Conversation
Les infiltrés a reposté
À gauche
@AgaucheYT
Elle est ici
Merci à @huitre_garou
de l'avoir récupérée
Citation
Nicolas Framont
@NicolasFramont
·
23 oct.
1/Aujourd'hui le média Welcome to the Jungle m'a informé qu'ils supprimaient l'entretien que j'avais donné chez eux, 48h après sa mise en ligne et au moment où il dépassait les 230 000 vues. J'y parlais lutte des classes, hiérarchies inutiles et colonialisme.
Image
3:11 PM · 25 oct. 2024
·
239,3 k
vues
Julien Delalande
Blemblemblem
@Blemblemblemo
·
25 oct.
Effectivement Welcome to the Jungle s'adresse aux typiques start upers, fans de Linkedin macronisans, j'imagine pas les commentaires qu'il y a eu suite à cette vidéo sur leur page mdr
À gauche
@AgaucheYT
·
25 oct.
Faut aller la balancer sur LinkedIn.
Radio Cause Commune
@CauseCommune
·
25 oct.
Le truc le plus étonnant, c'est que #WelcomeToTheJungle
1) A contacté Nicolas Framont
2) Laissé la vidéo 48h00
La plateforme est un ramassis de #jaimemaboite dégoulinants où le #happyworking demande à chacun·e de laisser son cerveau au vestiaire.
Publié Il y a 2 jours • 49 vues - 7+
C’est un échange-type que l’on entend souvent, très souvent, en début de semaine. Question : “comment ça va ?” Réponse : “comme un lundi”. Comme un lundi, ça veut dire, bon pas trop. Comme un jour où l’on repart pour une semaine de travail.
Ah le travail. La musique populaire est remplie d’airs sur le travail. “Le travail, c’est la santé”, oui “mais rien faire c’est la conserver”, selon Henri Salvador. Au “je ne veux pas travailler” de Guillaume Appolinaire, mis en chanson par Pink Martini, répond le “Faut que je travaille” de Princess Erika. Pas plus convaincu que ça.
“Vous ne détestez pas le lundi, vous détestez la domination au travail” : c’est le titre du dernier essai de Nicolas Framont, sociologue, rédacteur en chef de Frustration Magazine et auteur de “Parasites”, édité, comme ce dernier ouvrages, par Les liens qui libèrent. Pourquoi le mal-être au travail s’amplifie-t-il ? Jusqu’où le gouvernement et le patronat iront-ils pour décourager les arrêts maladie, les ruptures conventionnelles et les démissions, qui symbolisent une sorte de défiance vis-à-vis du salariat, très perceptible chez les plus jeunes. La valeur travail est-elle vraiment ancrée au sein des classes populaires ? Et le “droit à la paresse” n’est-il pas une revendication de bobos déconnectés ? Entretien avec Théophile Kouamouo.
Visibilité Publique
Publié originellement 26/10/2024 - Catégorie Actualité & Politique
Licence Inconnu - Langue Français
Étiquettes Durée 30min 40sec - 1 Comment
*Tr.: ... souffrance au travail ... typologie du chef ... chef bureaucratique ... obéir ... chef tyranique ... la droite est anti-humaniste ... valeur travail, terme bourgeois ...
Clés : Extrême droite ; Macron ; Présidentielles 2022
Les efforts conjugués de millions de citoyens, d’activistes et d’électeurs n’y auront rien fait. Le second tour programmé depuis cinq ans par ceux qui y avaient intérêt aura réussi à s’imposer en cette année 2022.
Une fois de plus, Emmanuel Macron contre Marine Le Pen. La différence, c’est que cette fois-ci, Emmanuel Macron a un bilan, un lourd bilan contre lui, et on peut imaginer que le réflexe du “vote barrage” sera moins évident à provoquer. Il y a aussi le fait que Marine Le Pen fait campagne, notamment en vue de ce second tour, sur le thème du pouvoir d’achat…
Elle se présente comme une aspirante présidente compassionnelle, qui aime les Français et qui voudrait qu’on l’aime. Mais au-delà de la com, de quoi la proposition politique de Marine Le Pen est-elle le nom ? En quoi se diffère-t-elle de celle d’Emmanuel Macron ? Est-ce parce qu’elle est de manière impossible à nier soutenue par une large frange des classes populaires qu’elle a vraiment la fibre sociale ?
De toutes ces questions, nous en parlons avec Nicolas Framont, rédacteur en chef de Frustration Magazine, un média indépendant gratuit… auquel vous pouvez vous abonner en guise de soutien. Il est aussi chroniqueur pour Le Média TV.
Le site internet de Frustration magazine : https://www.frustrationmagazine.fr/
Connu / tg 16/4/22 8h28
Dans cette élection, Macron incarne le capitaliste décomplexé dont la première mesure sera de nous faire tous bosser plus, et plus longtemps. Zemmour quant à lui a pris avec joie le rôle de l’obsédé de la race et de la haine des arabes. Marine Le Pen a fait nettement moins parler d’elle, son programme ou ses idées sont peu commentées, ou alors sous l’angle de son “sérieux” et de son assagissement. Pourtant, cette femme appartenant à la bourgeoisie défend un programme politique permettant d’enrichir sa classe sociale, comme ses deux rivaux. Et elle ne renonce en rien à ses idées racistes. Elle a changé, dit-on ? Oui, elle a laissé de côté les quelques idées sociales de son programme de 2017. A Frustration, contrairement à Léa Salamé, on s’en fout de ce que Marine Le Pen a pu ressentir quand sa nièce l’a trahie. Par contre, on aimerait savoir quel est son programme.
1 – Pouvoir de vivre : Marine ne vous aiderait pas à sortir la tête de l’eau
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Aucune mesure de « pouvoir d’achat » de son programme ne concerne les indépendants, les fonctionnaires, les chômeurs et les allocataires des minima sociaux.
...
2 – Une bourgeoisie enrichie et confortée
...
3 – La lutte contre le réchauffement climatique est carrément abandonnée
...
4 – Les étrangers, les réfugiés et les quartiers populaires comme bouc émissaires
...
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Connu / https://twitter.com/NicolasFramont/status/1512111613268144130
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La Contre Matinale
Pour vous faire vivre les élections de 2022 autrement...
Clés : Macron ; Présidentielles 2022
Nicolas Framont, chroniqueur au Méda et co-rédacteur en chef de Frustration Magazine, publiait il y a peu un article intitulé « Tout comprendre au scandale McKinsey en six points et dix minutes ». Le scandale McKinsey, le McKinsey Gate qui se cristallise désormais en dépit de la stratégie de déni de l'exécutif et de la timidité des médias.
En effet, invité du Journal de France 3 hier, Emmanuel Macron a été obligé de réagir à ce sujet, en dépit d'un agacement très visible.
Tr.: ... rapport du Sénat ... portent une vision néolibérale de l'État ... Les médias sont trop timides pour en parler ... les journalistes sont mal à l'aise avec les affaires systémiques comme celle-ci ...
L’année dernière, alors que le premier confinement donnait à toute la bourgeoisie intellectuelle des envies de Révolution pour un « monde d’après » plein de bons sentiments, on se demandait dans les journaux et sur les plateaux télé si les personnes essentielles étaient en fait celles et ceux qu’on croyait. Car en un seul confinement national, tout ce que le pays comptait de « CSP plus », c’est-à-dire les cadres dirigeants, les DRH, les intellectuels, se retrouvaient chez eux ou dans leur résidence secondaire, les bras croisés.
Pendant ce temps, souvenez-vous, les « premiers de corvées » trimaient pour faire tourner les usines, les commerces essentiels, les hôpitaux ou encore les transports en commun. La bourgeoisie a eu la larme à l’œil face à ces gagne-petit que d’ordinaire elle ne voit jamais, Macron a concédé une petite prime défiscalisée, et hop, au charbon les gueux.
Le débat sur l’utilité des travailleuses et des travailleurs dans le pays n’aura duré que quelques semaines et c’est bien dommage. Mais encore plus ennuyeux : celui sur l’utilité de celles et ceux qui pouvaient rester chez eux en pleine crise pandémique n’a quasiment pas été abordé. Même au plus fort du Covid, personne ne s’est demandé ce qu’il en était de l’utilité des patrons. Ils sont passés à travers les mailles de la critique de l’utilité sociale des professions, ce qui confirme ce qu’ils sont devenus, dans la France des années 2020 : des divinités intouchables, si sacrées que plus personne ne se permet de les critiquer.
D’ailleurs, ils ne sont plus des patrons mais des « entrepreneurs ». Quelle différence ? En pratique, aucune : ce sont ceux qui dirigent les entreprises de l’économie capitaliste. Dans les croyances, c’est la nouvelle lessive qui a repeint la bonne vieille bourgeoisie en héroïne des temps modernes : quand le patron domine, l’entrepreneur entreprend. Entreprend quoi ? La mise au travail des autres pour en tirer une plus-value, pour lui et ses actionnaires.
Tr.: ... Thomas Coutrot, livre "Libérer le travail, pourquoi la gauche s'en moque et pourquoi ça doit changer" ...
... nos débuts en 2016 ... journalisme engagé mais pas militant, subjectif et honnête ... inverser le cours capitaliste des choses ... mettre des mots sur vos colères
...
c’est quoi ? Un site web totalement indépendant
...
c’est qui ? L’équipe web bénévole est animée par Nicolas Framont, qui est sociologue de formation, a exercé différentes professions avant de devenir maraîcher bio, et Selim Derkaoui, producteur de l’émission de débat d’idées « Interdit d’interdire » présentée par Frédéric Taddeï, et qui ne se reconnaît pas dans les réflexes et les tropismes bourgeois de sa profession. Le comité de rédaction est composé de cinq personnes.
Nous écrire : redaction@frustrationmagazine.fr
- L’Équipe
NICOLAS FRAMONT RÉDACTEUR CHEF
Frustré parmi les frustrés Thèmes de prédilection : Sociologie du travail, Macron bashing, Régicides - ROB GRAMS RÉDACTEUR CHEF ADJOINT
S’est fait voler son pain au chocolat par un socdem en 2004 Thèmes de prédilection : Théorie politique, cinéma, puppies - GUILLAUME ÉTIÉVANT RÉDACTEUR EN CHARGE DES QUESTIONS ÉCONOMIQUES
Rend l’économie aussi accessible qu’un compte en Suisse pour un bourgeois Thèmes de prédilection : Économie, lecture marxiste de Proust (et inversement) - ANTOINE GLORIEUX RESPONSABLE ARTISTIQUE ET ILLUSTRATEUR
Met au chômage technique tous les graphistes de la CGT Thèmes de prédilection : Design anticapitaliste - THIBAUT IZARD DÉVELOPPEUR WEB
Voit des erreurs 404 la nuit
Thèmes de prédilection : Bordures de bouton, le télétravail
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...
1 – La bourgeoisie dilue son immense responsabilité dans une culpabilisation de masse
...
2 – Les petits gestes du quotidien pour ne pas parler des leviers politiques et économiques
...
3 – Une écologie au service de la domination de classe
...
4 – Contre l’écologie bourgeoise…. l’écologie !
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Il n’y a pas à choisir entre une politique sociale, un horizon révolutionnaire ou l’écologie : les trois vont ensemble et sont la plus sûre façon de sauver notre planète et de nous sauver nous.
Nicolas Framont
Parce qu’il n’est plus possible que seuls “les milieux autorisés” soient autorisés à penser notre monde, ses réalités et ses combats. Cette émission se veut le carrefour des intellectuels, penseurs et acteurs des luttes sociales dissidents et/ou invisibilisés.
11 janvier 2021 - 18H30 / Par Théophile Kouamouo On s'autorise à penser
Comment la classe bourgeoise nous manipule
Nous vivons une période terrible. Après la Deuxième Guerre Mondiale, les pays dits occidentaux ont connu une période de prospérité, mais également de progrès social inédite dans l’histoire de l’Humanité. Mais depuis plusieurs décennies, un mouvement inverse s’est engagé. Les inégalités progressent, férocement. Les peuples se sentent oppressés. Mais qui est l’oppresseur ? Nicolas Framont et Selim Derkaoui, ont écrit l’essai La guerre des mots, édité par Le Passager Clandestin. Ils sont les animateurs du magazine en ligne Frustration. Leur thèse c’est que l’arme principale de cet oppresseur, c’est le langage. Ce sont les mots. Des mots distillés dans les médias, au sein des institutions. Et la première ruse de ceux qui nous dominent serait de nous empêcher de les nommer.
Dans cette interview avec Théophile Kouamouo, ils évoquent les mots-catégories qui disparaissent (“prolétaires”, “ouvriers”, “patronat”) et ceux qui se substituent à eux pour, selon eux, brouiller les pistes. Des mots comme “classes moyennes”, “société civile”, “France périphérique”, “égalité des chances”...
Les co-rédacteurs en chef de Frustration Magazine vont jusqu’à provoquer le débat sur la question de la lutte contre le complotisme, qui serait instrumentalisée par un pan de la bourgeoisie pour neutraliser la critique du capitalisme. Nicolas Framont va jusqu’à oser un plaidoyer en défense de Monique Pinçon-Charlot, mise en cause depuis sa participation au documentaire controversé Hold-up.
Connu / https://twitter.com/LeMediaTV/status/1423663255948517380
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Le Média @LeMediaTV · 8h
SALARIÉS/PATRONAT : QUI PREND VRAIMENT TOUS LES RISQUES ?
Alors que Macron déclarait que "la vie d'un entrepreneur est bien souvent plus dure que celle d'un salarié", @NicolasFramont et @SelimDe réfutent avec vigueur cette fable du "patron qui galère". - 0 - 30 - 39
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Tr.: ... les mots, les mythes ... les startuppers sont des bourgeois en grande majorité ... mythe de la prise de risque, la protection sociale est bien. ... théorie basée sur des faits, la lutte des classes, pas les théories complotistes ... Manuel de combat pour reprendre confiance en soi.
Lexique Attractivité, n.f. : capacité d’un pays, d’une région ou d’une ville à courber l’échine face à des entreprises privées en recherche de main-d’œuvre pas chère, des cadres en costume bleu et baskets blanches en quête de soleil et d’écoles privées, et des actionnaires en manque de paradis fiscal.
« Nous sommes aujourd’hui le pays le plus attractif en termes d’investissements productifs », a affirmé Emmanuel Macron devant un parterre de 200 patrons invités au château de Versailles le 17 janvier 2020.
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« une majorité des dirigeants étrangers interrogés par Business France pense que les deux mouvements [gilets jaunes et contre la réforme des retraites| ont eu un impact négatif sur l’attractivité de la France », fulmine le journal Les Echos. Les gueux ont gâché la fête, l’attractivité en a pris un coup. Rien n’est cependant perdu, apprend-t-on depuis Bordeaux, « parce que nous avons tous besoin d’une dynamique de territoire, la Région a lancé une démarche d’attractivité transversale et partagée avec les acteurs de la Nouvelle-Aquitaine. Car ensemble, nous partageons les mêmes défis, et ensemble nous serons plus forts », nous explique avec enthousiasme la région Nouvelle Aquitaine (ex-Aquitaine, Poitou-Charentes, Limousin – on ne vous demandera pas qui est le plus attractif parmi les ex). Heureux, ces dirigeants ont lancé un « club de l’attractivité » qui est, accrochez-vous, une « démarche partagée et fédérative qui a pour but de co-construire l’attractivité de notre territoire avec l’ensemble des acteurs qui souhaitent s’y associer. » ce n’est plus une phrase, c’est un bingo de tous les mots creux, pardon, clefs, de notre époque.
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Attirer “les talents et les créatifs”, mode d’emploi
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« Talent » est un terme du globish d’entreprise multinationale qui désigne les salariés qualifiés qu’il faut à tout prix garder. ... « Créatif » est un terme quant à lui promu par un géographe médiatique nord-américain au nom de jus de fruit industriel : Richard Florida. ... La région Nouvelle Aquitaine se réclame directement de Florida dans son « guide de bonne pratique » pour des politiques locales d’attractivité : « L’enjeu consiste à amorcer et soutenir le cercle vertueux de l’attrait auprès de la classe créative », explique le document. Cette population que Wikipédia définit comme « urbaine, mobile, qualifiée et connectée », ne comprend clairement pas votre oncle artisan dans les Landes. Lui ne figure pas dans le cercle vertueux que la région compte « amorcer et soutenir ».
Cette classe qui monopolise diplômes, branchitude et montres connectées Apple, nous l’appelons, en France, « les CSP+ » et chez Frustration, la sous-bourgeoisie. Elle est la courroie de transmission entre les possédants et le reste de la société et utilise ses savoirs et son réseau pour garantir aux premiers le meilleur taux de remontée de dividendes. Elle sort de grandes écoles : de commerce, d’ingénieur… Bref, la classe créative ne compte ni votre cousin étudiant en socio, ni votre sœur titulaire d’un CAP.
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la mise en concurrence officielle des régions, des villes et des pays au sein du grand jeu de plateau pour riches appelé mondialisation ... mettez-moi quelques friches industrielles reconverties en salle de concert / bar à Smoothy, un campus avec un tramway, deux-trois « éco-quartiers » avec terrasses plein sud et tenez bien éloignés de ces zones « attractives » les quartiers où vivent les ouvriers et employés qui feront tourner tout ça.*
“Il faut souffrir pour être attractif”
Des tas d’organismes plus ou moins bidons ont été créés pour gagner la bataille de l’Attractivité. En 2001, L’Agence française pour les investissements internationaux ... Devenue depuis Business France ... dirigée par Muriel Pénicaud, ex ministre du Travail, qui a fait le plus grand pas en faveur de l’attractivité de la France une fois nommée au gouvernement : ses ordonnances travail permettent aux grands groupes d’embaucher en France, puis de licencier quand ça leur chante.
Emmanuel Macron, qui était en 2016-2017 le candidat le plus attractif pour les capitalistes étrangers et exilés fiscaux (envers qui il a multiplié les levées de fonds pour financer sa campagne), est un partisan enthousiaste de « l’attractivité ». Il a lancé un grand plan intitulé « Choose France » (mais pas la langue française) ... permettant aux entreprises d’embaucher et d’investir, en développant l’offre scolaire internationale et en mettant en œuvre la loi PACTE (sur la croissance et la transformation des entreprises). »
La loi PACTE, votée en 2018, est venue « alléger » à nouveau le droit du travail et a lancé la privatisation d’Aéroport de Paris, de la Française des Jeux et ouvert encore un peu plus le capital d’Engie (ex-Gaz de France). ... les gouvernements successifs ont donné des millions d’euros – via le CICE par exemple –, continuent de virer des gens. C’est le cas de Sanofi par exemple, ou de Michelin, qui a utilisé l’argent donné pour acheter des machines et… les envoyer dans ses usines d’Europe de l’Est et d’Espagne. Désolé mais le niveau du SMIC Français n’était pas assez attractif pour leurs actionnaires.
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Grand match Paris-Bordeaux-Marseille : qui attirera le plus de connards en basket blanches ?
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les « métropoles » ... Le passage de plusieurs grandes villes aux mains des écolos lors des dernières municipales représenterait-il un coup de frein à la concurrence entre villes pour la quête de CSP+ ? Pas si sûr. Les pistes cyclables, les défis zéro déchets et les façades végétalisées sont devenues essentielles à une classe sociale qui est la plus polluante et la moins désireuse d’en finir avec le capitalisme et qui a donc besoin de verdure et de bicyclettes pour pouvoir se regarder dans le miroir et se kiffer toujours autant. ... des zones répulsives pour tous les autres. Celles et ceux qui travaillent, celles et ceux qui créent, celles et ceux qui vivent et que nos dirigeants mettent à genoux pour produire des villes, régions et pays conformes aux désirs et appétits de la bourgeoisie.
Ndlr : Hypothèse NF a PLPDLA ? vérif ACT