Des microbots ont été développés par des chercheurs de l'Institut des systèmes intelligents et de robotique du CNRS pour déplacer des cellules biologiques. Imprimés en 3D, ils fonctionnent grâce au principe des pinces optiques. Ils pourraient être utilisés dans la recherche contre le cancer et l'assistance médicale à la procréation.
Clés : Robotique, Impression 3D , Santé
Edison Gerena, docteur en robotique au sein de l'Institut des systèmes intelligents et de robotique (Isir) du Centre nationale de la recherche scientifique (CNRS), a développé des microrobots capables de déplacer des cellules biologiques en suspension dans un liquide. Ils ouvrent de nombreuses perspectives dans le domaine de la biologique.
Le recours à l'impression 3D
Ces robots mesurant une dizaine de micromètres ont été fabriqués grâce à la fabrication additive. C'est l'équipe de l'Institut Franche-Comté électronique mécanique thermique et optique – Sciences et Technologies (FEMTO-ST) qui s'est chargée d'imprimer les robots à l'aide de l'imprimante 3D de l'entreprise Nanoscribe. Celle-ci a été choisie car elle est capable d'imprimer à une résolution de 100 nanomètres.
Additifs - 181 557 signatures
foodwatch, Yuka et la Ligue contre le cancer s’associent pour exiger une alimentation sans nitrites ajoutés - l’interdiction des additifs E249 (nitrite de potassium), E 250 (nitrite de sodium), E251 (nitrate de sodium) et E252 (nitrate de potassium) - particulièrement utilisés dans les viandes transformées comme la charcuterie industrielle.
Président : Frédéric Henry
Depuis 1954, Lubrizol France, dont le siège social est basé à Rouen, développe son activité de fabrication et de vente d'additifs pour lubrifiants. Elle fournit des additifs pour les huiles pour moteurs et autres fluides de transport, des additifs et fluides pour les lubrifiants industriels et des additifs pour l’essence et le carburant diesel.
Avec ses 3 sites de production basés à Rouen, au Havre et à Mourenx, Lubrizol France est la principale filiale étrangère du Groupe Lubrizol Corporation et le premier exportateur de Haute-Normandie.