EP 17 - Parlons sexualité durant le deuil - 18 oct. 2022 / Ainsi va la vie, le podcast
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👉 Les défis ne me font pas peur!
Comment aborder deux sujets plutôt tabous à savoir LE DEUIL ET LA SEXUALITE dans un épisode ? En rencontrant une spécialiste généreuse et sensible !
Je vous présente Isabelle Chaffai. Thérapeute familiale et conjugale, sexologue depuis plus de 25 ans, Isabelle Chaffai est une adepte de la communication positive et non violente. Reconnue pour son éthique, son parcours et ses compétences, elle est co-fondatrice de la fondation "Santé sexuelle et affective Jean-Yves Desjardins" et a créé les séminaires "Vivre en amour".
La relation de couple, les relations amoureuse et sexuelle sont fertiles pour nous connaître. Elles sont un terrain d’évolution pour chacun et chacune de nous mais une épreuve de vie telle que le deuil peut profondément bouleverser notre vie intime.
De l'addiction à la pornographie à l'abstinence, de l'incompréhension entre partenaires au toucher qui permet de reprendre contact, Isabelle Chaffai nous offre des pistes essentielles pour mieux vivre son couple dans cette période si tourmentée.
Nous parlons ensemble vie sexuelle et affective pour améliorer la communication entre partenaires et éviter un possible éloignement physique.
Parmi les questions que nous abordons :
- En quoi le deuil nous affecte-t-il ?
- Emotions versus génitalité: Les différences de fonctionnement entre les hommes et les femmes.
- Comment le deuil peut-il impacter la fonctionnalité sexuelle ?
- Qu'est-ce que le sentiment amoureux et en quoi peut-il être entamé par un deuil ?
- Comment l'approche sexocorporelle s'appuie-t-elle sur les lignes de force des partenaires
- La reformulation pour développer son écoute de l'autre
- Développer la qualité du toucher affectif et intime dans le couple
- Oser la sexualité pendant un deuil périnatal
- Se ré-ouvrir à une vie intime quand la relation à son propre corps s'est transformée
Liens utiles :
https://commentvivreenamour.com
https://fondationsantesexuelle.com/
https://sexocorporel.com/fr
Cet épisode a cumulé les soucis techniques et le son n'est pas aussi bon qu'habituellement. J'espère que cela n'impactera pas votre écoute ni l'intérêt que vous porterez au contenu ! Merci de votre compréhension. 🙏
Modifié le : 19/11/2021 Publié le : 25/06/2021 Temps de lecture : 7 min Expertises collectives
Ce document présente la synthèse issue des travaux du groupe d’experts réunis par l’Inserm dans le cadre de la procédure d’expertise collective pour répondre à la demande de cinq directions de l’État, la Direction générale de la prévention des risques, la Direction générale de la santé, la Direction générale du travail, la Direction générale de la recherche et de l’innovation, ainsi que le secrétariat général du ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation. Ce travail s’inscrit dans le cadre de l’actualisation du rapport d’expertise collective Inserm intitulé Pesticides : Effets sur la santé, publié en 2013.
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Télécharger les documents
- Résumé de l’expertise collective Pesticides et santé – Nouvelles données (2021)
- Synthèse de l’expertise collective Pesticides et santé – Nouvelles données (2021)
- Rapport intégral de l’expertise collective Pesticides et santé – Nouvelles données (2021)
- Version anglaise ...
- En vidéo : Journée d’échanges autour de l’expertise collective « Pesticides et effets sur la santé – Nouvelles données » (30 juin 2021)
Les pesticides regroupent l’ensemble des produits utilisés pour lutter contre les espèces végétales indésirables et les organismes jugés nuisibles. Qu’il s’agisse de pesticides autorisés aujourd’hui ou utilisés par le passé (dont certains sont rémanents), ils suscitent des inquiétudes concernant leurs effets possibles sur la santé humaine et plus largement sur l’environnement. Afin de mieux apprécier leurs effets sanitaires, l’Inserm a été saisi en 2018 par cinq directions générales ministérielles en vue d’actualiser l’expertise collective intitulée « Pesticides : Effets sur la santé » publiée en 2013.
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Exposition en milieu professionnel
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Exposition pendant la grossesse ou l’enfance
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Exposition des riverains des zones agricoles
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Focus sur le chlordécone, le glyphosate et les inhibiteurs de la succinate déshydrogénase
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En conclusion
L’expertise souligne l’importance de réévaluer périodiquement les connaissances dans ce domaine. La confirmation et la mise en évidence de présomptions fortes de liens entre certaines pathologies et l’exposition aux pesticides doivent orienter les actions publiques vers une meilleure protection des populations.
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les effets indirects de certains pesticides sur la santé humaine par le biais des effets sur les écosystèmes. L’interdépendance en jeu mériterait d’être davantage étudiée et intégrée, au même titre que les aspects sociaux et économiques afin d’éclairer les prises de décisions lors de l’élaboration des politiques publiques.
Connue / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?Km-96g
4.217 signatures - 12 commentaires
Nature et environnement
Auteur(s) : Gerdi/
Destinataire(s) : https://www.acro.eu.org
La pétition
L’opérateur de la centrale accidentée de Fukushima (Tepco) avait annoncé le 25 août 2021 vouloir déverser dans l’océan plus d’un million de tonnes d’eau contaminée, issue des opérations de refroidissement des réacteurs endommagés par le séisme et le tsunami géant en 2011.
Douze ans après Fukushima, la pollution radioactive reste très élevée et le Japon va déverser dans l’océan Pacifique ces plus de 1 000 réservoirs d’eaux usées produites par le refroidissement des réacteurs de Fukushima.
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L'eau tritiée étant très semblable à de l'eau ordinaire, son importance en radiotoxicité dépasse celle du gaz tritium parce qu'elle est assimilée par l'organisme représentant un grave danger sur la santé publique des populations du pacifique : îles et archipels français d'Océanie, Australie...
Après la présentation du plan de relâchement des eaux, l’Institut océanographique américain de Woods Hole (Massachusetts) a signalé que les eaux traitées comprennent toujours des isotopes tels que le carbone 14, le cobalt 60 et le strontium 90. Ils sont toxiques et peuvent être incorporés dans la faune et la flore marines ou les sédiments du fond marin.
Aussi, le gouvernement Japonais n’a pas de retour fiable sur les études scientifiques, le gouvernement Japonais doit faire preuve de recul sur les conséquences à venir pour notre planète.
Des témoignages montrent que des habitants ont perdu leurs cheveux, ainsi que des enfants qui jouaient avec la poussière des retombées. Aussi, quelques années plus tard, les taux de cancers ou de malformations congénitales y sont toujours élevés.
La Polynésie française et des îles australiennes ont aussi souffert des retombées radioactives, moins intenses toutefois, cependant l’océan ne connaît pas de frontière et se chargera de mettre à la dérive l’intégralité de ses eaux usées dans l’océan du Pacifique.
James Bhagwan, un militant anti-nucléaire fidjien dit « Nous avons l’habitude d’être le dépotoir en ce qui concerne la question des déchets nucléaires » , récemment interrogé par le magazine « Vice américain ».
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Mouvement pour la sécurité de la planète.
Connu / TG le 17/05/23 à 13:13
La première médiation consacrée aux pesticides en plaine d’Aunis s’est déroulée ce lundi à La Rochelle. Les riverains ont apprécié l’exercice mais redoutent une impasse.
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« La médiation sur les pesticides ne doit pas seulement apaiser les discours. Il ne s’agit pas de problématiques de voisinage, mais de santé publique », rappelle une mère de famille. AFP/ Remy Gabalda
Une quarantaine d’agriculteurs et presque autant de riverains ont débattu des pesticides ce lundi soir à La Rochelle dans le cadre d’une médiation inédite en Charente-Maritime. Près de trois heures d’échanges « dans l’écoute et le respect », aux dires des participants, ont permis de souligner les positions et attentes de chacun.
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Député européen et membre d’EELV, Benoît Biteau dresse un constat similaire : « On laisse la chambre d’agriculture dérouler ses arguments sans adversité, la médiation peut sembler pertinente mais elle est verrouillée en réalité ! » Invité à la dernière minute, lui n’a pu se libérer ce lundi pour assister à ces échanges et dénonce dans un communiqué « l’opacité qui entoure [cette] initiative ».
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ou encore la plantation de haies nouvelles.
Selon un rapport, les villes qui s’engagent auprès des citoyens et les placent au centre de leurs politiques climatiques obtiennent de meilleurs résultats en matière de santé publique, d’intégration sociale, d’économie et d’environnement
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Connu / TG 22/10/22 à 11:05
Nils Wilcke a retweeté
Le coin des LGBT+ @lecoindeslgbt · 9 juil.
Si vous êtes un homme gay / bi / pan ou une personne trans ayant plusieurs partenaires, ou un.e travailleurse du sexe, il est conseillé de vous faire vacciner contre la variole du singe dès la semaine prochaine. Protégeons-nous !
Image d'illustration sur la Vaccination
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Clés : Démocratie ; Gouvernement ; Libertés numériques ; Santé ; Surveillance
Dans un texte inédit publié par Le Média, l'écrivain Joseph Andras met en garde contre la loi "inique, infecte et inefficace" instaurant le pass sanitaire. Face aux manœuvres du gouvernement et à la société de surveillance qui s'installe pas à pas, un mot d'ordre : "Faire tomber le pass, amplifier la lutte".
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Une société de contrôle technologique
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Les caméras de vidéosurveillance saturant l’espace public ? Plus personne ne songe à les briser. La reconnaissance faciale ? Le 19 juillet dernier, le conseil régional d'Auvergne-Rhône-Alpes l’adoptait – à « titre expérimental », bien sûr – dans les gares et les trains. Elle sera donc généralisée. Dans les colonnes du Monde diplomatique, Serge Halimi s’élevait, il y a peu, contre « l’invasion galopante du numérique et du traçage de nos vies intimes » que favorise, à la manière des dispositifs de contrôle largement institués par le gouvernement chinois, l’entreprise macroniste en cours. Force est d’admettre que seule la littérature de science-fiction s’est montrée en mesure d’annoncer ce qui se trame sous nos yeux, en France comme ailleurs : la division hiérarchique du corps social supervisée par un code matriciel et la police en arme.
L'extrême droite à la barre ?
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Que la mobilisation soit confuse à ce jour, la chose est patente. Que la lutte contre le pass et son monde soit traversée de contradictions, grêlée de revendications troubles et délétères, c’est l’évidence. Deux fautes, une même impasse : nier la portée populaire et transpartisane de la mobilisation, chaque semaine plus conséquente et désormais approuvée par la moitié de la population ; nier son segment toxique et contre-révolutionnaire (libertariens, fascistes, antisémites, illuminés).
... on ne compte plus les citoyens vaccinés hostiles au pass. Superposer le rejet du premier et du second relève de la manœuvre gouvernementale. Le vaccin diminue, c’est établi, la transmission du virus, le nombre de cas symptomatiques, d’hospitalisations et d’admissions en soins critiques. Il ne saurait toutefois, comme vient de le rappeler l’OMS, être « le seul outil » : il convient de mener une « approche globale » à échelle internationale, soucieuse du déséquilibre Nord/Sud, et de se « concentrer sur les personnes les plus vulnérables ».
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Le gouvernement est entièrement responsable de la gronde et des débordements : il ment ... La défiance de la rue est légitime. La colère, aussi. Pendant ce temps, Pfizer et Moderna se gavent sur le dos des peuples ...
Faire tomber le pass, amplifier la lutte
Année après année, les libéraux ont fracassé le service public ... supprimé des dizaines de milliers de lits d’hospitalisation ... propositions de l’opposition parlementaire : réquisitions, nationalisations, injection de fonds dans l’hôpital public, création d’un pôle public du médicament, installation de purificateurs d’air, mise en place d’une société par roulement, etc.
... modèle de société ... lois sur la « sécurité globale » et le « séparatisme » ... pas « la liberté » (qui, on le sait, peut devenir celle du plus fort), mais bien l’égalité ... les syndicats, l’association ATTAC et l’Observatoire de la transparence dans les politiques du médicament https://www.bastamag.net/pass-sanitaire-obligation-vaccinale-tests-PCR-payants-annonces-Macron-aucune-pedagogie-Jerome-Martin – l’abolition immédiate du « système de tri » entre les citoyens à l’augmentation des moyens pour le système de santé et des salaires pour le personnel en première ligne, la gratuité définitive des tests et la levée des brevets, la suppression de la barrière d’accessibilité au vaccin et la construction d’une confiance vaccinale par le seul consentement libre et éclairé, la liquidation des réformes du chômage et des retraites. On pourra, alors, parler d’une « politique sociale et de santé juste et démocratique » https://france.attac.org/se-mobiliser/marches-des-libertes/article/pour-une-politique-sociale-et-de-sante-juste-et-democratique.
thomas legrand a retweeté Michel Mompontet @mompontet · 7h
Surtout ne partagez pas ce texte très fort du Dr Jérôme Marty. Il paraît que Bigard Lalanne et leurs gugusses auraient horreur de le retrouver partout.
Ndlr : en réaction à quels propos ou attitudes ? apprendre ACT
Article par Philippe Ségur
Chronique classée dans Droit administratif
RDLF 2021 chron. n°20
Mot(s)-clef(s): consentement, expérimentation médicale, obligation vaccinale, Santé publique
Est-il juridiquement possible de rendre la vaccination anti-covid obligatoire ? En
considérant les autorisations de mise sur le marché délivrées pour les vaccins et
le droit positif applicable, la réponse paraît négative. En effet, la question de
l’obligation vaccinale, bien que souvent évoquée, l’est rarement sous l’angle qui
devrait être le sien : celui de l’expérimentation médicale à propos de laquelle les
règles du droit de l’Union européenne comme celles du droit français sont
clairement établies.
Par Philippe Ségur, Professeur de droit public à l’Université de Perpignan Via Domitia
Connu / Mel
Sujet : [france] Excellente analyse juridique sur l'obligation vaccinale
Date : Sun, 18 Jul 2021 09:42:11 -0400
De : PDR
Dans son dernier bulletin de situation épidémiologie, Sante Publique France, révèle pour la première fois les chiffres des infections nosocomiales de SARS-CoV-2. Alors que 15 654 cas et 89 décès sont liés à des infections contractées à l’hôpital, les signalements de personnels soignants contraints de travailler en dépit de leur positivité au test de dépistage sont de plus en plus nombreux. Des pratiques scandaleuses pour les syndicats, mais qui viennent d’être encadrées par la DGS et qui demeurent légales tant que la vie d’autrui n’est pas mise en danger.
...
Sur les cas dont l’origine était connue (82%), SPF précise que pour 51 % d’entre eux, un patient était en cause et pour 43 % il s’agissait d’un membre du personnel de l’établissement.
...
Les soignants positifs continuent de travailler en raison du manque de personnel
...
Travailler en étant Covid-19 +, c’est règlementaire pour les soignants, mais contraire aux recommandations de l’OMS
...
Reportage – Vidéo 23’56 - Caroline Fiat : une aide-soignante à l’Assemblée
Conviction et sincérité. Voilà ce que les personnages politiques imitent plus ou moins bien. Plus ou moins camelots, plus ou moins malins.
Rien de tout ça avec Caroline Fiat. Suffit de la voir à l’Assemblée, quand elle prend la parole, c’est sans les gants. Elle est la première aide-soignante élue députée. L’Assemblée censée représenter la France, c’est 90 % de classes supérieures et de bonne bourgeoisie. Pas le moindre ouvrier.
Pendant sept ans, Caroline Fiat a été aide-soignante en Ehpad privé, avant de se faire virer. Quand elle se bat contre la destruction de la santé publique, elle sait de quoi elle parle. Quand le journaliste de France Inter lui demande : « est-ce que vous ne vous sentez pas finalement condamnée à ne pouvoir que crier ? », elle garde son calme. Elle enchaîne.
Le mépris, à l’Assemblée, elle connaît. La sourde oreille aux remontées du terrain, des solutions viables inappliquées, un Ségur de la santé loupé, des services de réanimation au bord de l’explosion, des soignants au bout du rouleau, un hôpital public au bord du gouffre. « C’est pas décourageant ? », demande le journaliste de France Inter.
Oui, conviction et sincérité.
Des gens comme ça existent même si on les voit moins que beaucoup d’autres. Ils deviennent nécessaires aujourd’hui en ces temps obscurs. Devant la nouvelle vague de la pandémie, elle a décidé de reprendre le boulot au CHU de Nancy tout en assurant son travail de députée. C’est là que nous sommes venus la voir. Mais attention, pas question de faire la vedette, pas question de faire un plan com.
Conviction et sincérité, espérons que c’est contagieux.
reportage : Imen Mellaz
image : Jonathan Duong
montage : Amélie Brunet
son : Jules Krot
... diffusion de plusieurs clones plus transmissibles dont le variant VOC 202012/01, apparu en Angleterre au mois de septembre, et le variant 501.V2 qui a émergé au mois d’octobre en Afrique du Sud. Selon l’OMS, ces deux clones se sont rapidement propagés dans le monde, ayant atteint respectivement 60 et 23 pays et territoires, dont la France.
La circulation de variants plus contagieux dans la population risquant d’aggraver la situation épidémiologique actuelle, le Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP) préconise de ne porter que des masques chirurgicaux ou des masques en tissu de catégorie 1 (norme Afnor) et d’étendre la distanciation physique de 1 à 2 mètres entre chaque personne.
...
Consciente de la menace que représente la diffusion de variants plus contagieux dans la population, l’Académie nationale de médecine recommande de ne pas modifier les gestes barrière tels qu’ils ont été définis et améliorés depuis plusieurs mois, mais de répéter qu’ils sont plus que jamais nécessaires et de rappeler les bons comportements :
– le masque facial doit être porté en permanence dans l’espace public, même quand la distanciation physique devient supérieure à 1 mètre ;
– il doit couvrir la bouche et le nez et doit être changé au bout de 4 heures ou lorsqu’il devient humide ;
– l’état des masques en tissu doit être contrôlé après chaque lavage avec détergent, toute trace de détérioration devant entraîner leur élimination ;
– le port obligatoire du masque dans les transports en commun, où la distanciation physique ne peut être respectée, doit s’accompagner d’une précaution très simple : éviter de parler et de téléphoner.
Connu / https://twitter.com/pretalemploi/status/1352737871120248837
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Jean-Marc Le Hunsec @pretalemploi · 5h via @acadmed
Lisez, jusqu'au bout, vous m'en direz des nouvelles.
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Publié il y a 1 jour • 19 vues Avatar du compte Le Média Par lemediatv
Le 07 octobre dernier le décret autorisant l’expérimentation du cannabis à usage thérapeutique paraissait au journal officiel. En gélule, en huile mais aussi en fleurs séchées à vaporiser, c’est bien du cannabis traditionnel, à teneur régulé en THC qui sera utilisé.
L'efficacité de la plante que les symptômes invalidants de pathologies chroniques, en soins palliatifs ou sur les effets secondaires de certains traitements est déjà largement documentée. Ce test sera donc essentiellement celui de la sécurisation du circuit de distribution de ce nouveau type de médicament.
Mais avec les changements de cadre légal qui en découle, la distinction cannabis à CBD et cannabis récréatif paraît plus que jamais brouillée. La société française semble donc plongée en plein paradoxe entre la pénalisation des consommateurs de cannabis et cette expérimentation.
Ce test grandeur nature du cannabis sur 3000 patients et pour une durée de deux ans ouvre donc de nombreuses questions éthiques, de l’accessibilité des soins de santé pour tous à la stratégie de santé publique autour de l’usage d’une plante controversée.
Alors “ Cannabis thérapeutique: l’hypocrisie française”. Bienvenus dans le deuxième numéro de symptômes critiques. #Canabis #Santé #Prohibition
Vie privée Publique
Publié originellement : 01 novembre 2020
Catégorie : Actualité & Politique
LicenceInconnu LangueInconnu
Étiquettes : Actualité ; Cannabis ; France ; Santé ; Thérapeuthique
Durée 51 min 35 sec
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Transcription : ... Bertrand Rambaud, 2 associations ont fusionné pour fonder Union Francophone pour les Cannabinoïdes en Médecine ... THC, CBD, ... expérimentation avec l'université de strasbourg, financer une recherche. L'USM / UFCM va s'engager pour les CARUD associations, les former,
Connu / https://seenthis.net/messages/870284
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Articles repérés par Hervé Le Crosnier hier
Par :
- Jean-Francois Alesandrini - ancien directeur des affaires publiques à DNDi
- Benjamin Coriat - professeur émérite de sciences économiques
- Stéphanie Leyronas - chargée de recherche à l’Agence française de développement
Le coronavirus oblige à repenser les problématiques de la marchandisation de la santé. Et à permettre ainsi aux plus démunis d’accéder aux traitements et à un futur vaccin, soulignent trois chercheurs.
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Révélatrice des inégalités sociales à travers le monde et des insuffisances des structures publiques de soins, le Covid-19 bouscule l’ordonnancement de la recherche en matière de santé publique. Elle appelle à des outils appropriés, au bénéfice du plus grand nombre, et d’abord des plus fragiles.
Revoir les règles du jeu pour construire une santé en commun devient un impératif moral, éthique, et même démocratique. En sortant du diktat de la propriété intellectuelle exclusive, des initiatives nous montrent la voie.
Jean-Francois Alesandrini, ancien directeur des affaires publiques à DNDi (Initiative médicaments pour les maladies négligées). Benjamin Coriat, professeur émérite de sciences économiques à l’université Sorbonne Paris-Nord. Stéphanie Leyronas, chargée de recherche à l’Agence française de développement
.#Communs #Médicament #Santé_publique
PS : Tiens, tiens, Jean-François Alessandrini était un des auteurs du premier livre publié par C&F éditions ( Pouvoir savoir , en 2005) et Benjamin Coriat dans une des dernières publications ( Discours de Stockholm par Elinor Ostrom, 2020, dont il a rédigé la préface).
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Le monde politique comme les éditorialistes ont beaucoup glosé sur le coup d’arrêt qu’aurait représenté l’épidémie de covid-19 pour le monde de l’économie. Les nécessités sanitaires seraient venues suspendre la bonne marche économique ; la santé d’un côté, la production et le profit de l’autre. Dans cet article, l’économiste et philosophe Jacques Fradin démontre qu’il n’en est rien, que biopolitique et capitalisme, loin de s’opposer, ont de tous temps marchés main dans la main ; aujourd’hui plus que jamais. [NDLR : Un post-scriptum à propos du récent discours d’Emmanuel Macron à propos de l’Europe a été ajouté à cet article le 23 juillet.]
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Connu / https://framasphere.org/posts/9894116
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Ours Noir - il y a environ une heure
Le confinement […] n’est que la nécessité, passagère, du maintien de la bonne santé ou de « la vie » médicalisée pour la perpétuation, future, de la bonne économie.
.#Politique #Économie #Santé_Publique #Santé-Publique #SantéPublique #Épidémie #Covid-19 #Confinement #Biopolitique #Contrainte #Néolibéralisme #Jacques_Fradin #JacquesFradin #JacquesFradin #Fradin #Lundimatin #lundiam #France #France2020 #2020 #fr
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Coronavirus ; Santé
Quand le physicien David Mendels, l’invité de Denis Robert du TPA de ce soir, est rentré de voyages en janvier dernier et qu’il a vu grimper les taux de contamination au Covid en Asie, il a compris vite que les tests sanguins individualisés seraient un des enjeux et une des solutions du problème. Directeur technique d’une start up française - Xrapid -, spécialisée en intelligence artificielle et microbiologie, forts de leur expérience avec les tests pour la malaria, lui et ses collègues ont rapidement mis au point un système pour mesurer la fiabilité des tests Covid. C’est ce qu’il nous explique ce soir : « Le Covid est un virus trop petit pour être vu en microscopie optique mais quand est arrivé la crise en France, on avait déjà deux ou trois mois de retard sur les Chinois et les Coréens qui avaient développé des tests de diagnostic rapide. »
Se basant sur un appel d’offres du Ministère de la défense pour aider à vaincre l’épidémie, profitant du confinement, l’équipe autour de David Mendels s’est mise au travail : « On s’est dit qu’on allait mettre en route notre projet. On a pu sortir un prototype en une semaine ». Un prototype de testeur de tests. Après les choses ont traîné un peu. Mais face à la quantité de laboratoires se mettant à fabriquer des tests dans un but pas uniquement humanitaire, des médecins parisiens de l’hôpital du Kremlin-Bicêtre, missionnés par l’Institut Pasteur, ont collaboré, leur envoyant 5 des 11 tests représentant plus de 2’000 dispositifs à tester. Le marché du test Covid - vendu en pharmacie autour de 40/50 euros et sur Internet entre 15 et 99 euros - est très lucratif.
Jusque-là, tout va bien. C’est ensuite que l’histoire défie l’entendement. Le Ministère de la santé a homologué une liste de 23 tests le 20 mai dernier, dont la plupart, selon les propres termes, du physicien sont « tout pourris ». Entendez par là qu’ils peuvent diagnostiquer des personnes saines comme étant malades du Covid. Et plus grave, des personnes malades, saines. Sur les 11 tests sur lesquels a travaillé David Mendels, un seul a franchi la barre de la fiabilité selon les critères établis par la haute autorité de santé (HAS) en matière de spécificité et de sensibilité. Pourtant dans la liste finale, la plupart y compris les pires, ont été homologués par le Ministère. « Je ne suis qu’un scientifique donc je ne sais pas s’il y a malveillance ou incompétence derrière cela » explique, sidéré, le docteur en physique « Mais quand les résultats se perdent à plusieurs niveaux comme c’est le cas ici, on est en droit de se poser la question de ceux qui contrôlent les contrôleurs. Et on est également en droit de nous demander si tout s’est passé de la sorte pour la gestion de la crise du Covid ? »
Cet entretien révèle un nouveau scandale de santé publique et montre que, pour des raisons troubles, des tests - remboursés par la sécurité sociale - dont on savait qu’ils étaient peu voire pas fiables, ont été mis en vente. Plus précisément, cela signifie que depuis trois semaines maintenant, des personnes qui pensent ne pas avoir le Covid puisqu’elles ont été testés négatives, l’ont probablement…
Connu / https://twitter.com/LeMediaTV/status/1270422912655331335
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Le Média @LeMediaTV · 9h ... #Covid19 - 5 - 106 - 94
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Transcription : ... pcr polymerase chain reaction ... tdr tests de diagnostic rapide lecteur de tests universel ...
Tags Politique Santé
Les mots ont un sens. « La pandémie à laquelle nous sommes confrontés exige des mesures plutôt opposées à un temps de guerre » explique l’économiste et chroniqueur de Basta ! Maxime Combes dans cette tribune.
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Pour cette soirée docu, Le Média vous propose une plongée dans l'hôpital public, tournée avant la crise du Covid-19 qui nous a été cédé par son autrice. La crise du coronavirus révèle cruellement le manque de personnel et de moyens de l'hôpital public. Grèves, manifestations, démissions de leurs fonctions administratives : les soignants sont mobilisés depuis des mois pour se faire entendre et alerter sur les dysfonctionnements de l'hôpital.
"Le prix de la vie" est un documentaire de recherche, et met en évidence tout ce qui n’est pas mesurable et qui est donc ignoré par la tarification à l’acte, qui détermine le financement de l’hôpital public. La performance dans le codage des soins, condition pour maximiser les rentrées financières, ne prend pas en compte la vulnérabilité des acteurs, leur fragilité, et la solidarité nécessaire pour préserver l’humanité de l’hôpital. Le film, tourné dans un service de gériatrie, soins aigus et soins palliatifs, révèle l’impasse d’une gouvernance basée sur la tarification à l’acte. Il interroge les outils comptables mis en œuvre et la possibilité d’autres outils de mesure, pour une approche du soin dans sa globalité.
Le film a été réalisé par Marie-Astrid Le Theule maître de conférences HDR au Cnam avec la participation de Carine Chichkowsky, réalisatrice et productrice de Survivance ; de Céline Ducreux, monteuse ; de Jérémy Morales, professeur à King’s College London et de Caroline Lambert professeur à HEC Montréal. Ce film a été financé par le Laboratoire interdisciplinaire de recherches en sciences de l'action (Lirsa), laboratoire du Cnam et le King’s college London
Certaines interviews additionnelles sont disponibles :
- Celle d'un médecin qui refuse de collaborer : https://www.youtube.com/watch?v=5LWFJ6dcnTM
- Sur la prise de pouvoir de l'administration dans les hôpitaux : https://www.youtube.com/watch?v=UOE6QSmrCV4
.#Hôpital #Docu
Catégorie Actualités et politique 144 commentaires
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Bernard Swynghedauw plaide dans cette présentation pour une écologie globale de la santé, cherchant notamment à mieux prendre en compte le microbiote dans les questions de santé publique. Il pose en filigrane la question de la capacité de l'homme à s'adapter à lui-même.
Catégorie Éducation - 0 commentaire
Transcription :
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L'homme peut-il s'adapter à lui-même ?
- Les changements environnementaux actuels semblent bien irréversibles, ou en passe de le devenir, et le seul problème sérieux n'est pas de savoir si nous pourrons les réduire mais comment et j'usqu'où nous nous y adapterons.
- L'adaptation de l'homme ne peut qu'être planétaire et sous-entend un certain degré de gouvernance à ce niveau, elle doit prendre en compte un facteur déterminant :
LES INÉGALITÉS SOCIO-ÉCONOMIQUES ET CULTURELLES.
... (son) livre recommandé "Pour une écologie globale de la santé" => ACHETER (ou à tout le moins, lire) ACT
Ndlr : a PLPDLA, le contacter ACT
L'Ecole des hautes études en santé publique (EHESP) a développé différents outils, méthodologies et formations pour accompagner les acteurs du territoire vers une meilleure intégration de la santé et du bien-être dans les politiques d'urbanisme et d'aménagement.
C'est suite au Grenelle de l'environnement, ensemble de rencontres politiques ayant offert davantage de visibilité aux questions de santé,
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l'EHESP a lancé le projet d'intégration de la santé dans les opérations d'aménagement (Isadora), porté conjointement avec l'agence d'urbanisme Bordeaux Métropole (A'urba) et la fédération nationale des agences d'urbanisme (FNAU). Prévu pour aboutir fin 2019, Isadora prendra également la forme d'un guide à l'intention des acteurs de l'aménagement. « Ce document comprendra à la fois un volet conceptuel abordant l'état des connaissances scientifiques sur les liens existants entre différentes thématiques de l'aménagement (ambiance urbaine, nature en ville, espaces publics, mobilité...) et la santé. Et un volet opérationnel permettant de prendre en compte les enjeux de santé à chaque étape de l'élaboration d'un projet d'aménagement urbain », explique Anne Roué-Le Gall, enseignante-chercheuse au département santé-environnement-travail et génie sanitaire de l'EHESP. ...