De nombreux freins demeurent
En France, plusieurs textes de loi sont favorables à l’élaboration de solutions au plus près des producteurs. C’est le cas de la réglementation sur la valorisation des biodéchets des gros producteurs, ou encore, plus récemment, de la loi du 17 août 2015 sur la transition énergétique pour la croissance verte, qui instaure l’obligation de généraliser le tri à la source des déchets à l’horizon 2025.
Néanmoins, de nombreux freins existent encore et limitent le déploiement des micro-méthaniseurs urbains. Il reste, malgré les quelques démonstrations pilotes citées précédemment, à démontrer que ces technologies sont suffisamment maîtrisées et robustes pour répondre aux exigences sanitaires, environnementales et sécuritaires européennes.
La réglementation n’est d’ailleurs à ce jour pas vraiment adaptée : en France, si un arrêté est en cours de révision pour la mise en œuvre du compostage de proximité, il n’inclut pas la micro-méthanisation. Celle-ci doit donc faire l’objet d’une autorisation en tant qu’installation classée pour la protection de l’environnement (ICPE), dont la complexité pourrait rebuter les porteurs de projets.
D’autre part, la performance environnementale et le coût global de réseaux urbains de micro-unités de méthanisation doivent être évalués. Enfin, l’implantation même de ces unités bouscule l’organisation des systèmes de gestion centralisée des déchets. Il convient donc de repenser les métiers associés à cette gestion. De même, dans un contexte décentralisé, l’exercice de la responsabilité de la collecte et du traitement de déchets doit-il rester du ressort des EPCI ou revenir aux communes ou encore à l’échelle des producteurs de déchets ?
Tous ces freins sont autant de questions que propose d’étudier le projet européen H2020 DECISIVE afin de démontrer l’intérêt et la viabilité de ce nouveau paradigme de gestion décentralisée des biodéchets urbains.
Clés : environnement développement durable recyclage pollution solutions énergies renouvelables villes déchets économie circulaire méthanisation biogaz