Jean-Yves Le Drian, le dernier ministre de l’Empire français
Françafrique ; Guerre ; Industrie ; Macron
Il fut haut fonctionnaire avant de se saborder. Aujourd'hui journaliste et écrivain, il raconte les malheurs de la Françafrique et porte la voix de ceux qui la combattent.
C’est le grand survivant du hollandisme et un des piliers du macronisme. Jean-Yves Le Drian, l’actuel chef de la diplomatie française, est sans discontinuer au gouvernement depuis bientôt dix ans. Il a été le ministre inamovible de la défense sous François Hollande, et l’inamovible ministre de l’Europe et des affaires étrangères sous Emmanuel Macron. Et pourtant… Son nom charrie de nombreuses affaires et scandales, qui peinent à émerger sur la scène médiatique française. Entre ventes d’armes, Françafrique et amitiés avec des dictateurs, retour sur un personnage puissant et décrié.
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En passant en revue plus de 400 études sur le lien entre la diminution de la fiscalité des entreprises et l’augmentation de l’activité économique, deux économistes ont mis en évidence leurs nombreux biais statistiques et idéologiques.
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Finalement, « les baisses d’impôts sur les entreprises ont peut-être stimulé la concurrence fiscale internationale, mais elles ne semblent pas avoir significativement soutenu la croissance économique », concluent les auteurs. Un résultat à garder en tête lors de la campagne électorale qui s’annonce, où certains candidats ne devraient pas manquer de surenchérir sur le thème des entreprises étouffées par la fiscalité...
Écologie Enquête
Ancien commandant du GIGN et acteur du drame d’Ouvéa en 1988, Philippe Legorjus veut créer dans le Finistère la plus grande exploitation industrielle d’algues en Europe. Avec l’aval des autorités, ce projet labellisé bio se développe en dépit des risques et contre l’avis de nombreux habitants.
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Algolesko, une start-up finistérienne qui y produit principalement en bio deux algues brunes comestibles : du wakamé et de la laminaire sucrée
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Au large de Plobannalec-Lesconil, village portuaire du sud du Finistère, 3 000 habitants, des centaines de bouées constellent plus de 154 hectares en pleine mer. Et sous chaque bouée, des cordes, lestées par des blocs de béton posés sur le sol marin, supportent des plantules d’algues. ... Timothée Serraz, directeur général d’Algolesko ... à destination d’entreprises agroalimentaires qui les intègrent dans des plats préparés ou vendues au secteur cosmétique ... en pleine réserve de biodiversité Natura 2000 ... Algolesko a déposé, cette même année 2013, une autre demande d’exploitation au large de Moëlan-sur-Mer
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Le code de l’environnement ne prévoit pas de monoculture d’algues d’une telle ampleur, explique à Mediapart Brieuc Le Roch, chargé de mission juridique à Eau & Rivières de Bretagne ... privatisation du domaine maritime public et les associations ont estimé que, face à une si grande emprise sur la mer, cela nécessiterait, a minima, une étude environnementale poussée et une étude d’impact sur les espèces avicoles et marines
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Des algues dangereuses pour l’écosystème
... algue invasive https://www.researchgate.net/publication/269393400_Les_especes_marines_invasives_en_Bretagne ... Jean-Pierre Roullaud, de l’association Bretagne vivante-Quimperlé ... Maire sans étiquette de Moëlan-sur-Mer de 2014 à 2020, qui a saisi la justice contre Algolesko, Marcel Le Pennec était auparavant enseignant en biologie marine à l’université de Bretagne occidentale
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la journaliste Catherine Le Gall a publié un livre-enquête https://www.editionsladecouverte.fr/l_imposture_oceanique-9782348059360 au long cours intitulé L’Imposture océanique - Le pillage « écologique » des océans par les multinationales. Elle rappelle pour Mediapart que les velléités industrielles d’Algolesko sur le domaine maritime public s’opèrent dans un contexte de « ruée vers les océans ». « Les entreprises privées, ayant épuisé les ressources terrestres, dirigent désormais leur appétit sur un nouveau continent à exploiter : les mers. Et les algues attisent toutes les convoitises »
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« Les conflits d’usage pour l’accès au littoral – logements, loisirs, activités de production, etc. – sont énormes en Bretagne, confie Maëlle Turriès, chargée de mission « mer et littoral » pour Eau & Rivières de Bretagne. En Finistère, c’est vraiment la guerre. Donc, forcément, cela pose question… »
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Le commandant du GIGN a ensuite fondé, dans les années 1990, une des plus importantes sociétés d’intelligence économique française, Atlantic Intelligence, qui a œuvré pour Vivendi, Total ou Arcelor. Puis au début années 2010, Philippe Legorjus s’est reconverti dans le business écolo en lançant le groupe Vuelto, une société spécialisée dans le photovoltaïque, depuis mise en liquidation judiciaire.
En 2013, l’ex-militaire débarque dans le Finistère avec l’entreprise Algolesko : « Il y a une tradition marine dans ma famille ... »
« La première impression que donne Philippe Legorjus, c’est qu’il est très sûr de lui, témoigne Yannick (prénom changé), un ancien salarié d’Algolesko. C’est une personne qui se vante d’avoir le bras long ... « Philippe Legorjus m’a asséné que le projet se ferait malgré mon opposition car il avait des appuis, déclare pour sa part Marcel Le Pennec, l’opposant et ancien maire de Moëlan-sur-Mer. Cela se voyait qu’il avait la DDTM [Direction départementale des territoires et de la mer] dans la poche ... L’octroi des concessions en mer se réalise sous l’égide de la DDTM, un service préfectoral où les fonctionnaires sont affiliés au corps d’officiers de carrière de la marine nationale ... commission des cultures marines, composée essentiellement de professionnels de la conchyliculture et de représentants de services de l’État ... Dominique Gontier, animateur local d’Eau & Rivières de Bretagne, siégeait ... « Cette commission se présente avant tout comme un “facilitateur de projets”. C’est un entre-soi sidérant où l’État est au service des intérêts privés
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Une entreprise biberonnée aux aides
L’algoculture industrielle explose ... plus de 30 000 tonnes d’algues sont importées de Norvège ou du Chili chaque année ... “croissance bleue” ... la journaliste Catherine Le Gall ... logique d’accaparement ... « Philippe Legorjus a une capacité à ramener beaucoup de fonds alors que l’activité à Lesconil n’est pas rentable, affirme Yannick ... beaucoup de dépenses car le matériel s’arrache sans cesse à cause des vents ... socialiste Jean-Yves Le Drian ... Breizh’Alg https://ceser.bretagne.bzh/jcms/preprod_169085/fr/le-programme-breizh-alg?current_category=preprod_118873&portal=wcrb_173564
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Un manque de consultation publique
L’ex-patron du GIGN compte parmi ses réseaux l’Institut de Locarn, un think tank libéral niché au cœur de la Bretagne réunissant les grands dirigeants économiques de la région et les décideurs politiques bretons. L’institut a ainsi été fréquenté par Jean-Yves Le Drian à l’époque où il présidait la région. Philippe Legorjus a certifié à Mediapart « bien évidemment » connaître des personnes de ce lobby patronal breton à l’origine du célèbre label « Produit en Bretagne ». Avec son fils, Éric Legorjus, directeur d’une firme fournisseuse de gaz en Bretagne, ils ont été plusieurs fois conviés pour intervenir au sein de l’Institut de Locarn.
Coprésident de l’association Rivière et Bocage Belon Brigneau Merrien (RBBBM), Antoine Champlon révèle pour sa part : « Le Parti socialiste local était favorable à l’implantation de ce projet. Or les rapports entre Philippe Legorjus et le PS sont très bons, notamment via Louis Le Pensec, un proche de Jean-Yves Le Drian, une figure socialiste qui fait la pluie et le beau temps dans le Finistère. » ... Le président de la communauté de communes et maire de Moëlan-sur-Mer jusqu’en 2014 est alors le socialiste Nicolas Morvan, ancien attaché parlementaire de Louis Le Pensec ... Parlementaire de la circonscription de Moëlan-sur-Mer entre 1973 et 2008, Louis Le Pensec a été, en tant que ministre des départements et territoires d’outre-mer de 1988 à 1993, acteur de la signature du traité de paix d’août 1988 à l’issue de la tragédie de la grotte d’Ouvéa
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En septembre 2015, plus de 500 habitants ont été jusqu’à battre le pavé ... Les premières bouées accrochées dans les concessions ont déjà toutes été arrachées par les puissants vents marins du Finistère.
Toutes les deux semaines, Fabrice alias le Stagirite porte un regard décalé sur l'actualité et les stratégies de communication des puissants. L'ironie n'empêchant pas l'analyse rigoureuse.
Présidentielles 2022
Dans notre contexte de pré-campagne, les sondages semblent jouer un rôle déterminant : certaines candidatures sont crédibilisées, d’autres sont déjà qualifiées de “petites candidatures”. Être bien placé dans les intentions de vote, c'est déterminant pour prendre le leadership d’une alliance, capter le “vote utile”, et même pour réclamer des désistements.
Les sondages sont non seulement un enjeu dans la compétition entre organisations politiques, mais aussi dans la compétition interne aux organisations politiques. Avant, pour être désigné candidat, il fallait être bien placé dans l'appareil du parti. Désormais c'est surtout avoir la cote dans les sondages qui permet de faire la différence.
Par un genre de “vote utile interne”, les adhérents ou les sympathisants font leur choix non seulement en cherchant celui qui représente le mieux leur sensibilité, mais aussi en pensant à celui qui est déjà le plus populaire auprès du grand public, afin de l’emporter par la suite.
Aujourd'hui on a donc une situation politique où les partis ne jouent plus de la même manière leur rôle dans la détermination des élites gouvernantes. Situation que le philosophe Bernard Manin appelle la “démocratie du public”.
Dans son livre Principes du gouvernement représentatif, paru en 1995, Manin retrace les origines historiques et théoriques de notre régime politique. Il analyse la manière dont s’organise le rapport entre gouvernants et gouvernés.
À la fin du 18e siècle on pensait que si l’on voulait instaurer une démocratie, un gouvernement du peuple par lui-même, il fallait mettre en place des dispositifs comme la participation directe des citoyens, le tirage au sort des gouvernants, le mandat impératif, la révocabilité des dirigeants. Or le régime dont on a hérité - que Manin appelle "gouvernement représentatif" - a précisément été pensé (par Madison et Sieyès notamment) et construit en opposition à de tels dispositifs démocratiques.
Le gouvernement représentatif est un mélange d'éléments démocratiques, et d'éléments aristocratiques, un mélange entre participation populaire et élitisme. Ce sont bien les citoyens ordinaires qui désignent les dirigeants (élément démocratique), mais une fois élus, les dirigeants prennent leurs décisions de manière autonome (élément aristocratique).
Manin distingue trois grandes époques du gouvernement représentatif : le parlementarisme au XIXe, la démocratie de partis au XXe avec l’installation du suffrage universel, et la démocratie du public vers les années 1970 avec le développement des médias de masse.
Ce qui nous intéresse c’est de savoir si le passage de la “démocratie de partis” à la “démocratie du public” donne plus ou moins d'autonomie de décision aux dirigeants, et aux candidats aux élections. Manin penche pour la première option : dans la démocratie du public, les dirigeants (président, ministres, députés, etc.) gagnent en autonomie sur les citoyens qui les ont désignés, par rapport au temps de la démocratie de partis.
Dans la “démocratie de partis” les partis politiques reflétaient les intérêts de classe, les différents blocs sociaux, et le personnel politique s'y conformait. Les clivages sociaux s’imposaient aux candidats via le parti.
Mais il s’est produit un certain nombre de bouleversements entre l'après-guerre et les années 90 : transformations du monde du travail, le perte d'influence de la religion dans la société, la chute du bloc de l'Est, l'essor d'un média de masse comme la télévision, la moindre affiliation des journaux aux organisations politiques, etc.
On a alors assisté à un effritement des fidélités partisanes : l’électorat se détermine moins à partir de sa condition socio-culturelle qu’au cas par cas, selon le type d’élection, de la personnalité, des thèmes proposés. En d'autres termes, on a un électorat plus volatil.
En “démocratie du public”, l’opinion publique s’éparpille en une multitude d'enjeux, qui ne recoupent pas parfaitement les blocs idéologiques plus homogènes et cohérents que proposent les partis. L’état de l’opinion publique peut ne plus coïncider avec ce que votent les gens.
En contexte de démocratie du public, le candidat est beaucoup plus autonome à l'égard de son organisation : il peut même imposer en partie sa lecture à son parti, réagir plus rapidement à l'actualité ou au dernier sondage, quand la machinerie idéologique d'un parti met beaucoup plus de temps à se transformer. Le candidat potentiel peut donc maintenant se permettre de procéder par tâtonnement, essais et erreurs, à partir de sondages, en lançant des ballons d'essais ou en tentant des coups médiatiques.
Nombreux sont les candidats à la présidentielle qui prennent leur distance avec leur parti, voire créent leur propre mouvement : Jean-Luc Mélenchon et Emmanuel Macron en 2016, Arnaud Montebourg ou Eric Zemmour aujourd’hui. De son côté Xavier Bertrand quitte les LR en 2017 en faisant le calcul que la sélection du candidat de la droite se ferait par sondages.
Aujourd'hui on vit toujours sous le régime du gouvernement représentatif. Si bien que même dans la "démocratie du public", il demeure un principe élitiste : les gouvernants et les aspirants au pouvoir exercent une certaine domination sur les simples citoyens. Manin explique que ce pouvoir repose notamment sur le fait que l’élite politique a l'initiative dans la proposition d'une offre politique, à laquelle les citoyens ne peuvent pas (ou peu) contribuer et ne font donc que réagir (p. 285).
On aurait pu croire qu'en se débarrassant des partis, de leurs rigidité et de leur hiérarchie bureaucratique, on allait rapprocher l'élite de la base, favorisant ainsi le contrôle des dirigeants par les citoyens.
Mais ce que montre Manin c'est qu'il se passe le contraire : un accroissement de la domination du personnel politique sur les citoyens. Il en est de l’électorat comme du public d'un théâtre : il est seulement spectateur, alors que dans la démocratie de partis, le parti était censé aider ses membres à participer à l'écriture de la pièce. Du moins lorsque les militants parvenaient à contrecarrer la tendance à la rigidification bureaucratique d'une direction peuplée de professionnels de la politique - ce que le sociologue Robert Michels a nommé "la loi d'airain de l'oligarchie".
On comprend que l'enjeu est de trouver la forme d'organisation militante qui présente les avantages des partis sans les inconvénients. Tout spécialement pour les classes populaires ; la bourgeoisie dispose de bien d'autres réseaux pour faire valoir ses intérêts.
L'enjeu est aussi de ne pas laisser à des groupes d’intérêts privés (médias, instituts de sondages) le monopole sur l'organisation du débat public et sur la détermination des critères de mise en avant des candidats.
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Dans ce nouvel épisode, Le Collectif BNM a organisé une conférence de presse en urgence le mardi 31 août 2021 suite à la mise en place de grilles sur le pourtour du terrain d'implantation de la bassine SEV 17 à Mauzé-sur-le-Mignon et à la présence 24h/24 d'un agent de la sécurité et de ses chiens pour garantir la "sécurité" du lieu.
Julien Le Guet, Jean-Jacques Guillet et Klaus Waldeck interviennent pour nous expliquer la situation, la responsabilité de l'Etat, des élus et des Associations de Protection de la Nature signataires du protocole dans le démarrage des travaux alors que tous les recours en cours ne sont pas jugés et que les engagements des exploitants agricoles ne sont pas remplis.
Nous en appelons à nous mobiliser sur tout le mois de septembre et ceux qui suivront pour nous opposer à un quelconque démarrage des travaux.
Les dates à retenir :
- Dimanche 5 septembre : Manifestation à Saint-Sauvant (86) contre les bassines de la Sèvre Niortaise et du Mignon
- Mardi 21 septembre : Conférence avec Florence Habets - Hydroclimatologue à 20H à Roches-Prémarie-Andillé
- Mercredi 22 septembre : Grand banquet paysan co-organisé par BNM, la Confédération Paysanne et soutenu par les Soulèvements de la terre en parallèle du Congrès de la FNSEA qui se déroulera à Niort. Rdv 12H sur la place de la Brèche à Niort
- Samedi 25 septembre : Manifestation à Longré (16) contre les bassines d'Aume-Couture
Soyons aux RDV ! NO BASSARAN ! Site : https://bassinesnonmerci.fr/
Connue / https://twitter.com/lessoulevements/status/1434559967621697536
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Les Soulèvements de la Terre @lessoulevements · 5 sept.
Panneau d'avertissementPOURQUOI SE MOBILISER CONTRE LES MEGA-BASSINES ? Vague
Le collectif Bassines non merci nous raconte tout ça en vidéo : les travaux sont imminents, c'est le moment d'entrer en résistance Poing levé !
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Question écrite déposée au journal officiel :
Mme Clémentine Autain alerte M. le ministre de l’Europe et des affaires étrangères sur les exactions commises depuis plusieurs jours à Jérusalem contre la population palestinienne.
La répression menée actuellement par le régime de Netanyahou à Cheikh Jarrah, dans la vieille ville de Jérusalem, constitue un nouveau jalon insupportable de violences dans sa politique d’expropriation. Les nouvelles qui nous viennent font état de nombreuses exactions et de dizaines de blessés. L’assaut qui a visiblement été mené aujourd’hui au sein de la mosquée Al-Aqsa témoigne de la violence de la répression en cours.
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... Dijon ... Essayons d’être juste et de rappeler que Jean-Luc Mélenchon n’a rien dit de farfelu ou révolutionnaire. La réflexion sur l’armement apparent de la police est engagée dans de nombreux pays, notamment l’Allemagne ou les pays scandinaves, dans le cadre d’une réflexion plus large sur la doctrine du maintien de l’ordre. Ce qui évidemment n’a rien à voir avec des attaques menées par la pègre tchétchène, à l’arme lourde type Kalashnikov, et qui, de toute façon, ne peuvent être traitées par des forces de polices classiques, aussi armées soient elles.
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Pourquoi un tel rejet systématique, alors que la présidente du Rassemblement National semble traitée avec plus de mansuétude ? Il y a bien longtemps qu’on ne s’étrangle plus d’indignation sur ses propos outranciers, alors que la moindre déclaration de Jean Luc Mélenchon est analysée, triturée, contestée, moquée.
Pourquoi ces indignations à géométrie variable quand la première raconte a peu près n’importe quoi
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propension à utiliser Marine Le Pen pour disqualifier Jean-Luc Mélenchon. est non seulement malsaine mais elle est dangereuse car elle donne chaque jour un peu plus de corps et de respectabilité à un mouvement, qui malgré le ripolinage de sa façade, reste profondément axé sur la préférence nationale et tout son cortège d’oripeaux.
Connu / https://twitter.com/francoisedegois/status/1273126676797546499
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francoise degois @francoisedegois
Le mauvais procès permanent fait à #Melenchon et la prime a #Le Pen. Analyse sur @NosLendemains #ViolencesPolicieres #soignants #Dijon
Le mauvais procès permanent fait à Melenchon et la prime à Le Pen - Nos Lendemains
Les ricaneurs sont à la fête. Ils s’en donnent même à cœur joie. Depuis quelques jours, alors que les images ultra violentes de Dijon et des commandos
7:33 AM · 17 juin 2020·547 Retweets 761 J'aime
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