Gauche(s) Entretien
À la veille d’une rencontre entre le Nouveau Front populaire et Emmanuel Macron, la députée de La France insoumise, vice-présidente de l’Assemblée nationale, fustige un statu quo qui a trop duré et alerte sur les conséquences d’un « déni de démocratie ».
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«La Macronie et l’extrême droite ont des intérêts convergents, d’où l’installation d’un racisme structurel avec la loi immigration, que Marine Le Pen a saluée comme une victoire idéologique. On comprend mieux, en creux, l’exclusion de la gauche…»
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19:51 - 201 k abonnés - 2,9k+ - 50 904 vues - 1 088 commentaires
Revivez l'interview de Mathilde Panot sur BFMTV, le 19 avril 2024 à 8h30.
Tr.: ... question qui est posée et je regrette
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d'autant plus le vote des États-Unis hier au Conseil de sécurité de l'ONU qui a voté contre l'adhésion de l'État de Palestine à l'ONU et donc une reconnaissance qui aurait aidé justement à agir pour la paix heureusement et je le salue la France a voté pour mais la France et Emmanuel Macron pourrait reconnaître unilatéralement l'État de Palestine ... pour obtenir le cesser le feu il faut maintenir la pression internationale sur Benyamine netanahou la France a une responsabilité
1:49
la France pourrait reconnaître immédiatement l'État de Palestine la France pourrait interdire la vente d'armes à l'État d'Israël compris dans ce contexte de représaille Mutu évidment c'est justement dans C moment là qu'il faut avoir le courage de la paix ... dire à un moment il faut arrêter le génocide qui est en cours à Gaza et justement ce qu'essaie de faire Benyamin netaniaahou c'est aussi de détourner peut-être de ce qui se passe à Gaza et en Palestine donc il faut augmenter la pression internationale parce que c'est le seul moyen de faire céder Benyamin netaniaahou sur ce qu'il est en train de faire qui peut faire basculer toute la région ...
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urgence attentat et le match qui devait
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se tenir au stade Pierre Maurois Jean-Luc
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Mélenchon a parlé de d'abus de pouvoir
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de République
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bananière est-ce que la France pour vous
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est une république bananière mathil
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Panau écoutez je crois que nous avons un
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grave problème démocratique qui a été à
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de nombreuses reprises condamné par des
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instances internationales rendez-vous
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compte qu'hier en une journée pour la
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deuxième fois la conférence de Rima
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Hassan et de Jean-Luc Mélenchon a été
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annulé candidate aux européenes sur la
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liste ex manon aubry ensuite vous avez un syndicaliste qui est le secrétaire départemental CGT du Nord qui a été condamné à 1 an de prison avec surcis pour un tract en soutien à la Palestine
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puis vous avez l'interdiction de la manifestation qui doit avoir lieu dimanche un référé en cours une manifestation contre le racisme et l'islamophobie je le dis sur la conférence dans quelle démocratie en pleine campagne électorale des oppositions ne peuvent pas exercer leur liberté de réunion et d'expression bien sûr dans quelle démocratie ça existe dans quelle démocratie oui je dire que la que finalement la conférence a eu lieu mais dans une république bananière... ensuite écoutez on en a parlé dans tout le pays évidemment que ça remonte à l'Élysée évidemment que ça remonte au ministère de l'Intérieur et donc que nous avons une atteinte à la démocratie ce qui est extrêmement grave donc la différence avec Monsieur Zemour pour revenir sur votre question tout à l'heure c'est que lui contrairement à nous est un délinquant multirécidiviste sur incitation à la haine raciale et injure à caractère raciste ce que nous nous n'avons jamais fait voilà les limites de la de la liberté d'expression ...
Entretien — Idées - Durée de lecture : 11 minutes - Mis à jour le 22 avril 2024 à 13h33
Idées Numérique Grands entretiens
L’écrivain Alain Damasio sort Vallée du silicium, chroniques inspirées d’un voyage dans la Silicon Valley californienne. « Les technocapitalistes visent la libération individuelle, ils vivent dans un élitisme absolu », dit-il.
Alain Damasio, écrivain, publie Vallée du silicium (Seuil), des chroniques et une nouvelle science-fiction inspirées de son séjour dans la Silicon Valley, aux États-Unis. « La matérialité du monde est une mélancolie désormais », annonce le bandeau du livre.
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Alain Damasio — Un avenir où l’innovation technologique continuera à constituer la norme, quel que soit son impact sur nos ressources terrestres. Un avenir où le désirable pour l’humain serait son augmentation (cognitive, physique) au sens du transhumanisme. Un avenir où l’épanouissement individuel par la technologie doit primer sur les liens aux autres et aux vivants.
Ton livre se présente comme une démarche anthropologique. Pourquoi ?
À l’origine, je ne l’ai pas intentionnellement construit comme ça mais dès que tu t’interroges sur ce que la technologie fait à l’homme, tu déploies nécessairement des réflexions sur l’espèce humaine et son évolution, sur la manière dont le numérique nous transforme et dont la Silicon Valley nous façonne. Un champ crucial reste celui du corps. Les transhumanistes ont ce mot terrible pour le désigner : meat. La viande. C’est une chair morte, non irriguée. Seul le système nerveux central compte. Le reste, la chair frissonnante, les muscles, toutes nos sensations, notre sensualité fine, ne les intéressent pas, parce que cela ne véhicule pas d’information exploitable dans le régime de la trace. Ce corps est maintenu en forme par le fitness ou la course dans le seul but que le cerveau et le système d’informations puissent fonctionner.
Le corps est conçu et vécu comme une machine. La nourriture est énergie. Le sport est une hygiène. Le cerveau s’optimise. Le bien-être s’algorithme. Ce corps est désaffecté, désinvesti. C’est un corps qu’on ne sent plus, qui n’a plus d’existence et qui ne te sollicite plus parce qu’il est maintenu dans un environnement climatisé, souvent assis, et dans une absence de mobilisation émotionnelle et affective.
Cette vision machinique du corps peut être reliée à celle de la planète. Quelle conception les gens de la Silicon Valley ont-ils de la planète Terre ?
La façon dont ils traitent les corps fait écho à la façon dont ils traitent la planète. Dans les deux cas, ils se vivent comme maître et possesseur de la nature — de ma nature pour le corps. Leur degré de conscience écologique très faible m’a frappé : le peu de magasins bios par rapport à la France, par exemple. L’alimentation reste un sujet dépolitisé chez eux. La prise de conscience de l’élevage, de ce qu’il faut pour produire la malbouffe m’a semblé inexistante. Les Californiens vivent sous une climatisation constante, et ne supportent plus que le corps sorte d’une fourchette entre 20 et 25 °C, ce qui devient aussi la norme en Europe. Maintenir un corps humain à ces températures en permanence représente une dépense énergétique énorme. Pour que ce corps n’ait plus besoin de faire le moindre effort, le climat a été domestiqué. Autant, en France, nous sommes en retard de dix ans sur leurs usages quotidiens de la technologie, autant, dans cette Californie techie [passionnée de technologie], la prise de conscience écologique m’a paru très « arriérée ».
« Il faut sortir de la peur de l’autre : se confronter à l’altérité entraîne forcément de l’imprévisibilité, de l’inattendu, de la menace. » © Patrice Normand / Reporterre
Dans « Homo deus », Yuval Noah Harari parle de « surhommes » et de « castes inférieures », à propos de la société future créée par le développement des technologies. Penses-tu que cela décrit la vision des technocapitalistes ?
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vision de sociopathe.
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l’impact de la Tech est d’abord anthropologique et « souple » avant d’être militaire ou sécuritaire.
« La logique immunitaire hygiéniste appliquée au corps aboutit à la sensation que tout devient dangereux. » © Patrice Normand / Reporterre
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tension entre peur et liberté
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les logiques sécuritaires l’ont emporté, ce qui explique ce grave décalage du spectre politique vers la droite, en Europe et ailleurs. Selon moi, ce phénomène a aussi une origine anthropotechnique : la logique immunitaire hygiéniste appliquée au corps aboutit à la sensation que tout devient dangereux. Plus tu es protégé et plus tu te protèges, plus le technococon devient épais et plus tu filtres tes rapports aux autres, si bien que la moindre intrusion, agression, harcèlement ou confrontation à l’altérité te paraît problématique et difficile. Et donc, tu vas demander encore plus de sécurité et de protection. Ce cercle vicieux tend vers quelque chose qu’il faut appeler l’immunité. Mais immunité partout, humanité nulle part !
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se confronter à l’altérité entraîne forcément de se confronter à l’inattendu, à l’imprévisible, à ce qui peut te déstabiliser. La principale critique que je forme envers nos technologies quotidiennes est qu’elles conjurent l’altérité. Elles sont construites pour fabriquer de l’identique. Home est son biotope : le petit chez-moi, familier, le cocooné, le confortable, le cajolé. Sauf que cette vision, et les pratiques de rejet qui l’accompagnent nécessairement, sont d’une grande violence pour les gens qui n’ont pas la possibilité de bénéficier de ce technococon égocentré.
Dans Le ministère du futur, Kim Stanley Robinson décrit la situation écologique et inégalitaire actuelle et imagine des écologistes tuer, prendre des milliardaires en otage, faire exploser des avions. Qu’en penses-tu ?
C’est la bonne solution aussi, à mes yeux. Je suis un partisan de l’action directe. On subit de façon trop molle et complaisante des actes d’une violence et d’une agressivité absolues. Les technocapitalistes ne se posent pas la question de ce que leur vision du monde produit sur nos vies ordinaires. Les actions directes, comme le sabotage, le brouillage, le piratage des chaînes de production, le boycott des produits, me semblent très souhaitables. Lorsqu’on dit ça, on donne l’impression d’être radical et hystérique alors qu’on énonce une banalité lucide. Ce qui est radical est ce que la Tech fait : ne pas s’interroger sur l’impact de la production d’une voiture électrique sur le travail des enfants en Afrique, par exemple, ou le pillage minier. Il faut stopper, invalider et inverser cette violence, la retourner. Et utiliser tous les moyens dont on dispose : le hacking [pénétrer illégalement dans un système informatique], les blocages, les occupations, la lutte des imaginaires, l’artivisme, les zad, etc. Il y a toujours des failles et il faut les utiliser. Mais aujourd’hui, très peu de militants sont prêts à prendre des risques parce que…
Parce qu’en face, il y a des appareils de répression de plus en plus élaborés et sophistiqués…
Complétement. C’est très intéressant de revoir l’histoire du mouvement Action directe dans les années 1970-1980. Ils pouvaient faire dix ou quinze actions avant que la police se mobilise ou qu’ils soient mis en prison. Aujourd’hui, des gens taguent une usine Lafarge et ils subissent une surveillance colossale, des peines de prison disproportionnées, quatre-vingt-seize heures de garde à vue. Le système répressif est d’autant plus féroce que les actions sont rares et modestes, c’est un paradoxe qui traduit un étouffement dans l’œuf de toute contestation. À nous d’être fins.
Lire aussi : Dans les sous-sols de l’antiterrorisme, l’enfer de militants écologistes
Cette surveillance est permise par l’intelligence artificielle et les instruments numériques.
On ne parle pas assez du couplage entre le régime de contrôle et le régime numérique.
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Je n’aime pas le terme de résistance parce qu’il revient à considérer que malgré tout, le système va continuer à opérer, qu’il sera toujours dominant et que notre capacité est seulement d’en limiter les effets négatifs. Je pense qu’il faut construire des alternatives, proposer d’autres façons d’exister, de s’alimenter, d’habiter. Puis de montrer que ça marche et surtout que ça nous rend heureux et libre. Il faut battre le capitalisme sur le terrain du désir.
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la paresse plaisante, le pouvoir octroyé, la conjuration des peurs et des incertitudes et l’imaginaire du transhumain, cet antique désir « d’être dieu », d’échapper à notre finitude. Il faut ressusciter un désir qui fasse pièce à cette économie de désir qu’accomplit magistralement la consommation numérique. C’est un sacré défi, c’est un sacré combat.
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plutôt dans les zones rurales : campagnes, montagnes. Il y a un vrai retour à la terre, à l’image des années 1970. Beaucoup de communautés, d’oasis, de tiers lieux, de quarts lieux, de zones d’expérimentation, de zad se développent. Ça se passe sous les radars des médias urbains qui constituent la majorité des médias. Mais ça existe et ça résonne très au-delà des sites où ça naît, comme la zad de Notre-Dame l’a fait. ... par ces expériences : maraîchage de montagne, économie du gratuit, intelligence collective, renouement aux forces du vivant, techniques de subsistance, fluidité de genres.
Je trouve l’idée de « zone » très forte. Il ne s’agit ni d’un domaine clos, ni d’une communauté autarcique, ni seulement d’un habitat partagé. C’est plus ouvert, c’est-à-dire qu’il n’y a pas de frontières, ça rayonne et s’étend. On ne changera pas ce monde fondé sur les désirs individualisés et les échanges immatériels sans expérimenter en collectif, éprouver d’autres modes de vie qui destituent les effets de pouvoir, s’alimenter en bio, local et frais, trouver une autonomie énergétique, pratiquer le low-tech qui t’empuissante dans ton rapport à la techno, etc. Et surtout sans réactiver des liens au monde, au vivant et aux autres, qui te rendent plus vaste, plus joyeux et plus vif. On a besoin de lieux, d’espaces concrets pour ça et de pratiques incarnées, on a besoin de créer aussi, sans cesse, pour déjouer les machines de pouvoir qui nous pilotent.
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Le texte de l’entretien écrit a été repris par Alain Damasio, il est donc adapté de l’entretien oral.
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François Taddéi est le directeur du Centre de Recherche Interdisciplinaire à Paris. Il nous parle de son action en faveur de l'innovation dans l'éducation.
Extrait de cette interview diffusée dans Le Vinvinteur n°24 le dimanche 14 avril à 20 heures sur France 5.
http://levinvinteur.com/
Tr: ...
j'apprends de mes étudiants ...
4:54 La maïeutique, c'est socrate, c'est la naissance des idées ... écosystème d'apprentissage coopératif ... réinventer wikipédia ... créer de la diversité culturelle ...car illusion d'un consensus ... les points de vue sur un conflit ... labelliser les pages (pistes vertes, noires etc) ... les neuros, euros de la connaissance ... rassembler les meilleures initiatives pour essayer de créer des choses nouvelles ... le web le permet ... évolution horizontale va plus vite qu'en vertical ... quel type de société ? quelle éthique ? ... ex 11 septembre, technologie pour construire, pas détruire ... une nouvelle université par jour pendant vingt ans ... croissance exponentielle des publications scientifiques ...ex Dannemark
... TERMINER >17:18 ACT
Entretien — Culture
Corinne Morel Darleux : « S’émerveiller du monde n’est pas une marque de faiblesse » - 30 décembre 2023 à 09h24 Par Hervé Kempf
Mis à jour le 30 décembre 2023 à 17h28 - Durée de lecture : 10 minutes
Culture Grands entretiens
Alternative, résistance et imaginaire : voilà les leviers chers à l’essayiste Corinne Morel-Darleux pour sortir du marasme. « Naviguer entre inquiétude et émerveillement permet de rester en mouvement » dit-elle dans cet entretien.
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Tr.: .... bataille culturelle (imaginaires) ... livre "Ailleurs, nous irons trouver la beauté ailleurs" ... Rosa Luxembourg ... la gentillesse ... le jour où nous nous retrouverons sans écrans??, ce sera terrible ...
106 abonnés - 18+ - 368 vues - 0 commentaire #serres #gap #auditions
#auditions #sociologie #KTBradio (émission comment ça va ?) #hautes-alpes #gap #Buëch #serres #laragne
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Premier épisode en présence d'Alexandre Duclos : docteur en philosophie politique et docteur en anthropologie; Tom lycéen à Gap; Fabio étudiant en anthropologie; Lola étudiante en philosophie et lettres et Michel formateur
Sommaire de cet épisode :
00:05 Présentation des personnes autour de la table et des auditions citoyennes
14:06 C'est quoi la démarche?
17:58 Déploiement et thèmes abordés : retours d'expériences
23:13 Les agoras de village
23:52 Suite des thèmes abordés : retours d'expériences
29:38 Les suites des auditions : agora de village et agora thématiques
32:04 Retours d'expériences : suite et fin
35:04 Pourquoi on fait cela? Différentes raisons et réflexions historiques
38:58 Perspectives
N'hésitez pas à nous donner le coup de pouce, à venir faire des auditions avec nous, à faire de la radio avec nous
Connu / TG le 9/09/23 à 23:17
Tr.: ... 2 QUESTIONS : comment ça va ? et Qu'est-ce qui vous tient à coeur ? qu'est-ce que vous êtes prets à faire ? ... ce qui préoccupe vraiment les gens ? ... les autres questions là pour faire taire ... tu t'intéresses aux gens, le temps d'une rencontre .... auto-organisation ... populariser une démarche ... politique ... les gens ont l'impression de ne pas être écoutés, on ne voit plus un humain, une souffrance, on sait se parler, ya un mensonge médiatique ... leur pb le train, le boulot, la pauvreté, ya plus d'entraide, agoras de villages 22 mesures sorties de ça, ... parler avec leurs termes ... ex le loup, le désert médical, la formation ... sous le joug de la petite bourgeoisie locale ... orne ... le ga se vide par de faux pb / plus de prof, etc ... dissociation de la conscience ... leur vie indigne d'être discutée, alors que c'est le seul sujet, seule dimension politique de l'individu ... ça ne va pas ... les auditions citoyennes ... agora "se nourrir au pays" ... on était 171 ... a duré toute la journée ... que faire dans ce pays, relocaliser ... ya plein de communs ... évoluer avec les gens ... les questions sont complexes ... dispositif fonctionne merveilleusement ... pas de consensus, intelligence collective, extrait des injonctions externes, se parler, voir ce qu'on a en commun ... c'est ce qui manque au pays, une parole politique qui touche les gens, un pays triste sinon, démarche constituante et désirable ... résoudre les pb des gens ... on va créer une asso, des débats, analyser ce qui se dit ... ktbradio.org
Ndlr : à réécouter sur https://ktbradio.org/comment-ca-va-par-michel-philippo/?v=11aedd0e4327
Interviews
Revivez en immersion la manifestation du 19 janvier 2023, qui a rassemblé plus de 10 000 citoyens venus de toute la Charente !