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... 1 milliard d'euros à investir en Eure-et-Loir pour développer les transports ... Plutôt que de rouvrir les petites lignes de train, développer le fret ferroviaire et aménager intelligemment les routes existantes, les élus du territoire continuent de promouvoir un projet vieux de 20 ans, sans intérêt économique et contraire aux stratégies nationales de lutte contre le changement climatique.
Nous voulons empêcher ce désastre économique et écologique de se produire, et faire des nouveaux choix de développement, ancrés dans le présent et surtout dans l’avenir de nos enfants et petits-enfants !
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L’Eure s’est distingué de ses voisins de la région normande en plaçant l’extrême droite en tête du scrutin présidentiel. Dans ...
Connu / tg 24/06/22 à 10:42
Débats Tribunes - Temps de Lecture 6 min.
A l’heure de la militarisation de l’espace, Jean-Luc Mélenchon s’est interrogé sur l’utilité de maintenir un système de défense fondé sur la dissuasion nucléaire. Dans une tribune au « Monde », Fabien Gouttefarde, député (LRM), en démontre la pertinence tant sur le plan stratégique qu’industriel.
Tribune. Sur BFM-TV, le 25 novembre, M. Mélenchon s’est interrogé. La dissuasion nucléaire a-t-elle encore un sens, se demandait-il en direct, avant de récidiver deux jours plus tard avec un texte posté sur son site de campagne. A l’approche d’une élection présidentielle, il est normal, et même sain, que ceux qui briguent les suffrages s’interrogent sur les armées dont ils peuvent devenir le chef et en particulier sur la dissuasion, dont l’élection ferait d’eux le décideur ultime… et solitaire.
Rappelons à cette occasion que si l’on ramène le coût annuel de l’agrégat nucléaire, 3,5 milliards d’euros pour le budget de l’Etat (0,15 % du PIB environ), au nombre de notre population, le coût de la dissuasion est de cinq euros par mois et par Français.
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Puisque M. Mélenchon, avec l’éloquence qui lui est coutumière, et qui fait de lui l’un des meilleurs orateurs parlementaires de la Ve République, s’étonne qu’« aucun autre candidat ni leur parti n’ait exprimé de point de vue sur le sujet », qu’il me soit permis de lui exprimer le mien, celui d’un collègue député de la majorité, qui certes n’a pas eu et n’a pas vocation à avoir le doigt posé sur le bouton nucléaire mais qui s’est attaché, ces derniers mois, à inlassablement rencontrer les hommes et les femmes qui servent sous les drapeaux.
La dissuasion c’est une capacité permanente
M. Mélenchon se veut tribun, je suis un pèlerin. Et c’est appuyé sur mon bâton que j’ai pu me forger quelques convictions, au détour des rencontres, des visites, des immersions. Qu’est-ce donc, au fond, que le sens de ce qu’on appelle la dissuasion ? La dissuasion, en France, c’est d’abord une capacité. Une capacité permanente, mise en œuvre par la marine nationale et l’armée de l’air, qui garantit, quoi qu’il arrive et quoi qu’il en coûte, qu’un éventuel ordre présidentiel de tir nucléaire serait exécuté.
C’est une capacité dimensionnante pour nos forces : en Bretagne, la base opérationnelle de l’île Longue, voulue par le général de Gaulle, abrite les quatre sous-marins lanceurs d’engins, les Triomphant, Téméraire, Vigilant et Terrible. Quatre géants dont la présence à la pointe de la Bretagne dimensionne le format de la force d’action navale à Brest : frégates et avisos, avions de patrouille maritime et hélicoptères, vedettes de gendarmerie maritime même, partagent comme mission principale l’escorte du Léviathan jusqu’à sa dilution.
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Depuis la première prise d’alerte, celle du Redoutable de Louzeau, en 1972, il y a toujours au moins un sous-marin à la mer. Son équipage, composé d’hommes déterminés, et depuis peu de femmes tout aussi exceptionnelles, passe jusqu’à soixante-dix jours en mer. L’armée de l’air, au travers des forces aériennes stratégiques, exerce également cette mission permanente, avec des chasseurs Rafale et leur indispensable auxiliaire, le ravitailleur en vol. De jour comme de nuit, ils tiennent eux aussi l’alerte, sans discontinuer depuis 1964 et les temps héroïques des Mirage-IV.
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Epilogue
Après plus de dix ans de mobilisation des associations et activistes, le groupe Pierre et Vacances a annoncé mercredi l'abandon de son projet de village de vacances en Isère.
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Ce village de vacances de 200 hectares, au coût prévu de 387 millions d’euros, ses 1 000 «cottages», ses commerces et restaurants et sa «bulle tropicale» maintenue à 29 degrés, accueillant piscines, toboggans et végétation luxuriante, ne verra jamais le jour.
Quarante hectares de la forêt des Chambaran étaient déjà tombés à l’automne 2014, avant que des zadistes ne bloquent le défrichage en s’installant sur place. La Fédération des pêcheurs de la Drôme et de l’Union régionale des associations de pêcheurs, France Nature Environnement (FNE, ex-Frapna) et l’association Pour les Chambaran sans Center Parcs (PCSCP), avaient pris le relais devant la justice administrative et obtenu en 2015 le gel du projet au titre de la loi sur l’eau. Le complexe projeté était situé au cœur d’un bassin hydrographique important, sorte de château d’eau régional, et la moitié de sa zone d’emprise était constituée de zones humides sensibles.
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«Très grande victoire»
Patricia Moscone, présidente de PCSCP, s’insurge : «Ce n’est pas en raison des lourdeurs invoquées de la justice que le projet est abandonné, mais bien parce que Pierre et Vacances était incapable de trouver les surfaces nécessaires pour compenser les zones humides détruites.» Eric Ferraille, président de FNE Auvergne Rhône-Alpes, se félicite de cette «très grande victoire sur un projet représentatif d’un modèle de tourisme de loisir dépassé et prédateur» et insiste : «La défense de ces zones humides, qui jouent un rôle essentiel dans le contexte du réchauffement climatique, est cruciale.»
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Les élus locaux réclament à l’Etat l’expulsion de la poignée de zadistes toujours présents dans la forêt. Corinne Morel Darleux, conseillère régionale écosocialiste, proche d’Extinction Rebellion, salue leur rôle : «Comme Notre-Dame-des-Landes, Roybon est un cas d’école de la diversité et de la complémentarité des luttes locales. Ce sont les actions d’habitants, d’associations locales et écologistes, de pêcheurs, couplées à une occupation des lieux et aux interventions d’élus, qui ont permis ce succès.»
Trois autres projets contestés
... l’extension du domaine de Bois-Francs (Eure) et les nouveaux centres du Rousset (Saône-et-Loire) et de Poligny (Jura). «Des bulles tropicales, on n’en veut nulle part, gronde Corinne Morel Darleux. Pour accueillir les citadins qui veulent se régénérer, préservons plutôt ces espaces naturels. Et travaillons pour que les zones rurales et de montagne puissent vivre sans dépendre d’un modèle touristique qui ne correspond à aucun enjeu, ni en terme climatique ni en termes de bien vivre.»
*Qui sommes-nous ?
... a été créé par :
François Mulet (Maraîcher, membre fondateur de Maraîchage Sol Vivant)
Konrad Schreiber (Agronome, IAD, La Vache Heureuse)
Vincent Levavasseur (Maraîcher & président de Maraîchage Sol Vivant Normandie)
Son but est d’aider à former le plus possible d’agriculteurs dans leur transition agroécologique vers les sols vivants et fertiles.
L’équipe
François
Président
est un des membres fondateurs du réseau Maraîchage Sol Vivant au sein duquel il a participé au développement des techniques de sol vivant adaptées au maraîchage. Il est aussi président de la société Ver de Terre Production et expert du projet Pour Une Agriculture du Vivant. Il accompagne de nombreux agriculteurs dans le développement de leurs projets.
Vincent
Co-directeur
Maraîcher dans l’Orne, Président de Maraîchage Sol Vivant Normandie. Vincent accompagne l’équipe dans la production de formation et le développement d’outils informatiques pour faciliter la diffusion des savoirs. Il anime également des formations à destination des maraîchers.
Konrad
Agronome, Institut de l’agriculture Durable, La Vache Heureuse
Luis
Communication
Amandine
Production
est chargée de mission à Ver de Terre Production. Elle s’occupe plus particulièrement du suivi des formations digitales, et des formations concernant les microorganismes (bactéries, mycorhizes…), le sol, les plantes (indicatrices)…. Elle est également responsable de la coordination pour les évènements de type colloque et rencontres.
Simon
Production
chargé de mission et illustrateur de l’entreprise, en charge des formations dans les domaines de l’agroforesterie, de la viticulture et de l’arboriculture. Il fait également partie de l’équipe production et participe à l’élaboration des contenus pour les formation digitales ainsi qu’aux recherches sur des sujets d’agronomie innovants.
Sibylle
Production
Après avoir découvert le réseau Maraîchage Sol Vivant durant sa césure et suite à une première expérience en Argentine, elle rejoint l’équipe de Ver de Terre Production début 2018. Elle est en charge de l’organisation des formations en grandes cultures et élevage ruminant. Au sein de l’équipe production, elle participe à l’élaboration de contenus de formation digitale et aux recherches sur des sujets d’agronomie innovants.
Alexandre
Production
est chargé de mission chez Ver de terre Production. Il est responsable de l’organisation et de la coordination des formations sur la thématique du maraîchage. Il fait également partie de l’équipe production et participe à l’élaboration des contenus pour les formation digitales ainsi qu’aux recherches sur des sujets d’agronomie innovants.
Dylan
Tournage / montage
est le responsable vidéo de Ver de Terre Production. Il s’occupe de la gestion de la chaîne YouTube, des nombreux tournages à planifier et à superviser, des directs et du montage vidéo.
Eponine
Informatique
Martin
Rencontre 2019
Ayant découvert le sol vivant lors d’un stage sur une ferme du réseau MSV, je me suis dès lors passionné d’agriculture de conservation et de semis direct. Mon passage avec chez céréaliers de l’APAD nord-est en tant que stagiaire-animateur de réseau m’a conforté mon objectif de devenir agriculteur un jour. Actuellement étudiant ingénieur agronome en césure chez ver de terre production, j’ai pour rôles la captation vidéo et le montage, ainsi que la co-organisation de la première édition des Rencontres Internationales du Vivant.
Pauline
Rencontres 2019
Intéressé par la botanique dès le début de mes études supérieures, je me suis tournée vers des études d’ingénieur agronome. Très vite, il m’est apparu que le maraîchage me passionnait. Cette orientation s’est retrouvée renforcée lors de mon passage dans diverses fermes du réseau MSV au sein desquelles j’ai pu me former aux techniques de sol vivant. Etant actuellement en césure chez ver de terre production, mes missions consistent à être camérawoman-monteuse et de co-organisatrice des Rencontres Internationales de l’Agriculture Du Vivant.
Ver de terre production
13, chemin des Peltier
27160 BRETEUIL-SUR-ITON
ndlr :
- coïncidence que la gilet jaune passée à F5 ce di soir politique https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?iSMUxA
se nommait Ingrid Levavasseur ? je parierais sur la sœur vu comme ils se ressemblent... (annecdotique)